Le Saviez-Vous ► La fabuleuse histoire de l’Encyclopédie


La première encyclopédie est apparue à partir de 1751, il y est réuni tout le savoir de l’époque. Pour sortir de l’ignorance, il a fallu faire face à l’hostilité de l’Église. L’interdiction de vente, mit à l’index, brûler et enfin éditer l’oeuvre complète.
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La fabuleuse histoire de l’Encyclopédie

Isabelle Bernier

Historienne


Le Ier juillet 1751 paraît le premier volume de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert. C’est le début d’une aventure éditoriale sans précédent qui va bousculer les idées reçues en France et dans toute l’Europe. La production de dictionnaires et de grands ouvrages littéraires caractérise le siècle des Lumières. L’Encyclopédie en est l’ouvrage le plus représentatif, à une époque où un nouvel esprit philosophique se constitue, basé sur l’amour de la science et la tolérance.

En octobre 1750, un Prospectus présente le projet de Diderot pour convaincre d’éventuels souscripteurs de participer à son financement ; quatre mille personnes vont répondre à l’appel. L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers, veut décrire de manière la plus complète possible, les arts, les sciences et les métiers de son époque. Au XVIIIe siècle, les arts désignent toutes les activités humaines : le travail manuel, le travail des machines (les « arts mécaniques »), le travail de l’esprit (les arts dits « libéraux » comme l’astronomie, la musique, la logique…), les beaux-arts.

L'Encyclopédie, volume I, première page « A » ; contributeurs : Diderot et d'Alembert ; éditeurs : Briasson, David, Le Breton, Faulche, entre 1751 et 1765. © Wikimedia Commons, domaine public

L’Encyclopédie, volume I, première page « A » ; contributeurs : Diderot et d’Alembert ; éditeurs : Briasson, David, Le Breton, Faulche, entre 1751 et 1765. © Wikimedia Commons, domaine public

Le projet de Diderot

La diffusion à grande échelle de l’état des connaissances dans tous les domaines est une entreprise inédite et révolutionnaire. On n’a encore jamais mis à contribution dans le même ouvrage, les philosophes et les détenteurs d’un savoir scientifique et technique. L’Encyclopédie est une œuvre pédagogique à visée éducative : l’ouvrage procède à un recentrage des savoirs autour de l’Homme.


L’initiative du projet revient à l’écrivain et philosophe Denis Diderot (1713-1784) mais c’est une entreprise collective qui fait appel aux spécialistes de leur domaine : d’Alembert (qui a rédigé le Discours préliminaire en 1751) s’occupe des mathématiques, Bellin contribue à la géographie, Daubenton à la biologie, Rousseau à la musique et l’économie politique, Tronchin à la médecine… On trouve aussi Montesquieu, Voltaire, d’Holbach (chimie), Turgot, Forbonnais et Quesnay (économie), Berthoud (horlogerie), parmi plus de cent cinquante collaborateurs, techniciens et praticiens, liés aux activités productives de leur temps.

Portrait de Denis Diderot par Louis Michel Van Loo en 1767, musée du Louvre, peintures françaises. © 2004, Musée du Louvre, Angèle Dequier

Portrait de Denis Diderot par Louis Michel Van Loo en 1767, musée du Louvre, peintures françaises. © 2004, Musée du Louvre, Angèle Dequier

L’Encyclopédie est un dictionnaire raisonné qui utilise un classement par branche de savoir, l’ordre alphabétique et le système des renvois entre articles. Elle intègre les « arts mécaniques » au sein des connaissances : la description des arts et des métiers impulsée par Diderot, offre un inventaire des procédés de fabrication, des inventions techniques et même des secrets d’ateliers. Elle inclut une collection sans précédent de définitions ; Diderot devient le premier homme de lettres à considérer la technologie comme une partie de la littérature.

L’Encyclopédie propose onze volumes de planches, indispensables à la description des métiers. Les dessins et les gravures illustrent à merveille l’anatomie, l’histoire naturelle, les outils, les gestes du travail, la manufacture, bref tous les secteurs de la technique et de la production.

Exemple de planche de l'Encyclopédie : Papetterie, dans tome V, planche X, dessinateurs Goussier et Benard, 1767. © RMN-Grand Palais (Institut de France), Gérard Blot

Exemple de planche de l’Encyclopédie : Papetterie, dans tome V, planche X, dessinateurs Goussier et Benard, 1767. © RMN-Grand Palais (Institut de France), Gérard Blot

La censure

L’Encyclopédie est certainement l’ouvrage le plus surveillé et censuré de son temps et atteste de ce que représentent les Lumières : appétit de savoir, liberté de penser, nécessité de douter. Elle fournit donc un savoir mais aussi une critique du savoir véhiculé par les habitudes, les dogmes et les autorités. Ses prises de position audacieuses vont lui occasionner de nombreux ennuis qui débutent avec un article sur la Genèse.

En février 1752, les Jésuites exigent la condamnation et l’interruption de la publication : le Conseil d’État du roi interdit de détenir les deux premiers volumes parus  Madame de Pompadour (maîtresse en titre de Louis XV) et Malesherbes, favorable à l’Encyclopédie et directeur de la Librairie (organe créé par Colbert, chargé d’octroyer des permissions et privilèges pour toutes les impressions réalisées en France), font lever l’interdiction et permettent la parution des cinq tomes suivants.

Exemple de planche de l'Encyclopédie : « Horlogerie, montre à équation, à secondes concentriques marquant les mois et leurs quantièmes », suite planche X, volume 22, Bibliothèque nationale de France. © gallica.bnf.fr/BnF

Exemple de planche de l’Encyclopédie : « Horlogerie, montre à équation, à secondes concentriques marquant les mois et leurs quantièmes », suite planche X, volume 22, Bibliothèque nationale de France. © gallica.bnf.fr/BnF

En 1757, les dévots attaquent les encyclopédistes coupables de critiquer la religion catholique : ils estiment que le but de l’Encyclopédie est d’ébranler le gouvernement et la religion. Le pape Clément XIII condamne l’ouvrage et le met à l’Index en mars 1759 : il demande aux catholiques de brûler les exemplaires en leur possession. À la même date, le Conseil du roi interdit la vente de l’Encyclopédie et exige le remboursement de tous les souscripteurs.

En septembre 1759, Malesherbes obtient du roi la permission de faire publier les volumes de planches ; ils vont paraître à partir de 1762. D’Alembert ayant renoncé à poursuivre l’aventure, les dix derniers tomes sont publiés clandestinement par Diderot en 1765 et les deux derniers volumes de planches illustrées paraissent en 1772. En vingt ans, vingt-huit volumes ont ainsi été publiés.

Dès le début des années 1770, Diderot reprend son activité d’écrivain car l’Encyclopédie est achevée. Cependant il ne publie aucun texte qui lui ferait courir de risques, en raison de ses positions sur l’athéisme, la colonisation… Certains de ses écrits ne seront connus qu’un siècle plus tard.

Exemple de planche de l'Encyclopédie : « Lutherie, instruments anciens et modernes, à cordes et à pincer », volume 2, Lutherie, planche III, dessinateur Benard, 1762. © gallica.bnf.fr/BnF

Exemple de planche de l’Encyclopédie : « Lutherie, instruments anciens et modernes, à cordes et à pincer », volume 2, Lutherie, planche III, dessinateur Benard, 1762. © gallica.bnf.fr/BnF

À savoir

Entre 1776 et 1780, est publié le Supplément à l’Encyclopédie, composé de quatre volumes de textes, d’un volume de planches et de deux volumes de tables. Diderot ne participe pas en tant que rédacteur à cette entreprise. L’ensemble des volumes de l’Encyclopédie plus le Supplément, constituent les trente-cinq volumes de l’édition dite « de Paris ».

L’Encyclopédie a occupé un millier d’ouvriers pendant plus de vingt-cinq ans. Près de soixante-douze mille articles ont été produits, Diderot en a composé plus de mille. Le prix d’achat de la première édition (in-folio) s’élève à 980 livres tournois, le salaire annuel moyen d’un ouvrier ou d’un domestique se situant autour de 300 livres. Le poids d’un volume est d’environ dix kilogrammes et son format proche du « A3 » actuel.

https://www.futura-sciences.com/

Plus de 200 noms de prêtres accusés de pédophilie publiés aux É.-U.


lI commence à être temps que l’Église fasse le ménage et arrête de cacher les prêtres pédophiles. Maintenant, il serait peut-être bien de se poser la question, si le célibat chez les prêtres a sa raison d’être. Je ne crois pas que cela éliminera complètement la pédophilie, mais sûrement qu’elle diminuera.
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Plus de 200 noms de prêtres accusés de pédophilie publiés aux É.-U.

L'ordre des jésuites américains, qui gère de nombreux établissements scolaires,... (Photo JEFF PACHOUD, archives Agence France-Presse)

PHOTO JEFF PACHOUD, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Agence France-Presse
Washington

L’ordre des jésuites américains, qui gère de nombreux établissements scolaires, a publié les noms de plus de 200 prêtres ayant été visés par des « accusations crédibles » d’actes pédophiles depuis les années 50.

La Compagnie de Jésus – l’ordre des jésuites dont est issu le pape François – emboîte le pas à de nombreux diocèses catholiques qui ont ouvert leurs archives depuis la publication cet été d’un rapport accablant sur les abus dans l’Église en Pennsylvanie.

Il y a 10 jours, les provinces du centre/sud et de l’ouest du pays avaient déjà rendu publics plus de 150 noms. 

Certains prêtres, qui ont exercé dans plusieurs endroits, figurent sur les listes de deux provinces.

Une grande partie d’entre eux sont décédés, certains ont été condamnés, tous ont quitté les ordres.

Entre le Canada et les États-Unis, l’ordre des jésuites dirige 81 collèges et écoles secondaires et 30 établissements d’enseignement supérieur

https://www.lapresse.ca

Pédophilie: des prêtres américains ont été traités en Ontario


Comment d’agressions sexuelles auraient pu être évité, si les dirigeants de l’Église catholique auraient pris leur responsabilité. Il n’est pas question ici d’accuser la religion, mais bien des personnes qui la dirige. Ils ont protéger des prêtres prédateurs au lieu de chercher une manière enrayer ou du moins diminuer ces agressions. E Même des religieuses ont été abusées par des prêtres. Si les prêtres pouvaient se marier, serait une solution ou du moins cela aiderait a baisser le nombre de victimes. Car ce problème n’est pas juste en Amérique, il est partout ou les prêtes professent la religion.
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Pédophilie: des prêtres américains ont été traités en Ontario

 

Plus de 1000 enfants ont été agressés ou... (ARCHIVES AFP)

Plus de 1000 enfants ont été agressés ou violés par plus de 300 «prêtres prédateurs» dans six diocèses catholiques de Pennsylvanie, a dévoilé un récent rapport.

ARCHIVES AFP

 

NICOLE THOMPSON
La Presse Canadienne
Toronto

Plusieurs prêtres accusés aux États-Unis d’avoir agressé des enfants pendant des dizaines d’années ont été examinés ou soignés dans un établissement situé au nord de Toronto, spécialisé dans les services aux membres du clergé, révèle un document récemment publié.

Le rapport d’un grand jury de la Pennsylvanie, qui indique que plus de 1000 enfants ont été agressés ou violés par plus de 300 «prêtres prédateurs» dans six diocèses catholiques de cet État depuis les années 1940, signale également quelques agressions qui auraient été commises lors de voyages au Canada.

Le document dévoilé la semaine dernière affirme qu’une succession d’évêques et d’autres dirigeants diocésains ont déplacé des prêtres d’une paroisse à l’autre plutôt que de les signaler à la police dans le but de protéger l’Église de la mauvaise publicité et d’une éventuelle responsabilité financière.

Au moins sept prêtres nommés dans le rapport ont été envoyés à un moment ou l’autre dans ce qui s’appelait auparavant le Centre de traitement de Southdown, ou Institut Southdown, situé à Aurora, en Ontario, selon le document.

L’établissement, maintenant appelé Southdown, a depuis déménagé à Holland Landing, en Ontario. Selon son site web, il fournit un traitement de santé mentale de 14 semaines à des membres du clergé et à d’autres personnes impliquées dans l’Église. Il offre également un programme de soins continus pour ceux qui ont reçu un traitement en milieu hospitalier, ainsi que des services psychologiques ambulatoires et des évaluations cliniques complètes.

Une porte-parole de Southdown a refusé de répondre aux questions sur ce rapport.

Le père Hoehl

Le père John S. Hoehl, qui a travaillé dans plusieurs écoles catholiques de 1964 à 1988 – lorsqu’il a été démis de ses fonctions sacerdotales – figurait parmi les membres du clergé hospitalisés à Southdown.

Il a été traité à l’établissement pendant environ six mois à partir de mai 1986, indique le rapport.

«Lors de son traitement à Southdown, le directeur a informé le diocèse que John S. Hoehl avait reconnu avoir été impliqué sexuellement avec plusieurs élèves lorsqu’il était directeur à Quigley (en Pennsylvanie)», ajoute le document. «Au terme de son traitement, Southdown a fourni au diocèse une évaluation selon laquelle John S. Hoehl était, en fait, un pédophile.»

Peu de temps après, le père Hoehl a été nommé consultant en éducation, indique le rapport.

Le père Connor

Un autre prêtre qui a été traité à Southdown est le père John P. Connor, arrêté en 1984 pour avoir agressé sexuellement un adolescent de 14 ans alors qu’il travaillait comme professeur de théologie et entraîneur de golf dans une école privée, selon le document.

L’affaire n’a jamais fait l’objet d’un procès. Le diocèse est intervenu et a conclu un accord dans lequel le prêtre a admis avoir commis des agressions, et qui prévoyait «effacer le dossier de son arrestation pourvu qu’il ne soit pas arrêté de nouveau dans un délai d’un an».

«Les documents de Southdown indiquaient qu’à cause du problème de John P. Connor avec l’alcool, il avait une »préférence sexuelle pour les jeunes adolescents«», affirme le rapport. «Ils ont spécifiquement prévenu de ne pas donner à John P. Connor des fonctions de responsabilité envers des adolescents, comme une situation d’enseignement.»

Moins d’un an plus tard, il a reçu un «ministère sans restriction» dans une nouvelle église, selon le rapport.

Le père Barletta

Michael G. Barletta, qui a admis avoir agressé plus de 25 enfants et jeunes hommes de 1975 à 1994, s’est également rendu à Southdown, où il a été soigné pendant certains mois de 1994 et de 1995, bien que le diocèse l’ait déclaré en congé sabbatique.

«Après 1994, il y a des rapports et des documents qui ont prouvé que Michael G. Barletta était autorisé à continuer à servir les fidèles dans le diocèse d’Érié», indique le rapport.

Le rapport du grand jury a également soutenu que deux adolescents non identifiés auraient été agressés sexuellement par Michael G. Barletta dans une chambre d’hôtel durant une période où ils étaient en retraite avec le prêtre à Toronto. Le document indique qu’il avait nié toute inconduite sexuelle avec les deux jeunes, mais a admis avoir passé des vacances avec eux au Canada.

Le père Wolk

Un autre prêtre – le père Robert Wolk -, qui a finalement plaidé coupable à quatre chefs d’accusation de «relations sexuelles déviantes involontaires» et de corruption de mineurs, a également fait l’objet d’une enquête pour des incidents qui se seraient produits au Canada.

Selon le plus récent rapport annuel publié sur le site web de Southdown, un peu plus de la moitié des 50 personnes traitées en 2016-2017 ont reçu un diagnostic de troubles de l’humeur et 6 pour cent ont reçu un diagnostic de trouble sexuel. Le site indique que les troubles de l’humeur incluent la schizophrénie, la dépression et l’anxiété, mais ne donne pas de définition des troubles sexuels.

Le rapport annuel de Southdown précise que la plupart des patients ont reçu plus d’un diagnostic.

Un porte-parole de l’archidiocèse de Toronto a déclaré qu’il envoyait périodiquement des prêtres dans l’établissement «pour gérer divers problèmes, par exemple la dépression, l’alcool ou d’autres situations similaires, ainsi que pour des évaluations psychologiques si nécessaire».

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Les sanglants crucifiements du Vendredi Saint aux Philippines


Dans toute religion, il y a des pratiques extrémistes. Même si l’Église n’approuve pas ce genre de tradition aux Philippines pour le vendredi saint. Des gens croient que de s’auto flageller permet de guérir des gens ou encore que leurs péchés seront absolue grâce à se faire crucifier
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Les sanglants crucifiements du Vendredi Saint aux Philippines

 

Des clous de huit centimètres traversent les mains... (NOEL CELIS, AFP)

Des clous de huit centimètres traversent les mains et les pieds des pénitents. Ces derniers ne passent toutefois que quelques minutes ainsi crucifiés, leur poids étant supporté par une petite marche fixée à la croix, avant d’être redescendus et de recevoir des soins.

NOEL CELIS, AFP

JOSHUA MELVIN
Agence France-Presse
SAN FERNANDO 

Certains fidèles se font crucifier, des pénitents se fouettent le dos jusqu’au sang : les Philippins ont célébré le Vendredi Saint avec les traditionnelles manifestations sanglantes qui illustrent la ferveur religieuse de l’archipel en grande partie catholique.

Chaque année, des villages célèbrent deux jours avant Pâques le souvenir de l’un des moments les plus emblématiques de la Passion, au grand dam de l’Eglise, qui ne valide pas ces pratiques.

Vendredi, huit personnes ont été clouées sur des croix dans des villages au nord de Manille. Ces scènes attirent des milliers de fidèles et de touristes dans une atmosphère quasi carnavalesque qui est aussi du pain béni pour les affaires.

Des clous de huit centimètres traversent les mains et les pieds des pénitents. Ces derniers ne passent toutefois que quelques minutes ainsi crucifiés, leur poids étant supporté par une petite marche fixée à la croix, avant d’être redescendus et de recevoir des soins.

Parmi eux, Mary Jane Sazon, 39 ans, seule femme du lot, pour qui c’est le septième crucifiement.

« C’est important pour moi de réaliser ma promesse, depuis que j’ai commencé à faire cela le Seigneur répond à mes prières », dit-elle.

Un autre temps fort est la procession de pénitents torses nus, qui se flagellent le dos jusqu’au sang, devant des spectateurs qui font des égoportraits

« C’est ce qu’on fait lorsqu’un membre de la famille tombe malade », dit Norman Lapuot, 25 ans, tandis qu’il se flagelle avec un fouet à l’extrémité duquel ont été attachés des bâtons de bambou.

Ce fidèle explique que c’est la quatrième fois qu’il participe à la cérémonie. Il est persuadé que c’est ce qui a permis à son grand-père de se remettre d’un accident vasculaire cérébral.

Si la majeure partie des 80 millions de catholiques philippins passent la journée à l’église ou en famille, les dévots qui endurent ces crucifiements le font pour se faire pardonner leurs péchés ou témoigner de leur reconnaissance pour des interventions divines.

L’Église philippine, elle, désapprouve ces pratiques en avançant que Jésus Christ a déjà vécu ces moments pour les hommes et qu’il n’y a aucune raison de les répéter.

« L’Église n’encourage jamais l’autoflagellation et encore moins le crucifiement », déclare à l’AFP le père Roy Bellen, porte-parole de l’archidiocèse de Manille.

« Les sacrifices demandés aux catholiques pendant le carême et la semaine sainte doivent déboucher sur des actions qui viennent en aide aux pauvres et aux nécessiteux ».

Les vendeurs de nourriture et de souvenirs, les chauffeurs de taxi, profitent chaque année de l’affluence.

Près de 80 % des Philippins sont catholiques, héritage du règne colonial espagnol qui s’est achevé à la fin du XIXe siècle.

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Le Saviez-Vous ►Le christianisme est la religion la plus criminelle de l’Histoire


    Si je mets ce billet, ce n’est pas pour calomnier le christianisme, mais simplement pour démontrer que des personnes utilisent leur religion pour des causes qui n’ont pas rapport avec la moralité de fond. C’est l’Histoire, on ne peut pas revenir en arrière, malgré tout des personnes utilisent encore à tort leur religion pour de mauvaises causes, pour de mauvais prétextes, les chrétiens comme les autres
    Nuage

     

    Le christianisme est la religion la plus criminelle de l’Histoire

    Normand Rousseau

    Humaniste

    On fait rarement la liste des crimes commis par le christianisme au cours des 20 derniers siècles. La voici très succincte.

    1. L’antisémitisme. Les évangiles sont antisémites et le christianisme a été antisémite jusqu’au concile Vatican II à la suite de la Shoah. Des milliers de victimes. Durée: 20 siècles.

    2. L’esclavage. Le christianisme s’est appuyé sur la Bible pour justifier et pratiquer l’esclavage jusqu’à la condamnation du pape Grégoire XVI en 1839. Des millions de victimes. Durée: 19 siècles.

    3. Les déicides. Le christianisme a tué tous les dieux des autres religions sur toute la planète. Des millions de victimes. Durée: 20 siècles.

    4. La guerre aux hérétiques. Dès Constantin, l’Église a éliminé tous les soi-disant hérétiques. Des milliers de victimes. Durée: 20 siècles.

    5. Les croisades. Des papes ont lancé les croisades, des agressions contre les musulmans. Des milliers de victimes. Durée: 2 siècles.

    6. Les guerres dites saintes. Le christianisme a fait de soi-disant guerres saintes aux Cathares, aux Albigeois, aux Vaudois. Des milliers de victimes. Durée: 1 siècle.

    7. L’Inquisition. Des papes ont institué l’Inquisition et la torture. Des dominicains ont été les inquisiteurs. Le christianisme a torturé et brûlé vif des milliers d’innocents. Durée: 6 siècles.

    8. La chasse aux sorcières. Le christianisme a torturé et brûlé vives environ 100 000 femmes. Durée: 2 siècles.

    9. Les guerres de religion. Les catholiques et les protestants se sont entretués par milliers, Durée: 2 siècles.

    10. La Grande Excommunication. Le pape et le patriarche ont excommunié tous les chrétiens de la planète pendant 911 ans. Le pape Paul 6 et le patriarche Athénagoras ont mis fin à cette horreur en 1965. Des millions de victimes. Durée: 9 siècles.

    11. Les deux colonialismes. Des Européens chrétiens sont responsables d’un colonialisme barbare en Amérique et d’un autre en Afrique. Des millions de victimes. Durée: 4 siècles.

    12. Les deux guerres mondiales. Des protestants et des catholiques ont été responsables de ces deux guerres barbares. 60 millions de victimes. Durée: un demi-siècle.

    13. Le massacre des Serbes. En 1941, des Croates catholiques ont exterminé sauvagement 400 000 Serbes orthodoxes.

    14. Le génocide du Rwanda. Des catholiques se sont entretués sauvagement. Un million de victimes. Durée: trois mois.

    15. Les menaces de l’enfer. Le christianisme a terrorisé des millions de chrétiens, surtout des enfants, avec ses menaces de l’enfer. Des millions de victimes. Durée: 20 siècles.

    16. La misogynie. Le christianisme a méprisé et maltraité les femmes. Des millions de victimes. Durée: 20 siècles.

    17. La pédophilie. Des prêtres ont violé des enfants et l’Église a protégé ces prêtres. Des milliers de victimes. Durée: 20 siècles.

    18. La persécution envers les homosexuels. Le christianisme a torturé et tué les homosexuels. Des milliers de victimes. Durée: 20 siècles.

    19. La canonisation d’assassins. Le christianisme a canonisé des centaines d’assassins. Des milliers de victimes. Durée: 20 siècles.

      Les crimes actuels du christianisme

    20. 26 pays chrétiens pratiquent encore l’esclavage, surtout celui des enfants.

    21. L’Église protège toujours des prêtres accusés de pédophilie. Les papes Jean-Paul 2, Benoît 16 et François peuvent être accusés de crime contre l’humanité parce que la pédophilie est reconnue comme telle par l’ONU.

    22. L’interdiction du condom. Des milliers de femmes et d’enfants meurent du sida répandu par cette interdiction.

    23. L’interdiction de la contraception. Des milliers d’enfants sont mis au monde alors que les parents sont incapables de les nourrir, de les soigner, de les faire instruire. Certains d’entre eux finissent esclaves.

      On pourrait encore allonger cette liste déjà suffisamment accablante. Ce sont des faits historiques indiscutables qui sont le prolongement criminel de la Bible.

      http://quebec.huffingtonpost.ca/

      L’Église punit les prêtres accusés d’abus sexuels en les transférant en Amérique Latine


      Ce n’est pas contre la religion, (Il y a des gens qui ne font pas la différence entre  religion (qu’importe la religion) et ceux qui ‘disent l’appliquer)  mais bien contre les hommes qui abusent des enfants et de leur statut. Comme dans toute chose, il y a de bonnes personnes et de mauvaises personnes et que ces dernières sont protégées et pire, ces personnes peuvent même continuer leurs crimes ailleurs ou les lois sont encore moins sévères.
      Nuage

       

      L’Église punit les prêtres accusés d’abus sexuels en les transférant en Amérique Latine

       

      Photos de victimes d'abus sexuels par des prêtres (REUTERS/Dylan Martinez)

      Photos de victimes d’abus sexuels par des prêtres (REUTERS/Dylan Martinez)

      Repéré par Claire Levenson

      Sur place, certains sont soupçonnés de nouveaux abus.

      Dans une longue enquête, le site GlobalPost a suivi les trajectoires de cinq prêtres accusés d’abus sexuels sur des enfants aux États-Unis et en Europe. Plusieurs ont admis les faits, et dans certains cas, ils faisaient l’objet d’enquêtes criminelles, mais plutôt que de les mettre hors de nuire, la hiérarchie de l’Église catholique les a transférés dans des paroisses en Amérique Latine.

      Pour David Clohessy, le porte parole d’un réseau de victimes de prêtres, il s’agit d’une nouvelle stratégie de l’Église pour éviter de se confronter au problème des abus sexuels:

      «Alors que dans les pays développés, la hiérarchie a du mal à continuer de faire travailler les prêtres prédateurs sexuels, les évêques les déplacent de plus en plus vers les pays en voie de développement, où les lois sont moins appliquées, où il y a moins de médias indépendants, et où les prêtres ont plus de pouvoir sur les paroissiens.»

      De nouveaux soupçons d’abus

      Au Paraguay, le journaliste Will Carless a notamment retrouvé le père Carlos Urrutigoity, accusé d’avoir agressé sexuellement des garçons en Pennsylvanie. L’évêque de la ville de Scranton l’avait qualifié de «sérieuse menace pour les jeunes», mais il dirige désormais le diocèse de Ciudad del Este.

      Le père Francisco Montero, accusé d’agression sexuelle sur une fille de 4 ans dans le Minnesota, est désormais prêtre dans des paroisses d’Équateur. Quant au père Paul Madden, après avoir admis une agression sexuelle sur un garçon de 13 ans lors d’un voyage en Irlande dans les années 1970, il exerce désormais dans le diocèse de Chimbote au Pérou.

      Certains de ces prêtres ont de nouveau eu des problèmes avec les autorités. C’est notamment le cas du père Jan Van Dael, qui avait été accusé d’abus sexuels en Belgique, avant de s’installer au Brésil pour fonder un orphelinat. Une enquête vient d’être ouverte contre lui pour abus sexuels au Brésil

      Quant au père Federico Fernandez Baeza, qui avait été poursuivi pour viol au Texas (la famille d’une des victimes a obtenu plus d’un million de dollars en dédommagement de la part du diocèse), il a désormais un poste très haut placé dans une université catholique de Colombie.

      Pas de réponse du Vatican

      Le pape François dit prôner la «tolérance zéro» à l’égard des abus sexuels au sein de l’Église, mais aucun porte-parole du Vatican n’a souhaité parler au journaliste du GlobalPost de ce sujet.

      Pour Peter Sanders qui a été nommé par le pape François pour diriger la commission sur la protection des enfants dans l’Eglise, la tolérance zéro doit s’appliquer à toute l’institution:

      «Les plus gros problèmes sont dans des pays éloignés, en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie. Nous savons que c’est là que de nombreux prêtres fuient pour continuer leurs abus sexuels. C’est un scandale.»

      http://www.slate.fr/

      Un prêtre catholique défend les pédophiles


      Encore une connerie ..!!! Je ne vise pas la religion des catholiques mais bien l’homme qui dit de telle anerie et pourquoi les défends-il de la sorte .. Quelle personne peut justifier que les pédophiles sont des pauvres hommes ? et pourquoi que ce sont les enfants qui seraient des séducteurs alors que c’est le gars qui les entraine a leur perversité
      Nuage

       

      Un prêtre catholique défend les pédophiles

       

      Benedict Groeschel.... (Capture d'écran.)

      Benedict Groeschel.

      CAPTURE D’ÉCRAN.

      La Presse

      La nouvelle a fait réagir. Un prêtre de confession catholique qui a sa propre émission de télévision a affirmé cette semaine, lors d’une entrevue, que les personnes qui abusent sexuellement les enfants sont souvent séduites par les jeunes garçons et ne devraient pas être condamné à la prison lors d’une première sentence.

      Benedict Groeschel, âgé de 79 ans, a également dit que Jerry Sandusky, un ancien entraîneur de football à la Pennsylvania State University sous la gouverne de Joe Paterno, était un «pauvre homme».

      M. Groeschel a dit: «Les gens gardent cette image en mémoire, celle d’un psychopathe. Mais ce n’est pas le cas. Imaginons un homme qui vit une grave dépression et un jeune homme qui se tient près de lui. Souvent, le jeune homme de 14, 16 ou 18 ans est celui qui est le séducteur.»

      Vous trouverez ici l’article de ABC News (en anglais seulement).

      http://www.lapresse.ca