Détectez les séismes avec votre smartphone


Une application  gratuite pour détecter les séismes, plus cette application est télécharger plus, il est possible que les smartphones détectent les tremblements de terre a plus de 4.5.
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Détectez les séismes avec votre smartphone

Fabrice Auclert

Journaliste


MyShake. C’est le nom de cette application pour Android et iOS qui utilise l’accéléromètre présent dans les smartphones pour détecter les mouvements de la terre. 

Les catastrophes naturelles entraînent non seulement des dégâts conséquents, mais ils se traduisent encore aujourd’hui par les pertes de nombreuses vies humaines. Bien souvent le nombre de victimes est largement réduit si la population est avertie à temps. C’est le cas avec les tremblements de terre, et certains pays, comme la Corée du Sud, le Mexique, le Japon et Taïwan, ont déjà mis en place des réseaux de sismographes et un système d’alerte qui prévient la population avant le début du séisme. Cependant, les systèmes actuels sont limités et chers à mettre en place.

Un groupe de chercheurs de l’université de Californie à Berkeley a eu une idée pour créer un système à moindres frais. Plutôt que de déployer un matériel coûteux, ils ont décidé de tirer profit d’une technologie qui couvre déjà tout le territoire : les smartphones.

Gratuite, l’application fonctionne en arrière-plan et enregistre jour et nuit les secousses de la terre. © UC Berkeley

Bientôt intégrée directement dans iOS ou Android ?

Les chercheurs ont publié une application appelée MyShake, qui fonctionne sur iOS et Android, et qui utilise l’accéléromètre des appareils mobiles pour détecter les séismes. Grâce à une étude sur 100 volontaires, ils ont appris à différencier les mouvements dus à une utilisation normale des secousses d’un tremblement de terre. L’application peut détecter un séisme de magnitude 4,5 ou plus, auquel cas il envoie une alerte.

Bien entendu, une alerte d’un seul appareil ne permet pas de conclure à un séisme. Cependant, en 2016 un tremblement de terre de magnitude 5,2 a été détecté par plus de 200 smartphones. À ce jour, plus de 320.000 personnes ont installé l’application à travers le monde. Les chercheurs imaginent intégrer la technologie dans une application populaire ou directement au sein du système d’exploitation mobile pour créer rapidement un réseau mondial capable de détecter les séismes et envoyer une alerte partout où les humains sont présents.

https://www.futura-sciences.com/

L’état de catastrophe naturelle décrété pour Venise


Venise est décrétée catastrophe naturelle avec les inondations causées par les marées hautes. Le record est en 1966 avec 1,94 m d’eau, cette année est en 2e avec 1.13 m, mais il semble qu’on annonce des vents forts et des averses …
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L’état de catastrophe naturelle décrété pour Venise


L’état de catastrophe naturelle décrété pour VenisePhoto: Filippo Monteforte/AFPUn commerce de la place Saint-Marc inondé à Venise

Le gouvernement italien a décrété jeudi l’état d’urgence pour catastrophe naturelle à Venise, dévastée deux jours plus tôt par la pire marée haute en 53 ans, l’eau ayant envahi les églises, commerces, musées et hôtels de ce joyau classé au patrimoine mondial.

Chaises, bottes, parapluies et objets souvenirs exposés en plein soleil: les 50 000 habitants du centre historique ont profité d’une embellie pour tenter de faire sécher leurs logements ou le contenu de leurs échoppes.

La marée haute du matin a été plutôt modérée, atteignant 1,13 m (à 10h30), loin des 1,87 cm de mardi soir, le deuxième record historique derrière celui du 4 novembre 1966 (1,94 m).

Grâce à ce répit, l’humeur était plutôt joyeuse, les touristes s’amusant à sillonner l’immense place Saint-Marc chaussés de bottes en plastique, orange, bleues ou jaunes, ou à siroter un café les pieds dans l’eau dans les quelques bars ou restaurants ouverts.

La Sérénissime, le surnom de cette cité lacustre, reçoit 36 millions de touristes par an dont 90% d’étrangers.

Pour Manon Gaudre, voir Venise sous les eaux est «une expérience unique» mais cette touriste française de 22 ans s’inquiète des «dégâts aux monuments et aux personnes».

La Basilique Saint-Marc ou le théâtre de la Fenice ont en effet été la proie d’une eau boueuse et salée venue de la lagune.

Des dégâts énormes à Venise

Cornelia Litschauer, une Autrichienne de 28 ans, son chihuahua blanc Pablo dans les bras, juge aussi la situation «étrange: les touristes prennent des photos mais la ville souffre».

Des hôtels dont la Locanda Al Leon commencent à déplorer des annulations pour les fêtes de fin d’année.

Dans la séquence de marées actuelle, le dernier pic périlleux, d’1,45 m, est attendu pour vendredi vers 11h20, selon le Centre de surveillance de la mairie. De fortes averses et du vent sont en outre annoncés sur toute la région.

Après une réunion de crise à la préfecture, le premier ministre Giuseppe Conte a parcouru les canaux qui ont rendu Venise célèbre dans le monde entier, pour réconforter les commerçants, nombreux à garder portes closes, comme les musées et les écoles.

«Le cabinet a approuvé l’état d’urgence à Venise», a-t-il écrit en début de soirée M. Conte dans un tweet, ajoutant que 20 millions d’euros allaient être débloqués «pour les interventions les plus urgentes».

Cette procédure, souvent utilisée dans une Italie régulièrement frappée par des désastres (séismes, éruptions volcaniques et glissements de terrain), dote le gouvernement de «pouvoirs et moyens exceptionnels».

Les dégâts, d’ores et déjà chiffrés à «des centaines de millions d’euros», devront donner lieu à des évaluations précises, mais, en attendant, le décret permettra «immédiatement» de verser «5000 euros pour les particuliers et 20 000 euros pour les commerces», selon M. Conte.

«Une aventure»

Un comité spécial sur Venise se réunira aussi le 26 novembre pour «discuter de la gestion générale des problèmes», dont un plan de contournement du centre historique pour les paquebots de croisière et le méga-projet Moïse de digues censées protéger la lagune.

Les responsables politiques affluent au chevet de la Sérénissime: l’ancien premier ministre Silvio Berlusconi y est allé jeudi, l’ex-ministre de l’Intérieur de la Ligue (extrême droite) Matteo Salvini devrait s’y déplacer vendredi.

Indifférents à ce ballet, les Vénitiens se réorganisent.

«Je vis de ça, que puis-je faire d’autre ?», explique à l’AFP Stefano Gabbanotto, 54 ans, en ouvrant près du Palais Ducal son kiosque à journaux.

Pour Jay Wong, 34 ans, et sa fiancée Sabrina Lee, leur voyage à Venise s’est transformé en «une aventure» et «une bonne expérience».

Multipliant photos et vidéos de sa promise en robe de mariée, Jay souligne que «le séjour était planifié depuis longtemps, nous n’aurions pas pu le changer».

Comme la plupart des visiteurs, ils sont peu au fait du risque d’engloutissement que court la Cité des Doges, bâtie sur 118 îles et îlots en majorité artificiels et sur pilotis. La ville s’est enfoncée de 30 cm dans la mer Adriatique en un siècle.

Moïse pour sauver Venise?

Pour le ministre de l’Environnement Sergio Costa, la fragilité de Venise s’est accrue en raison de la «tropicalisation» de la météo, avec d’intenses précipitations et de fortes rafales de vent, liée au réchauffement climatique.

Les écologistes montrent aussi du doigt l’expansion du grand port industriel de Marghera, situé en face sur la terre ferme, et le défilé des bateaux de croisière géants.

L’«acqua alta» record de mardi a submergé 80% de la cité lacustre, provoqué la mort d’un septuagénaire, renversé des gondoles et des vaporetti (autobus fluviaux) et entraîné plus de 400 interventions des pompiers.

De nombreux responsables dont le maire de Venise Luigi Brugnaro ont appelé à mettre en service «au plus vite» le projet de digues MOSE (Moïse en italien, acronyme de Module expérimental électromécanique).

«Cet ouvrage d’ingénierie va finir par coûter six milliards d’euros, il faut le faire fonctionner», a estimé la ministre des Infrastructures Paola de Micheli.

Lancé en 2003 et retardé par des malfaçons et des enquêtes pour corruption, Moïse s’appuie sur 78 digues flottantes qui se relèvent et barrent l’accès à la lagune en cas de montée de l’Adriatique jusqu’à trois mètres de hauteur.

 De récents tests ont permis d’identifier des vibrations et de la rouille mais, selon M. Conte, il est «prêt à 93%» et sera « achevé au printemps 2021 ».

https://journalmetro.com/

Les enfants plus vulnérables aux changements climatiques


Depuis des années, nous entendons parler des changements climatiques, et maintenant, à tous les jours les changements climatiques, la pollution, la hausse des températures sont énoncés. Nous sommes en plein dans ces changements, le pire, ce sont nos enfants et petits enfants qui en souffriront le plus par notre inaction. Et pour atténuer les conséquences, nous n’avançons pas plus vite, pire il y a trop de monde qui s’en foute carrément.
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Les enfants plus vulnérables aux changements climatiques

PHOTO TED ALJIBE, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Les risques des changements climatiques pour la santé des enfants incluent les maladies causées par la chaleur, particulièrement chez les nourrissons et les jeunes enfants ; la diminution de la qualité de l’air causée notamment par la pollution, les incendies de forêt, le pollen ; les sources d’eau contaminées ; et les infections par les insectes, les tiques et les rongeurs.

(Ottawa) Les cliniciens qui s’occupent d’enfants doivent connaître les infections émergentes et les problèmes de santé liés aux changements climatiques, de même que les effets des catastrophes naturelles sur la santé mentale, prévient un nouveau document d’orientation de la Société canadienne de pédiatrie (SCP).

L’auteure principale du document, la pédiatre albertaine Irena Buka, a expliqué par voie de communiqué que les enfants sont plus vulnérables que les adultes aux effets des changements climatiques, à cause de leur corps en croissance et en développement.

Elle ajoute que « les changements climatiques représentent la plus grave menace mondiale du siècle pour la santé, et les enfants y sont particulièrement vulnérables ».

Le Canada est déjà frappé par des événements associés aux changements climatiques, comme les vagues de chaleur, les incendies de forêt et les inondations, et on prévoit qu’ils gagneront en fréquence au cours des prochaines années, rappelle la SCP.

Le document d’orientation prévient que « les pédiatres et autres dispensateurs de soins doivent s’attendre à des infections émergentes, à des problèmes de santé causés par l’accroissement de la pollution atmosphérique et à des troubles de santé mentale liés aux catastrophes naturelles. Les changements climatiques auront une incidence à la fois sur l’état de santé individuel et sur celui de l’ensemble de la population ».

Les risques des changements climatiques pour la santé des enfants incluent les maladies causées par la chaleur, particulièrement chez les nourrissons et les jeunes enfants ; la diminution de la qualité de l’air causée notamment par la pollution, les incendies de forêt, le pollen ; les sources d’eau contaminées ; et les infections par les insectes, les tiques et les rongeurs.

On évoque aussi les effets immédiats des catastrophes naturelles et des phénomènes météorologiques extrêmes, de même que leurs effets indirects tels que les personnes déplacées, les troubles de santé mentale attribuables au stress, la perte de proches, de possessions ou d’habitudes quotidiennes et la suspension des soins ou de l’école.

Le document ajoute qu’un « nombre disproportionné d’enfants peut être touché par ces changements liés au climat, et par d’autres encore, parce qu’ils métabolisent plus d’eau, d’air et d’aliments par kilogramme de masse corporelle que les adultes. Leur croissance rapide, le caractère évolutif de leur développement et de leur physiologie et leur exposition aux risques pendant un parcours de vie plus long se conjuguent pour accroître leurs vulnérabilités aux dangers environnementaux. Les enfants défavorisés sur le plan socioéconomique, les enfants autochtones et ceux qui sont atteints d’une maladie chronique sont particulièrement à risque ».

Les cliniciens sont invités à donner des conseils préventifs sur la hausse des températures, les événements climatiques et la prévention des infections et à s’assurer de comprendre et de surveiller les prévisions en matière de concentrations de pollen, de qualité de l’air et d’indice UV.

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L’intelligence artificielle pour mieux se préparer aux inondations


Avec les inondations que nous avons encore cette année, l’intelligence artificielle pourrait devenir un outil pour mieux gérer les situations et donner des informations importantes pour ne plus construire ou c’est inondable.
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L’intelligence artificielle pour mieux se préparer aux inondations

 

Un homme marche dans l'eau

Un homme marche dans une rue inondée à Rigaud, au Québec. Photo: La Presse canadienne / Graham Hughes

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Pour aider à mieux gérer des catastrophes comme les inondations, des chercheurs se tournent vers l’intelligence artificielle, car cet outil excelle dans la gestion des situations impliquant une grande quantité de variables, ce qui est le cas des catastrophes naturelles.

L’intelligence artificielle est appelée à prendre une plus grande place dans la gestion des épisodes d’inondation, les algorithmes étant capables de faire émerger des tendances à partir de données fournies par des satellites ou encore des cartes, a expliqué le journaliste scientifique Manuguerra-Gagné à RDI Matin lundi.

À terme, ils seront en mesure de prévoir avec précision le niveau d’eau qui sera atteint selon les quartiers, par exemple. Ils pourront contribuer à mieux identifier les zones constructibles afin d’éviter de construire des maisons sur des terrains à risque.

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Réchauffement climatique: des signaux toujours plus criants


Ceux qui ne croient pas au changement climatique qu’ils sortent de leur trou et observent un temps soit peu pour constater que l’environnement change à tous les points de vue
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Réchauffement climatique: des signaux toujours plus criants

 

Les concentrations des trois principaux gaz à effet... (Photo Martin Meissner, archives Associated Press)

Les concentrations des trois principaux gaz à effet de serre (GES) – dioxyde de carbone (CO2), méthane et protoxyde d’azote – ont atteint de nouveaux sommets en 2017 et poursuivent sur leur lancée cette année.

PHOTO MARTIN MEISSNER, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

 

CATHERINE HOURS
Agence France-Presse
Paris

Concentration record en CO2, chaleurs extrêmes, recul des glaces : les derniers indicateurs du réchauffement montrent l’accélération d’un phénomène planétaire et disent l’urgence à agir, alors que s’ouvre dimanche la 24e conférence de l’ONU sur les changements climatiques.

Records de chaleur

2018 devrait être la 4e année la plus chaude recensée depuis le début des relevés, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Le XXIe siècle compte ainsi 17 des 18 années records depuis le lancement des mesures en 1880, et ces 4 dernières années forment le top-4.

Cet été l’Europe, l’ouest américain et l’Asie ont été frappés par des vagues de chaleur,  accompagnées de températures records au Portugal, en Scandinavie, en Corée du sud, au Japon ou en Algérie, et parfois de gigantesques incendies.

En Arctique, l’étendue de la banquise est restée largement en-dessous de sa moyenne historique tout au long de l’année, et a connu un minimum record en janvier-février.

Les glaciers de la planète ont aussi rétréci pour la 38e année consécutive. En Suède, le sommet sud du Kebnekaise a perdu son statut de point culminant du pays, en raison de températures exceptionnelles cet été.

Trop-plein de CO2

Les concentrations des trois principaux gaz à effet de serre (GES) – dioxyde de carbone (CO2), méthane et protoxyde d’azote – ont atteint de nouveaux sommets en 2017 et poursuivent sur leur lancée cette année.

La teneur en CO2, gaz qui persiste pendant des siècles, était de 405,5 parties par million (ppm) en 2017. La dernière fois que la Terre a connu une telle concentration, c’était il y a 3 à 5 millions d’années, note l’OMM : la température était de 2 à 3 °C plus élevée et le niveau de la mer supérieur de 10 à 20 m au niveau actuel.

Le méthane, lié notamment aux énergies fossiles et activités agricoles, voit ses émissions augmenter fortement depuis 10 ans. Sa concentration a franchi en 2017 un niveau équivalent à 257 % de celui relevé avant la Révolution industrielle.

+3,3 mm par an

La hausse du niveau des océans, variable selon les régions, a été en moyenne de 20 cm au XXe siècle. Aujourd’hui il monte d’environ 3,3 mm par an, et le phénomène semble s’accélérer : le niveau des mers a crû 25 à 30 % plus vite entre 2004 et 2015, par rapport à 1993-2004.

La fonte de la calotte du Groenland explique en partie cette augmentation. Mais l’Antarctique pourrait en devenir le principal moteur : avant 2012, le continent blanc perdait 76 milliards de tonnes de glace par an ; depuis, ce chiffre a bondi à 219 milliards.

Par la suite, si le réchauffement restait à +1,5 °C par rapport à l’ère pré-industrielle, le niveau des mers gagnerait 26 à 77 cm d’ici à 2100, selon les projections des experts du GIEC. A +2 °C, ce sera 10 cm de plus, soit jusqu’à 10 millions de personnes supplémentaires affectées.

Surtout, à long terme, la calotte Antarctique et/ou celle du Groenland pourraient se trouver déstabilisées vers +1,5/2 °C, faisant grimper les mers de plusieurs mètres sur les siècles ou millénaires à venir.

Catastrophes naturelles

Le réchauffement favorise déjà des phénomènes extrêmes, en particulier des sécheresses, des canicules.

Au 20 novembre, l’OMM recensait 70 cyclones tropicaux pour 2018 (pour une moyenne annuelle historique de 53).

Selon certaines études, le nombre de sécheresses, incendies, inondations et ouragans liés au dérèglement a doublé depuis 1990.

Selon le GIEC, +2 °C signifierait des vagues de chaleur dans la plupart des régions, et les précipitations liées aux cyclones gagneront en intensité.

Déjà, les pertes liées aux cataclysmes naturels atteignent 520 milliards de dollars par an et font basculer chaque année 26 millions de personnes dans la pauvreté, a calculé la Banque mondiale.

Espèces affectées

Sur les 8688 espèces menacées ou quasi-menacées, environ 20 % sont déjà affectées par le réchauffement, du fait des températures et phénomènes extrêmes.

Les récifs coralliens ont subi ces dernières années un blanchissement massif et une mortalité record. Les scientifiques relèvent aussi une multiplication des épisodes de canicule océanique, menaçant les écosystèmes marins.

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Sixième extinction : la nature aura besoin de 5 millions d’années pour s’en remettre


Quand c’est la nature qui se charge d’éteindre des races elles permet a d’autres d’évoluer, mais malheureusement la prochaine extinction sera des animaux sauvage qui compte que 2 % de tous les mammifères dans le monde et si on préserve dès maintenant, la nature aura besoin de 3 à 5 millions d’années pour se relever et plus si l’on tard a préserver les animaux en danger
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Sixième extinction : la nature aura besoin de 5 millions d’années pour s’en remettre

mammifères extinction nature

Le Smilodon, une espèce de mammifère carnivore éteinte il y a environ 10 000 ans. Crédits : Wikipedia

par Brice Louvet

Les mammifères sauvages déclinent si rapidement que l’évolution ne peut suivre le rythme pour compenser. Si l’on continue à ce même rythme, quelques-unes des espèces de mammifères les plus emblématiques vont disparaître au cours des cinq prochaines décennies. La nature, elle, aura besoin de 3 à 5 millions d’années pour s’en remettre.

Cinq extinctions de masse ont été enregistrées au cours des dernières 450 millions d’années, toutes majoritairement entraînées par des catastrophes naturelles et des bouleversements climatiques. La nature – du moins jusqu’à présent – s’en remet toujours. Si la vie semble coriace, elle a en revanche besoin de temps pour évoluer. Mais alors que la sixième extinction des espèces est en train de s’installer, à mettre au crédit de l’Homme, la nature pourrait avoir besoin d’encore plus de temps que par le passé. Selon une équipe de chercheurs de l’Université d’Aarhus (Danemark) et de l’Université de Göteborg (Suède), et si les moyens sont mis en œuvre pour, il faudra aux mammifères 5 à 7 millions d’années pour se rétablir à des nivaux similaires à ceux observés avant l’émergence de l’Homme moderne. Les détails de l’étude sont rapportés dans la revue PNAS.

Les chercheurs ont ici combiné les données disponibles sur les mammifères actuels avec celles concernant les espèces éteintes après la propagation d’Homo Sapiens dans le monde. Il en ressort que du point de vue de l’évolution, toutes les espèces n’ont pas la même importance. En disparaissant, certaines espèces ont emporté avec elles des millions d’années d’histoire évolutive.

« Les grands mammifères – la mégafaune – tels que les paresseux géants et les tigres à dents de sabre, qui se sont éteints il y a environ 10 000 ans, étaient extrêmement évolutifs. Comme ils avaient peu de parents proches, leurs extinctions ont entraîné la coupe de branches entières de l’arbre évolutif de la Terre, explique le paléontologue Matt Davis, de l’Université d’Aarhus et principal auteur de l’étude. Il existe des centaines d’espèces de musaraignes, ce qui leur permet de résister à quelques extinctions. Il n’y avait en revanche que quatre espèces de tigres à dents de sabre, et elles ont toutes disparu ».

Mais si régénérer des millions d’années d’histoire évolutive prend du temps, le déséquilibre s’installe d’autant plus lorsque les disparitions s’enchaînent à un rythme toujours plus effréné. La nature se rétablit à un rythme croissant. Les extinctions, si elles sont provoquées, peuvent être accélérées. Ainsi, si vous dépensez plus que ce que vous gagnez, vous vous retrouvez très vite à manquer d’argent. Ici, nous manquons de mammifères, et ceux-ci auront du mal à s’en remettre. En s’appuyant sur des simulations évolutives, et en prenant en compte un scénario positif dans lequel les humains ont cessé de détruire les espèces animales, il faudra 3 à 5 millions d’années aux mammifères pour se diversifier suffisamment afin de régénérer les branches de l’arbre évolutif qu’ils devraient perdre au cours des 50 prochaines années. Et il faudra plus de 5 millions d’années à la nature pour régénérer ce qui a été perdu au cours de ces 10 000 dernières années.

« Même si nous vivions autrefois dans un monde de géants, nous vivons maintenant dans un monde de plus en plus pauvre en mammifères sauvages. Les quelques géants restants, tels que les rhinocéros et les éléphants, sont menacés d’être éliminés très rapidement », poursuit Jens-Christian Svenning, de l’Université d’Aarhus et co-auteur de l’étude.

Rappelons que les mammifères sauvages ne représentent aujourd’hui que 2 % de tous les mammifères dans le monde. Les 98 % restants sont élevés pour nourrir les Hommes.

En hiérarchisant les espèces les “plus importantes” sur le plan évolutif, cette étude pourrait néanmoins permettre de prioriser les efforts de conservation. Sauver des espèces sur le point de s’éteindre, c’est du temps de gagné pour la nature.

Source

https://sciencepost.fr/

Le réchauffement a multiplié par quatre les catastrophes depuis les années 70


Les changements climatiques vont amener beaucoup de gens a quitter leur territoire, pour fuir la famine. Cela risque d’amener plus de conflits. Fermeture de frontières, …
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Le réchauffement a multiplié par quatre les catastrophes depuis les années 70

 

Agence France-Presse
Genève

Le réchauffement de la planète a multiplié par quatre le nombre des catastrophes liées au climat depuis les années 70, ont relevé vendredi des humanitaires, mettant en garde contre les risques de famine et d’exode.

« Dans les années 70, nous faisions face à 80 à 100 chocs et dangers graves liés au climat » chaque année, alors que leur nombre a été d’environ 400 l’an dernier, « quatre fois plus », a déclaré Elhadj As Sy, le secrétaire général de la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR),  dans un entretien avec l’AFP.

S’exprimant en marge d’une conférence à Genève sur l’impact humanitaire du réchauffement, d’autres humanitaires ont également mis en garde contre les déplacements de population et les risques de famine si l’on ne parvient pas à limiter la hausse des températures.

Selon Gernot Laganda, chargé des risques de catastrophes liées au climat au Programme alimentaire mondial (PAM), si la planète se réchauffe de 2 °C, il y aura 189 millions de personnes supplémentaires en insécurité alimentaire. « Et si c’est 4 °C, on dépassera le milliard », a-t-il ajouté.

Il a rappelé que les chocs climatiques provoquaient déjà le déplacement de quelque 22,5 millions de personnes chaque année et avaient un impact important sur les pays en conflit, comme la Syrie, le Yémen et la République démocratique du Congo, en créant un phénomène de « cocotte-minute ».

Dans un rapport publié lundi, les experts du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ont appelé à des transformations « rapides » et « sans précédent » si l’on veut limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C.

M. Sy a toutefois estimé qu’il n’y avait « pas de fatalité à ce que ces chocs climatiques deviennent des catastrophes », appelant à une meilleure préparation grâce à « des alertes précoces ».

https://www.lapresse.ca/

Un million de déplacés après les inondations du Kerala en Inde


Plus de 1 million de personnes secourues et 50 000 habitations détruites par les inondations en Inde. Alors que d’autres n’ont pas voulu quitter leur demeure, mais demandaient des vivres et de l’eau potable. Il y a plus de 400 morte suite à cette catastrophe qui coûtera à l’Inde des milliards de dollars.
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Un million de déplacés après les inondations du Kerala en Inde

 

Des Indiens sur le parvis du temple Aluva Shiva inondé.

Le barrage Idamalayar a cédé après les fortes pluies inondant de grands secteurs près de la ville de Kochi. Photo : Reuters/Sivaram V

 

Plus de 1 million de personnes sont hébergées dans des camps de déplacés au Kerala, ont annoncé mardi les autorités de cet État du sud de l’Inde frappé par une violente mousson qui a fait plus de 410 morts.

AGENCE FRANCE-PRESSE

La décrue progressive des eaux, rendue possible par l’affaiblissement de la pluie ces derniers jours, met au jour peu à peu l’ampleur des destructions dans cette région luxuriante prisée des touristes en saison sèche.

Le nombre de personnes dans les camps humanitaires est maintenant de 1 028 000, et elles sont réparties dans plus de 3000 lieux d’accueil improvisés, a indiqué à l’AFP un porte-parole du gouvernement communiste local.Les secouristes ont découvert lundi six nouveaux corps, portant le bilan des victimes à plus de 410 morts depuis le début de la mousson au mois de juin, l’une des plus violentes en un siècle. La saison de la mousson s’achève en septembre.À Chengannur, l’une des villes les plus touchées, une eau encore haute d’une soixantaine de centimètres continuait de bloquer de nombreuses routes, a constaté une équipe de l’AFP. La pluie perdurait, mais d’une intensité moindre que la semaine précédente.

D’après l’armée indienne à pied d’œuvre sur le terrain, plusieurs milliers de personnes se trouvent toujours dans des habitations inondées de la ville.

Selon un haut gradé qui n’a pas souhaité être nommé, la plupart de ces résidents ne souhaitent pas être secourus, mais seulement recevoir des vivres et de l’eau potable.

« Par le passé, il n’y avait jamais plus de 30 centimètres d’eau. Les gens ne sont pas habitués à ça », a déclaré à l’AFP K.G Pillai, un habitant qui a vu l’eau monter jusqu’à près de 2,5 mètres dans sa maison, qu’ont pu atteindre mardi une équipe de secouristes.

Des dizaines de milliers de personnes du district de Chengannur, l’un des plus concernés, dépendent des soupes populaires. Dans le Kerala, les largages de provisions et médicaments aux zones sinistrées par hélicoptères, et même par drones, se poursuivent. Grâce au réseau de canaux intérieurs qui quadrille le Kerala, des pêcheurs se sont joints avec leurs bateaux aux opérations de secours. Des bénévoles ont installé des soupes populaires.

Le gouvernement du Kerala a remercié les pêcheurs pour leur engagement et a annoncé un dédommagement de 3000 roupies (56 $ CA) par jour de travail pour chaque bateau.

« État de catastrophe naturelle »

Des sinistrés sont installés dans un campement à Cochin, dans le Kerala. Ils sont assis sur des chaises ou couchés sur des couvertures posées sur le sol.

Plus d’un million de sinistrés sont répartis dans près de 3000 lieux d’accueil improvisés, selon un porte-parole du gouvernement du Kerala. Photo : Associated Press/Aijaz Rahi

La contamination des sources d’eau potable et les mauvaises conditions d’hygiène font craindre aux autorités l’apparition de maladies. Des agents sanitaires vont être déployés dans les villages pour suivre la situation.

Les précipitations auraient causé la destruction de 50 000 habitations, a rapporté Shashi Tharoor, député du Kerala et ancien haut responsable de l’ONU.


Le coût des inondations est évalué à 3 milliards de dollars par les autorités locales, un montant appelé à s’alourdir à mesure que la décrue mettra au jour l’ampleur des dévastations.

Les gens ont perdu la plupart ou l’intégralité de leurs biens ces derniers jours. Un haut gradé qui a parlé à l’AFP

Face à cette situation, le gouvernement indien a décrété « l’état de catastrophe naturelle ».

Le sort du Kerala a suscité l’émotion aussi bien en Inde qu’à l’international. Des millions d’euros de donations ont été récoltés pour financer les opérations humanitaires et la reconstruction.

Le Kerala a reçu plus de 1 million de touristes l’année dernière, selon les statistiques officielles.

Les autorités ont fermé l’aéroport international de Kochi jusqu’au 26 août au moins.

 

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Les ouragans jouent un rôle dans la sélection naturelle de lézards


Les catastrophes naturelles peuvent être une cause des sélections naturelles. Vous vous souvenez des ouragans Maria, Irma et Harvey qui ont ravagé les îles des Caraïbes et aussi la Floride, Louisiane, et le Texas ? Les lézards qui avaient 3 choses en communs ont pu survivre malgré la force du vent destructeur.
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Les ouragans jouent un rôle dans la sélection naturelle de lézards

Un lézard Anolis carolinensis.

Cette espèce de lézard est physiquement mieux adaptée à survivre à une catastrophe naturelle comme un ouragan, ont observé des chercheurs. Photo : iStock

Une espèce peut-elle évoluer afin de mieux survivre aux vents destructeurs des ouragans? C’est ce que croient des chercheurs après avoir constaté que certains membres d’une espèce de petits lézards des Caraïbes, dotés de caractéristiques précises, sont sortis indemnes du passage d’ouragans.

Un texte de Renaud Manuguerra-Gagné

Jusqu’à maintenant, on croyait les ouragans trop destructeurs pour jouer un rôle dans la sélection naturelle. On estimait que la survie des animaux au passage de catastrophes naturelles était due non pas à l’adaptation, mais surtout à la chance. Un petit lézard des Caraïbes pourrait toutefois changer cette perception.

Et c’est par hasard qu’une équipe de chercheurs français et américains a fait cette découverte. Les résultats de leurs travaux ont été publiés dans la revue Nature.

À l’été 2017, l’équipe se trouvait aux îles Turks et Caicos, dans les Caraïbes, afin d’étudier des populations de lézards anolis, de petits lézards qui vivent dans les arbres.

Leur passage dans les îles Turks et Caicos coïncidait avec une saison des ouragans particulièrement active. D’août à octobre, plusieurs tempêtes, dont le trio Maria, Irma et Harvey, ont ravagé les îles des Caraïbes en plus de frapper la Louisiane, le Texas et la Floride.

Ces ouragans ont forcé les chercheurs à suspendre leurs travaux, mais après quelques mois, ils ont pu retourner sur place pour constater l’impact des tempêtes sur leurs lézards.

Bien que les vents de 200 km/h aient complètement changé le paysage, certains de leurs lézards étaient toujours là, bien vivants. Les chercheurs ont capturé une centaine de survivants pour les étudier.

Les lézards qui ont survécu avaient trois points en commun : de très longs doigts et des pattes arrière plus courtes, et les adultes étaient plus petits que la moyenne enregistrée avant l’ouragan.

Pour les chercheurs, il était possible que ces caractéristiques aient aidé les lézards à s’accrocher et à ne pas être emportés par les vents pendant l’ouragan, contrairement à de plus gros animaux.

Évolution extrême

Une sélection aussi rapide serait une surprise. L’évolution est un procédé extrêmement lent. Pour que la sélection naturelle entraîne une différence chez une espèce, il faut des centaines de milliers d’années, et même là, les différences peuvent être assez subtiles.

Des changements rapides dans l’environnement, tels que ceux provoqués par les changements climatiques, ne laissent pas à ce mécanisme le temps d’agir. Beaucoup d’animaux n’ont pas le temps de s’adapter et disparaissent.

Mais plusieurs animaux ont déjà certaines des qualités nécessaires pour survivre à un brusque changement d’environnement. Ultimement, l’espèce entière évoluera en fonction de ces caractéristiques.

Des lézards dans le vent

Les chercheurs ont par la suite voulu confirmer leur hypothèse en laboratoire.

Un à la fois, ils ont placé les lézards sur un bâton et ont simulé des vents d’ouragan avec une souffleuse à feuilles. En filmant leurs cobayes au ralenti, les chercheurs ont pu observer comment les animaux réagissaient et ont pu déterminer si leurs attributs favorisaient leur survie lors de grands vents.

Par précaution, un filet avait aussi été installé pour empêcher les lézards de se blesser.

Les chercheurs ont pu constater que, soumis à de forts vents, les animaux se plaçaient face aux rafales et s’accrochaient solidement au bâton. Mais, chez certains lézards, les pattes arrière perdaient ensuite leur emprise et ils étaient alors emportés par le vent.

Les scientifiques ont remarqué que les lézards qui avaient de plus longs doigts et de plus petites pattes arrière parvenaient à s’accrocher de manière beaucoup plus efficace que les autres et pouvaient ainsi résister aux vents.

Si ces traits passent à la génération suivante, on aura alors une preuve de la sélection naturelle par ouragans.

Autre exemple

Ce ne serait toutefois pas la première fois que des événements soudains entraînent des changements chez les animaux. Un cas classique, observé à Londres au 18e siècle, a été causé par de la suie provenant de la combustion du charbon.

Les cendres qui recouvraient les arbres ont favorisé la survie de papillons gris qui s’y camouflaient mieux que des papillons blancs, lesquels étaient plus facilement repérables par les oiseaux.

Les chercheurs franco-américains estiment que leurs travaux pourront aider les spécialistes à prévoir comment des écosystèmes pourraient s’adapter aux conditions extrêmes qui semblent de plus en plus fréquentes.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1115917/ouragans-selection-naturelle-lezards-caraibes

Les coûts des catastrophes naturelles à des sommets en 2017


Dans un film de catastrophe, « Le jour d’après » lors d’une conférence sur l’environnement, le délégué du gouvernement américain sur l’environnement rouspétait des coûts occasionné pour lutter contre le réchauffement climatique, et le spécialiste a répondu .. Ne rien faire coûtera encore plus cher. Et cela est vrai dans notre réalité de partout sur terre
Nuage

 

Les coûts des catastrophes naturelles à des sommets en 2017

 

Les trois ouragans Harvey, Irma et Maria, qui se sont abattus sur... (AP)

Les trois ouragans Harvey, Irma et Maria, qui se sont abattus sur les Caraïbes et le sud-est des États-Unis, ont à eux seuls engendré 217 milliards de pertes économiques et 92 milliards de frais pour les assureurs, ce qui en fait la deuxième année la plus coûteuse pour les assureurs depuis les ouragans Katrina, Rita et Wilma en 2005.

Agence France-Presse
Zurich

Les coûts des catastrophes naturelles ont atteint des sommets en 2017, selon une étude publiée mardi par le réassureur suisse Swiss Re, qui a revu ses premières estimations à la hausse.

L’an passé, les pertes économiques engendrées par les catastrophes naturelles et les désastres causés par l’homme (tels que les incendies ou les accidents industriels) se sont montées à 337 milliards de dollars US (273 milliards d’euros), a indiqué le groupe suisse dans son étude intitulée Sigma.

Les pertes prises en charge par les assureurs après les catastrophes ont, elles, atteint 144 milliards de dollars, ce qui en fait l’année la plus coûteuse pour les assureurs enregistrée jusqu’à aujourd’hui, a précisé Swiss Re qui réalise une évaluation chaque année depuis 50 ans.

En décembre, le groupe suisse avait déjà procédé à une première estimation, devisant les pertes économiques à 306 milliards de dollars et les coûts pour les assureurs à 136 milliards, mais avait d’emblée précisé que ces premiers chiffres étaient appelés à être ajustés compte de l’ampleur des dégâts liés en particulier aux ouragans.

Les trois ouragans Harvey, Irma et Maria, qui se sont abattus sur les Caraïbes et le sud-est des États-Unis, ont à eux seuls engendré 217 milliards de pertes économiques et 92 milliards de frais pour les assureurs, ce qui en fait la deuxième année la plus coûteuse pour les assureurs depuis les ouragans Katrina, Rita et Wilma en 2005.

Les coûts des incendies ont quant eux atteint un niveau record pour les assureurs qui ont couvert 14 milliards de dollars de demandes de dédommagements, entre les feux qui se sont propopagés en Californie, mais aussi au Canada et au Portugal.

L’année 2017 a été marquée par de nombreuses catastrophes naturelles, entre les ouragans et les incendies auxquels se sont ajoutés le cyclone Debbie en Australie et les tremblements de terre au Mexique.

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