Le Saviez-Vous ► 10 Prémonitions étranges


La prémonition que je qualifie plutôt d’intuition, nous le vivons probablement tous un jour où l’autre. Ëtre ouvert à des signes du temps, des gens, et bien des choses, peuvent donner des prédictions qui pourraient arriver. Pour ma part, il m’est arrivé 3 fois dans une même période de vie, mais pas l’action de mes intuitions .. Tous les 3 se sont présentés en rêve. Le premier, il s’est réalité quelques mois après le rêve, le deuxième, en même temps que mon rêve, et le 3 ème des années après et les 3 rêves ont été confirmés par des personnes que j’avais raconté ce que j’avais vue avant les faits
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10 Prémonitions étranges

par Vanessa Hauguel

Il nous arrive tous, à un moment ou à un autre, d’avoir un « pressentiment » que quelque chose va se produire et d’avoir raison. S’il s’agit sans doute du fruit du hasard, il est parfois difficile de croire à une simple coïncidence.

Qu’il s’agisse de hasard ou non, voici 10 histoires de prémonitions surprenantes, montrant qu’il vaut parfois mieux écouter son 6e sens….

Le vol 191

premonition crash avion vol American 191

C’est en 1970 que David Booth, harcelé par un cauchemar récurrent, contacte l’administration fédérale de l’aviation (FAA) pour les prévenir d’un accident à venir. Dans ce rêve, Booth est témoin d’un avion de ligne s’écrasant sur la piste de décollage pour ensuite prendre feu. Étrangement, le jour de la dernière récurrence de son affreux cauchemar, un avion de l’American Airlines, le vol 191, s’écrase de façon similaire juste après son décollage. Malheureusement, la totalité des 273 passagers meurent dans l’accident.

Barrett Naylor et le World Trade Center

premonition tour jumelle World trade center

Selon les dires de Barrett Naylor, il aurait échappé à non pas une, mais bien aux deux attaques du World Trade Center. Au matin du 26 février 1993, il eut l’étrange sentiment qu’il ne devait pas rentrer au travail ce jour-là et évita ainsi l’attaque à la bombe. Huit ans plus tard, Naylor ressentit une prémonition similaire qui lui sauva la vie, encore une fois…

L’étrange toile de Reeva Steenkamp

toile Reeva Steenkamp prémonitions

Tuée en 2013 par son mari, le célèbre athlète sud-africain Oscar Pistorius, Reeva Steenkamp aurait peut-être pu prévenir sa propre mort. Selon sa mère, alors qu’elle n’était qu’âgée de 14 ans, Reeva aurait peint une toile la dépeignant en ange aux côtés d’une échelle menant au paradis. En arrière-plan, on y verrait aussi un sombre personnage armé d’un fusil. Coïncidence ou prémonition, les parallèles entre son œuvre et les circonstances de sa mort font froid dans le dos.

L’écrasement de l’avion du groupe Lynyrd Skynyrd

groupe rock Lynyrd Skynyrd prémonition

Le 20 octobre 1977, le groupe rock Lynyrd Skynyrd s’écrase dans un accident d’avion. Bien que certains membres survivent à l’écrasement, six personnes y perdent la vie, incluant le chanteur Ronnie Van Zant. Jo Jo Billingsley, une chanteuse de soutien pour le groupe, raconte avoir rêvé à l’accident le jour précédent…

Winston Churchill

winston churchill prémonition

Churchill, le premier ministre du Royaume-Uni durant la Seconde Guerre mondiale, aurait eu des prémonitions. On raconte qu’un jour, à l’heure du repas, un pressentiment l’envahit et il ordonna aux employés de la cuisine de se mettre à l’abri; quelques instants plus tard, la cuisine fut bombardée.

La prémonition de Julia Grant

Ulysse  S Grant prémonitions

Il semblerait que la femme du célèbre général Ulysses S. Grant était dotée de pouvoirs prémonitoires. Julia et son mari devaient être assis aux côtés du président Lincoln lors de son assassinat au théâtre. C’est en fait Julia, qui affectée par un terrible pressentiment, demanda à son mari qu’ils retournent à la maison. Sans son intervention, le général serait certainement décédé, puisque l’assassin, John Wilkes Booth, souhaitait aussi sa mort.

Martin Luther King Jr.

Martin Luther  King salut la foule  prémonition

Certains prétendent que le célèbre militant des droits civiques aurait senti sa fin arriver. Il aurait fait plusieurs commentaires dans les jours précédant sa mort, prévenant notamment son entourage qu’il ne serait pas toujours là pour lutter. Était-ce une prémonition? Lui seul pourrait nous éclairer sur le sujet.

Joe Meek et Buddy Holly

producteur joe meek prémonition

Le producteur de musique britannique Joe Meek était obsédé par l’occulte. Un jour, lors d’une de ses lectures de tarot, il lut dans les cartes la date de la mort du chanteur Buddy Holly. Incroyablement, Meek aurait vu juste puisque Holly mourût dans un crash d’avion le 3 février de l’année suivante, à la date exacte dictée par les cartes.

Eryl Mai Jones

eryl mai jones prémonitions éboulement

Selon sa mère, il semblerait que quelques jours avant sa mort, Eryl Mai Jones eut un rêve prémonitoire. Dans cette sinistre vision, elle aurait vu son école disparaitre sous une énorme masse noire. Malheureusement, sa prémonition s’est avérée vraie puisque le 21 octobre 1966, l’éboulement d’une colline de charbon déferla sur la ville d’Aberfan, au pays de Galles. Eryl et 143 autres personnes, majoritairement des enfants, perdirent la vie ce jour-là.

Le petit Baraa’

gaza bombardement prémonition

Par un matin de 2009, lors de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza, le petit Baraa’ Abd al Rahman Badawi se réveilla en sanglots. Il était persuadé que son père était décédé et sa mère ne put le consoler. Malheureusement, les peurs du petit Baraa’ furent confirmées lorsque, quelques heures plus tard, la famille Badawi apprit la triste nouvelle; le père du garçon ainsi que son oncle avaient été tués dans un bombardement de l’armée israélienne.

http://www.canald.com/

Écrasement : A320 La 2e boîte noire confirme une action volontaire du copilote


S’il y avait encore quelques doutes, la deuxième boîte noire vient confirmer que le copilote avait volontairement plongé l’avion sur les montagnes des Alpes françaises
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Écrasement A320

La 2e boîte noire confirme une action volontaire du copilote

 

La 2e boîte noire confirme une action volontaire du copilote

Crédit photo : Archives Agence France-Presse

La deuxième boîte noire

L’analyse de la deuxième boîte noire de l’A320 de la Germanwings qui s’est écrasé dans les Alpes françaises confirme l’action volontaire du copilote seul dans le cockpit pour faire descendre l’appareil, selon les enquêteurs.

«Une première lecture» de la boîte noire retrouvée jeudi «fait apparaître que le pilote présent dans le cockpit a utilisé le pilote automatique pour engager l’avion en descente vers une altitude de 100 pieds, puis, à plusieurs reprises au cours de la descente, le pilote a modifié le réglage du pilote automatique pour augmenter la vitesse de l’avion en descente», indique dans un communiqué le Bureau français d’enquêtes et d’analyses (BEA) à qui elle a été transmise.

http://tvanouvelles.ca/

«Une porte de cockpit qui ne s’ouvrira jamais»: l’article prophétique d’un pilote néerlandais, deux mois avant le crash de Germanwings


Je pense que les pilotes de ligne sont  les mieux placés pour évaluer  la sécurité dans un cockpit et un de ces pilotes avait prédit qu’un éventuel problème pourrait survenir avec la sécurité renfoncée du cockpit. Il arrive toujours après des accidents que la sécurité est revue ou amélioré et malheureusement, il est souvent trop tard pour des victimes. Air Canada et West ont annoncé suite au crash aux Alpes Française, que dorénavant il y aurait toujours 2 membres de l’équipage dans le cockpit. Mais dans le fond, peut-on tout prévoir ! Peut-on être vraiment être totalement sécuritaire ?
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«Une porte de cockpit qui ne s’ouvrira jamais»: l’article prophétique d’un pilote néerlandais, deux mois avant le crash de Germanwings

 

Dans le cockpit d'un A321. REUTERS/Albert Gea.

Dans le cockpit d’un A321. REUTERS/Albert Gea.

Il s’appelle Jan Cocheret, a 35 ans d’expérience comme pilote de ligne et vole aujourd’hui pour la prestigieuse compagnie Emirates. Chroniqueur pour le site d’aviation Luchtvaartnieuws («AviationNews»), ce Néerlandais avait écrit il y a deux mois un article qu’il a finalement trouvé trop anxiogène et choisi de ne publier que dans une revue papier plus confidentielle, Piloot en Vliegtuig («Pilote et avion»). Ce qu’il écrivait (repéré notamment par France 3-Nord-Pas-de-Calais) résonne aujourd’hui prophétiquement à la lumière du scénario retenu par les enquêteurs dans le cadre de l’enquête sur le crash de l’A320 de Germanwings:

«Grâce au système ultra-sécurisé de fermeture de porte, il n’est plus si difficile pour un pilote de prendre le pouvoir dans le cockpit et de laisser son collègue dehors. Il suffit d’attendre qu’il ou elle aille aux toilettes et il ne pourra plus jamais ouvrir la porte. Certes, il existe un moyen de rentrer sans intervention du cockpit [grâce à un code, ndlr], mais le pilote aux commandes peut désactiver cette option et ne laisser à son collègue d’autre choix que d’aller s’asseoir parmi les passagers et d’attendre de voir ce que le futur lui réserve.»

Jan Cocheret s’inquiétait de cette possibilité, citant l’exemple d’un pilote d’Ethiopian Airlines qui avait suivi ce scénario pour détourner un avion vers Genève, et rappelant que dans le passé plusieurs pilotes avaient volontairement fait s’écraser leur avion.Citant l’exemple de la spationaute américaine Lisa Nowak (qui avait tenté d’enlever la petite amie de son ex-compagnon) pour rappeler que même des professionnels surentraînés peuvent être pris d’un coup de folie, il concluait:

«Parfois, je me demande sérieusement qui est assis à côté de moi dans le cockpit. […] Et s’il se passait quelque chose de terrible dans sa vie, qu’il ne peut plus supporter? J’espère ne jamais avoir à découvrir, en rentrant des toilettes, que je fais face à une porte de cockpit qui ne s’ouvrira jamais.»

A travers ce texte, Cocheret entendait critiquer le système de sécurisation introduit après le 11-Septembre, quand les pirates de l’air avaient contraint des personnels de cabine à leur ouvrir le cockpit:

«Dès le début, je l’ai trouvé très mauvais. Si quelqu’un a une sale idée derrière la tête et veut rentrer, la porte va empêcher cela, mais qu’en sera-t-il quand le problème est déjà à l’intérieur du cockpit?», explique-t-il à la radiotélévision NOS.

Aujourd’hui, il se prononce donc pour l’obligation pour un membre d’équipage de rentrer dans le cockpit quand un pilote en sort, ou encore, dans une interview à la radio BNR, pour l’instauration d’un deuxième code d’urgence au cas où il y aurait un problème à l’intérieur du cockpit.

http://www.slate.fr/

Vol 4U9525: pourquoi entraîner dans la mort des dizaines d’inconnus?


Des questions se posent sur la cause de l’décrassement d’avion qui semble que le co-pilote aurait lui-même fait le geste de non-retour en détruisant l’avion avec ses passagers. Le terrorisme ? Il ne semble pas d’indice dans ce sens, dans d’autres médias, on parle qu’il était suivi en psychiatrie et que le médecin l’aurait déclaré et qu’il aurait même été en arrêt de travail, alors comment se fait-il qu’il était aux commandes d’un Airbus ? Serait-ce des troubles de personnalité, de psychose ? Pour le moment en tout cas, ce ne sont que des hypothèses
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Vol 4U9525: pourquoi entraîner dans la mort des dizaines d’inconnus?

 

Qu'est-ce qui a bien pu pousser un pilote... (PHOTO EMMANUEL FOUDROT, REUTERS)

Qu’est-ce qui a bien pu pousser un pilote en début de carrière à entraîner 149 personnes dans la mort?

PHOTO EMMANUEL FOUDROT, REUTERS

MARIE-CLAUDE MALBOEUF
La Presse

Qu’est-ce qui a bien pu pousser un pilote en début de carrière à entraîner 149 personnes dans la mort? Vengeance, dépression, psychose? À ce stade, aucune hypothèse n’est totalement écartée, mais une chose est certaine: le geste d’Andreas Lubitz trahit un «dysfonctionnement majeur» et «contient énormément de rage», disent les experts en santé mentale. Voici leurs pistes.

SUICIDE ÉLARGI

Lorsqu’une personne se suicide et tue ses proches pour leur épargner une vie qu’elle voit en noir – et la souffrance liée à sa disparition -, on parle parfois de «suicide altruiste». Elle peut aussi agir par colère, par exemple parce qu’elle refuse qu’un ex-conjoint lui survive et connaisse le bonheur, illustre le Dr Gilles Chamberland, directeur des services professionnels à l’Institut Philippe-Pinel de Montréal.

«Mais amener avec soi autant d’étrangers avec qui on n’a aucun lien, il n’y a pas de raison logique de faire ça, affirme le psychiatre. Dans ce cas-ci, ça ressemble plus à l’homicide de 150 personnes.»

TROUBLE DE PERSONNALITÉ

«Il n’est pas impossible que le pilote ait eu des volontés de mort liées à des événements ou des gens de sa vie et soit centré sur lui, narcissique au point de faire fi des autres», estime toutefois Alain Mercier, psychologue au programme des troubles anxieux et de l’humeur de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal.

Il est quand même peu probable qu’il ait agi par pur sadisme.

«Les vrais psychopathes antisociaux peuvent prendre plaisir à voir les autres souffrir, à faire parler d’eux – un peu comme Magnotta -, mais ils ne sacrifieront pas leur vie pour ça», précise le Dr Chamberland.

TUERIE DE MASSE

À la manière des tueurs de masse, qui retournent leur arme contre eux après leur carnage, Andreas Lubitz a peut-être décidé de se venger de quelque chose, quitte à en mourir. Des écoles, des bureaux et des centres commerciaux ont été le théâtre de pareilles fusillades, sans que leurs auteurs invoquent de causes politiques.

«Ces personnes se voient comme des justicières, par un raisonnement qui semble cohérent à leurs yeux», expose Alain Mercier.

PSYCHOSE

Autre possibilité: un épisode psychotique.

«Le pilote pourrait avoir vécu une perte de contact avec la réalité et, dans un délire, s’être donné pour mission d’éliminer des gens en s’éliminant lui-même», avance le psychologue.

ATTENTAT-SUICIDE

Comme les pilotes qui ont percuté le World Trade Center en 2001 ou comme les kamikazes qui se font exploser en public, Lubitz pourrait avoir eu des motivations terroristes. Hier, les enquêteurs n’avaient toutefois recueilli aucun indice permettant de le croire.

http://www.lapresse.ca/

CRASH DE L’AIRBUS A320 Il y avait «volonté de détruire» l’avion, selon le procureur


Les révélations de la boite noire abord du crash de l’aribus A320, les enquêteurs comprennent mieux ce qui s’est passé. La cause de cette catastrophe aérienne est surprenante et bien loin de ce que nous pouvions nous attendre. La cause, un acte volontaire, un suicide du copilote entrainant avec lui le reste de l’équipage et passagers, mais qui ne serait pas relier au terrorisme
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CRASH DE L’AIRBUS A320

Il y avait «volonté de détruire» l’avion, selon le procureur

 

L'avion de Germanwings qui s'est écrasé.

Photo: Giorgio Parolini Agence France-PresseL’avion de Germanwings qui s’est écrasé.

Marignane, France — Le copilote de l’Airbus A320 de la compagnie allemande Germanwings, seul aux commandes, a «volontairement permis la chute de l’avion» et avait vraisemblablement «la volonté de détruire» l’appareil, a affirmé jeudi le procureur français en charge de l’enquête judiciaire, en écartant à ce stade un attentat terroriste.

Andreas Lubitz, 28 ans, de nationalité allemande, «a volontairement permis la chute de l’avion», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Marignane (sud) en présentant les premiers résultats de l’analyse de la boîte noire de l’appareil ayant enregistré les sons dans le cockpit.

Le procureur, Brice Robin, a souligné cependant que le copilote n’était «pas répertorié comme terroriste», et que «rien ne permet de dire qu’il s’agit d’un attentat terroriste»à ce stade.

Seul aux commandes

«Pendant les vingt premières minutes», on entend «un échange courtois et même enjoué» entre le pilote et le copilote. Puis «le commandant de bord prépare le briefing pour l’atterrissage à Düsseldorf [Allemagne]» et on entend le copilote répondre de façon «laconique», a raconté le magistrat, se basant sur les enregistrements.

Le commandant de bord demande ensuite au copilote de prendre les commandes et on entend le bruit d’un siège qui recule. Après la sortie du pilote, le copilote se trouvait«seul aux commandes» dans la cabine de pilotage jusqu’au moment du crash, a précisé M. Robin.

«Par une abstention volontaire, il a refusé d’ouvrir la porte de la cabine au commandant de bord», a poursuivi le procureur.

«Il n’avait aucune raison d’empêcher le commandant de bord de revenir dans la cabine de pilotage», a insisté M. Robin, selon qui «on entend plusieurs appels du commandant de bord pour demander l’accès à la cabine de pilotage, mais aucune réponse de la part du copilote».

Seul dans la cabine, le copilote a «actionné le bouton commandant la perte d’altitude pour une raison que nous ignorons totalement mais qui peut s’analyser comme une volonté de détruire cet avion», a précisé le procureur.

Il a souligné que le copilote «avait la capacité et était apte à conduire l’avion». «Il travaillait depuis quelques mois seulement et avait une centaine d’heures sur cet appareil», a précisé M. Robin.

Il a enfin indiqué que la mort mardi des 150 victimes du vol, principalement allemandes et espagnoles, avait été «instantanée».

«Nous n’entendons des cris qu’à la fin, dans les toutes dernières minutes», a-t-il dit.

Pas d’indice d’un contexte terroriste

À Berlin, le ministre allemand de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a assuré jeudi qu’il n’y avait «pas d’indice d’un contexte terroriste» chez le copilote soupçonné d’avoir volontairement précipité l’Airbus A320 de Germawings contre la montagne dans les Alpes françaises.

«Concernant le copilote, en l’état actuel des connaissances, après le recoupement des informations dont nous disposons sur lui en tant que personne, il n’y a pas de contexte terroriste», a déclaré le ministre, confirmant des informations du procureur français chargé duy dossier, lors d’un point-presse à Berlin.

Rajoy «bouleversé»

Par ailleurs, le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy s’est dit «bouleversé» par les révélations de l’enquête sur l’Airbus A320 de la compagnie Germanwings.

«Bouleversé par les dernières informations des enquêteurs. De nouveau, notre affection émue aux familles», a écrit Mariano Rajoy sur son compte Twitter, après l’annonce que le copilote a volontairement précipité l’avion contre la montagne.

http://www.ledevoir.com/

L’identification des corps après un crash, un processus très codifié


Un avion s’est écrasé dans les Alpes qui a fait 150 victimes, les plus touchées sont des Allemands et des Espagnols, sans compter deux bébés et des adolescents qui revenaient d’un échange scolaire. Maintenant, il faut retrouver les victimes dans une grande zone difficile d’accès. La tâche ne sera pas facile vue qu’on dit qu’aucune victime ne sera retrouvée en entier.
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L’identification des corps après un crash, un processus très codifié

 

Francis Pellier/AFP

La dangerosité du site où s’est écrasé l’avion complique le travail de récupération des corps.

150 personnes se trouvaient à bord de l’A320 qui s’est écrasé dans les Alpes mardi. L’existence de tout survivant ayant été écartée, l’heure est désormais à l’identification des corps.

Les images des débris de l’A320 de Germanwings, éparpillés sur plus d’un hectare à flanc de montagne, laissent présager de l’ampleur du travail qui attend les médecins légistes. L’identification des corps est pourtant un impératif pour rendre les dépouilles aux familles, qui pourront ainsi entamer leur travail de deuil, et recenser officiellement les victimes. Elle répond à un protocole précis, appliqué à la plupart des accidents de grande ampleur (bus, train…).

Dans un premier temps, le site est quadrillé de façon méthodique pour relever tous les corps ou fragments de corps. Leur localisation est enregistrée précisément, et ces restes humains sont ensuite conditionnés et entreposés dans une sorte de morgue temporaire avant d’être transférés aux médecins légistes. Voilà pour la théorie.

Dans le cas présent, le terrain extrêmement escarpé où reposent les restes de l’avion rend cette première étape particulièrement difficile. Les débris humains (aucun corps n’aurait été retrouvé entier) sont éparpillés sur un hectare et demi de terrain, dont des à-pics sur lesquels il n’est possible de se déplacer qu’en cordée. Sans compter le froid, qui complique ces conditions de travail dantesques. L’intervention a donc été confiée à des militaires issus de pelotons de gendarmerie de haute montagne, qui ont entamé le travail de repérage des fragments de corps. Ceux-ci sont pour l’instant laissés sur place afin de permettre une reconstitution en 3D de la scène de la catastrophe. Les experts ont d’ores et déjà annoncé qu’il faudrait plusieurs semaines pour venir à bout de cette phase de travail.

Recueillir des indices

De leur côté, les enquêteurs auront pour mission de recueillir des informations sur les victimes afin de faciliter leur identification. Le questionnement des familles permet d’accumuler des éléments dits «ante mortem»: particularités physiques des défunts (taille, pointure, tatouage, couleur des yeux et des cheveux, port d’une prothèse…), radios dentaires ou matériel génétique exploitable, comme une brosse à cheveux ou à dents. Mais là encore, la tâche s’annonce ardue, car les passagers représentent pas moins de 15 nationalités différentes.

Le travail de recoupement des informations par les médecins légistes commence alors.

«Les indices sur l’aspect physique des gens permettent de réaliser un premier tri, explique le Pr Valéry Hédouin, chef du service de médecine légale au CHRU de Lille. Mais dans le cas présent, on imagine que cela va difficilement être possible, vu l’état des dépouilles».

La deuxième étape consiste donc à s’appuyer sur le dossier dentaire, quand il a pu être récupéré.

«Les dents sont très solides, et l’intervention d’un dentiste va sculpter la dent de façon unique, qui permettra d’identifier de façon très sûre un individu si l’on dispose de radios», poursuit le Pr Hédouin.

«Une question de dignité»

Des analyses ADN sont également réalisées pour identifier des fragments de corps ne présentant aucun indice. Les techniques de plus en plus performantes en la matière ont accru leur importance dans le travail des légistes.

«Des analyses ADN vont vraisemblablement être réalisées sur tout ce qu’ils trouveront. Cela permet de rendre un corps le plus complet possible aux familles, c’est une question de dignité», estime Mariannick Le Gueut, professeur de médecine légale à Rennes.

Les informations ante mortem et postmortem sont mises en regard lors de réunions rassemblant des enquêteurs, un médecin légiste, un biologiste, un odontologiste, voire un magistrat du parquet. L’identification permet de déclarer la mort de la victime, puis de rendre le corps, du moins ce qui a pu lui être attribué, à ses proches.

L’identification des corps peut également faire progresser l’enquête.

«Dans le cadre d’un accident de bus par exemple, l’autopsie du conducteur peut aider à savoir s’il a fait un malaise qui expliquerait le drame, rappelle le Dr François Paysant, du CHU de Grenoble. Retrouver le pilote de l’avion pourrait donc être intéressant. Par ailleurs, ce travail d’identification permet aussi de savoir s’il n’y avait pas à bord une personne qui n’était pas censée s’y trouver».

http://sante.lefigaro.fr/

Crash avion Malaysia Airlines : Il échappe à la mort deux fois


Un homme a échappé deux catastrophes aériennes de la Malaysia Airlines en quelques mois. Quand ce n’est pas ton heure, il y a des événements qui arrivent sans que l’on comprend pourquoi. Ce n’était pas sa destinée de mourir à ces deux avions
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Crash avion Malaysia Airlines : Il échappe à la mort deux fois

Il échappe aux deux crashs de la Malaysia Airlines

Le site du crash du vol MH17 et le miraculé Maarten de Jonge.

Photo : NEWSCOM/SIPA

MIRACULÉ – Un Néerlandais a frôlé la mort à deux reprises en cinq mois. Il aurait dû prendre place dans les deux avions de la Malaysia Airlines qui se sont crashés en Ukraine et dans l’Océan Indien. Mais des échanges de billets de dernière minute lui ont sauvé la vie.

Maarten de Jonge est un cycliste professionnel au palmarès modeste. Mais face à la mort, ce Néerlandais de 29 ans mène deux victoires à rien. Il a en effet la particularité d’avoir échappé aux deux catastrophes aériennes qui ont récemment frappé la Malaysia Airlines : le crash du vol MH17 en Ukraine jeudi, et la disparition du vol MH370, en mars dernier dans l’Océan indien.

La semaine dernière, ce coureur de l’équipe malaisienne Terengganu Cycling Team devait embarquer à bord du Boeing 777 reliant Amsterdam à Kuala Lumpur, afin de rejoindre le continent asiatique où il dispute la grande majorité de ses compétitions. Mais jeudi, au dernier moment, Marteen décide de bouleverser ses plans pour des raisons financières.

« J’ai préféré prendre un vol le dimanche car il était 300 euros moins cher. Il ne restait qu’une seule place… », confie le chanceux dans les médias néerlandais.

Une volte-face salutaire puisque l’avion s’écrasera quelques heures plus tard au milieu d’un champ ukrainien, abattu par un missile probablement tiré par les séparatistes pro russes. Une tragédie dans laquelle 298 passagers et membres d’équipage, dont au moins 189 citoyens néerlandais, ont trouvé la mort.

Il frôle la mort cinq mois plus tôt

Mais ce qui rend l’histoire de ce Néerlandais encore plus incroyable, c’est cet autre revirement de dernière minute qui lui avait déjà sauvé la vie en mars dernier. A l’époque, il devait se rendre à Pékin depuis la capitale malaisienne. Une fois de plus, l’homme échange son billet « afin de prendre un avion 50 minutes plus tôt ». Le vol MH377 décollera donc sans lui et disparaîtra des écrans radars, au large du Vietnam, deux heures plus tard avec 239 personnes à bord. Près de cinq mois plus tard, le mystère reste entier.

Si son histoire passionne les médias de son pays, Maarten de Jonge aimerait aujourd’hui retrouver l’anonymat.

 Dans un communiqué publié sur son site officiel, le cycliste explique ne plus vouloir « répondre aux très nombreuses sollicitations des radios et des télévisions ».

« Ce qui s’est passé est terrible. Par respect pour les victimes et leurs familles, je ne pense pas qu’il soit approprié de s’attarder sur mon histoire », écrit-il.

Et quand on lui demande s’il serait prêt à remonter à bord d’un avion de la Malaysia Airlines, le miraculé répond par l’affirmative :

« J’ai eu de la chance deux fois, pourquoi pas une troisième… »

http://www.meltybuzz.fr

Mont-Blanc. Un alpiniste trouve un trésor sur un glacier


Quelque part sur le Mont-Blanc en Europe eu lieu a diverses reprises des scènes d’horreurs laissant des victimes sur ses glaciers ainsi que tous les bagages éparpillés ici et là. Un alpiniste a trouvé et apporter aux autorités un trésor
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Mont-Blanc. Un alpiniste trouve un trésor sur un glacier

 

Un alpiniste savoyard a découvert un véritable trésor sur un glacier du Mont-Blanc, a indiqué ce jeudi la gendarmerie. Le jeune a trouvé pour plusieurs dizaines de milliers d’euros de pierres précieuses, provenant probablement du crash d’un avion indien, il y a un demi-siècle.

Les pierres précieuses, des émeraudes, saphirs et rubis, ont été remises à la gendarmerie de Bourg-Saint-Maurice début septembre, selon la même source, confirmant une information du Dauphiné Libéré. Un joaillier local a estimé la valeur du trésor entre 130 000 et 246 000 euros.

Le jeune alpiniste, qui a souhaité gardé l’anonymat, les a découvertes alors qu’il évoluait sur le glacier des Bossons. Il a aperçu une boîte métallique qui gisait sur le glacier. A l’intérieur, se trouvaient de petits sachets, dont certains portaient la mention « Made in India », contenant les pierres précieuse.

« C’est un jeune homme honnête qui a très vite compris que ça appartenait à quelqu’un qui était mort sur le glacier« , a expliqué le chef d’escadron Sylvain Merly, commandant de la compagnie de gendarmerie d’Albertville. « Il aurait pu garder ça pour lui mais a préféré les amener à la gendarmerie », a-t-il ajouté.

Malabar Princess

Deux avions indiens se sont écrasés sur le Mont-Blanc en 1950 et 1966. Depuis lors, les alpinistes ont découvert régulièrement des morceaux de carlingue, des valises et mêmes des restes humains. En août 2012, deux alpinistes de Chamonix avaient ainsi découvert une valise diplomatique indienne, contenant des coupures de journaux, qu’ils avaient symboliquement remise aux autorité indiennes.

Dans le cas des pierres précieuses, « si on ne retrouve pas le propriétaire, un article de loi prévoit que ça pourrait revenir au jeune alpiniste », a expliqué le commandant Merly. 

Les pierres ont été mises sous scellés et remises au parquet d’Albertville. Les autorités françaises devraient désormais prendre contact avec les autorités indiennes afin de retrouver le propriétaire ou ses héritiers.

Le 3 novembre 1950, le Malabar Princess, un avion d’Air India, s’est écrasé sur le Mont-Blanc, faisant 58 morts.

Près de 16 ans plus tard, le 24 janvier 1966, le Kangchenjunga, un Boeing 707 de la même compagnie, qui effectuait la liaison Bombay-New York, s’est écrassé au même endroit avec 117 passagers à bord. Aucun d’entre eux n’a survécu. Le glacier des Bossons charrie régulièrement des débris des catastrophes aériennes survenues au Mont-Blanc. En 1975 déjà, le guide de haute montagne Christian Mollier y avait découvert le train d’atterrissage du Malabar Princess lors d’une course en montagne.

http://www.ladepeche.fr