Peut-on annoncer la disparition des billets et de la monnaie?


Peut-on penser qu’un jour l’argent « liquide » sera disparus, je ne pense pas, du moins pas pour l’instant, tant qu’il n’y aurait pas un moyen pour les jeunes enfants de pouvoir aller au dépanneur du coin acheter un litre de lait à la demande d’un adulte. Même, personnellement, j’utilise certaines options pour des transactions via le net, je préfère l’argent en papier
Nuage

 

Peut-on annoncer la disparition des billets et de la monnaie?

 

CANADIAN MONEY STOCKING

PC  |  Par Lauren La Rose,

TORONTO — Maureen Turner se fait encore un devoir de transporter des billets et de la monnaie dans son portefeuille — mais pas pour son usage personnel.

«J’ai quatre enfants, et souvent mes plus âgés vont dire: « J’ai besoin de 20$ pour le dîner à l’école »», a relaté la résidante de Georgetown, en Ontario, mère d’enfants âgés de cinq à 15 ans.

«Je conserve parfois de l’argent dans mon portefeuille uniquement pour mes enfants. Sinon, je n’en vois pas l’utilité», a-t-elle ajouté.

Mme Turner, 42 ans, gestionnaire de comptes et stratège des médias sociaux pour une firme de relations publiques, dépend de sa carte de débit pour ses achats, et utilise aussi des applications mobiles pour des transactions bancaires ou pour aller chercher son café chez Starbucks.

Elle figure parmi un nombre croissant de Canadiens qui estiment qu’il n’y a plus un réel besoin de transporter des billets et de la monnaie.

Un sondage en ligne mené par la firme de gestion de transactions Moneris auprès de 1000 personnes, plus tôt cette année, a montré que 77 pour cent des personnes interrogées préféraient payer avec une carte de débit ou de crédit, et que 65 pour cent disaient ne pratiquement plus rien acheter avec de l’argent liquide.

«Je crois que nous en sommes arrivés à un point où nous n’avons plus besoin d’argent pour la plupart de ce que nous devons faire aujourd’hui», a fait valoir Rob Cameron, chef des produits et du marketing chez Moneris.

«Je crois bien que les gens vont continuer à utiliser de l’argent car c’est ancré dans les pratiques depuis si longtemps. Mais je crois que cette croissance de paiements sans contact (en utilisant des cartes de crédit ou des applications mobiles) mènera vers cette fin des espèces», a affirmé M. Cameron.

Les données de Moneris montrent une augmentation de 162 pour cent des transactions mobiles directes pour le troisième trimestre 2015 par rapport à la même période de l’année précédente.

La plupart des banques canadiennes comptent leurs propres applications mobiles qui permettent certains achats — bien qu’il y ait diverses restrictions sur le type de cartes de crédit pouvant être reliées à des comptes, la compatibilité des systèmes d’exploitation mobiles, et les fournisseurs de sans-fil enregistrés.

L’année 2015 a aussi été marquée par le lancement officiel d’Apple Pay au Canada, bien que ce service compte également certaines restrictions. Il est uniquement compatible avec les versions les plus récentes des iPhone et l’Apple Watch, et fonctionne seulement avec une carte de crédit American Express.

David Wolman a dit avoir fait face à seulement quelques obstacles lorsqu’il a décidé d’abandonner les billets et la monnaie pendant une année, une expérience qu’il relate dans son livre The End of Money.

«À trois ou quatre reprises, je me suis retrouvé complètement au dépourvu», s’est-il remémoré en entrevue depuis Portland, dans l’Oregon.

«En voyage en Inde, j’en suis venu à me dire « Oups, je vais devoir appuyer sur le bouton pause de cette expérience si je veux quitter cet aéroport »», a-t-il relaté, disant croire aux bénéfices pour tous de la technologie mobile sans pour autant militer pour «la mort de l’argent».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Votre carte de crédit est peut-être trop bavarde


Cartes de crédit, cartes de débit sont susceptibles de dévoilées des informations qui pourraient aider les fraudeurs a des vols d’identités avec un téléphone intelligent
Nuage

 

Votre carte de crédit est peut-être trop bavarde

 

Sécurité - Votre carte de crédit est peut-être trop bavarde

Photo AA+W / Fotolia

MONTRÉAL – Sans le savoir, vous avez peut-être dans votre porte-monnaie des cartes de débit et de crédit très bavardes, qui demandent seulement qu’on les interroge pour qu’elles racontent tout ce qu’elles savent. L’émission J.E. de vendredi en fait l’inquiétante démonstration.

Depuis au moins cinq ans, les institutions financières canadiennes émettent des cartes munies d’antennes d’identification par radiofréquence (RFID) – c’est-à-dire munies de petites puces –, ne requérant pas l’utilisation d’un NIP.

Ces cartes servent normalement à régler des transactions de moins de 100$.

Les cartes disposant de cette technologie émettent vos informations lorsqu’elles effleurent un terminal de solution de paiement sans contact («paypass»).

Le hic, c’est qu’un téléphone intelligent peut facilement lire les radiofréquences et recevoir les mêmes informations que le terminal.

Mark-Oliver Hassoun, cofondateur de la compagnie Identity Block, s’est déjà fait voler son identité sur internet. Ces questions intéressent sa compagnie, qui se spécialise dans la protection du vol d’identité par radiofréquence.

Il a démontré à l’équipe de J.E. avec quelle facilité les propriétaires de téléphones intelligents de marque Androïd ou BlackBerry peuvent télécharger une application qui lit les RFID.

«On peut aller chercher toutes les informations personnelles de la personne: son nom, son numéro de carte», a-t-il dit.

L’application transforme le téléphone en terminal dès qu’on l’approche à moins d’un centimètre d’une carte.

Les informations ainsi transmises au téléphone n’incluent toutefois pas les trois chiffres de sécurité se trouvant à l’endos de la carte.

Malgré tout, c’est suffisant pour ouvrir la voie à toutes sortes d’actes frauduleux, selon José Fernandez, professeur en génie informatique et génie logiciel de l’École polytechnique de Montréal.

Ce dernier a indiqué que les informations recueillies peuvent servir à faire des achats sur internet, à fabriquer une fausse carte ou encore à effectuer des transactions à partir d’un téléphone.

Lorsque questionnés à ce sujet, le groupe Desjardins et l’Association des banquiers canadiens ont préféré référer à MasterCard et Visa, qui ont développé la technologie.

En guise de réponse, l’entreprise Visa a publié un communiqué dans lequel elle admet «un faible risque que les données soient interceptées».

L’entreprise a cependant ajouté avoir «élaboré de multiples niveaux de sécurité pour chaque transaction».

Pour sa part, MasterCard n’a toujours pas répondu.

Il y a heureusement une façon simple d’éloigner les malfaiteurs de vos cartes, selon Mark-Oliver Hassoun d’Identity Block.

«Tout ce qu’il faut, c’est une enveloppe de métal conducteur qui va envelopper la carte et arrêter la transmission», a-t-il expliqué.

Sa compagnie a développé une série de produits pour protéger tous les types de documents disposant du RFID, tels que les permis de conduire Plus ou même les futurs passeports canadiens, qui en seront dotés.

http://fr.canoe.ca

Terminal Interact : Un pourboire gonflé au restaurant?


Une autre raison que je n’ai pas de carte de crédit, et que j’en ai pas .. on fini toujours par payer plus ce l’on devrait. Trop d’ouvrage de reconfigurer un appareil lors des changement des taux de taxations .. J’espère que l’argent en papier n’est pas appeler a disparaitre car imaginez comment certains vont se graisser la patte
Nuage

 

Terminal Interact :Un pourboire gonflé au restaurant?

 

 

Par Jean-François Cloutier | Argent

Les clients qui paient leur pourboire au restaurant en utilisant la fonction pourcentage sur le terminal Interac, quand ils paient avec une carte de débit ou de crédit, ne se doutent pas toujours qu’ils paient plus de pourboire que s’ils se bornent à additionner le montant des deux taxes pour déterminer quel montant laisser au serveur.

Cela s’explique par le fait que le pourcentage de 15%, déterminé par défaut sur plusieurs terminaux, est calculé sur un montant qui inclut les deux taxes.

Sur une facture de quelques dollars, la différence est minime, mais sur une facture de plus de 100$, la différence peut rapidement atteindre plusieurs dollars.

Par exemple, sur une facture de 150$ au restaurant (taxes exclues), 15% de pourboire représente 22,50$. Si on inclut les taxes avant de calculer, on versera cependant 25,88$ de pourboire, soit 3,38$ de plus.

Un coup de sonde d’Argent au restaurant Le Club Sandwich, rue Sainte-Catherine Est, suggère que plusieurs clients ignorent qu’ils paient plus de pourboire en choisissant l’option pourboire sur Interac.

« Vous me l’apprenez, je vais changer mes habitudes », ont indiqué des clients.

En entrevue, la porte-parole du Mouvement Desjardins, Nathalie Genest, a expliqué que le choix de calculer le pourboire en incluant les taxes avait été fait de façon délibérée par les fournisseurs de terminaux.

« Ça évite de devoir tout reconfigurer chaque fois que les gouvernements décident de changer le taux de taxation », a-t-elle expliqué.

Les terminaux de Desjardins sont toutefois parmi les seuls à donner le choix au client de déterminer lui-même le pourcentage de pourboire qu’il souhaite donner, d’autres terminaux allouant automatiquement 15%, a précisé Mme Genest.

Le serveur, le grand gagnant

Selon la fiscaliste France Labrie, c’est le serveur qui sort grand gagnant du surcroît de pourboire versé par les clients qui utilisent l’option pourboire électronique.

« C’est légal. Les gens doivent faire leur devoir et vérifier combien ils donnent », a-t-elle mentionné.

Le restaurateur n’est pas nécessairement gagnant, si ce n’est qu’il a des employés plus heureux. Il profite d’un crédit d’impôt, mais il doit aussi verser des déductions à la source plus élevées, a mentionné Mme Labrie.

Le client est sans conteste le grand perdant de cette pratique, lui qui paie plus sans toujours s’en rendre compte.

Pour éviter de payer plus que 15% pour un service qu’on juge ordinaire, Mme Labrie recommande de ne pas hésiter à ajouter 12 ou 13% de pourboire sur les terminaux qui le permettent, de façon à donner le même montant qu’on donnerait si on additionnait simplement les deux taxes.

http://tvanouvelles.ca

Budget fédéral ►Finis les sous noirs


L’ère des sous noirs tire à sa fin, mais ne vous pressez pas pour vous débarrassez de vos sous noirs qui trainent dans le fond de vos tiroirs, dans les tirelires, ou les vides poches, car même après la fin de la distributions des sous noirs dans les banques ils pourront encore être changé
Nuage

 

Budget fédéral ►Finis les sous noirs

 

Finis les sous noirs

Crédit photo : Agence QMI

Les sous noirs seront éliminés

Par Taïeb Moalla | Agence QMI

Ottawa a invoqué dans son budget déposé jeudi des arguments économiques et écologiques pour justifier sa décision de retirer progressivement de la circulation la bonne vieille pièce, dont le coût de production s’élève à 1,6 cent.

Dès le mois prochain, la Monnaie royale canadienne cessera de produire les pièces d’un cent et, dès l’automne, elle arrêtera de les distribuer aux institutions financières. Cela ne signifiera cependant pas la mort automatique du sou noir, puisqu’on pourra malgré tout continuer à l’utiliser «indéfiniment».

«Les pièces d’un cent prennent trop de place sur la commode. Les entreprises qui cherchent à prendre de l’expansion et à créer des emplois y consacrent bien trop de temps», a affirmé le ministre des Finances, James Flaherty, dans son discours du budget.

Pas de hausse des prix

Citant l’exemple de plusieurs pays comme l’Australie et le Brésil, le gouvernement fédéral jure que la disparition de la «pièce de monnaie ayant la plus petite valeur nominale » ne se traduira pas par une hausse des prix à la consommation. «L’effet inflationniste de l’élimination de la pièce d’un cent serait modeste, voire nul», assure-t-on dans les documents budgétaires.

Voulant éviter de légiférer, le gouvernement dit compter sur la bonne foi des commerçants et sur la vigilance des consommateurs.

«On s’attend à ce que les entreprises arrondissent les prix de manière équitable, uniforme et transparente», espère-t-on.

Pour justifier sa mesure, le gouvernement fédéral soutient que la disparition des sous noirs réduira l’utilisation des ressources naturelles et permettra le recyclage du métal contenu dans les pièces existantes.

Ottawa voit également une occasion pour les organismes de bienfaisance de récolter des fonds en organisant des collectes de pièces d’un cent.

Le sou noir en quelques données

– Après la disparition des sous, le prix de vente – après calcul de la taxe fédérale et provinciale – devra être arrondi. Un bien qui vaut 1,02 $ sera payé 1 $. Un autre article, qui coûte 1,03 $, sera réglé à hauteur de 1,05 $.

– Chaque année, le gouvernement fédéral perd 11 millions $ à cause de la mise en circulation des pièces d’un cent. Pour les institutions financières, le coût économique, direct et indirect du maintien de cents était de 150 millions $, en 2006, selon une étude privée.

– Pour les transactions par chèque, carte de débit ou de crédit, il n’y aura aucun changement. La transaction sera réglée au cent près.

– Il sera toujours possible pour les consommateurs de regrouper les pièces d’un cent dans des rouleaux et de les faire échanger dans leurs institutions financières.

– Chaque année, la Monnaie Royale canadienne produit et distribue quelque 7000 tonnes de pièces d’un cent.

http://tvanouvelles.ca

Gatineau ► Un réseau de fraudeurs sévit


Ils sont plusieurs a suivre des personnes vulnérables comme les personnes âgées, ils sont muni qu’un cellulaire et sont organisé a plusieurs pour avoir le NIP et cartes de crédits, ou de débits de leur proie potentielle. C’est vraiment décevant que ce genre de personne qui n’ont aucun scrupule de dévaliser ainsi des personnes .. Si cela se passe a Gatineau, ca peut se passer aussi ailleurs
Nuage

 

Gatineau

Un réseau de fraudeurs sévit

 

Par Doug Hempstead | Agence QMI

Des dizaines de fraudeurs vident des comptes bancaires de personnes âgées peu méfiantes de Gatineau, au Québec.

L’agent Pierre Lanthier de la police de Gatineau a expliqué que c’est dans les stationnements de magasins à grande surface que les voleurs opèrent depuis plus d’un an.

En 2011, plus d’un cas par semaine a été signalé et près de 20 cas ont été répertoriés seulement depuis le début de cette année. Les suspects seraient des gens de Montréal.

En octobre dernier, huit personnes originaires de Roumanie ont été arrêtées (quatre à Montréal et deux à Brossard), lors d’une frappe policière orchestrée par les enquêteurs de la division des crimes économiques après des perquisitions à Montréal et à Brossard.

Le procédé est souvent le même. Un suspect suit une victime, généralement une femme plus âgée, dans un supermarché ou un grand magasin et les regarde magasiner. Lorsque la victime va passer à la caisse et va utiliser sa carte de débit ou de crédit, le suspect filme le numéro d’identification avec l’appareil photo de son téléphone intelligent.

À l’extérieur du magasin, deux complices du premier suspect accostent la victime, et le plus souvent, ils sortent une carte routière et demandent de l’aide. Lorsque la victime est distraite, on lui subtilise sa carte sans qu’elle s’en rende compte.

Selon Pierre Lanthier, les victimes ne courent aucun danger.

« Ils ne sont pas violents, a-t-il dit. Ils sont très polis et ils parlent français. Après avoir obtenu les directions, ils remercient la dame.»

Le policier a ajouté que les suspects sont bien habillés et ont généralement entre 25 et 35 ans.

Une enquête d’un autre corps de police a conduit à l’arrestation de quatre personnes et a permis de savoir que près de 80 personnes seraient impliquées.

«C’est un travail à plein temps pour eux, a déclaré M. Lanthier. Il est difficile de dire combien ils sont.»

Le policier a recommandé aux personnes âgées de faire attention, notamment lorsqu’elles font leurs achats et particulièrement lorsqu’elles composent leur code d’identification personnel (NIP).

http://tvanouvelles.ca