Mourir le «coeur brisé»


Mourir le coeur brisé, souvent employé dans un sens littéraire, mais c’est aussi vrai dans la réalité suite a un deuil. Ce sont les premiers jours qu’une personne est plus a risques a cause de la douleur profonde de la perte d’une être cher
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Mourir le «coeur brisé»

Mourir le «coeur brisé»

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Les risques d’une crise cardiaque ou d’une attaque cérébrale sont grandement accrus après la perte d’un être cher.

Mourir le cœur brisé n’est pas seulement qu’une image littéraire. Les scientifiques confirment que cela est possible. En fait, les risques d’une crise cardiaque ou d’une attaque cérébrale sont augmentés après le décès d’un proche.

L’étude, publiée dans le journal Circulation, a suivi 1985 adultes ayant survécu à une crise cardiaque.

Après le décès d’un être cher, les risques d’un accident cardiovasculaire sont augmentés de 21 % le jour suivant la mauvaise nouvelle, et demeurent six fois plus élevés la première semaine. Ensuite, les risques diminuent au cours du mois.

Les femmes sont les plus touchées par le phénomène. Les veuves représentent 53 % des décès dus à une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral.

« Le personnel soignant et les médecins ainsi que les personnes en deuil elles-mêmes doivent savoir qu’elles courent un plus grand danger de crise cardiaque dans les premiers jours et semaines après avoir appris le décès d’un être cher », précise le cardiologue et épidémiologiste Murray Mittleman.

C’est la première fois qu’une étude se concentre sur les risques cardiovasculaires dans les premiers jours après un deuil.

Le phénomène peut s’expliquer par le fait notamment que les personnes subissent un stress psychologique qui augmente le rythme cardiaque, la tension artérielle et le risque de caillot sanguin. En plus, au début d’un deuil, les gens ont tendance à moins dormir et moins manger.

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Recycler des stimulateurs cardiaques pour sauver la vie des plus démunis


Si ces stimulateurs cardiaques peuvent resservir aux plus démunies c’est une bonne chose de redonner une espérance de vie dans de meilleurs dispositions C’est une belle initiative que des gens prennent leur temps pour s’activé a remettre en état ces petits appareils qui fera boum boum dans un autre coeur
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Recycler des stimulateurs cardiaques pour sauver la vie des plus démunis

Un cardiologue de Montréal recycle, depuis près de 30 ans, de vieux stimulateurs cardiaques pour les offrir à des patients de pays en développement. L’initiative du Dr Raphael Castan a permis de sauver la vie à plus de 1400 personnes au fil des décennies.

Le cardiologue de 77 ans, qui pratique à l’Hôpital Jean-Talon, a envoyé gratuitement des stimulateurs cardiaques en Amérique centrale, dans les Antilles et en Asie.

Les stimulateurs usagés, qui proviennent surtout de cadavres, sont d’abord nettoyés et désinfectés un à un.

« Je vais m’assurer que tout est à off et que les thérapies pour les chocs sont à off . On ne veut surtout pas que l’appareil donne des chocs », explique Marie-Andrée Lupien, technicienne en électrophysiologie à l’Institut de cardiologie de Montréal.

Mme Lupien, qui travaille bénévolement auprès du cardiologue, déprogramme les stimulateurs et vérifie la batterie, qui doit être bonne pour un minimum de 5 ans.

L’Institut de cardiologie de Montréal participe au projet du Dr Castan et assure que les stimulateurs recyclés sont sécuritaires.

« On a l’expertise ici pour vérifier le fonctionnement et s’assurer qu’on envoie des stimulateurs qui fonctionnent bien », précise le Dr Peter Guerra, chef de l’électrophysiologie à l’Institut de cardiologie de Montréal.

D’après un reportage de Michel Rochon

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Boissons énergiques Deux jeunes victimes d’un arrêt cardiaque


Les boissons énergissantes encore à la une … Faut dire qu’avec les consommations abusives de plus en plus de jeunes ont vues les effets néfastes qui auraient pu connaitre une fin mortelle ..  La vente devraient être plus difficile surtout envers les enfants
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Boissons énergiques

Deux jeunes victimes d’un arrêt cardiaque

Deux jeunes victimes d'un arrêt cardiaque

Crédit photo : archives TVA Nouvelles

Par Johanne Roy | Journal de Montréal

L’abus de boissons énergisantes n’est pas sans risque pour la santé. Parlez-en aux urgentologues qui voient de plus en plus de jeunes aux prises avec des palpitations ou d’autres symptômes graves.

«Maintenant, lorsqu’un jeune patient se présente à l’urgence avec des palpitations, on lui demande automatiquement s’il a pris des boissons énergisantes», signale le Dr Paul Poirier, cardiologue à L’IUCPQ (hôpital Laval). Les conséquences peuvent être dramatiques dans certains cas.

Dans la région de Montréal, un jeune a fait un accident vasculaire cérébral (AVC) durant un «rave», à cause de la consommation excessive de boissons énergisantes. Il est en fauteuil roulant aujourd’hui, rapporte le Dr Poirier.

Au cours des deux dernières années, deux jeunes de la région de Québec l’ont échappé belle, après avoir été victimes d’un arrêt cardiaque à la suite, suppose-t-on, de la consommation abusive de boissons énergisantes.

Ces jeunes du secondaire ont heureusement pu être réanimés, mais ils devront passer le reste de leur vie avec un défibrillateur cardiaque implanté dans leur poitrine.

«Dans les deux cas, on n’a rien trouvé parmi les causes habituelles pouvant expliquer ces arrêts cardiaques, sauf de quatre à six cannettes vides de boissons énergisantes», illustre le Dr Poirier.

Désir de performance

«Donneriez-vous un café à un jeune de 10 ans? Des enfants de 8 ans prennent pourtant des boissons énergisantes. Cela commence à l’aréna chez de jeunes joueurs de hockey pee-wee, qui veulent améliorer leur performance», déplore le cardiologue.

En période d’examens, de nombreux étudiants ont recours à ces «béquilles» pour se tenir éveillés. Certaines boissons énergisantes contiennent j usqu’à 350 mg de caféine et même 505 mg, aux ÉtatsUnis.

Un café régulier en renferme 100 mg, ce qui correspond au maximum journalier recommandé chez un enfant de 12 ans et moins, précise le Dr Richard Blanchet, de Québec, qui siège à l’association québécoise des médecins de sport.

C’est sans oublier d’autres substances comme la taurine ou le ginseng et les 14 cuillerées de sucre par cannette. À L’IUCPQ, le Dr Paul Poirier mène une étude qui vise à démontrer scientifiquement les effets des boissons énergisantes sur le taux d’adrénaline, la pression artérielle et l’arythmie.

L’équipe de recherche en est toujours à recruter des participants de 18 à 35 ans.

«Je ne suis pas en guerre contre les boissons énergisantes. Le problème, c’est la banalisation de ces produits et l eur consommation abusive», déclare le Dr Poirier.

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