Un Japonais tente poliment de cambrioler une épicerie et se rend à la police 5 min après


Au Japon, la criminalité est en baisse, alors les policiers s’attardent a des délits mineurs, quoique important de les résoudre dans la mesure que le délit en est vraiment un (ce qui n’est pas le cas pour un raisin volé). Cette fois-ci, les policiers ont eu tout cuit dans la bouche. Un aveu, une arme, des témoins …
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Un Japonais tente poliment de cambrioler une épicerie et se rend à la police 5 min après

 

Crédits : Next Shark

par  Laura Boudoux

« Je suis venu dans l’intention de vous intimider et de cambrioler ce magasin. Puis-je vous demander, s’il vous plaît, de coopérer avec moi ? »

C’est en ces termes empruntés qu’un Japonais a tenté de voler une épicerie, à Ogori, le 5 octobre dernier. Visiblement en proie à des remords, le voleur s’est aussitôt ravisé, ne laissant même pas le temps au gérant de la boutique de lui répondre. Lâchant précipitamment un « Je ne peux pas faire ça », avant de tourner les talons, l’homme ne s’est pas arrêté là, raconte le site Next Shark.

Traumatisé par son cambriolage pourtant avorté, l’homme s’est ensuite rendu au commissariat, pour confesser son « crime ». Il a rapidement été confondu car ayant été reconnu comme étant le voleur beaucoup trop honnête du magasin. Les policiers ont ensuite découvert que l’homme était en possession d’un couteau, placé dans un sac.

L’homme a eu beau se repentir, il a été arrêté pour « tentative de vol » et fait actuellement l’objet d’une enquête. Il faut dire que la police japonaise est depuis quelques temps légèrement désœuvrée. La criminalité étant en forte baisse dans le pays, certains policiers ont tendance à s’attarder sur des délits mineurs. Rappelez-vous, le 3 octobre dernier, c’est pour le vol d’un grain de raisin qu’un vieil homme était interpellé.

Sources : Next Shark

https://www.ulyces.co/

Aux États-Unis, une loi permet de condamner pour meurtre quelqu’un qui n’a tué personne


Je suis d’accord que tout acte criminel doit être puni. Alors que ce n’est pas ce qui s’est passés en Alabama aux États-Unis. Un homme devait avoir une sentence pour cambriolage et utilisation d’une arme a été accusé de responsabilité complice, parce que son ami est mort pendant un échange de coup de feu et qui a été tué par un policier. Il écope donc de 65 ans de prison. Pour ma part, je trouve cette sentence injuste
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Aux États-Unis, une loi permet de condamner pour meurtre quelqu’un qui n’a tué personne

 

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Une prison aux États-Unis | EZRA SHAW/AFP

Repéré par Claire Levenson

Un jeune Afro-Américain vient d’être condamné à 65 ans de prison pour meurtre et cambriolage, alors que tout le monde s’accorde sur le fait que techniquement, il n’a tué personne.

En 2015 en Alabama, un jeune homme qui tentait de cambrioler des maisons est mort lors d’un échange de coups de feu avec la police. Personne ne nie que c’est un policier qui a tué A’Donte Washington, mais c’est pourtant un de ses amis qui vient d’être condamné pour ce meurtre.

Lakeith Smith, qui a aussi participé au cambriolage, est considéré comme légalement responsable de la mort de Washington d’après la loi dite de «responsabilité du complice». Smith vient d’écoper de 65 ans de prison, dont 30 pour meurtre, 15 pour cambriolage et deux fois 10 ans pour vol.

La procureure a expliqué au jury que Smith n’avait pas besoin d’avoir appuyé sur la gâchette pour être considéré comme coupable d’après la loi. Le fait qu’il ait eu l’intention de cambrioler des maisons et que son ami soit mort pendant ce cambriolage est suffisant pour qu’il soit jugé responsable du décès de Washington.

L’avocate de Smith a rappelé que son client n’avait tiré sur personne, mais la loi de responsabilité du complice («accomplice liability») rend cette précision insignifiante. La grande majorité des États américains (tous sauf sept)ont des lois qui élargissent ainsi la notion de meurtre. La logique est la suivante: si ces jeunes n’avaient pas cambriolé, Washington ne serait pas mort, donc les cambrioleurs sont des meurtriers par extension.

http://www.slate.fr/

Le prix des pires cambrioleurs est attribué à…


Si cela aurait été un concours de connerie, ces deux personnages auraient gagné le prix du pire cambriolage. En Chine, 2 hommes vont tenter de cambrioler un magasin en lançant des briques dans la vitrine. Malheureusement, un des deux, voulant s’écarter s’est mis dans la trajectoire de la brique. On peut comprendre que le vol n’a pas eu lieu
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Le prix des pires cambrioleurs est attribué à…

Harvey, monstre imprévisible aux conséquences catastrophiques


C’est une inondation 100 fois pire ce que nous avons vécu chez moi, au printemps et cela n’est pas encore terminer pour le Texas. Surtout une grande ville comme Houston, ce sont des dégâts et des pertes à ne plus finir. Je ne sais pas si les changements climatiques y sont pour quelque chose, mais nous allons vivre ce genre d’épisodes plus souvent. Cela va t’il ouvrir les yeux des climato sceptique ?
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Harvey, monstre imprévisible aux conséquences catastrophiques

 

© reuters.

Les pluies diluviennes amenées par l’ouragan Harvey continuent de s’abattre sur la région de Houston, au Texas, et menacent également la Louisiane où l’état d’urgence a été déclaré.© getty.

 

 

© ap.

Les pluies diluviennes amenées par l’ouragan Harvey continuent de s’abattre sur la région de Houston, au Texas, et menacent également la Louisiane où l’état d’urgence a été déclaré.

Voici ce que l’on sait pour l’heure de Harvey et de ses répercussions.

L’ouragan Harvey de catégorie 4 a touché la côte texane dans la nuit de vendredi à samedi avec des vents de 215 km/h. Les pluies torrentielles ont provoqué des « inondations catastrophiques et potentiellement mortelles » dans la ville de Houston et tous le sud-est du Texas.

Les précipitations pourraient dépasser les 120 centimètres à certains endroits, y compris à Houston, la 4e métropole la plus importante des Etats-Unis avec 2,3 millions d’habitants et 6 millions en comptant la périphérie.

Le maire de Houston avait décidé ne pas donner d’ordre d’évacuation avant la tempête, craignant de susciter une situation de chaos sur les routes. Les autorités locales ont été dépassées par l’ampleur des inondations qui ont forcé la fermeture de deux aéroports et l’évacuation d’hôpitaux.

Compliquant encore les opérations, Harvey fait maintenant presque du sur-place sur la côte texane, augmentant les précipitations.

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© ap.

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© photo news.

Bilan humain

Le bilan humain s’élève pour l’instant à trois morts, mais ce chiffre sera probablement plus élevé à mesure que les secours parviennent dans les zones rendues inaccessibles par les eaux.

L’agence fédérale des situations d’urgence (Fema) a dit s’attendre à devoir abriter 30.000 personnes dans des centres d’accueil temporaires.

« Même si les vents ont diminué, je veux souligner que nous ne sommes pas encore sorti d’affaire, loin de là », a mis en garde la ministre de la Sécurité intérieure par intérim Elaine Duke lors d’une conférence de presse. « Des inondations potentiellement mortelles vont se produire dans de larges portions du centre-sud et du sud-est du Texas dans les prochains jours. Les rivières n’atteindront pas leur crue maximum avant la fin de la semaine », a-t-elle ajouté.

Le directeur de la Fema, Brock Long, a précisé que les opérations de recherche et de secours couvrent plus de 50 comtés du Texas.

Des milliards de dollars

Même s’il est encore trop tôt pour évaluer précisément l’ampleur des dégâts, le gouverneur du Texas Greg Abott a jugé que les dommages se chiffreront en milliards de dollars.

Les analystes estimaient lundi que les dégâts matériels s’élèveront entre 30 et 100 milliards de dollars, selon l’agence Bloomberg. La plus grande partie de ces dommages ne sera pas couverte par les assurances.

Le Golfe du Mexique est aussi une région clé pour la production pétrolière américaine. Harvey a provoqué la fermeture d’environ 22% de la production de brut dans le Golfe du Mexique, soit l’équivalent de 375.000 barils par jour.

Le gouverneur Abott a assuré que l’industrie pétrolière était bien préparée et que les opérations de pompage pourront reprendre d’ici une ou deux semaines.

Plusieurs ports le long de la côte texane ont également fermé, y compris le port de Houston, le second du pays en terme de tonnage.

12.000 hommes mobilisés

Les opérations de secours mobilisent d’importants moyens des autorités locales et fédérales qui sont appuyées par des volontaires pour participer aux recherches.

A Houston, certains habitants sont coincés sur les toits de leurs habitations par la brusque montée des eaux. Les vents qui soufflent encore jusqu’à 65 km/h compliquent les sauvetages par hélicoptère.

Le gouverneur du Texas a mobilisé la totalité de la garde nationale texane, soit 12.000 hommes.

Chaos, cambriolages, pillages

Les autorités américaines insistent sur le fait que la catastrophe est toujours en train de se dérouler.

Jusqu’à 450.000 personnes pourraient avoir besoin d’aide d’urgence, a indiqué lundi le directeur de la Fema.

Les services de secours tentent aussi de répondre aux nombreux appels à l’aide qui ont saturé les lignes des centres de secours, avant que les pluies ne s’abattent à nouveau sur Houston.

Des réservoirs de la ville menacent de déborder et le Corps d’ingénieurs de l’armée a décidé de relâcher de l’eau dans une rivière afin de contrôler autant que possible la direction des inondations.

La police de Houston a également mis en garde lundi ceux qui envisageraient de profiter du chaos pour commettre des cambriolages ou des pillages.

Enfin, au-delà du danger immédiat, les inondations polluées par des eaux usées font peser un risque sanitaire important sur les populations et qui peut durer parfois des années.

http://www.7sur7.be/

En Nouvelle-Zélande, le vol de nains de jardin finance l’achat de crystal meth


Les vendeurs de drogues ont trouvé un moyen de vendre du crystal meth d’une façon assez particulière en Nouvelle-Zélande
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En Nouvelle-Zélande, le vol de nains de jardin finance l’achat de crystal meth

 

Un nain de jardin | HANS SPLINTER via Flickr CC License by

Un nain de jardin | HANS SPLINTER via Flickr CC License by

Repéré par Claire Levenson

Repéré sur Stuff.co.nz, BBC

Plus de trois cent décorations de jardin ont été volées dans le nord du pays, et la police soupçonne des liens avec le trafic de drogue.

Des policiers de l’île du Nord en Nouvelle-Zélande ont récemment découvert une maison avec plus de trois cents décorations de jardin volées, dont des nains de jardin, des statues de flamands roses et des pots de fleur. La propriété avait été identifiée à la suite d’une facture d’électricité impayée de plus de 6.000 euros. Or, selon la police locale, ces vols de nains de jardin sont liés au trafic de crystal meth.

«C’est apparemment la mode en ce moment. Ils prennent ces objets et les revendent pour acheter des méthamphétamines –c’est lié au crystal meth», expliquait l’officier de police Cam Donnison, selon le site stuff.co.nz. 

Il a précisé que certains pots de plante se revendent jusqu’à 200 euros. Dans la maison, plusieurs objets volés avaient déjà été repeints, probablement pour être revendus. De nombreux résidents de cette région de Hawke’s Bay avaient récemment alerté les autorités de ces vols, et les propriétaires des objets volés devraient bientôt pouvoir retrouver leurs nains, pots et statues de jardin.

«Ce sont des cambriolages organisés et ciblés pour voler des objets de valeur. Les coupables les volent et s’en débarassent pour rapidement satisfaire leur dépendance aux méthamphétamines», poursuit Donnison.

Jusqu’ici, personne n’a été appréhendé dans cette affaire. Alors que traditionnellement, le vol de nains de jardin est plutôt le fait de jeunes ivres qui veulent faire des farces, la situation des devenue très sérieuse dans cette région de Nouvelle Zélande.

L’isolement géographique a longtemps protégé le pays du trafic de drogue, mais ces dernières années, de nombreux laboratoires de crystal meth ont fait leur apparition. Selon des chiffres de l’Office des Nations Unies contre la drogue et la criminalité, les Néo-Zélandais sont parmi les plus grands consommateurs de méthamphétamines dans le monde.

http://www.slate.fr/

Les algorithmes qui prédisent les crimes marchent-ils vraiment?


Je ne suis pas vraiment rassuré si la police utilise des algorithmes qui prédisent des crimes, et des personnes qui avec leur casier judiciaire seraient des risques potentiels. Et pour ce qui est des résultats, cela ne semble pas être vraiment concluant
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Les algorithmes qui prédisent les crimes marchent-ils vraiment?

 

EMMANUEL DUNAND / AFP

EMMANUEL DUNAND / AFP

Repéré par Alix Fieux

Difficile pour une population de concevoir qu’elle peut être contrôlée, simplement par ce qu’un logiciel aura fiché certains individus comme «suspects».

Prédire où et quand se dérouleront les prochains crimes d’une grande ville, c’est possible. En tout cas, c’est bien ce qu’espèrent les services de police d’une dizaine de grandes villes américaines (et du monde entier) qui se sont déjà équipées d’un logiciel de police prédictive, nous raconte le magazine Aeon.

Comment fonctionne-t-il? L’outil recense en une même base de données tous les lieux et l’heure des crimes déjà commis dans la ville concernée, mais aussi les cercles de personnes qui seraient susceptibles de commettre des infraction (d’après leur casier judiciaire et même leurs fréquentations). À partir de ces informations, un calcul de probabilité est fait et des algorithmes mathématiques directement transmis au services de police leur permettent de connaître les probabilités du lieu et de l’heure des prochains délits.

Les logiciels comme PredPol et Hunchlab, parmi les plus utilisés aux États-Unis, permettent notamment d’avertir les patrouilles de police des risques de cambriolages, de vols, d’agressions et d’homicides dans les quartiers repérés comme «les plus chauds» par l’outil informatique et de les inciter à surveiller davantage certains profils susceptibles de commettre une infraction.

Les défenseurs des libertés individuelles sont sceptiques

Jusqu’à présent, certaines communes comme Los Angeles et Atlanta ont vu leur taux de criminalité baisser depuis la mise en place des services de police prédictive. Toutefois, si l’objectif est parfaitement louable, comment de telles probabilités peuvent-elles rester compatibles avec les libertés et droits fondamentaux de chaque citoyen? Comment éviter de tomber à l’avenir dans l’arrestation arbitraire ?

Le magazine Science, fait valoir que ce type de logiciels pourrait permettre à des agents de police d’arrêter des individus n’ayant aucune raison valables d’être suspectés, mais simplement interpellés parce qu’ils se trouvaient dans les «zones à risques» définies par les algorithmes prédictifs. Un rapport d’investigation du département de police de Baltimore, ville dans laquelle le jeune Freddie Gray trouvait la mort il y a plus d’un an suite aux blessures infligées lors de son arrestation, aborde également ce danger. Selon ses auteurs, des arrestations arbitraires auraient un effet désastreux sur la confiance déjà  tenue qui relie certaines populations et la police aux États-Unis. 

L’Union américaine pour les libertés civiles craint que ce type de données encourage les discriminations raciales, partant du postulat qu’une communauté présente plus de risques criminels qu’une autre. Elle se demande aussi à moyen et long terme comment il sera possible pour les civils de faire confiance à une justice mathématiques et arbitraire qui serait rendue non pas par des humains, mais par des données informatiques limitées. Et pour quels résultats?

Cercle vicieux

À Chicago, le retour d’expérience démontre que malgré la mise en place d’une police prédictive, le nombre d’homicides n’a pas diminué. Pire, un rapport en vient même à la conclusion que les personnes fichées comme «suspectes» d’après les algorithmes n’avaient en réalité aucune raison précise d’être considérées comme plus dangereuses que les autres. 

Pour Jennifer Lynch, qui travaille à la Fondation Frontière Électronique de Californie, il existe même un risque de prophéties auto-réalisatrices. En se rendant sur les lieux de contrôle déjà plus méfiants et plus agressifs, les policiers pourraient ne faire qu’accroître des tensions déjà existantes. Une question déjà très sensible aux États-Unis et un véritable enjeu sécuritaire pour les années à venir.

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Quelques astuces pour protéger sa maison contre les cambrioleurs


Un vol par effraction peut arriver à n’importe qui, surtout dans des lieux moins éclairés ou plus criminalisés. Il y a bien sûr les conseils de bases, mais on peut faire un peu plus
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Quelques astuces pour protéger sa maison contre les cambrioleurs

 

BURGLAR

Par Cédric Lizotte

S’assurer que sa maison est bien sécurisée, ça devrait être une priorité pour chacun des propriétaires – et des locataires! – d’habitations. Cependant certaines astuces évidentes ne sont pas toujours prises en compte. Et les cambrioleurs sont habituellement à la recherche de l’endroit le plus facile d’accès. Ne soyez pas celui qui devient la cible première dans le quartier!

Pour éviter cette situation, voici quelques astuces pour se protéger des cambrioleurs :

Verrouillez vos portes… évidemment

40 % des cambriolages aux États-Unis sont faits sans que le voleur n’ait eu à forcer son entrée dans la demeure. Cela signifie que les gens ont oublié de verrouiller leur porte. Ou peut-être que le voleur vous a vu laisser une clé en-dessous d’une roche dans la cour arrière… Ne laissez pas de clé à l’extérieur! Lorsque vous quittez, n’oubliez pas de verrouiller vos fenêtres, toutes les portes, de les verrouiller à l’aide de techniques efficaces.

Attention aux fenêtres

Parce qu’il est très facile d’ouvrir une fenêtre à manivelle de l’extérieur à l’aide d’un tournevis plat, d’un couteau ou même d’un bâton de hockey! Les fenêtres coulissantes sont aussi relativement faciles à ouvrir si elles ne sont pas correctement verrouillées. Si vous n’avez pas l’argent à investir sur de nouvelles fenêtres, un simple clou glissé dans un trou percé dans le bon angle peut régler le problème.

Des minuteries pour les lumières

La police recommande habituellement de laisser des lumières, une télé, une radio, certains appareils allumés lorsqu’on part pour de longues périodes. Mais une maison entièrement illuminée exactement de la même manière toutes les nuits à quatre heures du matin, c’est faire tout le travail du cambrioleur à sa place! Installez des minuteries sur vos lumières, qu’elles soient à l’intérieur ou à l’extérieur. Ajustez les horaires de celles-ci pour qu’elles s’allument et s’éteignent à des moments opportuns et naturels. L’illusion sera parfaite.

Les objets de valeur

Les objets de valeur, surtout ceux qui se transportent facilement, sont la priorité des cambrioleurs. Ceux-ci cherchent toujours la chambre à coucher principale, puis vont dans les garde-robes et autres endroits similaires. Si vous avez des objets de grande valeur, munissez-vous d’un coffre-fort. Et assurez-vous que ce coffre-fort ne soit pas facilement transportable!

Attention aux médias sociaux

Ne sous-estimez pas les cambrioleurs. Les plus intelligents d’entre eux peuvent passer devant votre maison; si ceux-ci aiment ce qu’ils voient, ils peuvent faire une recherche rapide sur Internet pour trouver votre nom; une seconde recherche leur permet de vous trouver sur Facebook. Et plusieurs d’entre nous ont le mauvais réflexe de partager notre vie en entier sur les médias sociaux. Des posts du genre « Au-revoir Montréal! Ne me cherchez pas, je suis à Cuba pour deux semaines! », c’est de l’or en barre pour les voleurs. Attendez donc d’être revenu de votre voyage pour mettre des photos de la plage sur les médias sociaux!

Partis pour plusieurs jours? Voici quelques trucs…

Si vous partez pour plus d’une fin de semaine, assurez-vous de ne pas donner d’indices trop évidents aux cambrioleurs. Voici comment :

– L’hiver, un jardin couvert de neige, ou aucune trace de pas n’a été laissée depuis plusieurs jours, est un indice qu’il n’y a personne. Demandez à un voisin de venir faire un tour, et faites déneiger votre entrée même si vous n’y êtes pas.

– L’été, un gazon qui pousse depuis un mois est signe qu’il n’y a peut-être personne. Faites tondre votre gazon.

– Faites rediriger le courrier. Une boîte aux lettres trop pleine, c’est louche!

– Certains autres articles du même genre que celui-ci suggèrent de laisser une radio ou une télé allumée. Encore une fois, cette technique peut avoir l’effet inverse! Utilisez une minuterie là aussi.

Plusieurs gadgets existent… et certains sont très efficaces

La technologie est à notre service, et plusieurs gadgets sont très efficaces. En voici quelques-uns :

– Un système d’alarme, c’est toujours efficace. Certaines compagnies chargent le gros prix pour installer des systèmes d’alarme qui ne sont pas reliés aux policiers. Dans ce cas, vous pouvez peut-être en acheter un et l’installer vous-même… et économiser des centaines de dollars.

– Des caméras de sécurité peuvent non seulement décourager les cambrioleurs les plus vigilants, mais aussi faire baisser votre prime d’assurance. Pas d’argent pour des caméras? Achetez-en des fausses.

– Il existe des butoirs de porte à batterie qui émettent un son lorsqu’on tente d’ouvrir une porte. Ça pourrait être assez pour décourager certains voleurs…

– Comme mentionné ci-haut, certains suggèrent de garder une télé allumée. Mais les télés plasma ont une durée de vie relativement courte. Achetez-vous une fausse télé pour compenser! Faketv.com est très efficace.

Les cambrioleurs n’aiment pas les chiens

C’est bien connu, les cambrioleurs n’aiment pas les chiens. Mais si vous avez aménagé une petite porte pour que votre chien sorte dans le jardin, n’oubliez jamais de la barrer! Et puis, laisser Fido tout seul à la maison, c’est cruel. Peut-être qu’une simple pancarte « Prenez garde au chien » peut être assez décourageante?

Un vendeur un peu trop insistant? Restez aux aguets…

Les cambrioleurs d’expérience adorent prospecter avant d’investir les lieux de leur crime. Si un vendeur de balayeuses – ou un témoin de Jéhovah, ou quelqu’un qui fait du porte-à-porte – est trop insistant et demande à rentrer chez vous, restez sur vos gardes!

L’investissement ultime : portes et fenêtres sécurisées

Il s’agit peut-être d’une action un peu extrême, mais si vous avez des motifs raisonnables de croire que vous êtes dans une situation où les cambrioleurs voudraient cibler votre habitation en particulier, pensez à faire remplacer vos portes et fenêtres. La majorité des entrées par infraction sont faites au rez-de-chaussée, et les cambrioleurs n’hésitent jamais à briser une fenêtre s’ils sont certains de pouvoir en profiter. Des cadres de portes en métal, des portes d’entrée galvanisées, des fenêtres doubles : il existe plusieurs manières d’ajouter à la sécurité de votre maison.

Donnez une différente adresse au chauffeur de taxi

Finalement, dans certaines situations, il est possible que des chauffeurs de taxis soient de connivence avec des groupes de cambrioleurs. Il s’agit peut-être d’une précaution extrême, mais certains quartiers peuvent être sujets à plus d’activités criminelles. Si vous quittez en taxi pour la soirée, dans le but d’éviter que le chauffeur ne signale à ses complices que vous avez quitté et êtes au bar ou au restaurant, donnez toujours une adresse voisine au chauffeur. On ne sait jamais!

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des cambrioleurs au secours de la science…


Comment étudier les techniques et comportements des cambrioleurs pour de meilleures méthodes de préventions. ? Une petite annonce pour trouver des candidats avec expérience ? Pas évident ! En qui voudrait prêter sa maison même en assurant que rien ne sera vraiment dérobé ? Pas toujours facile le domaine de la science !!
Nuage

 

Des cambrioleurs au secours de la science…

 

 

Pierre Barthélémy

Imaginez la petite annonce : « Scientifiques cherchent cambrioleurs expérimentés pour travail sans risque. Discrétion assurée. Pas sérieux s’abstenir. »

Dans une œuvre de fiction, on verrait déjà des blouses blanches demander à des monte-en-l’air d’entrer par effraction dans le laboratoire de concurrents pour leur dérober on ne sait quelle formule secrète… Mais nous ne sommes pas dans un film ou un roman : dans la réalité qui est la nôtre, si des chercheurs britanniques ont eu recours à des cambrioleurs, c’était pour… étudier leurs techniques.

Comme ces psychologues le soulignent dans la présentation de leur étude, publiée le 17 décembre par la revue Psychology, Crime & Law, il est essentiel, pour prévenir les délits, de mieux comprendre les processus cognitifs mis en œuvre par les cambrioleurs : comment ils gèrent le temps très court dont ils disposent, comment ils prennent leurs décisions en situation de stress, comment ils exploitent les indices présents dans les domiciles visités pour aller directement aux endroits les plus lucratifs, etc. Autant de stratégies qu’il est difficile de percer à jour lors des interviews qui sont menées en prison auprès des voleurs arrêtés.

 Comme le souligne Claire Nee (université de Portsmouth), premier auteur de l’étude, quel que soit leur domaine « les experts ont du mal à expliquer avec des mots ce qu’ils font étant donné que leurs actions sont automatiques. C’est bien mieux de les regarder faire mais ceci est compliqué dans la science criminelle. »

En effet, ainsi que le précise l’article non sans une pointe d’humour, « il est difficile, sur le plan de la logistique et de l’éthique, d’observer des délinquants en action »… D’où l’idée d’embaucher des professionnels pour un « cambriolage » sous contrôle.

Les choses n’ont pas été sans mal et l’étude comporte d’ailleurs une section « Défis » d’ordinaire absente des articles scientifiques. Ainsi, les chercheurs ont fait chou blanc lorsqu’ils ont employé la technique des petites annonces pour recruter leurs « experts ». Ils sont arrivés à leurs fins avec l’aide d’associations s’occupant du reclassement de marginaux. Six soi-disant ex-cambrioleurs ont ainsi été dénichés, six hommes ayant tous au moins cinq ans d’expérience, ce qui implique plusieurs centaines de cambriolages par an à l’actif de chacun…

Comme il fallait un groupe témoin pour comparer les comportements, six étudiants sans activité criminelle au compteur se sont improvisés cambrioleurs débutants.

Le second défi a consisté à trouver une maison avec un étage où tester les talents des deux groupes. Les auteurs de l’étude ont eu beau expliquer le but de l’expérience, dire que c’était pour la science et jurer leurs grands dieux que rien ne disparaîtrait, les propriétaires de maisons contactés n’ont guère eu envie de participer au progrès des connaissances en laissant une demi-douzaine de voleurs professionnels baguenauder chez eux.

La solution est venue… de la police qui a accepté de mettre à la disposition des chercheurs une maison dotés d’un studio d’enregistrement, qu’elle utilise pour mener des entretiens. L’équipe de psychologues a aménagé les autres pièces pour faire ressembler le tout à un domicile normal, répartissant les objets de valeur comme dans un foyer lambda.

Ils ont également créé un double numérique de cette maison car un de leurs objectifs était de voir si un cambriolage « virtuel » se ferait suivant les mêmes règles que dans la réalité. La moitié des « malfaiteurs » commençait par visiter la maison réelle puis enchaînait avec la version sur ordinateur, naviguant dans les pièces à l’aide de la souris et cliquant sur les objets à emporter, tandis que l’autre moitié suivait le cheminement inverse. Lorsqu’ils entraient dans la véritable maison, les voleurs – qu’ils fussent patentés ou en herbe – portaient une caméra sur la tête permettant d’enregistrer leur parcours et notamment le temps passé dans chaque pièce et la manière de la fouiller.

Les résultats sont édifiants : grâce à leur expérience, les « pros » identifient rapidement les zones les plus rentables (en général les chambres à l’étage alors qu’ils délaissent les salles de bain) et passent plus de temps à les explorer à fond tandis que les cambrioleurs débutants répartissent leurs temps de manière équitable entre toutes les pièces. Les premiers sélectionnent en général moins d’objets mais ceux qu’ils prennent ont plus de valeur. Ainsi, au cours du test, le montant du butin emporté par les « maîtres » s’élevait en moyenne à 4 875 livres contre 3 945 livres pour les étudiants. Ces derniers ont négligé les sacs à main de marque et les blousons en cuir qui n’ont pas échappé à l’œil aguerri des vrais cambrioleurs. Ceux-ci ont d’ailleurs confirmé les hypothèses des chercheurs sur les automatismes des experts en empruntant tous exactement le même chemin pour entrer dans la maison (par derrière) et pour la fouiller, tandis que leurs alter egos se promenaient un peu au hasard dans la maison.

Les auteurs de l’étude ont constaté peu de différences entre les comportements suivant qu’on se trouvait dans la maison réelle ou dans sa reconstitution numérique. Le résultat est intéressant car ces psychologues pourront élargir leur expérience à un échantillon plus important en proposant à des malfaiteurs emprisonnés de « jouer » aux cambrioleurs virtuels.

Surtout, Claire Nee espère que ces travaux permettront de mettre en place « diverses techniques de prévention qui stopperont le délinquant dans sa progression et l’obligeront à sortir de ses habitudes bien rodées. Cela augmentera son anxiété et la probabilité qu’il abandonne le cambriolage en cours. » 

En attendant, vu le peu d’attirance des professionnels pour les salles de bain, vous pouvez aussi cacher les bijoux entre les brosses à dents et les tubes de dentifrice.

 

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/

Les voleurs sont plus actifs au Québec


 

On dit tout sur Internet, surtout sur Facebook, ce que l’on mange, ce que l’on fait, et ou et quand on quitte la maison. Ce sont des renseignements en or pour les cambrioleurs. Ils peuvent planifier leur méfaits sans trop de risque
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Les voleurs sont plus actifs au Québec

 

Les voleurs sont beaucoup plus actifs pendant l’été et le  Québec qu’il y a le plus de demandes d’indemnités pour des cambriolages de domicile.

Même si le nombre d’introductions par effraction est en diminution depuis plusieurs années, les propriétaires québécois subissent le plus grand nombre de vols avec effraction, soit deux fois plus que la moyenne nationale, selon des données publiées par la société d’assurance Aviva Canada.

Au Québec, la valeur moyenne des demandes d’indemnité d’Aviva en 2013 était de 4812$, un montant 34% plus bas que la moyenne nationale de 7243$. Cette valeur représente une augmentation de 28%, si l’on compare aux chiffres d’il y a cinq ans.

Au pays, la valeur moyenne des règlements pour cambriolage s’est accrue de 27 % au cours des cinq dernières années.

«Cette hausse peut être attribuée à la valeur grandissante des petits objets pouvant être facilement dérobés et revendus, comme les bijoux, les tablettes numériques, les ordinateurs portatifs, les téléphones cellulaires, les caméscopes et les consoles de jeu», estime Aviva Canada.

Au Canada, pour les mois de juillet, d’août et de septembre, le nombre de vols par effraction dans les résidences augmente de 24 %, de 36 % et de 18 % respectivement, par rapport à février-mois où ce type de crime est le plus bas.

Les cambrioleurs adorent Facebook et peuvent surveiller votre statut, constater votre absence et ainsi mieux planifier un vol. Encore beaucoup de personnes écrivent qu’elles sont en vacances et publient même des photos de l’endroit et la date où elles passent leurs vacances.

Autre donnée intéressante relativement aux vols dans les résidences : la journée préférée des cambrioleurs est le vendredi. Le risque qu’un cambriolage survienne un vendredi est 25% plus élevé que le dimanche, jour où l’on observe le moins de vols.

Le jeudi est aussi une journée prisée par les criminels avec un taux d’effraction 19% supérieur à celui du dimanche.

http://argent.canoe.ca/

Le Saviez-Vous ► Top 10 des cambrioleurs les plus cons, les erreurs à ne pas commettre


Non, ce n’est pas des trucs pour devenir des bons cambrioleurs, mais plutôt ce qu’il ne faut pas faire. En tout cas, les bourdes de ces soi-disant cambrioleurs, vous ferons surement sourire. Pas sur, par contre, qu’ils en sont fier.
Nuage

 

Top 10 des cambrioleurs les plus cons, les erreurs à ne pas commettre

 

source photo : mugshotmuseum

Vous avez prévu d’arrondir vos fins de mois en cambriolant la mémé du coin ? Voici quelques petites erreurs à ne pas commettre si vous voulez éviter de finir au poste et de vous taper la honte du millénaire.

Ne pas se cacher dans le congélo

Le conseil peu paraître con, et pourtant : c’est l’étrange réflexe qu’a eu un apprenti cambrioleur de 16 ans. Chopé en train de se remplir les poches dans un bar de Nevers en pleine nuit, le jeune homme s’est réfugié au sous-sol (il a vu trop de films d’horreur celui-là) dudit bar. Coincé dans une pièce sans issue, il a alors eu l’idée absolument géniale de se cacher dans le congélateur, derrière les surgelés. La police l’a rapidement retrouvé, coincé entre deux paquets de Findus et légèrement refroidi par son expérience.

Ne pas faire le mort

Pas tellement plus futé que notre ami de Nevers, un cambrioleur espagnol qui était en train de se remplir les poches dans une maison funéraire s’est dit que la meilleure façon d’échapper à la police était de faire le mort. Dans la mesure où il n’est pas parvenu à arrêter de respirer, il a rapidement été démasqué et a volé au trou comme prévu.

Ne pas faire de selfie

Tout fier d’avoir réussi à rentrer par effraction dans une maison de Rotherham, Ashley Keast a entré sa carte SIM dans le portable qui traînait sur la table basse, pris une jolie photo de lui dans le miroir du salon puis envoyé le tout à ses copains via WhatsApp. Sauf que voilà : ce pauvre Ashley s’est légèrement emmêlé les pinceaux et a envoyé le cliché à un collègue de sa victime, dont le numéro était encore enregistré dans le téléphone qu’il avait emprunté. Il a été condamné à 2 ans et 8 mois de prison en mars 2014.

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source photo : telegraph

Ne pas se foutre une mine

Parce qu’après on fait comme Lewis Ward qui, après avoir cambriolé une maison, est tranquillement rentré chez lui sans se rendre compte qu’il laissait les empreintes de pas dans la neige. Sympa, il a comme ça conduit la police jusqu’à chez lui, où il cuvait lamentablement.

Ne pas tirer (mais pousser) la porte

En janvier, le gérant d’un bar de Chicago a eu la mauvaise surprise de trouver sa serrure fracturée au petit matin, mais (ô surprise) rien n’avait été volé. En regardant les enregistrements de la caméra de surveillance, il s’est rendu compte que le malheureux qui avait essayé de le cambrioler n’avait pas lu la pancarte qui était sur la porte de son bar et qui indiquait « poussez pour ouvrir » et non tirez comme un bourrin pendant 20 minutes.

Ne pas écrire son nom sur la scène du crime

L’Anglais Peter Addison, 18 ans, n’est pas tout à fait ce que l’on appelle un as du crime. Venu dézinguer un camp de loisirs pour enfants, le jeune homme ne voulait pas que son fait de gloire tombe aux oubliettes. Du coup, il a écrit son nom sur un mur au feutre indélébile. Les flics n’ont pas eu trop de mal à le retrouver. « O,D,I,L, qu’est que ça peut bien vouloir dire ? »

Ne pas cacher des couteaux dans son fute

Parce que sinon vous allez mourir dans d’atroces souffrances comme ce cambrioleur du Michigan qui, après avoir volé pour 300 euros de couteaux de chasse, a eu la grande idée de les cacher dans son pantalon. En prenant la fuite, il est tombé et bim l’un des couteaux a atterri dans son estomac. Et dire qu’il n’aura même pas eu le temps de dépecer deux, trois lapins.

Ne pas engrainer maman dans l’affaire

En juillet 2012, Roy Mitchell, 22 ans et toutes ses dents, fait un petit tour en voiture avec sa maman quand il décide de se faire un peu de sous en allant braquer une station-service. Alors qu’il menace la pauvre caissière avec un gros flingue, sa mère qui avait aperçu la scène depuis sa voiture garée sur le parking de la station service entre dans la boutique et l’ordonne de poser son arme qui, au passage, s’est avérée être un pistolet en plastique. Grosse grosse humiliation.

Ne pas cambrioler une banque en dehors de ses heures d’ouverture

Bien décidé à s’en foutre plein les pognes, Christopher Allen Koch s’est pointé à la banque de Liberty, Citizens & Northern Bank, a midi moins vingt. Certain d’avoir le temps de se faire un petit casse-croûte, il a pris son temps et s’est décidé à passer à l’attaque à 12h01. Dommage, la banque avait fermé une minute plus tôt pour la pause déj et lui s’est retrouvé à la porte avec un casque de ski sur la tête et un gros gun dans les mains. Il a rapidement été interpellé.

Ne pas s’attaquer à plus fort que soi

Contrairement au brave garçon qui, en 2008, a eu la sage idée d’aller cambrioler une école d’arts martiaux où révisaient une petite dizaine de champions de karaté. Il va sans dire qu’il s’est fait violemment botter le fessier.

Le monde magique des gens vraiment très cons.