Un linteau de bois gravé précise le calendrier maya


Le calendrier Maya refait surface, ainsi que la prophétie de fin du monde du 12 décembre 2012. Les chercheurs comprennent un peu mieux ces calendriers qui ont porter certaines personnes a de grandes confusions.
Nuage

 

Un linteau de bois gravé précise le calendrier maya

 

L'acceptation de cette corrélation repose en grande partie... (Photo DR)

L’acceptation de cette corrélation repose en grande partie sur une datation par le radiocarbone réalisée dans les années 1950 sur deux linteaux de bois de l’ancienne cité de Tikal (Guatemala), où sont gravées des dates maya, expliquent les chercheurs.

PHOTO DR

VÉRONIQUE MARTINACHE
Agence France-Presse

Récemment popularisé par une fausse prophétie de fin du monde, le calendrier maya pose le problème de sa conversion dans le calendrier grégorien: une équipe internationale vient de confirmer la correspondance généralement admise en datant un linteau de bois gravé.

Le calendrier des anciens Mayas était pour le moins complexe. Pour donner une date, les Mayas utilisaient deux systèmes, un calendrier sacré, «tzolkin», de 260 jours, et un calendrier solaire, le «haab», composé de 365 jours. Un troisième décompte, appelé «le compte long», faisait le lien entre les systèmes précédents.

Un grand cycle du compte long durait 13 «baktun», un peu plus de 5.000 ans.

C’est la fin d’une telle ère qui a été célébrée le 21 décembre dernier, associée à tort par certains à la fin du monde.

Mais le «4 ahau 3 kankin» marquant la fin de ce grand cycle maya correspondait-il bien au 21 décembre 2012 de notre calendrier moderne?

La corrélation entre les deux calendriers la plus généralement admise par les spécialistes est celle dite de «Goodman-Martinez-Thomson» ou GMT. Mais ce n’est pas la seule. D’aucuns décalent la correspondance d’un à deux siècles, voire davantage.

Les travaux publiés jeudi dans la revue britannique Scientific Reports par l’équipe de Douglas Kennett viennent soutenir cette correspondance proposée initialement au début du XXe siècle par Joseph Goodman.

L’acceptation de cette corrélation repose en grande partie sur une datation par le radiocarbone réalisée dans les années 1950 sur deux linteaux de bois de l’ancienne cité de Tikal (Guatemala), où sont gravées des dates maya, expliquent les chercheurs. Mais il subsistait une part d’incertitude.

Grand Jaguar

L’équipe de Douglas Kennett a donc réalisé une série de nouvelles datations au Carbone 14,  avec des méthodes plus modernes, sur un de ces linteaux de bois du Temple I, ou Grand Jaguar. Il s’agit d’un linteau en bois de sapotillier, un bois imputrescible, qui porte une série de dates indiquant quand il a été taillé, sculpté et consacré.

Les analyses des nouvelles données fournissent une estimation entre 658 et 696 de notre ère pour la découpe et la sculpture du Linteau 3. La sculpture sur ce linteau représente le roi de Tikal Jasaw Chan K’awiil et le texte décrit comment il a défait Yich’aak K’ak’sa, roi de la cité rivale de Calakmul.

«Ces données appuient fortement la corrélation GMT», affirment les chercheurs.

«C’est essentiellement la chronologie maya qui sert de référence pour la Méso-Amérique ancienne en général», a expliqué de son côté à l’AFP Jean-Michel Hoppan (CNRS), archéologue et spécialiste de l’écriture maya, qui fait partie des nombreux scientifiques à utiliser la corrélation GMT.

«Il n’y a que les Mayas et les Olmèques qui nous permettent de positionner des dates par rapport au début de leur ère. Or les Olmèques n’en n’ont donné que quelques-unes», a-t-il ajouté.

Un décalage d’un siècle ou deux dans la chronologie maya a ainsi des répercussions sur l’enchaînement des événements dans l’ensemble de la Méso-Amérique ancienne.

Les Mayas, qui connurent leur apogée entre 250 et 900 après Jésus-Christ en Amérique centrale et au Mexique, ont été plongés dans une période de décadence vers le XIIIe siècle. Selon une hypothèse parfois controversée, le changement climatique, responsable d’une longue sécheresse catastrophique, leur a été fatal.

Situé en pleine jungle, Tikal est l’un des vestiges les plus emblématiques de la civilisation maya.

http://www.lapresse.ca

Les cérémonies du changement d’ère maya débutent


L’ère maya est appelé a changer et les cérémonies ont commencé pour que les descendants perpétuent les traditions .. Ce ne sera pas la fin du monde seulement des croyances d’un changement d’ère tel décrit dans les calendriers maya .. Alors les fanatiques, les suspicieux et autres .. cela ne sert a rien d’avoir peur
Nuage

 

Les cérémonies du changement d’ère maya débutent

 

Deux prêtres participent à une cérémonie de bénédiction... (PHOTO Luis PEREZ, AFP)

Deux prêtres participent à une cérémonie de bénédiction de l’eau au cénote Noc Ac du Yucatan, le samedi 15 décembre 2012.

PHOTO LUIS PEREZ, AFP

Agence France-Presse
MERIDA

Les cérémonies marquant le début du changement de l’ère maya à l’issue d’un cycle de 5200 ans, interprété par certains comme une prophétie de la fin du monde, ont débuté samedi soir au Mexique dans la presqu’île du Yutacan, a constaté un photographe de l’AFP.

Les cérémonies, qui doivent culminer le 21 décembre, ont débuté par des offrandes au dieu maya de la Lune, Ixchel, dans une grotte située dans le village de Noc-Ac, près de Mérida, la capitale de l’État du Yutacan. Les Indiens présents aux festivités ont notamment offert du maïs à Ixchel, symbole de la fertilité dans la religion maya.

Le début de la nouvelle ère maya le 21 décembre va faire l’objet de célébrations dans tout le sud du Mexique et dans quatre autres pays où l’influence de la culture maya perdure (Guatemala, Bélize, Salvador, Honduras).

Le 21 décembre représente la fin d’une période de plus de 5000 ans, selon le «compte long» du calendrier maya, débuté en 3114 avant Jésus Christ.

Tandis que la plupart se préparent à la fête de la fin du calendrier maya, d’autres s’attendent au pire: la fin du monde.

Certains spiritualistes «New Age» sont convaincus que le 21 décembre est le jour prévu comme étant celui du Jugement dernier annoncé par des hiéroglyphes, selon certaines interprétations.

La crainte d’une fin du monde a été alimentée en partie par des films catastrophes comme «2012» de l’Allemand Roland Emmerich et des livres comme «La prophétie maya» de l’auteur américain de science-fiction Steve Alten.

Les experts du monde maya s’indignent eux de telles interprétations.

Dans une vidéo mise en ligne récemment, le Centre français de la recherche scientifique (CNRS) rappelle ainsi que les Mayas n’ont jamais prophétisé la fin du monde le 21 décembre 2012.

«4 ahau 3 kankin», qui correspondrait selon certains chercheurs au 21 décembre 2012 de notre calendrier, marque dans le calendrier maya la date de la fin d’un grand cycle, explique Jean-Michel Hoppan, archéologue et spécialiste de l’écriture maya, dans ce documentaire.

Cette date, qui suscite tant de fantasmes, a été trouvée gravée sur un fragment d’une imposante stèle de pierre taillée, le «Monument 6», conservé sur le site archéologique de Mucuspana, à El Tortuguero.

L’allusion à la fin du grand cycle «n’est pas présentée comme étant un cataclysme, une destruction du monde», souligne le spécialiste. Au contraire, elle mentionne le retour d’une divinité (Bolonyocte) «qui remet le temps en marche».

http://www.lapresse.ca

Fin du monde: Comment on s’y prépare à l’étranger?


Ont a d’abord cru que  le calendrier Mayas avaient annoncé la fin du monde et vite cela s’est répandus dans les médias comme une trainée de poudre .. mais des spécialistes ont affirmer que ce n’était pas une prophétie de fin du monde … Trop tard, il y a des gens qui y ont cru et d’autres pas du tout …
Nuage

 

Fin du monde: Comment on s’y prépare à l’étranger?

 

La bière québécoise «La Fin du monde»

La bière québécoise «La Fin du monde» LGNACE / WIKIPEDIA

TEMOIGNAGES Aucun endroit du monde n’est épargné par le 21 décembre 2012, mais l’événement n’a pas le même succès partout…

 

La fin du monde, c’est dans une semaine, et en France, on en parle déjà depuis des mois si ce n’est plus. Qu’en est-il à l’étranger? 20 Minutes a demandé à des habitants de divers pays du monde si la ferveur ou la peur du 21 décembre 2012 était similaire à la nôtre ou non.

Une première chose est certaine: tous nos témoins ont entendu parler, d’une manière ou d’une autre, de la fin du monde selon le calendrier maya. C’est au Japon que le sujet semble le plus apprécié.

«Les Japonais adorent parler des Mayas, deNostradamus, il y a pleins d’émissions de télévision sur la fin du monde en ce moment», raconte Shimako, 29 ans, qui vit près de Tokyo. «Ici, les gens aiment se demander ce qu’ils feront ce jour-là, avec qui ils voudraient être, c’est très stupide, mais le Japon est suffisamment tranquille pour pouvoir parler de cela sans crainte», ajoute-t-elle, critiquant cependant cet état d’esprit et l’influence des médias qui ont trop tendance à exagérer des événements inquiétants.

Au Brésil aussi, la fin du monde fait parler, d’autant plus que les Mayas ne vivaient pas très loin de là (entre le sud du Mexique et le Honduras).

 «Les Brésiliens parlent moins de l’événement en lui-même que du fait qu’il est très populaire», explique Amanda, 29 ans.

L’habitante de Rio de Janeiro, qui trouve l’événement «ridicule et drôle à la fois», indique tout de même que certains Brésiliens parmi les plus croyants ou mal informés croient tout de même que quelque chose va vraiment se passer vendredi prochain. Quoi? On ne le sait pas encore, mais, comme en France, elle a déjà vu sur Facebook plusieurs de ses amis réserver leur soirée pour fêter la fin du monde.   

«Wait and see» en Afrique du Sud

En Afrique du Sud, c’est également un sujet de discussion.

Originaire de Pietermaritzburg près de Durban, Merryn «ne pense pas personnellement que le monde va s’arrêter» la semaine prochaine, mais peut-être, pourquoi pas, quelques parties de notre planète «à cause du réchauffement climatique et des désastres naturels».

Dans son pays, «quelques personnes y croient» en tout cas, mais la jeune adolescente préfère pratiquer le traditionnel «wait and see» («attendons de voir») anglo-saxon.

Même flegme en Grande-Bretagne où Marie, une Française de 26 ans, raconte que la fin du monde n’a pas l’air de vraiment passionner les foules, en tout cas «beaucoup moins qu’en France».

«Les Britanniques se concentrent sur Noël en ce moment», indique la Londonienne qui n’est pas non plus bien rassurée à l’approche de la date fatidique. «Moi, ça me fait peur parce que je serai toute seule dans un bus sous la Manche, alors ça craint», s’amuse-t-elle.

Au Canada, «les gens s’en fichent un peu»

Ce n’est pas non plus la grande affaire du moment au Canada, mais un gourou, Marcel Pontbriand, a permis d’en faire la promotion, explique Matthieu. Se faisant appeler «Jésus», l’homme a emmené avec lui des couples avec enfants aux Etats-Unis afin de les sauver de la fin du monde profitant au passage des femmes et de leur argent.

Autrement, «les gens s’en fichent un peu, surtout qu’Hubert Reeves, la star locale, a dit que c’étaient des bêtises», résume le Français, installé à Montréal.

«Et puis les décorations de Noël sont déjà partout, ce n’est pas pour qu’elles partent en fumée quatre jours avant la dinde!», s’exclame-t-il, prêt à trinquer le 21 décembre avec une bière très populaire nommée «La Fin du monde»

La Malaisie paraît tout de même être, parmi nos pays consultés, le plus réfractaire à la fin du monde version maya.

Certes, le sujet est évoqué dans les médias, «mais pas sérieusement», insiste Lenore, qui vit à Kota Kinabalu, sur l’île de Sabah. Cependant, cette catholique pratiquante remet son destin entre les mains de Dieu quand la véritable fin du monde viendra:

«Il décidera, on ne sait pas quand cela arrivera et cela ne dépend ni de nous, ni des scientifiques ou de quelque anciennes tribus sud-américaines.»

Nous voilà prévenus.

http://www.20minutes.fr

Théories de fin du monde : le pic de Bugarach interdit d’accès le 21 décembre


Ils n’ont pas vraiment le choix d’interdire l’accès a cet endroit quoiqu’ils devraient l’interdire bien avant sauf pour les résidents et avec permis .. du moins le temps qui reste avant le 21 décembre
Nuage

 

Théories de fin du monde : le pic de Bugarach interdit d’accès le 21 décembre

 

Bugarach, la montagne totemDDM

Le Pic de Bugarach, centre du monde le 21 décembre prochain ? C’est en tous cas ce que pensent les plus inquiets d’entre nous qui craignent une apocalypse peu avant Noël. Selon le calendrier maya, cette montagne de l’Aude serait la seule à être épargnée de l’anéantissement de la Terre.

Du coup, les plus illuminés risquent d’affluer à Bugarach d’ici le 21 décembre, tant la particularité du site a circulé sur internet et les réseaux sociaux. Après avoir mobilisé la quasi-totalité des gendarmes, le préfet Eric Freysselinard a décidé ce vendredi d’interdire purement et simplement l’accès au pic le 21 décembre prochain, ainsi que trois jours avant et deux jours après.

Les « fin-du-mondistes » devront donc trouver un nouveau refuge en cas d’apocalypse !

http://www.ladepeche.fr

A l’approche de l’apocalypse, un jeu pour gagner un abri anti-atomique


Je suis un peu étonné que le canal National Géographique se lance dans un tel jeu comme pour donner raison a ceux qui sont inquiet a la fin du monde du 21 décembre 2012. Me semble que c’est d’encourager la polémique ..
Nuage

 

A l’approche de l’apocalypse, un jeu pour gagner un abri anti-atomique

 

Une femme dans un abri  anti-atomique à Paris, le 14 novembre 2012 (Bertrand Guay AFP)

Une femme dans un abri anti-atomique à Paris, le 14 novembre 2012Bertrand Guay AFP

Avis aux « survivalistes » et autres fous de l’apocalypse: la chaîne de télévision National Geographic Channel lance un jeu pour gagner un abri anti-atomique équipé et livré à domicile pour faire face au chaos redouté par certains le 21 décembre.

Cet abri en béton armé, présenté mercredi à la presse, est prévu pour accueillir jusqu’à six personnes dans une pièce de 8m2. Conçu par une société spécialisée, il est équipé pour faire face à une catastrophe naturelle, chimique ou nucléaire: soupape de décompression, murs de 25 cm d’épaisseur, éclairage à dynamo, lits superposés, masques à gaz, boîtes de conserve de nourriture d’urgence…

Complètement étanche et autonome en eau et électricité, il permet de « protéger ses occupants des effets mécaniques et thermiques d’une explosion nucléaire », vante la version française de National Geographic Channel.

Elle promet « une nuit au chaud la nuit du 21 décembre », date de la fin du monde selon une interprétation du calendrier maya.

Pour avoir une chance de le remporter, un jeu-concours est organisé en France sur le site internet http://etesvousprets.com. Encore faut-il avoir la place d’accueillir cet abri de la taille d’un semi-remorque et pesant 25 tonnes.

http://www.ladepeche.fr

Les Canadiens superstitieux Voir la fin du monde avant de mourir


Avez-vous peur de la fin du monde ? Quand pensez vous que la fin du monde sera une réalité ? Pour ma part, je pense que la fin du monde viendra mais quand je ne le sais pas .. mais mettre une date précise cela est dérisoire ..
Nuage

 

Les Canadiens superstitieux

Voir la fin du monde avant de mourir

 

Voir la fin du monde avant de mourir

Crédit photo : Archives

Agence QMI

Douze pour cent des Canadiens pensent voir la fin de monde durant leur vie.

Neuf pour cent pensent que le jour final du calendrier maya correspond à la fin du monde et 5% ressentent de l’anxiété ou de la peur, car ils croient que la fin du monde aura lieu cette année.

«Les Canadiens sont moins superstitieux que le reste de la population mondiale, mais de très peu», selon Keren Gottfried, de la firme de recherche Ipsos.

Si l’on en croit le sondage, une personne sur sept dans le monde croit qu’elle verra la fin du monde de son vivant et 10% de la population mondiale estime que celle-ci aura lieu le 21 décembre prochain, soit la dernière date du calendrier maya.

Du 6 au 20 mars dernier, Ipsos a interrogé un premier groupe de plus de 1000 personnes de 14 pays, plus un deuxième groupe de 500 personnes provenant de 10 autres pays. La méthodologie employée visait à assurer une balance démographique reflétant la population adulte telle qu’établie par les plus récentes données de recensement.

L’étude comporte une marge d’erreur de 3,1% pour l’échantillon de 1000 personnes et une marge d’erreur estimée à 4,5% pour un l’échantillon de 500 personnes, 19 fois sur 20.

http://tvanouvelles.ca