Le Saviez-Vous ► Top 8 des animaux dangereux pour l’Homme


Quel animal est le plus dangereux ? Il n’est pas besoin de faire peur, ni d’avoir des crocs menaçants pour être dangereux. En fait, parmi tous les animaux, le plus minuscule serait le plus dangereux
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Top 8 des animaux dangereux pour l’Homme

 

Bien que les alligators et crocodiles soient de puissants prédateurs, l'homme a 9 fois plus de risques d'être frappé et tué par la foudre que dévoré par un de ces reptiles. ©AUSLOOS/SIPA

Bien que les alligators et crocodiles soient de puissants prédateurs, l’homme a 9 fois plus de risques d’être frappé et tué par la foudre que dévoré par un de ces reptiles. ©AUSLOOS/SIPA

Le corps sans vie mais « intact » de l’enfant de deux ans, happé mardi 14 juin 2016 par un alligator sur une plage du Disney World d’Orlando, en Floride, a été découvert le lendemain par les autorités. Après 15 heures de recherches, le petit Lane Graves a été retrouvé mort, probablement noyé.

« Des témoins ont vu l’enfant être entraîné sous les eaux (…) il est évident à ce stade qu’il n’a pas pu survivre en étant submergé durant cette période de temps », a déclaré le shérif du comté d’Orange, Jerry Demings.

9 fois plus de chances de mourir frappé par la foudre

Si l’histoire du petit Lane est dramatique, ces attaques ne sont pourtant pas si répandues en Floride. Bien que les alligators y soient présents en nombre, seulement 14 personnes ont succombé aux 190 attaques de ces reptiles depuis 1997 dans la région, selon les autorités floridiennes. Ainsi, un américain a 9 fois plus de chances de mourir frappé par la foudre plutôt que de succomber à une attaque de reptile, d’après les chiffres de Centers for Disease Control and Prevention. 

Parmi les plus dangereux, on retrouve en pole position le crocodile marin et les crocodiles du Nil. L’alligator d’Amérique, le caïman noir, le crocodile de Morelet, le gavial du Gange, le crocodile des marais et le crocodile de Johnston font également partie des espèces les plus hostiles. Mais ils comptabilisent à eux six 46 attaques mortelles dans le monde en 2015, contre 58 rien que pour les crocodiles du Nil et 54 pour les crocodiles marins, d’après l’organisme de statistiques CrocBITE.

Une peur irrationnelle du requin…

 

Autre prédateur redouté : le requin. Les attaques de cet animal, effrayantes et médiatisées, le sont d’autant plus pour leur rareté. En 2015, 164 attaques ont été recensées dans le monde, faisant six morts au total. En 2014, l’ISAF recensait trois cas mortels : deux en Australie et un en Afrique du Sud. Un chiffre encore plus faible que chez les crocodiles, avec 313 attaques en 2014 dont 165 mortelles, et dérisoire comparé aux décès causés par des animaux de ferme ou domestiques. Rien qu’aux Etats-Unis, 42 personnes en moyenne perdraient la vie chaque année, encornées par des vaches ou tuées par des chevaux.

En France, si 33 décès dus à des morsures de chiens ont été recensés entre 1990 et 2010, plusieurs milliers d’attaques de canidés sont pourtant signalées chaque année. D’après une étude menée en 2012, les bergers allemands et les labradors seraient les chiens les plus mordeurs. Loin de là l’idée qu’ils soient plus dangereux que d’autres, mais étant deux races très populaires dans l’hexagone, le risque de morsures est ainsi multiplié. Quant aux morsures de serpent, elles causeraient la mort de 20 000 à 94 000 personnes dans le monde, d’après une étude publiée en 2008 dans le journal Plos Medicine.

Les insectes responsables de nombreux décès 

Et l’animal causant le plus de décès serait finalement… le moustique ! Vecteur de paludisme, cet insecte provoque chaque année la mort d’environ 500 000 personnes dans le monde. Les piqures de guêpes et abeilles causent, quant à elles, une quinzaine de morts chaque année en France. D’après les données dévoilées par Centers for Disease Control and Prevention, les guêpes, frelons et abeilles auraient provoqué la mort de 921 personnes en 15 ans aux Etats-Unis. Dans ce pays comme en France, le nombre de personnes allergiques aux piqûres d’insectes a considérablement augmenté. Classées comme deuxième cause de décès provoqué par un animal, les piqures mortelles d’insectes ont causé 242 décès de moins que les mammifères aux Etats-Unis (1163 morts) entre 1999 et 2014. Mais si la population allergique poursuit son inflation, les décès causés par ces insectes pourraient bientôt supplanter aux Etats-Unis le nombre de décès dus aux attaques et morsures de mammifères…

Le Loup

Le « grand méchant loup » a une réputation bien mal méritée.

Une étude conduite en 2002 par l’institut des études naturelles norvégien a dénombré 331 personnes tuée par des loups sur une période de 50 ans. La plupart de ces attaques ayant été perpétrées par des loups atteints de rage. La première attaque a été enregistrée en 1557 en Allemagne, et la toute dernière recensée a eu lieu en 2001 en Lettonie. En France, 531 attaques (par forcément mortelles) ont été recensées entre 1578 et 1887.

©SUPERSTOCK/SUPERSTOC

Les Araignées

.Bien que la quasi-totalité des espèces d’araignées soient venimeuses, une dizaine d’entre elles seulement sont dangereuses pour l’Homme

« Deux envenimations sont remarquables par leur fréquence, leur ubiquité et leur éventuelle gravité : le latrodectisme (symptomatologie essentiellement neurologique) entraîné par la morsure des veuves du genre Latrodectus, et le loxoscelisme (symptomatologie cutanéo-viscérale)«  expliquent dans un article publié dans la presse médicale Philip Pommier, Luc de Haro, chercheurs du Centre antipoison de l’hôpital Salvator de Marseille et, Christine Rollard, du Département de systématique et évolution du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris.

En France, une seule espèce est dangereuse : la malmignatte. On la trouve en Corse et dans le Sud-Est de la France. La mortalité causée par ces animaux est toutefois pratiquement inexistante. 30 cas seulement ont été recensés entre 1973 et 1993 rapporte un article publié dans la presse médicale l’année suivante. 5 de ces cas ont été qualifiés de « sévères » sans pour autant être fatals à leurs victimes.

©Doral Chenoweth III/AP/SIPA

Le Requin

Le Musée d’Histoire Naturelle de Floride tient à jour une base de donnée (International Shark Attack File ou ISAF) qui recense les attaques de requin dans le monde.

Pour l’année 2014 elle dénombre 130 « incidents » impliquant une rencontre entre ces prédateurs marins et l’Homme. Mais seulement 72 de ces attaques sont le fait de l’animal. Les autres ont été provoquées par la personne qui a cherché à toucher le squale (pêcheur tentant de les décrocher de l’hameçon ou de les sortir du filet, plongeur cherchant a les caresser…). Et ces attaques sont loin de faire des ravages puisque l’ISAF recense « seulement » 3 cas mortels en 2014 : deux en Australie et un en Afrique du Sud.

©ARDEA/MARY EVANS/SIPA

Les Abeilles

Une étude de l’institut de veille sanitaire datée de 2014 a comptabilisé sur la période 2000 à 2010, 153 personnes décédées du fait de piqûre d’hyménoptères, soit en moyenne 14 décès par an. En 2004 et 2005, les décès ont été plus nombreux que les autres années : respectivement 23 et 20 décès. Le sex-ratio est en défaveur des hommes : 2,9 décès d’hommes pour 1 femme, soit 114 hommes pour 39 femmes sur la période 2000-2010. Les décès par contact avec un hyménoptère ont concerné en majorité des personnes de 45-64 ans.

©Yudy Sauw/Solent News/SIPA

Les Méduses

Avec les méduses, les accidents sont rares mais peuvent être mortels : en août 2014, un Français âgé de cinq ans avait succombé en Thaïlande à une piqûre de méduse-boîte, une des créatures les plus venimeuses de la planète.

D’après l’ouvrage « méduse à la conquête des océans » co-écrit par Robert Calcagno Directeur général de l’Institut océanographique et Jacqueline Goy, Attachée scientifique à l’Institut Océanographie, et spécialiste de ces animaux, « on estime aujourd’hui à une cinquantaine le nombre de décès dus à des piqûres de méduse chaque année dans le monde ».

©Barry Bland/REX/REX/SIPA

Les Crocodiles

Les attaques de crocodiles sont recensé dans une base de donnée appelé « Crocbite » tenue par la Charles Darwin University en Australie celle-ci dénombre 313 attaques en 2014 dont 165 mortelles.

« Les attaques de crocodiliens sur des humains sont plutôt rare affirme les chercheurs de l’Université Charles Darwin. Par exemple, si vous allez vous baigner dans le nord de l’Australie, vous avez statistiquement cent fois plus de risque de vous noyer que de vous faire mordre par un crocodile. »

©Sowersby/REX Shuttersto/SIPA

Les Serpents

« Bien qu’on ignore le nombre exact de morsures de serpents, on estime qu’elles concernent 5 millions de personnes chaque année et qu’il y a jusqu’à 2,5 millions de cas d’envenimement » chiffre l’OMS.

Une étude publiée en 2008 dans le journal Plos Medicine estime, elle, entre 421.000 et 1,84 millions le nombre d’envenimations annuelles, dont 20.000 à 94.000 seraient fatales

©ARDEA/MARY EVANS/SIPA

Le Moustique

L’un des plus petits animaux de cette sélection est aussi le plus mortel. Le moustique, parce qu’il véhicules de nombreuses maladies mortelles, est l’animal qui décime le plus l’espèce humaine. En effet Selon les dernières estimations de l’OMS, publiées en septembre 2015, 214 millions de cas de paludisme et 438 000 décès ont été recensées en 2015. La dengue toucherait, elle, 390 millions de personnes par an (avec une mortalité comprise entre 1 et 20%). On estime chaque année à 130 000 le nombre de cas de fièvre jaune et à 44 000 le nombre de décès dus à cette maladie dans les pays d’Afrique endémiques, où surviennent 90% des cas.

©LODI FRANCK/SIPA

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Pérou : des chercheurs découvrent un crocodile… au bec de canard !


Un crocodile qui avait une gueule assez particulière, car elle ressemblait à un bec de canard. Il n’était probablement un animal qui mangeait la même chose que les crocodiles que nous connaissons aujourd’hui.
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Pérou : des chercheurs découvrent un crocodile… au bec de canard !

 

Reconstitution en chair de Gnatusuchus pebasensis, le caïman croqueur de coquillages du miocène d'Amazonie péruvienne. Modelé par Kevin Montalban-Rivera.

Reconstitution en chair de Gnatusuchus pebasensis, le caïman croqueur de coquillages du miocène d’Amazonie péruvienne. Modelé par Kevin Montalban-Rivera. © Kevin Montalbán-Rivera / Isem

Ancêtre des caïmans, ce résident de la forêt amazonienne, identifié par une équipe de Montpellier, se nourrissait de bulots, de moules et de palourdes

Une équipe de l’Isem de Montpellier (Institut des sciences de l’évolution), épaulée par des chercheurs deToulouse et le Muséum d’histoire naturelle de Lima, a fait une découverte des plus étonnantes. Depuis 2002, l’équipe internationale prospecte le nord-est du Pérou en quête de fossiles datant d’une dizaine de millions d’années avant notre ère.

La découverte récente d’un gisement exceptionnel de sept espèces de crocodiles fossilisés est une aubaine :

« Seuls les fossiles permettent de mieux connaître les modalités d’émergence de l’écosystème amazonien et d’en caractériser le fonctionnement passé. Et ces fossiles, en particulier de vertébrés, sont bien rares ! Autant dire que dans de telles conditions de terrain, exécrables, découvrir un tel gisement est un véritable tour de force », explique Pierre-Olivier Antoine, professeur de paléontologie à l’université de Montpellier.

« Un animal exceptionnel »

« Chaque fois qu’une telle fenêtre sur le passé s’ouvre, elle fournit des données totalement inédites sur ces écosystèmes du passé. Et ce que l’on y trouve n’est que rarement ce que l’on s’attendait à y découvrir », ajoute John Flynn, conservateur des mammifères fossiles à l’American Museum of Natural History de New York.

Et pour cause, les fouilles ont notamment permis d’identifier une espèce disparue : un crocodile avec une gueule « en forme de canard » et des dents « globuleuses », qui utilisait probablement sa gueule ouverte pour remuer le fond boueux des points d’eau et y croquer des moules, des palourdes et des bulots.

« Quand on a analysé le crâne et les mâchoires de Gnatusuchus et déduit qu’il croquait des coquillages en s’aidant de mouvements latéraux de tête à la façon des ornithorynques, on a tout de suite réalisé qu’il s’agissait d’un animal exceptionnel », se souvient Rodolfo Salas-Gismondi, directeur du département de paléontologie du Muséum d’histoire naturelle de Lima.

Les chercheurs ont également découvert le premier représentant fossile du caïman amazonien actuel à la gueule plus longue et étroite adaptée à des proies plus classiques.

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Un caïman capturé dans un parc de Toronto


Ce caïman n’est pas venu, tout seul, au Canada. Probablement acheté quand il était bébé, mais pour X raison, il a été abandonné dans un étang, alors imaginez si des enfants aurait voulu s’en approcher. Comment se fait-il qu’il soit si facile d’avoir des animaux exotiques alors qu’on peine à faire adopter des chiens et des chats abandonnés ?
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Un caïman capturé dans un parc de Toronto

 

Des employés du zoo Reptilia de Toronto tentant d’attraper le reptile.

Un reptile aquatique d’Amérique centrale et du sud, long de 80 centimètres, a fini par être attrapé lundi par un gardien de zoo, après des heures de recherches, dans un étang de High Park, à Toronto.

Une Torontoise, Teghan Stadnyk, avait aperçu le caïman nager dans un étang situé dans le secteur ouest du parc, dimanche. Après s’être approchée, elle a constaté qu’elle n’avait jamais vu un tel animal auparavant.

Les employés du zoo Reptilia de Toronto se sont alors rendus au parc pour tenter d’attraper ce reptile semblable à l’alligator, qui préfère d’ordinaire les climats tropicaux.

Comment le reptile est arrivé là n’est pas encore clair, selon le conservateur de l’Indian River Reptile Zoo à Peterborough, Bry Loyst, qui suspecte toutefois que quelqu’un l’y ait abandonné.

Des responsables de la Ville se sont rendus au parc après avoir pris connaissance par les médias de la présence du reptile.

Ils ont alors repéré la créature qui prenait le soleil, mais ils ne disposaient pas du matériel nécessaire pour le capturer.

« Ils n’avaient pas d’équipement spécial, donc, ils ont attendu les experts », explique Tammy Robbinson, responsable des communications au service animalier de la Ville.

« Le service animalier ne s’occupe généralement pas d’alligators ».

Plus tard, des membres de l’unité marine des services de police de Toronto, ainsi que du personnel du zoo Reptilia, ont pris part aux efforts pour attraper le caïman. Ce qui leur a pris environ une heure.

La taille de l’animal et sa rapidité ont rendu sa capture plus difficile, selon la gardienne de zoo en chef, Cheryl Sheridan.

« Plus ils sont petits et plus ils sont rapides », explique-t-elle.

Un de ses collègues est finalement parvenu à l’agripper avec sa main, selon Cheryl Sheridan, qui ajoute que le plus difficile était de pouvoir se rapprocher suffisamment de l’animal.

« Il va devenir un peu plus gros que maintenant, mais cela prendra du temps, peut-être 20 ans ou plus », affirme-t-elle.

Le caïman pourrait faire jusqu’à 2,4 mètres de long et peser 160 kilos, indique Mme Sheridan.

Teghan Stadnyk a filmé des images de la scène et mis le tout sur YouTube :

 

 

Le commissaire de l’Indian River Reptile Zoo à Peterborough, Bry Loyst, a examiné la vidéo et il croit que la créature est un caïman adulte.

http://ici.radio-canada.ca

Il transforme sa maison pour vivre avec son caïman


Cela n’a vraiment pas de sens. Faut être vraiment égoïste pour faire de telle chose. Donner un toit a un chien ou un chat c’est normal mais un animal qui est un prédateur renommé est de la pure folie
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Il transforme sa maison pour vivre avec son caïman

 

(AFP)

Ni chien ni chat. En revanche, Chris Weller, 66 ans, a choisi depuis six ans César, un caïman d’1,70 m  comme animal de compagnie.

Et pour lui, il est prêt à tout. Bassin de nage, ponton en bois, immense chatière, palmier pour la décoration… Son petit pavillon du Kent en Angleterre s’est peu à peu transformé en véritable serre tropicale dédiée à l’animal.

Avec près de 30 000 euros de frais de transformation, ce surveillant de prison à la retraite n’a pas regardé à la dépense pour le bien-être de son ami.

S’ajoute à cela un système de sécurité sophistiqué pour empêcher César de s’enfuiret d’aller effrayer le voisinage. Pas moins de trois portes le séparent du grand air. Mais César a libre accès à la salle de bain et à la cuisine où Chris lui prépare des saumons et des steaks pour ses repas de gourmet.

Selon son maître, cette captivité n’est pas un problème.

 «Il n’aime rien de plus que de regarder la télévision et d’écouter la radio avec moi», affirme ce passionné qui envisage d’acquérir une compagne pour son comparse.

http://actualite.portail.free.fr/