Le shutdown pourrait durer jusqu’en janvier


Je ne pensais pas que cela pouvait être légal de tenir ainsi des fonctionnaires en otage pour faire voter un mur, même pour un président américain.
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Le shutdown pourrait durer jusqu’en janvier

 

La fermeture partielle des administrations fédérales américaines pourrait durer... (Photo SAUL LOEB, archives Agence France-Presse)

PHOTO SAUL LOEB, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Agence France-Presse
Washington

La fermeture partielle des administrations fédérales américaines pourrait durer jusqu’en janvier, a affirmé dimanche le directeur du budget à la Maison-Blanche, Mick Mulvaney.

« Il est très possible » que le shutdown « aille jusqu’au nouveau Congrès » qui doit se réunir pour la première fois le 3 janvier, a dit M. Mulvaney, alors que les tractations sur le budget fédéral, suspendues samedi, doivent reprendre le 27 décembre entre le Congrès et la Maison-Blanche.

Les démocrates vont reprendre début janvier le contrôle de la Chambre des représentants après leur victoire électorale en novembre et les républicains resteront majoritaires au Sénat, ce qui augure des négociations difficiles entre les deux chambres.

Le président américain Donald Trump refuse d’approuver un projet de budget préparé par le Congrès s’il n’intègre pas le financement d’un mur à la frontière du Mexique à hauteur de 5 milliards de dollars.

L’opposition démocrate, qui refuse de voter ce volet du projet, propose d’allouer 1,3 milliard de dollars pour améliorer le système de surveillance frontalier.

Faute de budget, de nombreux département et agences gouvernementales ont fermé leurs portes samedi matin, laissant environ 800 000 fonctionnaires en congé sans solde ou, pour les services jugés essentiels, forcés de travailler sans être payés alors que la période des Fêtes bat son plein.

M. Mulvaney a néanmoins tenu à préciser que tous les employés fédéraux seraient payés jusqu’au 28 décembre, et que ce n’est qu’à partir de cette date que leurs salaires seront susceptibles d’être affectés par le shutdown.

Il a été désigné comme prochain secrétaire général par intérim de la Maison-Blanche, pour remplacer le général John Kelly après son départ en fin d’année

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«Pas efficace»: la Maison-Blanche supprime l’aide aux élèves démunis


Il semble que les États-Unis s’enfoncent de plus en plus dans un écart grandissant entre les riches et les pauvres et les enfants démunis seront les adultes de demain et quel sera l’avenir pour eux. En plus, l’aide au soutien scolaire permet d’avoir un repas et certains des enfants, c’est le seul repas de la journée. Comment peut-on apprendre le ventre vide ?
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«Pas efficace»: la Maison-Blanche supprime l’aide aux élèves démunis

 

«Il n'y a pas de preuves solides que... (PHOTO Mark Makela, ARCHIVES REUTERS)

«Il n’y a pas de preuves solides que ce programme atteint ses objectifs, dont celui d’améliorer les performances des élèves», est-il expliqué dans la proposition de budget, qui avance que sa suppression permettrait d’économiser 1,2 milliard de dollars.

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Agence France-Presse
WASHINGTON

Le ministre américain du Budget a affirmé jeudi que rien ne démontrait l’efficacité du soutien scolaire destiné aux enfants démunis, qui y reçoivent parfois leur seul repas de la journée, afin de justifier la suppression d’un programme public s’occupant de plus d’un million d’écoliers.

Les programmes publics de soutien scolaire «sont censés aider les enfants qui n’ont pas à manger à la maison à être nourris pour pouvoir progresser à l’école. Et bien, devinez quoi? Il n’y a aucune preuve concrète qu’ils le fassent», a déclaré Mick Mulvaney, directeur du Bureau de la gestion et du budget de la Maison-Blanche, lors d’une conférence de presse.

Il présentait la proposition de budget 2018 de Donald Trump, qui doit encore être approuvée par le Congrès. Ce projet inclut l’élimination du programme «21st Century Community Learning Centers» qui, selon le site du ministère de l’Éducation, prend en charge plus d’un million d’enfants et d’adolescents.

«Il n’y a pas de preuves solides que ce programme atteint ses objectifs, dont celui d’améliorer les performances des élèves», est-il expliqué dans la proposition de budget, qui avance que sa suppression permettrait d’économiser 1,2 milliard de dollars.

Le ministre du Budget a également défendu les coupes prévues dans une enveloppe destinée notamment à financer la distribution de repas à des personnes âgées dans le besoin, estimant qu’il «n’y a juste pas de résultats démontrés».

Une alliance d’organisations publiques et privées défendant le soutien scolaire public, Afterschool Alliance, a rapidement dénoncé «une trahison des millions d’élèves et de parents qui dépendent de ces programmes d’apprentissage».

«Cette proposition dévasterait les familles où les parents travaillent», a-t-elle écrit dans un communiqué. «Elle ne se préoccupe malheureusement que du court terme et bafoue la promesse du président de rendre notre pays plus sûr».

Les inégalités sont criantes dans les écoles américaines, où les enfants issus de familles démunies trouvent parfois leur seul repas de la journée.

Plus de 31 millions d’élèves ont reçu en 2012 des repas moins chers ou gratuits grâce à un programme national financé par des fonds fédéraux, le «National School Lunch Program», soit près de 10% de la population américaine.

Une étude de l’université de Harvard estimait en 2008 que ce type de programmes de soutiens après l’école aidait non seulement à améliorer les résultats scolaires, mais faisait également baisser le risque que les élèves tombent dans la violence, la drogue et l’alcool.

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Le Saviez-Vous ► Comment la pizza est devenue un légume aux États-Unis


Pour moi, un légume ça pousse dans la terre, mais aux États-Unis à cause des compressions budgétaires (autour de 2011) et le lobbysme, la pizza est devenu étrangement un légume. Drôle de façon de lutter contre l’obésité
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Comment la pizza est devenue un légume aux États-Unis

 

Michel C. Auger

 Les membres du Congrès américain, qui sont au plus bas dans les sondages d’opinion, ont trouvé un nouveau moyen de se rendre ridicules en décrétant que la pizza était un légume.

En fait, la pizza s’est retrouvée au mauvais endroit, au mauvais moment. À l’intersection des compressions budgétaires idéologiques, d’un processus législatif dépassé et de la force des lobbys.

Les compressions budgétaires

L’administration Obama avait proposé de limiter la malbouffe dans les cafétérias scolaires. Sauf qu’un repas bien équilibré coûte un peu plus cher que la restauration rapide. Quatorze cents de plus par repas, ce qui, en cinq ans, aurait tout de même coûté 6,8 milliards de dollars au trésor fédéral.

C’était trop pour les républicains au Congrès qui cherchent partout des moyens de réduire les dépenses, y compris dans les cafétérias scolaires. Alors, le meilleur moyen d’avoir plus de légumes, c’est de changer la définition d’un légume. C’est ainsi que la loi prévoit désormais que la sauce tomate présente sur une pointe de pizza lui permet de se qualifier comme une portion de légume.

Ce n’est pas la première fois qu’on essaie quelque chose du genre. Sous l’administration Reagan, il y a 30 ans, on avait tenté de considérer le ketchup comme un légume, pour les mêmes considérations budgétaires. Sauf qu’alors, le côté ridicule de l’affaire avait fait reculer les amis du ketchup…

Le processus législatif et budgétaire

La seconde difficulté est le processus législatif et budgétaire américain. La question de la pizza n’était qu’un petit article d’un énorme projet de loi budgétaire qui comptait des centaines d’éléments disparates.

Un membre démocrate du Congrès expliquait son vote avec candeur dans une entrevue télévisée : la loi comprenait aussi des projets auxquels il tient. Dans son cas, c’était une augmentation des budgets de l’aide juridique et des fonds pour des trains à haute vitesse.

« J’aurais pu voter contre la loi à cause de la pizza, mais cela aurait été voter contre ce pour quoi je me bats depuis des années. »

Les projets de loi budgétaires sont devenus des monstres législatifs qui comprennent des centaines, voire des milliers, d’articles et qui font l’objet d’un marchandage constant entre les partis et les divers comités du Congrès. On vote sur l’ensemble et pas sur chacun des éléments. C’est à prendre ou à laisser. Cela donne, à la fin, des aberrations – comme la pizza qui devient un légume –, qui sont dûment approuvées par le Congrès.

Les lobbys

Enfin, il y a les lobbys. On estime qu’il y a, à Washington, 22 lobbyistes pour chaque législateur. Les lobbys sont bien organisés, puissants et, depuis un récent arrêt de la Cour suprême, ils peuvent donner autant d’argent qu’ils le veulent à une campagne électorale.

Dans ce cas, les lobbys de la pizza et des frites congelées sont immédiatement intervenus. Tous les arguments étaient bons avec, au premier rang, la déréglementation chère aux républicains. Le gouvernement fédéral ne doit pas dire aux enfants et aux autorités locales ce qu’ils doivent manger ou servir dans les écoles.

Quand un lobbyiste dit cela, il peut souvent appuyer ses arguments avec une généreuse contribution à la caisse électorale du représentant du Congrès qui dira comme lui. Ou à celle d’un éventuel adversaire, si on a le malheur de lui tenir tête.

Évidemment, l’affaire de la pizza n’est qu’un petit exemple d’un processus législatif brisé et qui conduit aux pires aberrations. Ce n’est rien en comparaison à l’échec du « super comité », qui a échoué dans sa mission de trouver pour 1500 milliards de compressions budgétaires au cours des cinq prochaines années. Mais c’est le genre d’exemple dont le public se souvient.

C’est aussi ce qui fait que la popularité du Congrès comme institution est maintenant sous les 10 %. Il y a maintenant plus d’Américains qui croient qu’Elvis est vivant que de citoyens qui croient que leurs législateurs font du bon travail.

http://blogues.radio-canada.ca/

Nasa: baisse de budget pour les «sciences du climat»


C’est aberrant qu’on enlève des fonds pour l’étude du climat quand on voit clairement les conséquences des changements climatiques. Je n’ai rien contre l’exploration spatiale, car beaucoup de ce qu’on utilise dans tous les domaines est grâce a ces explorations. Le fait d’avoir vu Mars a été passionnant. Mais de voir l’argent dépenser pour Mars One alors qu’il y aurait des choses plus importante à préserver sur terre est grave. La NASA est le mieux placé pour étudier ce qui se passe de la-haut
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Nasa: baisse de budget pour les «sciences du climat»

 

Nasa:

Charles Bolden, le patron de la Nasa.Photo Archives / Reuters

WASHINGTON – La Commission de la science et de l’espace de la Chambre des représentants américaine a nettement réduit le budget du département «sciences de la Terre» de la Nasa, qui comprend notamment l’étude du climat, provoquant de vives protestations de l’agence spatiale jeudi.

Plus tôt cette semaine le président de cette commission, le républicain Lamar Smith, a présenté une proposition budgétaire pour la Nasa amputant de plus de 300 millions de dollars l’enveloppe consacrée à ces programmes, soit 18 à 32% de leur montant total.

Le budget actuel de cette division est de 1,9 milliard de dollars.

«Le projet de budget de la Nasa étudié à la Chambre des représentants coupe le programme de science de la Terre de l’agence et menace de compromettre les progrès pour une meilleure compréhension du changement climatique ainsi que nos capacités de préparation et de réponse aux séismes, aux sécheresses et aux ouragans», a regretté dans un communiqué le patron de la Nasa, Charles Bolden.

De nombreux élus républicains nient la réalité du changement climatique.

«La Nasa est à la pointe dans le monde dans l’exploration et l’étude des planètes et aucune n’est plus importante que celle sur laquelle nous vivons», a ajouté M. Bolden.

«En outre ce budget sous-finance des technologies spatiales essentielles pour que la nation puisse préserver sa prééminence dans l’espace, y compris pour aller sur Mars», a insisté M. Bolden.

La Nasa s’est fait l’écho d’une responsable de l’American Geophysical Union, Christine W. McEntee.

Dans une lettre au représentant Lamar Smith, elle dit que le groupement scientifique «est profondément préoccupé du fait que ce projet budgétaire réduit nettement les fonds de la division science de la Terre de la Nasa dans des proportions allant de 18 à 32%».

Pour sa part la Commission de la science et de l’espace de la Chambre explique dans un communiqué que cette proposition budgétaire représente un effort pour «rééquilibrer le budget de la Nasa» en mettant davantage l’accent sur l’exploration spatiale.

Lors d’auditions le mois dernier, le sénateur républicain du Texas, l’ultra-conservateur Ted Cruz, président de la sous-commission de l’espace et de la science du Sénat, avait insisté sur le besoin de recentrer les activités de la Nasa sur sa principal mission, l’exploration spatiale, jugeant «disproportionnée» l’augmentation des fonds alloués aux sciences de la Terre depuis le début de l’administration Obama.

La représentante démocrate du Texas, Eddie Johnson, numéro deux de la commission de la science et de l’espace de la Chambre, a vivement critiqué ce projet de budget 2016 avancé par la majorité républicaine, estimant qu’il s’agissait d’une attaque contre les activités science du climat de la Nasa qui était «idéologiquement motivée».

La Nasa a annoncé en janvier que 2014 a été l’année la plus chaude sur la planète depuis le début des relevés de températures 1880, mais les élus républicains persistent à nier la réalité du changement climatique.

http://fr.canoe.ca/

Non, on ne peut pas vivre avec un salaire McDo !


Je trouve choquant qu’un restaurant qui fait des affaires d’or avec la restauration-rapide se moquent éperdument de leurs employés et en plus MC DO s’unit avec Visa pour conseiller un budget  Est-ce que Visa s’inquiète de voir ses crédits en souffrance avec les employés du McDO
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Non, on ne peut pas vivre avec un salaire McDo !

 

Stéphanie Thibault

Parce que les salariés les moins payés ont du mal à boucler leurs fins de mois, la chaine de restauration rapide McDonald’s vient de créer un site de conseil financier, dans lequel elle leur conseille carrément de prendre un second job !

McDonald’s vient-il implicitement de reconnaître qu’on ne peut pas vivre correctement en étant salarié de la chaine ? Le géant américain du fast food vient en effet de mettre en ligne, en partenariat avec Visa, un site de conseils avisés pour aider ses employés les moins bien payés à gérer leur budget et leur permettre de boucler leurs fins de mois plus facilement.

Le slogan : « Chaque jour, chaque dollar fait la différence ».

Eteignez le chauffage !

Il faut dire qu’avec un salaire net de 1 105 dollars mensuel (ce que touche en moyenne un caissier de la chaine de restauration rapide estime un journaliste d’Irregular Times), la vie est plutôt difficile. McDo, « soucieux » de la qualité de vie de ses employés, met donc à leur disposition une sorte de budget type, et leur prodigue même quelques bons conseils financiers, comme éteindre le chauffage ou encore se trouver un deuxième emploi, à temps-plein si possible, afin d’augmenter leurs revenus mensuels !

Des conseils mal venus

McDonald’s reconnait-il ainsi que le salaire versé à ses employés est loin d’être suffisant pour pouvoir vivre convenablement ? Le géant du burger se veut en tout cas optimiste.

« Vous pouvez obtenir presque tout ce que vous voulez, tant vous vous y prenez à l’avance et que vous économisez dans ce but » indique-t-il.

Devant les réactions suscités par ces conseils, la chaine a toutefois publié un communiqué via le site ThinkProgress.org, précisant que

ces budgets-types « sont des exemples génériques destinés à aider à fournir un aperçu général de ce à quoi un budget individuel peut ressembler ».

http://www.planet.fr

L’angoisse du surendettement: solutions pour s’en sortir


Je suis une anti carte de crédit, (Je n’en ai pas et je n’en veux pas)  mais sachant qu’il est difficile pour certaines choses de ne pas avoir de crédit (maison, automobile … par exemple) il est important de comprendre l’importance d’un budget et si jamais le crédit donne des maux de tête .. il y a peut-être quelques trucs qui pourraient aider a régularisé la situation
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L’angoisse du surendettement: solutions pour s’en sortir

 

surendettement

Photo :iStockphoto.com

 

Catherine Crépeau

En ne faisant que le paiement minium sur votre carte de crédit, savez-vous combien de temps il vous faudra pour rembourser une dette de 10 000$? Plus de 50 ans! Et si vous ne pouviez plus payer? Pour prévenir les situations critiques et éviter le surendettement, voici des trucs et conseils simples mais efficaces.

Sommes-nous surendettés?

La tentation est forte de vivre à crédit. Qui attend encore d’avoir l’argent en poche pour se payer une télévision à écran plat ou des vacances à Cuba? L’endettement est pratiquement devenu un mode de vie, si on en croit les chiffres de Statistique Canada. Au milieu des années 80, le taux d’endettement par rapport au revenu disponible se situait autour de 70%. Il a grimpé à plus 148% au troisième trimestre de 2010, comparativement à 144% un an plus tôt. La dette moyenne par foyer s’élève maintenant à plus de 96 000$ en incluant les prêts hypothécaires et les cartes de crédit.

Il est certain que les gouvernements peuvent jouer un rôle dans l’encadrement du crédit, mais c’est d’abord aux consommateurs de se préoccuper de leur niveau d’endettement. Gail Vaz-Oxlade, spécialiste en finances personnelles et animatrice de la téléréalité Til Debt Do Us Part (Jusqu’à ce que la dette nous sépare, en français) diffusée sur les chaînes Slice et Global TV, le dit crument: sortir de l’endettement est un exercice difficile qui demande de la ténacité et de la persévérance. Si vous n’êtes pas prêts à y mettre les efforts, allez magasiner!

Êtes-vous surendetté?
Avant de s’angoisser avec vos finances, il faut savoir ce que veut dire être endetté ou surendetté. Le
Bureau du surintendant des faillites du Canada et les Associations coopératives d’économie familiale (ACEF)ont compilé quelques signes avant-coureurs:

•Vous dépensez toujours plus que ne vous le permet votre budget
•Vous utilisez vos cartes de crédit par nécessité
•Vous ne payez que les frais minimum exigés sur vos cartes de crédit sur une période de plusieurs mois ou vous êtes incapable de payer ces frais minimaux
•Vous devez réduire les dépenses courantes comme les vêtements et la nourriture
•Vous devez emprunter de l’argent pour joindre les deux bouts entre vos payes
•Vous songez à un deuxième emploi pour équilibrer votre budget
•Les créanciers vous pressent de les rembourser, vous menacent de poursuite ou de faire saisir vos biens
(voiture, meuble)
•Votre salaire a été saisi pour payer des dettes impayées;
•Les compagnies de services publics (
téléphone, électricité…) coupent leurs services parce que vous ne payez pas vos factures.

Trucs et astuces pour mettre fin à l’endettement
L’alarme sonne pour vous? Il est temps d’analyser rigoureusement votre situation financière. Dans son livre Zéro dette pour la vie, Gail Vaz-Oxlade suggère de dresser une liste de toutes vos dépenses sur une période de 6 à 12 mois pour savoir où disparaît votre argent. Tout doit être noté. Du petit café du matin payé comptant aux frais d’intérêt et de services imposés par votre institution financière.

Le réveil peut être brutal, prévient l’auteure. Mais ce n’est pas une raison pour abandonner, soutiennent les conseillers des ACEF. Au contraire. Plusieurs solutions sont à envisager:

•Réaménager son budget (réduire nos dépenses en fonction de nos besoins)
•Dresser une liste de priorités (rembourser ses dettes dans l’ordre en commençant par celles qui sont accompagnées des taux d’intérêt les plus élevés)
•Négocier avec ses créanciers (on peut faire baisser le taux d’intérêt de
nos cartes de crédit, moyennant des frais annuels)
•Vendre des biens

Ces mesures sont souvent suffisantes pour se remettre à flots. À la condition de conserver de bonnes habitudes budgétaires.

Si ce n’est pas le cas, la consolidation de dettes permet de regrouper vos dettes en un seul emprunt. Votre institution financière vous octroie un prêt pour couvrir toutes vos dettes et se charge de les rembourser. Vous n’avez qu’un seul paiement mensuel à faire, à un taux d’intérêt moins élevé que celui des cartes de crédit. Au Québec, vous pouvez aussi faire un dépôt volontaire si des créanciers menacent de saisir vos biens ou votre salaire. Vous pouvez alors rembourser vos dettes par le biais du tribunal.

La méthode de Gail Vaz-Oxlade
Gail Vaz-Oxlade a élaboré une méthode basée sur la discipline et la capacité d’établir des priorités. Dans son émission, sa méthode de gestion de budget prévoit les étapes suivantes:

•Établir quel est votre revenu et quelles sont vos dépenses fixes (loyer, hypothèque, hydro…)
•Se payer en premier, c’est-à-dire prévoir de l’épargne systématique, un compte épargne (5 à 10% de votre revenu doit être mis de côté) et un fonds d’urgence.
•Rembourser vos dettes de consommation selon un plan établi, idéalement, sur une période de trois ans.
•Établir quelles sont vos dépenses variables
(nourriture, loisirs, transport, vêtements, etc.) avec l’argent qui vous reste.

Sa façon de gérer les finances des familles invitées à son émission est draconienne. Après avoir analysé leur situation financière, elle fait disparaître le plastique (cartes de crédits et débits) et met les familles au régime «cash». On quitte le virtuel pour entrer dans le concret. Les participants doivent réapprendre à utiliser de l’argent comptant pour leurs dépenses variables. Ceci leur permet de prendre conscience de l’argent qu’ils peuvent effectivement dépenser et ainsi reprendre progressivement le contrôle de leurs finances.

Les pots Mason à la rescousse!
À la base de la méthode: les pots Mason. Gail Vaz-Oxlade suggère d’utiliser des pots
(ou des enveloppes) avec de l’argent comptant à l’intérieur pour couvrir les dépenses (variables) de la semaine. Pas de cartes de débit, ni de cartes de crédit. On note toutes les dépenses par catégories dans un cartable au fur et à mesure. Quand le bocal est vide, on arrête de dépenser. Évidemment, pour savoir combien d’argent mettre dans chaque pot, il faut avoir fait l’exercice du budget. Et s’engager à le respecter! Ce qui n’est pas facile, admet l’experte en finance personnelle. Mais le jeu en vaut la chandelle, assure-t-elle.

Si vous vous sentez coincé financièrement ou que vous avez du mal à savoir comment dépenser les revenus dont vous disposez, vous pouvez consulter l’ACEF de votre région. Les ACEF du Québec offrent gratuitement des ateliers sur le crédit, sur le budget ainsi qu’un service de consultation personnalisé.

Pour en savoir plus, on lit: Zéro dette pour la vie, Gail Vaz-Oxlade, Transcontinental, 2011, 240 pages.

Vous pouvez visionner les émissions de Gail Vaz-Oxlade sur le sitehttp://www.slice.ca/. Choisissez le menu vidéo en haut de la page, puis «Til Debt» sur le menu de gauche.

La version originale de cet article a été publiée sur vitamagazine.ca

http://www.coupdepouce.com

Commande annulée → Pas de balles anti-stress pour les militaires canadiens


Je peux comprendre que les soldats vivent du stress, mais de la a dépenser pour des balles anti-stress en période ou on coupe dans les services publics c’est fort !!! Et ce même si nous n’étions pas dans une période économique difficile, ce genre de dépense est un vrai gaspillage des fonds publics
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Commande annulée → Pas de balles anti-stress pour les militaires canadiens

TVA Nouvelles avec AFP

Le ministre de la Défense, Peter MacKay, a annulé vendredi une commande passée en début de journée pour recevoir 20 000 boules de caoutchouc anti-stress destinées aux troupes canadiennes, à cause des nombreuses moqueries sur Internet.

Ces balles anti-stress devaient permettre aux soldats d’évacuer leur tension musculaire. La livraison était prévue pour mars.

L’armée avait commandé ces boules malgré des coupures importantes dans son budget, ce qui avait été très critiqué par les internautes, sur les réseaux sociaux.

Le ministre a finalement reconnu qu’il s’agissait d’une dépense inutile.

«Dès que le ministre MacKay a été mis au courant de ce contrat, il a demandé aux responsables d’annuler cette dépense inutile pour les contribuables canadiens», a déclaré à l’AFP en fin de journée un porte-parole du ministre de la Défense.

http://tvanouvelles.ca

Le bénévole


Le bénévolat est-il appelé a disparaitre avec les générations futures ? Imaginé sans bénévoles comment d’activités dans divers domaines seraient en périls, comment des gens seront isolés en l’absence de ces gens dévoués
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Le bénévole

(Espèce menacée, à protéger…)

Le bénévole (activus benevolus) est un mammifère que l’on rencontre surtout dans les associations où il peut se réunir avec des congénères: les bénévoles se rassemblent à un signe mystérieux appelé: " convocation "- " appel ".

On les rencontre aussi en petits groupes, dans divers endroits, quelquefois tard le soir, l’œil hagard, le cheveu en bataille, le teint blafard, discutant ferme de la meilleure façon d’animer une manifestation ou de faire des recettes supplémentaires pour boucler un budget. Le téléphone, l’ordinateur sont des appareils beaucoup utilisés par le bénévole

L’ennemi héréditaire du bénévole est le " yaqua " (nom populaire) dont les origines n’ont pu être à ce jour déterminées; le " yaqua " est aussi un mammifère bipède mais il se caractérise surtout par un cerveau très petit qui ne lui permet de connaître que deux mots : " Y a qu’à " ; ce qui explique son nom.

Le " yaqua ", bien abrité dans la cité anonyme, attend; il attend le moment où le bénévole fera une erreur, un oubli, pour bondir et lancer son venin qui atteindra son adversaire et provoquera chez lui une maladie très grave, le " découragement ".

Les premiers symptômes de cette maladie implacable sont visibles très rapidement: absences de plus en plus fréquentes aux réunions, intérêt croissant pour son jardin, sourire attendri devant une canne à pêche et attrait de plus en plus vif qu’exercent sur le sujet atteint un bon fauteuil et la télévision.

Les bénévoles, décimés par le découragement, risquent de disparaître et il n’est pas impossible que, dans quelques années, on rencontre cette espèce uniquement dans les zoos où, comme tous ces malheureux animaux enfermés,
ils n’arriveront plus à se reproduire.

Les " yaqua " avec leurs petits cerveaux et leurs grandes langues viendront leur lancer des cacahuètes pour tromper leur ennemi, ils se rappelleront avec nostalgie du passé pas si lointain où le bénévole abondait et où on pouvait le traquer sans contrainte.

Texte trouvé dans un bulletin municipal alsacien.

Impôts ► Un batteur à oeufs de 75 000$


Je sais que les gouts ne se discutent pas mais quand même, je trouve qu’on peut faire n’importe quoi en prétextant que c’est de l’art, mais ce qui est plus frustrant c’est l’argent allouer a cette mascarade alors qu’il y a des besoins beaucoup plus criants qu’un batteur a oeuf en sculpture qui ne sert strictement a rien ..
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Impôts  ► Un batteur à oeufs de 75 000$

Impôts - Un batteur à oeufs de 75 000$

L’oeuvre intitulée Mélangez le tout qui est sur le point d’être complétée derrière le Centre Jean-Claude Malépart va coûter près de 75 000$ aux contribuables montréalais.

© Mélanie Colleu/Agence QMI

MONTRÉAL – La collection en art public de la Ville de Montréal ne cesse de s’agrandir. Dernière acquisition: un batteur à œufs géant d’une valeur approchant 75 000$.

L’œuvre, intitulée Mélangez le tout, est en cours d’installation derrière le Centre Jean-Claude Malépart, dans l’arrondissement de Ville-Marie. L’instrument de cuisine de près de cinq mètres de hauteur se dresse devant l’une des entrées du complexe de loisirs sportifs, culturels et communautaires.

Les deux artistes québécois, Jean-François Cooke et Pierre Sasseville, ont remporté cet automne un concours organisé par le bureau d’art public de Montréal qui cherchait un projet artistique reflétant le caractère multidisciplinaire du centre.

« Ce mélangeur nous a séduits, car il renvoie aux nombreuses activités que propose le complexe Jean-Claude Malépart, mais également à la diversité de la population qu’il attire. C’est un objet étonnant », a estimé Francyne Lord, chef de section au bureau d’art public à la Ville de Montréal.

« Il a effectivement une forme particulière, mais comme Philadelphie a son épingle à linge, Paris sa bicyclette ensevelie ou Barcelone son carton d’allumettes, Montréal a maintenant son batteur à œufs », a-t-elle ajouté.

Un budget en expansion

Le budget consacré à l’art public à Montréal est en hausse depuis quelques années, selon Mme Lord.

« L’augmentation des constructions de grands équipements sur l’île de Montréal nous donne accès à des fonds supplémentaires pour commander des œuvres », a-t-elle expliqué.

La loi oblige entre autres les constructeurs d’édifices publics à consacrer 1 % de leur budget à la création d’une œuvre d’art public permanente.

Actuellement, la Ville de Montréal est propriétaire de 307 œuvres. Le plus petit projet a coûté 24 000 $ et le plus coûteux, place Émilie Gamelin, près de 375 000 $. La majorité de ces œuvres sont exposées dans l’espace public (parc, place, rue), tandis que les autres sont intégrées dans l’architecture (verrières, murales, etc.).

Le saviez-vous?

Réévaluée en 2002, la sculpture L’Homme d’Alexandre Calder, installée au parc Jean-Drapeau, a été estimée à 52 millions $ US. C’est l’œuvre la plus chère du Canada.

http://fr.canoe.ca