Des passants piégés devant la prostitution d’une enfant de 9 ans à Bruxelles


Une expérience sociale d’une enfant de 9 ans se fait passer pour une prostituée. Les prostituées, on d’abord inciter à rentrer à la maison voir même lui donner de l’argent. Puis d’autres essaient de comprendre, des plus âgés comme des jeunes. En fin du compte, c’est des hommes qui ont bien réagit, ils n’ont pas essayé de la dissuader, mais on préféré rester à l’écart et appeler la police. Et le dernier plan, est douteux, on ne sait pas vraiment ce que veut le monsieur.
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Des passants piégés devant la prostitution d’une enfant de 9 ans à Bruxelles

 

Le Saviez-Vous ► Il y a 60 ans, l’Expo 58 et son "zoo humain"


La première Exposition universelle a 60 ans dans le cadre d’Exposition universelle en Belgique était dans le but de montrer les us et coutumes des pays étranger en Afrique. Malheureusement, le racisme toujours présent même à cette époque a ridiculisé le figurant congolais. Le positif pour le Congo dominé la Belgique, ils ont obtenu leur indépendance 2 ans après… Aujourd’hui, heureusement, les Expositions universelles sont plus intéressantes et instructifs
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Il y a 60 ans, l’Expo 58 et son « zoo humain »

 

© photo news.

Le 17 avril 1958 était inaugurée à Bruxelles l’Exposition universelle. Il y a soixante ans, l’Algérie était encore française, le Congo était encore belge et la propagande coloniale pensait encore avoir de beaux jours devant elle…

Organisée à Bruxelles du 17 avril au 19 octobre 1958, l’Exposition universelle fut le premier événement culturel majeur de l’après-guerre en Europe et accueillit au cours de ces six mois plus de 42 millions de visiteurs. À une époque où voyager était un luxe réservé à l’élite, la population nourrissait alors un vif sentiment de curiosité à l’égard des traditions et des coutumes étrangères. Et encore davantage quand il s’agissait du continent africain, souvent le plus « déroutant » aux yeux du Belge moyen de l’époque.

« Village nègre »

Dans un cadre caricatural, pour ne pas dire raciste, le pavillon congolais consistait en une sorte de « village nègre » et exposait ses représentants comme des « bêtes curieuses ». Le dispositif ne présentait qu’une seule face de la colonisation: ses « aspects positifs » et, surtout, la suprématie européenne sur le peuple africain, confiait ce matin à la Première Maarten Couttenier, historien et anthropologue au musée Royal de l’Afrique centrale à Tervuren.

« Zoo humain »

Des figurants en provenance du Congo devaient en effet reconstituer un village africain, une attraction pour les visiteurs: un modèle aux allures de « zoo humain«  aujourd’hui inconcevable.

Si l’intention de départ ne cherchait pas à ridiculiser et souffrait sans aucun doute de l’ignorance de son époque, cette mise en scène grotesque n’en était pas moins « aberrante », dénonce l’expert. 

Mais le pire était encore à venir… 

Jets de bananes

Face à ce « spectacle » d’un autre âge, certains visiteurs n’hésitèrent pas à jeter des… bananes aux acteurs. Confrontés à ces débordements inacceptables, les figurants insultés décidèrent tout simplement de quitter le pavillon, raconte la RTBF. Et c’est précisément là que réside le point positif de l’histoire: en 1958, les colonies vivaient en réalité leurs dernières heures et la contestation commençait alors à s’exprimer sans crainte. Deux ans plus tard, le Congo accédait à l’indépendance.

Racisme contemporain

Plus d’un demi-siècle plus tard, en 2014, le joueur brésilien de Barcelone Dani Alves ramassait sur la pelouse une banane lancée des tribunes par un supporter de Villareal. Si ce genre de manifestation hostile se fait plus rare ces dernières années, les insultes à caractère raciste inondent toujours les stades de foot et perturbent encore régulièrement le bon déroulement des rencontres.

Bref, le « zoo humain », c’est sans doute fini, mais le racisme est toujours là.

http://www.7sur7.be/

Un sous-marin de la Première Guerre mondiale trouvé


Un des vestiges de la Première Guerre mondiale à été découvert au large des côtes de la Belgique. Malgré les dommages sur le sous-marin Allemand, il est resté étrange même après avoir passé toutes ses années sous l’eau avec ses cadavres
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Un sous-marin de la Première Guerre mondiale trouvé

 

The Associated Press

BRUXELLESUn sous-marin allemand de la Première Guerre mondiale renfermant les corps de 23 personnes a été découvert au large des côtes de la Belgique, ont annoncé les autorités mardi.

Le gouverneur de la Flandre-Occidentale, Carl Decaluwe, a déclaré à l’Associated Press que cette découverte, effectuée en mer du Nord, est «vraiment unique».

Il a expliqué que les dommages affligés au submersible sont essentiellement concentrés à l’avant et que le sous-marin est demeuré étanche pendant toutes ces années.

Le sous-marin de type UB II mesure 27 mètres de long sur 6 mètres de largeur. Il repose à environ 25 mètres sous la surface de l’eau à un angle de 45 degrés.

M. Decaluwe a précisé que le sous-marin a été trouvé par des scientifiques. Il n’a pas voulu dévoiler son emplacement exact avant que le site ne soit protégé. ll dit avoir contacté l’ambassadeur d’Allemagne pour organiser la suite des choses.

Environ 18 sous-marins allemands étaient stationnés au large de Bruges entre 1915 et 1918, principalement pour intercepter les avions alliés et les cargos qui tentaient de traverser la Manche. Treize de ces sous-marins ont été détruits.

http://journalmetro.com

Une bibliothèque vieille de 200 ans, retrouvée intacte à Bouillon, en Belgique


Le propriétaire de cette bibliothèque avait quitté Bruxelles pour s’établir en Belgique en 1789 laissant tout derrière lui. Les livres sont demeuré intacts malgré les quelques siècles qui sont écoulés et il y avait même un atlas imprimé en 1575
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Une bibliothèque vieille de 200 ans, retrouvée intacte à Bouillon, en Belgique

Photo de la bibliothèque de Bouillon, qui recèle 182 ouvrages exceptionnels des 18e et 19e siècles.

  • Par Claire Conruyt

Rien n’a bougé dans ce cabinet de travail découvert par un expert d’une salle de ventes à Bruxelles. Outre le mobilier, en excellent état, il contient une collection de plus de 180 livres rares des 18e et 19e siècles. Un ensemble dispersé aux enchères ce mardi 20 juin.

«Il est extrêmement rare de tomber sur une telle bibliothèque authentique. C’est comme si j’avais été catapulté au 18e siècle dans une machine à remonter le temps. Les livres sont tous parfaitement conservés et semblent tout droit sortis de l’imprimerie de l’époque, dans leur couverture en papier d’origine», affirme Henri Godts, interrogé par le site belge Le Vif.

Cet expert d’une salle de ventes à Bruxelles a fait l’extraordinaire découverte d’une bibliothèque bicentenaire. Elle appartenait à un intellectuel français qui s’était réfugié à Bouillon, ville francophone de Belgique, située en Région wallonne dans la province de Luxembourg, pour fuir la Révolution de 1789 dont il ne supportait pas les excès. La bibliothèque a été découverte à l’endroit exact où son propriétaire l’avait laissé. Les proches survivants de ce dernier sont allés à la rencontre de Henri Godts et lui ont appris l’existence de ce véritable trésor.

Un des premiers atlas modernes

 

Atlas d'Abraham Ortelius. Capture d'écran Twitter

Les 182 ouvrages, parfaitement conservés et datant des 18e et 19e siècles, ont pour thématique principale les pays étrangers, leurs habitants et leur culture exotique. Mais l’objet le plus exceptionnel abrité par la bibliothèque est sans doute l’atlas de l’Anversois Abraham Ortelius, un des plus grands cartographes du 16e siècle et contemporain du géographe Mercator. Cette pièce, considérée comme le premier atlas moderne, date de 1575 et ne fut imprimée qu’à une centaine d’exemplaires à l’époque.

«Lorsque j’ai ouvert pour la première fois la porte de cette bibliothèque, j’ai été extrêmement surpris par l’authenticité et l’ambiance 18e qui y régnait. Il m’a fallu deux jours pour pouvoir en dresser l’inventaire complet. J’ai tenu chacun de ces livres en mains en veillant à procéder minutieusement pour éviter de les endommager», confie l’expert.

La valeur de la carte est estimée entre 40.000 et 45.000 euros. Quant à la bibliothèque, elle sera proposée aux enchères entre 30.000 et 45.000 euros par la salle de ventes Henri Godts, à Bruxelles, ce 20 juin

http://www.lefigaro.fr/

Le Saviez-Vous ► Mais qui était «Rascar Capac», la momie des aventures de Tintin?


Les livres de Tintin, on fait partie de ma jeunesse. Ceux qui ont lu Les Sept Boules de Cristal et Le Temple du Soleil se rappellerons sûrement de cette momie Rascar Capac qui jetaient la malédiction sur des savants. Hergé, c’est inspirer du personnage inquiétant Rascar Capac par une momie qui est dans un musée à Bruxelles et qui promet d’autres découvertes sur cette momie avec les nouvelles technologies au service de l’archéologie .. Donc, un personnage à suivre
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Mais qui était «Rascar Capac», la momie des aventures de Tintin?

 

Sur la photo, une image tirée de la...

Sur la photo, une image tirée de la bande dessinée.

Agence France-Presse
Bruxelles

Quel âge avait-il ? Que mangeait-il ? De quoi est-il mort ? Autant de questions auxquelles vont tenter de répondre des chercheurs belges en braquant leurs instruments sur la momie péruvienne « Rascar Capac », rendue célèbre par son apparition effrayante dans les aventures de Tintin

La peau brune et desséchée de cette momie aux orbites vides, jetant des sorts à Tintin et à ses compagnons dans les albums Les Sept Boules de Cristal et Le Temple du Soleil, ont marqué les esprits des lecteurs les plus braves.

Pour créer ce personnage inquiétant, Hergé, le « père » de Tintin, se serait inspiré d’une véritable momie précolombienne, conservée depuis 175 ans aux Musées royaux d’Art et d’Histoire de Bruxelles.

La chercheuse Caroline Tilleux et le conservateur des collections « Amérique » du musée, Serge Lemaitre, ont décidé d’étudier en profondeur cette momie, ainsi que six de ses semblables également conservées dans le musée bruxellois.

« Rascar Capac » avait déjà fait l’objet d’un premier examen dans les années 1990, mais elle vient de repasser sous les instruments de pointe des Cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, ont indiqué cette semaine les responsables du musée.

Grâce aux nouvelles avancées technologiques en matière d’imagerie médicale, les chercheurs espèrent obtenir des informations plus précises sur la date de la mort, l’alimentation ou encore l’origine géographique des sept momies conservées dans la capitale belge. Les résultats de l’étude devraient être disponibles d’ici à quelques mois.

http://www.lapresse.ca/

Les effets troublants des ondes des cellulaires sur les fourmis…


Avec tous les téléphones intelligents qui sont utilisés, cela a-t-il un impact sur la santé ? Un débat sans fin. Une petite expérience intéressante qui pourrait servir d’un côté comme insecticides mais .. pour l’être humain, même si la question n’a pas de réponse totalement confirmée, mieux vaut utiliser son téléphone avec modération
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Les effets troublants des ondes des cellulaires sur les fourmis…

 

 

À Bruxelles, des chercheurs du Département de Biologie ont dévoilés une étude sur l’impact des ondes GSM sur les fourmis.

D’après une expérience réalisée sur plusieurs colonies de fourmis exposées aux ondes d’un téléphone cellulaire, ces insectes sont fortement touchés par les rayonnements électromagnétiques émient par nos GSM.

En effet, les fourmis exposées à moyen terme sont désorientées, perdent de leur mobilité, de leur mémorisation et ne récupèrent pas la totalité de leur performance. Les fourmis exposées à long terme meurent de façon prématurée.

http://www.insoliteqc.com/

Braquage audacieux à l’aéroport de Bruxelles


Un vol digne des films américain commit au nez de tous et personne n’a rien vue .. Un vol qui rapporte gros et qui sera sans doute très difficile de trouver les auteurs ou les diamants dérobé
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Braquage audacieux à l’aéroport de Bruxelles

 

Les malfaiteurs ont percé le grillage pour accéder au tarmac de l'aéroport de Bruxelles.

Les malfaiteurs ont percé le grillage pour accéder au tarmac de l’aéroport de Bruxelles. © Bruno Fahy / AFP

Le Point.fr –

 

Huit malfaiteurs ont raflé 50 millions de dollars de diamants en 5 minutes. Un hold-up qui pose la question de la sécurité dans les aéroports.

 

ALAIN FRANCO

10 millions de dollars la minute ! C’est le  « salaire » encaissé par huit braqueurs masqués qui, en cinq minutes montre en main, ont raflé lundi soir 120 sacs de diamants à l’aéroport de Bruxelles-National, censé, comme tout aéroport européen, être ultra-protégé.

Il est en effet 19 h 47 lorsque deux véhicules noirs équipés de gyrophares arrivent au pied d’un avion de la compagnie Helvetic Airways en partance pour Zurich. Les passagers sont déjà à l’intérieur. Dehors, les hommes de la société de transport de fonds Brink’s sont en train de finir de charger la soute. Quatre individus en uniforme « rappelant ceux de la police », explique la justice belge, surgissent des deux voitures maquillées. Cagoulés, armés de fusils mitrailleurs, ils prennent en joue le pilote, le copilote et les transporteurs de fonds. Ils forcent les portes de la soute, et en extraient 120 sacs et colis, principalement de diamants. Ils repartent rapidement sans avoir tiré un coup de feu, par où ils étaient venus : un trou pratiqué dans une clôture entre deux chantiers de l’aéroport, explique la porte-parole du parquet, Ine Vanwymersch. À l’aller comme au retour, les braqueurs ont traversé une partie de l’aéroport, roulant même le long du siège de la compagnie nationale Brussels Airlines.

Un travail de professionnels

« La trentaine de passagers à bord n’a rien vu, n’a pas compris ce qui était en train de se dérouler, raconte l’un d’entre eux à la chaîne de télévision VTM : ça s’est passé très vite, on a tout juste remarqué un peu d’animation dans le cockpit. J’étais assis pas loin et j’ai entendu des échanges de conversations. Puis la police nous a interrogés et notre vol a été annulé. » « Il s’agit d’un travail de professionnels, très bien préparé », confirme Ine Vanwymesch.

L’affaire est entre les mains de la cellule policière chargée du grand banditisme. L’une des voitures, un fourgon Mercedes qui a probablement servi au braquage, a été retrouvée carbonisée à une quinzaine de kilomètres de distance, à proximité de la petite ville flamande de Zellik. Des témoins affirment avoir vu des hommes rejoindre une autre voiture, partie dans la nuit.

La chaîne VTM a publié des photos prises « quelques minutes après le braquage », visiblement par des caméras installées sur l’aéroport. « La police n’est pas encore arrivée sur les lieux », affirme la chaîne.

Sécurité

Les diamants provenaient d’Anvers, reconnaît Caroline de Wolf, porte-parole de l’Antwerp World Diamond Center, première place mondiale du traitement des diamants. Estimés à une cinquantaine de millions de dollars (37,5 millions d’euros), ils devaient être vendus ou peut-être taillés à l’étranger.

Rapidement, la presse belge s’est faite l’écho d’interrogations sur la qualité du niveau de sécurité autour de l’aéroport.

« Est-il bien opportun d’avoir trois services différents en charge de la sécurité à l’intérieur et autour de l’aéroport national ? » demande « un haut responsable du Syndicat national du personnel de police et de sécurité (SNPS) ».

« L’attaque à main armée sur le tarmac de Brussels Airport lundi soir prouve encore une fois que la sécurité n’est pas optimale. Il faut plus qu’un filet pour empêcher l’accès au tarmac. »

En octobre 2000, un braquage similaire avait déjà posé le même type de questions. Plusieurs coffres de diamants avaient été dérobés d’un avion de la Lufthansa dans des conditions semblables, pour une somme évaluée à 7 millions d’euros. Y aurait-il un lien entre les deux affaires ?

« À ce stade, nous n’excluons rien », répond prudemment Ine Vanwymesch.

http://www.lepoint.fr