20 ans après Dolly, mange-t-on un peu de viande clonée?


J’espère qu’au Canada s’ils vendent de la viande clonée, que se soit bien spécifiée sur l’emballage. Cela me dérange qu’on clone des animaux pour l’alimentation, pour l’élevage, il me semble que ce n’est vraiment pas naturel
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20 ans après Dolly, mange-t-on un peu de viande clonée?

 

20 ans après Dolly, mange-t-on un peu de viande clonée?

C’est la plus célèbre des brebis. Le 5 juillet 1996, Dolly, premier mammifère à avoir été cloné à partir d’une cellule adulte, voyait le jour en Ecosse. Vingt ans plus tard, le clonage à des fins agricoles est pratiqué dans plusieurs régions du monde mais l’Europe résiste.

Révélé en février 1997, le clonage de Dolly, réalisé par l’institut Roslin d’Edimbourg, est salué à l’époque comme une avancée scientifique majeure. Il provoque aussi une vive polémique sur son éventuelle application à l’être humain.

Pour Dolly, la vie n’est pas un long fleuve tranquille. La brebis vieillit prématurément. Elle souffre d’arthrite puis développe une maladie des poumons, qui lui vaut d’être euthanasiée en 2003. Sa dépouille naturalisée trône à présent au musée national d’Écosse.

Le clonage est une technologie lourde. Pour Dolly, les chercheurs ont transféré le noyau d’une cellule de glande mammaire prélevée sur une brebis adulte dans un ovocyte énucléé. Ils ont ensuite implanté l’embryon obtenu dans l’utérus d’une brebis «porteuse».

Dans le monde de l’élevage, «le clonage a été perçu comme un outil d’aide à la reproduction d’animaux», déclare à l’AFP Jean-Louis Peyraud, chercheur à l’Inra, l’institut français de recherche agronomique.

La technique étant fort coûteuse – plus de 14 000 dollars canadiens – le but n’est pas d’avoir des clones pour commercialiser leur viande mais pour améliorer les troupeaux.

Des sociétés privées américaines ont ainsi entrepris de cloner des animaux à forte valeur génétique: vaches donnant beaucoup de lait mais aussi des ovins et des porcins à haut potentiel.

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a autorisé en 2008 la commercialisation des produits provenant d’animaux clonés et de leur progéniture, estimant qu’ils étaient «aussi sûrs que ceux des animaux conventionnels».

En dépit d’un taux de succès relativement faible – de 15 % à 30 % selon M. Peyraud -, le clonage a poursuivi son chemin aux États-Unis. La société texane ViaGen s’enorgueillit sur son site d’avoir «développé des milliers d’animaux clonés en bonne santé et actifs», avec sa maison-mère Trans Ova Genetics.

L’Argentine, le Brésil, le Canada, l’Australie pratiquent également le clonage d’animaux d’élevage.

La Chine a fait sensation fin 2015 avec l’annonce de la construction d’une usine de clonage de divers animaux. La société Boyalife promet 100 000 embryons de vaches la première année et un million par an à terme.

Face à son opinion publique majoritairement hostile au clonage, l’Union européenne ne produit pas de clones pour l’élevage. Depuis 1997, elle impose une autorisation de mise sur le marché pour la vente de produits clonés. Jusqu’à présent, personne n’a déposé de dossier.

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Une petite fille aide une brebis à mettre bas.


Rachel Nicholas vit dans une ferme au Royaume-Uni. Il y a des moutons, des chèvres, des cochons et des vaches – sans oublier sa fille de 3 ans, Lilly, qui est déjà un expert des animaux de la ferme Une brebis de la fermière était prête à mettre bas, mais l’accouchement s’annonçait difficile et la brebis avait besoin d’aile, et c’est la petite fille qui a aidé pour la naissance. C’est la deuxième fois que Lilly intervient lors d’une mise-bas cette saison. D’après la mère, elle est très fière de participer à la naissance des bébés. On peut dire que cette demoiselle est une pro malgré ses 3 ans
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Une petite fille aide une brebis à mettre bas

 

Elle survit 11 jours sous la neige Une brebis miraculée


C’est déjà assez difficile pour un être humain de survivre dans des mètres de neige, et ce, pendant plusieurs jours, alors pour un animal, c’est vraiment un exploit
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Elle survit 11 jours sous la neige : Une brebis miraculée

 

Une brebis miraculée

Crédit photo : archives, AFP

Il retrouve une brebis vivante ensevelie sous trois mètres de neige

Les tempêtes de neige se sont abattues sur l’Écosse dans les dernières semaines. Lorsque la météo est devenue plus clémente,Stuart Mactier est parti à la recherche de ses troupeaux de moutons. Mais il ne s’attendait certainement pas à retrouver une brebis vivante ensevelie sous trois mètres de neige.

Prise dans sa fâcheuse position pendant 11 jours, la bête aura été la seule de son groupe à s’en sortir vivante.

«Je ne pouvais pas le croire et le plus étonnant, c’est qu’elle était tout à fait bien. Les yeux brillants. Les autres moutons autour d’elle étaient tous morts malheureusement, mais elle, elle avait réussi à survivre» a déclaré le jeune homme de 19 ans.

Malgré cette belle découverte, la famille Mactier déplore la perte de 60 bêtes.

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