Une blogueuse australienne avoue avoir menti sur son cancer


Je suis toujours septique quand des gens mettent des articles de thérapies naturelles miracles, des aliments qui peuvent lutter contre des graves maladies. Je ne nie pas que cela peut faire un certain bien, et en effet, une bonne alimentation est importante pour renforcer le système immunitaire, mais delà a croire qu’on peut guérir de cette manière un cancer, c’est de jouer avec le feu et donc la mort
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Une blogueuse australienne avoue avoir menti sur son cancer

 

Belle Gibson avait lancé en 2013 «The Whole... (Saisie d'écran)

Belle Gibson avait lancé en 2013 «The Whole Pantry» (Tout le garde-manger), considérée comme la première application communautaire sur le bien-être, la santé et le bien manger.

SAISIE D’ÉCRAN

Une blogueuse australienne parvenue à la célébrité pour le récit de sa lutte victorieuse contre son cancer du cerveau grâce aux thérapies naturelles a reconnu jeudi n’avoir jamais été malade.

Belle Gibson avait lancé en 2013 «The Whole Pantry» (Tout le garde-manger), considérée comme la première application communautaire sur le bien-être, la santé et le bien manger. Elle racontait s’être elle-même soignée d’un cancer grâce à cette méthode.

Cette application avait même été choisie par le géant américain Apple pour sa nouvelle montre intelligente, d’après des informations de presse.

L’an dernier, la jeune femme de 23 ans avait également publié un livre de recettes, que l’éditeur a retiré des rayons en mars quand les premières suspicions sur la véracité de ses écrits ont commencé à émerger dans les médias australiens. Le livre devait être prochainement vendu aux États-Unis et en Grande-Bretagne.

Belle Gibson, qui est mère d’un enfant, a avoué dans une interview au magazine Women’s Weekly parue jeudi qu’elle avait totalement inventé son cancer du cerveau.

«Rien de tout cela n’est vrai», a-t-elle confessé dans cet article intitulé «Ma longue bataille avec la vérité». «Je pense simplement que (tout révéler) était la bonne chose à faire. Par-dessus tout, je veux que les gens disent: c’est bon, elle est humaine».

D’après la presse, Belle Gibson a reçu des courriels vengeurs et même des menaces de mort depuis la révélation du pot aux roses. Le retour de bâton a été «plus qu’horrible», a-t-elle dit, sans donner davantage d’explications sur ses mensonges sauf à dire que son enfance avait été difficile.

Les doutes sur les recettes miracles de Belle Gibson ont commencé à apparaître le mois dernier lorsqu’il a été révélé qu’elle n’avait pas remis comme promis à des oeuvres caritatives 300 000 AUD issus de ses droits d’auteurs. Certains de ses amis ont aussi commencé à s’interroger sur la réalité de sa maladie.

Todd Harper, responsable de l’association de lutte contre le cancer de l’État du Victoria, a exhorté les patients à se méfier des traitements qui semblent trop beaux pour être vrais.

De leur côté, les autorités chargées de la consommation ont annoncé examiner cette affaire.

«Les chefs d’entreprise sont obligés de s’assurer que toute représentation de leurs produits ou services ne trompe pas les consommateurs».

Le journal Australian Women’s Weekly a interrogé des spécialistes médicaux qui ont laissé entendre que la blogueuse souffrait peut-être d’une affection telle que le syndrome de Münchhausen, caractérisé par la simulation d’une maladie dans le but d’attirer l’attention.

http://www.lapresse.ca/

2013 en révision


Alors que plusieurs ont reçu leur rapport de WordPress, moi, je viens de le recevoir enfin !! Mille mercis à ont tous ceux qui s’arrêtent chez moi régulièrement ou de temps à autre. Alors on y va avec une autre année
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Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2013 de ce blog.

En voici un extrait :

Le Musée du Louvre accueille chaque année 8.500.000 visiteurs. Ce blog a été vu 750  000 fois en 2013. S’il était une exposition au Louvre, il faudrait à peu près 32 ans pour que chacun puisse la voir.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

Milles merci … 1 millions de visiteurs


Milles merci … 1 millions de visiteurs

 

Comme plusieurs, j’ai fait migration vers WordPress quand Windows Live fermait ses portes et offrait d’effectuer ce changement sans rien perdre de ce que nous avions accumulé au long des années. Au début ce fut la déception, et encore il existe des regrets .. d’autres ont suivi des chemins  différents..

J’ai décidé de suivre le courant et m’installer sur WordPress en septembre 2011  sauf que le début fut laborieux mais a la longue … ce fût une belle expérience … D’année en année les visites ont progressé pour avoir atteint aujourd’hui 1 millions de visites sur mon blog ..

C’est la France qui est 3 fois plus  fidèle aux visites a comparé au Canada (surtout au Québec)..puis la Belgique, la Suisse, l’Algérie, Maroc , États-Unis, Tunisie, Angleterre … ainsi que d’autres pays

J’ai atteint 1 millions de visiteurs depuis le début de mon périple sur WordPress plutôt que j’avais prévu et cela c’est grâce a vous

Milles merci  … de votre passage, de vos encouragements, de vos commentaires et des partages de certains de mes billets sur mon blog.

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Linguistique Les réseaux sociaux, véritables machines à inventer les mots


Les réseaux sociaux ont changé les relations entre les gens qui pour la plupart ne se connaissent pas en vrai (sauf comme Facebook, qui les connaissances sont parfois majoritaire aux autres  »ami ») Le langage a aussi évolué en inventant des mots pour communiquer. Mais cela influence-t-il la langue maternelle dans la vie réelle ??
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Les réseaux sociaux, véritables machines à inventer les mots

 

Linguistique - Les réseaux sociaux, véritables machines à inventer les mots

Photo Fotolia

Agence France-Presse
Sandra Lacut

PARIS – «Machines à user les mots». Totalement détournés de leur sens premier comme «social» ou «ami», les réseaux sociaux sont aussi de puissants outils collectifs où s’invente et s’expérimente le langage, estiment des linguistes et spécialistes des médias.

Le rapport semble en effet assez lointain entre la vie de la société et une expression comme «TV sociale», qui désigne la manière dont les internautes commentent en direct, sur ces réseaux, le déroulement des émissions télévisées.

Et l’affection qui relie deux êtres dans l’amitié n’a sans doute pas grand chose à voir avec les «amis» Facebook, inconnus pour la plupart, rivés à leurs activités sur la Toile.

«Je n’ai pas d’ami sur Facebook», ironise le journaliste et blogueur Guy Birenbaum, dont le compte, «Aimé» 5375 fois, affiche sur sa page d’accueil une photo: «Vous êtes en zone dangereuse».

Avec internet, le langage «n’a jamais autant évolué», se réjouit-il. «C’est un formidable espace de circulation et de partage mais il n’y a pas que du bon. Je n’aime pas le langage des textos mais les nouveaux mots inventés sur les réseaux sociaux sont souvent les plus jolis», ajoute-t-il, intarissable sur son chouchou du moment: «la perpétweeté».

«Un bon mot qui reste, dit-il, c’est comme pour la musique, quand quelque chose s’impose à tous, universellement. C’est ça internet et la culture populaire».

Jean Véronis, professeur des universités spécialiste du langage, adore le mot «blogue» et la façon dont il est né. Il raconte:

«ça vient de log, la bûche, qui attachée à une ficelle servait à mesurer les noeuds marins, reportés ensuite sur le carnet de bord du capitaine, devenu carnet de bord de la toile, du web, duquel on a gardé le B, pour B-log».

Darwinisme lexical

Cet universitaire rejette l’idée selon laquelle les réseaux sociaux appauvriraient la langue:

«social, ami, changent de sens mais c’est une évolution naturelle et une richesse. Ça marche ainsi depuis que l’homme existe, c’est du darwinisme lexical».

Les mots sont souvent adoptés «pour leur utilité», ajoute-t-il. «Il nous manque des verbes en français, donc nous francisons l’anglais, on dit liker ouunliker, on ne love pas les gens. L’anglais a l’avantage d’utiliser deux fois moins de mots», n’en déplaise aux puristes de la langue de Molière.

Les réseaux sociaux, conclut M. Véronis, «ne font pas plus changer notre langue que les Médicis au XVIe siècle ou les légions romaines».

Salman Rushdie, Haruki Murakami, Patricia Cornwell, Alexandre Jardin… Nombre d’écrivains ont cédé aux «gazouillis» de twitter. D’autres ont même créé un «institut de twittérature comparée» basé à Québec et Bordeaux.

Le linguiste Alain Rey reste circonspect:

«à partir du moment où on parle de réseau social pour désigner quelque chose qui met en rapport des gens quelconques facilement, le mot social ne désigne plus la société toute entière. C’est un peu comme le mot populaire, devenu péjoratif».

«On dit aussi follower pour ami mais la personne qui vous suit a parfois de très mauvaises intentions. On est loin de mon doux ami qui signifiait mon amour au Moyen Age. On valorise une pratique qui est loin de l’amitié», explique M. Rey.

S’il reconnaît le bien fondé des réseaux sociaux comme outil, il les voit aussi comme «des machines à user les mots par la rapidité et l’ampleur des relations» qu’ils génèrent.

«Internet accélère les échanges et favorise la dissémination des mots. Cela n’interdit pas de prêter une grande attention à leur sens et à leur bon usage», prévient quant à lui Arnaud Mercier, directeur de l’Observatoire du webjournalisme et de la licence professionnelle de journalisme numérique à l’université de Lorraine.

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Magnotta Il bloguait abondamment sur son «extrême beauté»


Pas sur qu’il fait sourire bien des gens depuis qu’il est devenu un meurtrier, mais une chose certaine c’est que ce gars est vraiment arrogant dans ses propos. Une fierté vraiment mal placé
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Magnotta

Il bloguait abondamment sur son «extrême beauté»

 

Magnotta - Il bloguait abondamment sur son «extrême beauté»

 

Photo AFP / Archives

«Je suis un top model», c’est le titre du premier billet apparemment publié par Luka Magnotta en 2009 sur l’un de ses blogues. Il y parle essentiellement de son «extrême beauté», de la jalousie de sa famille et de ses amis à son endroit, ou encore de sa bisexualité, mais rien ne laisse entrevoir les crimes qu’il a présumément commis trois ans plus tard.

Celui qui sera alors nommé par la presse du monde entier «le dépeceur de Montréal» a mis frénétiquement en ligne 44 billets au total, largement agrémentés de photos de lui, entre le 23 juin et le 1er juillet de cette année-là. Il s’agit parfois de textes interminables mis en ligne à quelques minutes d’intervalles.

Le jeune homme, qui dit avoir 26 ans à l’époque, y dévoile son égocentrisme exacerbé et commente par exemple certaines photos de lui, comme ce cliché où il apparaît torse nu, un blouson de cuir sur l’épaule, et les yeux mi-clos. Il se trouve « extrêmement sexy » et estime que cela doit être dur à supporter pour les gens moches qui l’admirent. Il raconte que parfois, lorsqu’il se regarde dans le miroir, il n’en croit pas ses yeux tellement il est beau.

L’auteur signe la plupart de ses textes «Luka Magnotta» et explique entre autres que la vie d’un mannequin n’est pas aussi facile qu’on le croit, «que faire attention à son image et à son apparence est un travail difficile» parce que la notion de beauté est très personnelle. Il est question de sa beauté en permanence.

«Les gens me haïssent parce que je suis beau», écrit-il, expliquant que les gars sont intimidés parce qu’ils se sentent «forcément laid à [ses] côtés». Il raconte qu’il a bien essayé de s’enlaidir, mais sans succès, parce que «rien ne peut cacher [sa] beauté».

Il semble parfois s’énerver lorsqu’il écrit que ce n’est pas de sa faute s’il est beau, mais que «c’est la faute de dieu, parce que dieu l’aime plus que les autres».

«Tout le monde veut me connaître et coucher avec moi, mais ils devraient d’abord savoir que je ne suis pas une pute […], je suis un gars sexy, oui, mais je ne suis pas une salope et je suis fatigué de ces gens qui font tout pour avoir mon attention et mon corps», affirme-t-il.

Magnotta demande aussi à ses lecteurs d’admettre qu’ils l’aiment et leur intime de cesser d’être jaloux de lui. La jalousie de tous ceux qui l’entourent vis-à-vis de sa beauté plastique et de son intelligence semble d’ailleurs le hanter, puisqu’il y fait tout le temps allusion. Il affirme même que des gens utilisent des photos de lui sur les réseaux sociaux pour faire croire qu’ils sont beaux, et aussi qu’il y a des centaines de faux sites web qui parlent de lui.

Dans une série de billets sur ce qui ressemble à une déception amoureuse, il déplore que ses amis le déçoivent et assure que, de toute sa vie, il ne pourra plus jamais faire confiance à personne. Il évoque aussi un lourd passé, précisant qu’il a eu «de nombreux partenaires, des problèmes avec la justice et que [son] nom a été cité dans tous les médias».

Enfin, une citation interpelle tout particulièrement a posteriori, d’autant qu’elle est livrée sans explication ni justification :

«Personne ne comprendra jamais ce que j’ai dû traverser ces dernières années et ça ne sert à rien que je vous le dise, et je ne le raconterai jamais. Vous n’étiez pas à ma place», écrit-il.

De nombreux sujets font également l’objet d’un billet, comme son intérêt pour la marijuana, son somnambulisme, son incapacité à contenir ses érections dans les douches collectives, ses trois séances de manucure par jour qu’il compare à de l’automutilation, sa passion pour les habits de fourrure et son rêve de porter un manteau en peau de tigre, ses reproches à son petit ami qui ne veut pas sortir du placard, ou encore sa certitude que les personnes qui ont peur des gais sont des homosexuels refoulés, et sa critique des patrons qui surveillent leurs employés sur les réseaux sociaux en dehors des heures de travail.


Magnotta s’intéressait à la scientologie

Dans son blogue tenu au début de l’été 2009, Luka Rocco Magnotta évoque son intérêt pour la scientologie.

«Cela me dérange vraiment d’entendre constamment de fausses rumeurs selon lesquelles l’Église contrôle les esprits», écrit sur ce blogue publié sur estrip.org et découvert par le magazineThe Village Voice.

«Je n’ai expérimenté que des choses positives en allant à l’Église et cela a changé ma vie pour le mieux, affirme celui qui est soupçonné d’avoir tué et démembré son ancien amant en mai dernier. Je n’ai personne, pas de famille ou d’amis à qui je peux faire confiance et l’Église agit comme ma famille à chaque fois que j’y vais.»

Il raconte que lorsqu’il était enfant, il souhaitait souvent se faire adopter par la vedette de l’Église de Scientologie, Tom Cruise. Puis, il écrit : «dans le passé, j’ai fait des choses mauvaises, mais qui n’en a pas fait?» et assure que ce qu’il veut dans la vie, c’est «d’aider les autres.»

«Si je peux faire sourire quelqu’un, alors je sais que j’ai bien fait mon travail», ajoute-t-il.

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Une fillette peut de nouveau publier des photos de ses repas de cantine


Qui dit qu’une petite fille de  9 ans ne peut pas changer les choses … avec toute l’innocence de son âge, elle dénonce la mauvaise qualité des repas sans parler des cheveux qui trainent ici et là … et permet par son blog de ramasser de l’argent pour des moins bien nantis
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Une fillette peut de nouveau publier des photos de ses repas de cantine

 

Une fillette dans une cantine

AFP/Archives

Après un tollé sur internet, une municipalité britannique a levé vendredi l’interdiction imposée à une fillette de neuf ans de prendre des photos de ses repas de cantine qu’elle publiait sur son blog.

Depuis six semaines, la petite Martha Payne prenait des photos de ses repas pour illustrer son blog NeverSeconds, où elle se prononçait sur l’équilibre de ses menus de cantine, comptait le nombre de cheveux trouvés dans son assiette et attribuait une note générale aux déjeuners servis.

Mardi 12 mai: soupe aux nouilles, rouleaux de printemps avec riz et maïs, et milkshake au chocolat. Note générale: 3/10.

« Le riz collant était incroyable parce que les morceaux de riz collaient entre eux mais pas sur ma fourchette », écrit la fillette, photo d’un plateau repas en plastique à l’appui.

Mais jeudi, raconte-t-elle sur son blog,

« la directrice de l’école est venue me chercher en cours de maths et m’a emmenée dans son bureau. Elle m’a dit que je ne pouvais plus prendre de photos de mes repas à l’école à cause d’un titre dans la presse. (…) Je suis tellement triste. »

La municipalité d’Argyll et Bute (Ecosse), où est scolarisée la fillette, a expliqué vendredi que le personnel de la cantine craignait de perdre son emploi après la publication d’un article dans la presse locale consacré au blog et intitulé

« Il est temps de virer les femmes chargées de la cantine ».

Mais quelques heures plus tard, la municipalité a dû revenir sur sa décision, alors que l’affaire faisait un buzz sur l’internet.

« Il n’y a pas de place pour la censure dans cette municipalité », a expliqué l’un des responsables locaux, Roddy McCuish, dans un communiqué.

Martha Payne a créé le blog pour récolter des fonds au profit d’une association qui fournit des repas aux enfants pauvres. Vendredi soir, elle avait réussi à obtenir 37.000 livres (57.900 dollars ou 45.800 euros), dépassant largement son objectif de 7.000 livres.

© 2012 AFP

 

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