Bagarre géné­rale entre un python, deux chacals et un blai­reau au Bots­wana


Une scène que nous verrons jamais de nos propres yeux. Cela se passe à Botswana en Afrique. Un ratel un cousin du blaireau semble être en mauvaise posture avec un python, mais deux chacals y voient une opportunité d’un bon repas. Qui gagnera ? Le serpent, les chacals ou le ratel ?

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Bagarre géné­rale entre un python, deux chacals et un blai­reau au Bots­wana


Crédits : Rose­lyne Kerjosse

Dans le parc natio­nal de Chobe, au Bots­wana, Rose­lyne Kerjosse a filmé une scène complè­te­ment surréa­liste

Cette touriste a filmé un impres­sion­nant combat entre un ratel – un musté­lidé cousin du blai­reau réputé pour sa pugna­cité, aussi appelé « blai­reau à miel » –, deux chacals et un python alors qu’elle était en plein safari, explique The Inde­pendent.

Quand Kerjosse a commencé à filmer, le ratel semblait en bien mauvaise posture, le python enroulé autour de son corps. Mais une paire de chacals est entrée dans la danse, attaquant le serpent à coups de morsures. Le ratel a fina­le­ment réussi à s’échap­per, mais il est revenu à la charge pour se joindre à l’at­taque des chacals. Durant toute la durée du combat, un buffle d’Afrique brou­tait non loin, l’air impas­sible.

Le ratel n’était pas d’hu­meur à parta­ger son repas. Après une mêlée chao­tique qui a duré quelques instants, il a fina­le­ment remporté la bataille contre ses trois adver­saires, avant de traî­ner le serpent inerte dans les buis­sons pour le dégus­ter à son aise. Le guide qui accom­pa­gnait Kerjosse a déclaré qu’il n’avait « jamais vu une scène pareille ». Tu m’étonnes.

Source : The Inde­pendent

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EN IMAGES : L’incroyable combat entre un oryx et un blaireau


3 belles photos d’un onyx et un blaireau à miel en plein combat au Namibie. Un affrontement aux forces inégales, mais heureusement, la seule blessure qu’il pourrait y avoir, c’est l’humiliation. Le blaireau à miel à tendance à être agressif et s’attaquer a plus grand que lui. Comme de raison, il doit être plutôt rare qu’il puisse être vainqueur dans de telles conditions. Malheureusement pour lui, ses pattes, organes, peau et graisse sont recherchés pour la médecine traditionnelle
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EN IMAGES

L’incroyable combat entre un oryx et un blaireau

 

Blaireau et oryx, le combat

L’oryx a plusieurs fois fait voler dans les airs le blaireau à miel.

© CATERS/SIPA

Par Anne-Sophie Tassart

En Namibie, un photographe a immortalisé le combat entre un oryx et un blaireau à miel. Peu craintif, le mustélidé a lancé les hostilités à ses risques et périls.

Les blaireaux à miel (Mellivora capensis), des animaux que l’on retrouve en Asie et en Afrique, sont connus pour leurs comportements parfois agressifs. Une attitude qui ne leur rend pas service lorsqu’ils se dressent contre des animaux bien plus gros qu’eux. Ainsi, qu’elle n’a pas été la surprise du photographe sud-africain Dirk Theron quand celui-ci a vu l’un de ces animaux s’attaquer à un oryx dans le parc national d’Etosha, une aire protégée en Namibie. Selon le photographe, le mustélidé s’est approché de l’oryx alors que ce dernier se situait à proximité d’un point d’eau.

« Il continuait de le charger alors que l’oryx l’envoyait voler à 5 ou 6 mètres dans les airs à l’aide de ses cornes », a raconté au Daily Mail le photographe dans un article mis en ligne le 3 juillet 2018.

« La première fois j’ai cru que le blaireau serait tué ou sérieusement blessé mais il s’est relevé, s’est secoué et à continuer de charger l’autre animal ! », se souvient Dirk Theron.

Selon le site IFLScience, l’intrépide mustélidé est encore en vie, abandonnant finalement le combat.

© CATERS/SIPA

© CATERS/SIPA

Malheureusement, la ténacité et l’intrépidité des blaireaux à miel font d’eux une cible de choix pour la médecine traditionnelle.

Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, leurs pattes, leur peau, leur graisse et leurs organes sont couramment utilisés pour confectionner des remèdes. Pour l’instant, ces animaux sont placés dans la catégorie « Conservation mineure » de la liste rouge.

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Un blaireau découvre un site de l’Age du Bronze près de Stonehenge


Des animaux qui creusent sous la terre peuvent bouleverser des sites archéologiques qui n’avaient pas été découverts. Pourtant, une belle découverte grâce au blaireau qui avait presque tout fait le travail. Il ne restait pour les archéologues qu’à récolté après son dur labeur
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Un blaireau découvre un site de l’Age du Bronze près de Stonehenge

 

 

Ciseau de cuivre à manche orné découvert parmi de nombreux objets à proximité des restes incinérés d'un archer de l'Age du Bronze. CREDIT: Wiltshire Council CMAS/SWNS

Ciseau de cuivre à manche orné découvert parmi de nombreux objets à proximité des restes incinérés d’un archer de l’Age du Bronze. CREDIT: Wiltshire Council CMAS/SWNS

Par Bernadette Arnaud

Un blaireau joue à l’archéologue et découvre un site funéraire vieux de 4000 ans, dans le sud de l’Angleterre.

 

PISTE. Les archéologues anglais n’en reviennent toujours pas ! Un blaireau a déterré un site de l’Age du Bronze à Netheravon, non loin de Stonehenge, en Angleterre. Après avoir joliment disposé en surface les tessons de céramique qu’il avait découvert en creusant son terrier, les archéologues intrigués n’ont plus eu qu’à suivre le sentier de déblais du mustélidé ! C’est à ce moment-là qu’ils sont tombés sur un site de crémation vieux de 4000 ans. Parmi les nombreux objets mis au jour, sont apparus de l’outillage en bronze, des tessons de poterie, un ciseau en silex avec un manche en os décoré, une protection de poignet d’archer, le tout rencontré à proximité des restes humains incinérés d’un guerrier. Pour Richard Osgood, le responsable des fouilles, ces découvertes sont à rapprocher de celles de l’ « archer d’Amesbury », exhumées près de Stonehenge en 2002.

Blaireau

Les blaireaux creusent des terriers et parfois tombent accidentellement sur des sites archéologiques. © Régis Cavignaux

Les dégâts effectués par les animaux fouisseurs sont une des plus grandes sources d’inquiétude pour les archéologues. Leur tendance naturelle les conduisant à creuser la terre meuble, ils bouleversent les inhumations, déplacent les vestiges où se font les griffes dessus ! Pourtant, ce n’est pas la première fois que leurs travaux de terrassement aident involontairement à dénicher des trésors archéologiques. 

Un fabuleux trésor découvert en Charente

 

Casque d'Agris

Le Casque d’Agris, est un casque d’apparat gaulois du 4e siècle
avant notre ère, découvert dans un terrier de blaireau en Charente.
© Musée des Beaux-Arts d’Angoulême

En France, en 1981, des chercheurs du CNRS, avaient de cette même façon découverts le casque d’Agris, un des chef d’œuvre de l’art celtique européen (4e siècle avant J.-C). En explorant la grotte des Perrats, en Charente, au nord-est d’Angoulême, ils avaient aperçu des fragments de métal doré dans le cône de rejet d’un terrier de blaireau… Les fouilles réalisées au cours des jours suivants avaient révélé la présence d’une calotte, d’un cimier et de différents éléments provenant d’un casque d’apparat dont le raffinement a toujours laissé pantois. Celle d’une coque en fer cuirassée de feuilles de bronze, décorée de volutes et de motifs floraux. Le tout entièrement recouvert d’or pur. Dans les alvéoles des entrelacs, des incrustations de corail rouge natifs de l’Adriatique. D’autres, de la baie de Naples. Retrouvé disloqué, – comme c’est souvent le cas dans les sanctuaires celtiques  jusqu’à la guerre des Gaules (58 avant J.-C)-, le casque d’or d’Agris est venu éclipser de toute sa splendeur, d’autres modèles plus modestes.

Le blaireau, un plantigrade à suivre…!

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Maudits poils incarnés


La plupart des hommes connaissent ce bouton qui est douloureux avec un poil qui ne trouve pas la sortie de l’épiderme pour apparaitre au grand jour. Peut-être que les conseils donnés pourront éviter ce genre de désagréments
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Maudits poils incarnés

 

Impossible d'y échapper de temps à autre: le poil incarné peut s'inviter à tout... (Photomontage La Presse)

PHOTOMONTAGE LA PRESSE

ANTOINE HASBROUCQ
La Presse

Impossible d’y échapper de temps à autre: le poil incarné peut s’inviter à tout moment et ruiner les efforts consentis pour évoluer avec élégance en société. Mais ce bouton rouge et douloureux, qui apparaît souvent dans le cou, n’est pas une fatalité. C’est ce que nous explique l’esthéticienne certifiée Laïlama Yakubi, du salon Laïlama Santé Beauté.

«Les hommes ne font pas toujours les bons gestes lorsqu’ils se rasent, dit-elle. Il y a des choses qu’il faut savoir.»

Le poil incarné est un poil qui ne parvient pas à se frayer un chemin à travers les couches du derme et de l’épiderme. Il convient donc de s’offrir régulièrement un gommage des zones de rasage afin d’éliminer les peaux mortes et ainsi faire table rase. On choisit pour cela un produit adapté et on gomme en douceur. Notre coup de coeur: le gel moussant visage micro-exfoliant de Lierac homme.

La prévention du poil incarné passe aussi par le renforcement du poil lui-même. Plus le poil sera dur, plus il trouvera son chemin entre les couches de la peau.

«Il faut aussi s’adapter à la nature de sa pilosité. Les hommes qui ont les cheveux frisés ont, par exemple, plus de chance d’avoir des poils incarnés», explique l’esthéticienne.

Si on veut fortifier la barbe, on opte pour une cure d’un mois de vitamine B ou de levure de bière (en vente en pharmacie et dans les boutiques spécialisées).

Un secret venu de Russie

Cependant, la phase la plus importante demeure celle de l’avant-rasage. L’afflux sanguin est moins élevé le matin au réveil, avant d’avoir déjeuné. On limite ainsi les microcoupures. Pour bien préparer la peau au rasage, on passe son visage à l’eau tiède,

«On peut également faire des compresses d’eau chaude», ajoute Laïlama Yakubi.

On dilate ainsi les pores de la peau et on limite le risque de poil incarné. Surtout, on ressort le bon vieux blaireau pour appliquer son gel ou sa mousse de rasage. Cet outil que l’on croyait bon pour le musée est en fait un précieux allié pour masser le visage et soulever les poils.

Une fois la barbe en ordre de bataille, prête à être coupée, on montre un peu de respect au sens du poil.

Oui, se raser dans les deux sens, de haut en bas et de bas en haut permet un résultat a priori plus net, mais le jeu en vaut-il la chandelle? Si vous avez la peau fragile et des boutons récurrents, oubliez ça rapidement.

«C’est vraiment ce qu’il ne faut pas faire, insiste la spécialiste. Il faut aussi tirer sur la peau à chaque coup de rasoir, surtout pour les hommes âgés dont la peau est plus relâchée.»

De ses années de pratique en Russie, Laïlama conserve un secret de beauté des plus surprenants pour tous les hommes:

«Après le rasage, on se met quelques gouttes de citron dans les mains et on tapote délicatement le visage. C’est bien moins cher et bien plus efficace que n’importe quelle lotion après-rasage. On attend cinq minutes et ensuite, on peut mettre une crème hydratante.»

Une pratique certes téméraire, mais qui permet de s’enorgueillir de se raser à la russe.

Enfin, pour les plus technos et ceux qui n’hésitent pas à investir dans les accessoires de salle de bains, le Foreo Luna for Men est une curiosité qui peut s’avérer utile.

L’objet se présente sous la forme d’un galet de caoutchouc muni d’une brosse. En pulsant des ultrasons, il préparerait la peau au rasage et augmenterait l’efficacité des crèmes de soin, permettant ainsi de réduire le feu du rasoir et les fameux poils incarnés. Et comme il est aussi vendu en noir mat, il ne faut pas vraiment plus de raison pour l’envisager.

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Autorisation d’abattage de 3000 blaireaux


Je peux comprendre que les fermiers ne veulent pas avoir des vaches malades du a la transmissions de la tuberculose du aux blaireaux. Mais est-ce que c’est vraiment une solution d’extermination d’une espèces animales, c’est un massacre, un génocide comme seul l’humain sait faire
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Autorisation d’abattage de 3000 blaireaux

 

Autorisation d'abattage de 3000 blaireaux

Photo: Fotolia

Les défenseurs des animaux se sont indignés mardi de la décision des autorités britanniques qui ont autorisé l’élimination dans près de 300 fermes du Gloucestershire (sud-ouest) de 3000 blaireaux, une espèce protégée, afin d’éviter la transmission de la tuberculose aux bovins.

L’agence gouvernementale britannique Natural England a pris cette décision à la suite du feu vert de la Haute Cour de Londres en juillet dernier à l’élimination de milliers de ces animaux.

La juridiction avait été dans le sens de l’argumentation du gouvernement britannique qui faisait valoir que la tuberculose bovine s’était étendue à de grandes zones de l’ouest et du sud-ouest de l’Angleterre, ainsi qu’au Pays de Galles, et que la vaccination des blaireaux n’était «pas une réponse suffisante au problème».

Le «Badger Trust», l’association de protection des blaireaux, avait dénoncé une position ouvrant la voie au massacre «absurde» de 40 000 d’entre eux ces quatre prochaines années.

Mardi, l’une des principales organisations de protection des animaux (RSPCA) s’est dite «dévastée» par la décision de Natural England et a appelé à élargir le programme de vaccination.

«Soignons au lieu de tuer», a appelé de ses voeux la RSPCA.

Les blaireaux sont de grands vecteurs de la tuberculose bovine et sont capables de retransmettre la maladie au bétail.

En 2010/2011, la maladie a entraîné l’abattage de plus de 26 000 bovins en Angleterre, une perte estimée à 91 millions de livres.

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