Jeté dans une poubelle, un chien doit la vie à un ticket de loterie !


Beaucoup de pays devraient prendre l’exemple sur la Suisse pour la maltraitance animale et ce même le poisson rouge est protégé. Mais a quoi, on pense quand on laisse un chien vivant dans un sac sans air. En plus de l’abandonné dans une poubelle, il laisse l’animal conscient du danger. En tout cas, moi qui est anti loterie, c’est la première fois que je vois positivement un billet
Nuage

 

Jeté dans une poubelle, un chien doit la vie à un ticket de loterie !

 

Une histoire incroyable, celle d’un petit Caniche croisé sauvé par le plus grand des hasards, alors qu’il avait cruellement jeté et enfermé dans une poubelle…

Un petit miracle

C’est en Suisse que ce petit miracle a eu lieu. Ali Celiklioglu, un chauffeur de bus des Transports lausannois, a par mégarde jeté son ticket de loterie dans une poubelle de Belmont-sur-Lausanne, et c’est en tentant de le retrouver qu’il a découvert le pauvre animal, rapporte Lematin.ch.

Le chien avait réussi à extraire sa tête du sac dans lequel il avait été enfermé, et parvenait donc à respirer.

Alors que l’animal a été recueilli par un refuge de la SVPA (Société vaudoise pour la protection des animaux), son propriétaire s’est lui-même dénoncé.

Giovanni Peduto, vétérinaire en charge de l’instruction, entendra l’homme dans les jours à venir

, « afin de déterminer les circonstances de son acte. En fonction de l’audition il sera donné une suite administrative ou pénale, voire les deux« , précise-t-il.

Le propriétaire du pauvre animal devrait notamment se voir interdire la détention d’un autre compagnon à 4 pattes. Il écopera aussi certainement d’une amende.

La maltraitance animale sévèrement punie en Suisse

Quant au chien, il devrait lui être définitivement retiré, et donc être prochainement proposé à l’adoption.

En Suisse, où le statut des animaux a évolué depuis déjà plusieurs années, quand en France ils sont encore considérés comme des meubles, la législation concernant la maltraitance animale est très stricte.

Depuis 2008, elle interdit par exemple de jeter ses poissons rouges vivants dans les toilettes, et elle oblige les propriétaires d’animaux appartenant à des espèces sociables, comme le cochon d’Inde ou la perruche, à offrir au moins un compagnon à leur animal pour assurer son bien-être.

Une infraction à cette loi sur la protection animale peut être punie d’une amende allant jusqu’à 10 000 francs suisses (8 000 euros, environs 10 600 $ cad).

http://wamiz.com

Loterie : Environ 1,5 million de billets par jour


Qui paierait 1,5 millions par jour pour des chimères !!!! Comment il se fait que les gens aiment tellement dépenser pour des peanuts En plus, Loto Québec, chercher a courtiser les jeunes pour donner gout aux jeux, c’est pitoyable ! Pour une fois, des jeunes qui n’auraient pas le vice du jeu  et on veut les incité .. !!! Non je le dis souvent et je le répète je n’achètes pas de loterie .. et j’en veux pas .. car pour moi c’est une exploitation plus qu’autre chose
Nuage

 

Loterie : Environ 1,5 million de billets par jour

 

Malgré la quantité faramineuse de billets vendus, les ventes de loteries stagnent depuis le début des années 2000. 
© Archives / Agence QMI

MONTRÉAL – Les Québécois ont dépensé l’an dernier 1,8 milliard $ pour acheter 550 millions de billets de loterie, ou près de 1,5 million par jour.

Ils n’ont cependant pas tous le même intérêt dans toutes les régions de la Belle Province. Un classement réalisé par TVA Nouvelles à partir des chiffres de vente de loteries pour chacune des 17 régions du Québec fait en effet ressortir de nombreuses disparités.

C’est dans la Côte-Nord que l’on trouve, sans conteste, les plus gros acheteurs de billets de loterie.

Les habitants de cette région consacrent en moyenne 430 $ par an à l’achat de billets. Ceux de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et du Saguenay-Lac-Saint-Jean occupent, respectivement, la deuxième et la troisième place.

Montréal arrive en dixième position et Québec, en quinzième. Au dernier rang se trouvent les habitants de l’Estrie avec une moyenne annuelle de 231 $. On passe donc presque du simple au double entre la première et la dernière place.

Pourtant, l’offre est la même dans les 8600 points de vente de loteries de la province.

« On ne conçoit pas une loterie en se disant “celle-là on va la concevoir particulièrement pour les gens du Saguenay-Lac-Saint-Jean”. Donc c’est conçu dans une optique provinciale, mais le succès des loteries est variable », a expliqué Jean-Pierre Roy, le porte-parole de Loto-Québec.

Les 18-30 ans visés

Malgré la quantité faramineuse de billets vendus, les ventes de loteries stagnent depuis le début des années 2000. Loto-Québec cherche donc à développer de nouvelles clientèles et, elle ne fait pas de mystère, ce sont les 18-30 ans qui sont dans sa mire.

Selon Jean-Pierre Roy, « Loto-Québec doit trouver une façon d’atteindre la nouvelle clientèle, donc la clientèle des nouveaux adultes. Les jeunes dans la vingtaine, dans la trentaine n’ont pas nécessairement les mêmes pratiques de jeux de hasard que leurs parents ou grands-parents. »

Le meilleur exemple : en 1977, la Mini représentait 40 % du chiffre de vente de Loto-Québec. Trente-cinq ans plus tard, elle compte pour moins de 1 % des revenus de la société d’État.

« Le marché est passablement à maturité, il faut travailler fort pour le maintenir au niveau actuel, soit 1,8 milliard $ par année », a indiqué le porte-parole de Loto-Québec.

Loto-Québec redistribue 900 millions $ par an aux gagnants de loteries. Près de 500 millions $ sont versés en redevances au gouvernement et 125 millions $ vont aux organismes communautaires qui exploitent ses kiosques de vente.

http://fr.canoe.ca