Cette civi­li­sa­tion pré-Inca vivait en paix et sans enne­mis grâce à la bière


Avant les Incas, il y avait la civilisation Huari au Pérou. Ils produisaient une boisson fermentée à base de maïs, de riz ou de manioc. Cet alcool s’apparentait à la bière qu’ils partageaient entre eux et leurs rivaux.
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Cette civi­li­sa­tion pré-Inca vivait en paix et sans enne­mis grâce à la bière

 

Crédits : Natio­nal Geogra­phic

par  Laura Boudoux

 

La consom­ma­tion d’al­cool aurait contri­bué à main­te­nir des rela­tions poli­tiques stables dans les socié­tés anciennes, rapportent des cher­cheurs améri­cains dans une étude publiée le 18 avril 2019.

La civi­li­sa­tion Huari, qui précé­dait celle des Incas, aurait ainsi survécu 500 ans notam­ment grâce à un flux constant de bière, parta­gée entre eux mais aussi avec leurs rivaux, rapporte Natio­nal Geogra­phic. Instal­lée au sommet d’un plateau escarpé du Pérou, sans source d’eau natu­relle, cette civi­li­sa­tion était connue pour ses banquets somp­tueux et le bras­sage de la bière, entre 500 et 1050 ap. J.-C.

Ces festins, auxquels étaient conviés les chefs des commu­nau­tés locales, mais aussi leurs poten­tiels enne­mis voisins, leur ont permis de main­te­nir la paix et d’as­seoir leur influence. À Cerro Baúl, alors que l’em­pire Huari commençait à s’ef­fon­drer, la popu­la­tion aurait orga­nisé un dernier rassem­ble­ment, avant de mettre le feu à la bras­se­rie. Des archéo­logues sont parve­nus à exca­ver des vases en céra­mique, et affirment que les Huari pouvaient fabriquer entre 400 et 500 gallons de chicha à la fois. Cette bois­son fermen­tée qui s’ap­pa­rente à de la bière était produite à base de maïs, de riz ou de manioc.

« Nous savons qu’ils essayaient d’in­cor­po­rer les divers groupes qui venaient à Cerro Baúl, et l’un des moyens qu’ils utili­saient proba­ble­ment était ces grands festi­vals, centrés autour de la bière locale », explique l’au­teur prin­ci­pal de l’étude, Ryan Williams, du Field Museum de Chicago.

Grâce aux restes décou­verts sur le site archéo­lo­gique, les scien­ti­fiques ont même réussi à repro­duire de la chicha, en respec­tant les procé­dés ances­traux. Un proces­sus labo­rieux, qui a néces­sité un mois de travail.

Source : Natio­nal Geogra­phic

https://www.ulyces.co/

Cet homme va se nour­rir exclu­si­ve­ment de bière pendant 46 jours


Pour les chrétiens qui font le carême, c’est un mois de jeûne ou du moins partiellement. Inspiré par des moines du XVIIe siècle qui se nourrissait lors de carême de pain et d’eau, un homme aux États-Unis a décidé de faire un peu la même chose avec de la bière pendant 46 jours. Ouf, la déshydratation, les calories, le foie et plus encore sans compter le risque de dépendance sont des risques qu’il n’a probablement pris en considération. Espérons pour lui, qu’il a quand même un suivi médical dans sa beuverie.
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Cet homme va se nour­rir exclu­si­ve­ment de bière pendant 46 jours

 

par  Laura Boudoux

Direc­teur des ventes dans une bras­se­rie de Cincin­nati, aux États-Unis, Del Hall a décidé d’adop­ter un régime bien parti­cu­lier pour le carême.

 Depuis le 6 mars 2019, il a ainsi aban­donné tout type de nour­ri­ture, pour ne survivre qu’en buvant de la bière, rapporte le site local Cincin­nati.com. Pendant 46 jours, jusqu’au 18 avril, Del Hall s’ins­pire ainsi des moines du XVIIe siècle, pour qui la bière était un peu « du pain liquide ».

Pour l’Amé­ri­cain, ce régime est l’oc­ca­sion de recon­nec­ter avec la tradi­tion ances­trale du jeûne, mais aussi de soigner son « addic­tion à la nour­ri­ture ».

« Quand ce sera terminé, j’es­père que lorsque j’au­rai faim, et que de la nour­ri­ture malsaine sera à portée de main, je choi­si­rai de ne rien manger du tout ou d’op­ter pour une alter­na­tive plus heal­thy », explique Del Hall.

Il précise qu’il s’au­to­rise égale­ment le café noir, l’eau pétillante et le thé non sucré pendant son jeûne.

Crédits : Del Hall/Face­book

Inter­rogé une semaine après le début de son nouveau régime, il a reconnu que les premiers jours n’avaient pas été simples.

« Les 2e et 3e jours ont été plutôt diffi­ciles. J’avais envie d’al­ler m’ache­ter un taco après quelques bières, parce que c’est ce que je fais habi­tuel­le­ment. Aujourd’­hui, je me sens extrê­me­ment bien. J’ai l’im­pres­sion que ce brouillard mental s’est levé », assu­rait-il, préci­sant que le senti­ment de faim avait fini par dispa­raître.

Puri­fi­ca­tion par la bière.

Sources : CBS Los Angeles / Cincin­nati.com

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Le Saviez-Vous ► Vous serez surpris d’apprendre que ces 8 aliments ne sont pas toujours végétaliens


Il y a des végétaliens qui accepte d’inclure le lait, oeuf, poisson alors que d’autres le sont à 100 %. Le problème, c’est que certains aliments contiennent des ingrédients d’animaux qui ne sont peut-être pas inscrits ou que certains ne savent pas, par exemple, que la gélatine et les oméga 3 en contiennent
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Vous serez surpris d’apprendre que ces 8 aliments ne sont pas toujours végétaliens

 

1. Les oursons en jujubes

gummy bears

Un mot: gélatine. C’est l’ingrédient principal de la plupart de vos bonbons gommeux favoris. Et de quoi est faite la gélatine? D’os d’animaux. Alors on vérifie cette liste d’ingrédients la prochaine fois!

2. Les crèmes à café non laitières

coffee creamer

Ces «crèmes» qui ne sont pas faites de produits laitiers ont souvent un ingrédient en commun: le caséinate de sodium… qui provient d’une protéine laitière. C’est gênant.

3. La sauce Worcestershire

worcestershire sauce

Si vous ne le saviez pas déjà, la sauce est faite d’anchois fermentés. Et on la retrouve dans les Bloody Ceasars, alors attention lors de vos soirées arrosées! En passant, les anchois se glissent aussi dans les salades césar, les tapenades d’olives et les pâtes à la puttanesca.

4. Les céréales

mini wheats

Déposez votre bol de Lucky Charms. Les guimauves contiennent de la gélatine, donc les Lucky Charms en contiennent aussi. Mais ce ne sont pas les seuls coupables de l’allée des céréales: les Mini Wheats sont aussi faites de gélatine.

5. Plusieurs types de bières

beer

Certaines bières – et même certains vins – sont clarifiées par des agents composés de produits provenant des animaux. On parle ici de gélatine, de colle de poisson (faite à partir de vessies de poissons) ou de caséine.

6. Le sucre blanc

white sugar

Certaines sortes de sucre blanc sont transformées par du charbon d’os (animal) pour se débarrasser des impuretés. Même si le produit final ne contient pas de produit animal, le sucre y a bel et bien touché.

7. Le jus d’orange avec Oméga-3

orange juice

La liste d’ingrédients du jus Tropicana Heart Healthy avec Oméga-3 indique qu’on y trouve de l’huile de poisson ET de la gélatine de poisson. Pas la manière la plus végétalienne de commencer la journée.

8. Les haricots frits

refried beans

Les haricots frits traditionnels sont faits de lard. La prochaine fois que vous allez dans un restaurant mexicain, il vaudra mieux vérifier avec le chef! Il existe par contre des options végétariennes en épiceries.

Ce texte initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

The Huffington Post  |  Par Julie R. Thomson

Un père recherché pour avoir fait fumer et boire son fils de 3 ans dans une vidéo


L’enfant fume la première « pof » de cigarette pour la redonner a son père et boit des gorgée de la bière de son père comme s’il ferait cela très souvent. Il y a des fois qu’on se demande ce qu’on dans leur tête certains parents ? Surement une coquille vide !
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Un père recherché pour avoir fait fumer et boire son fils de 3 ans dans une vidéo

Le petit est assis sur les genoux de son père. Un ami de ce dernier, hilare, encourage également l'enfant à fumer et à boire.

Le petit est assis sur les genoux de son père. Un ami de ce dernier, hilare, encourage également l’enfant à fumer et à boire.

Capture d’écran Dailymotion

IRRESPONSABLE – La vidéo d’un père faisant boire et fumer son jeune enfant à la terrasse d’un café fait scandale sur les réseaux sociaux. L’homme, qui serait de nationalité roumaine et vivrait en Espagne, est recherché par la police.

Sur les images ahurissantes diffusées sur Facebook, on peut voir le papa mettre une cigarette à la bouche de son fils, assis sur ses genoux, comme s’il lui donnait un biberon. Entre chaque bouffée, le petit à la casquette à l’envers, qui ne doit pas être âgé de plus de trois ans, se sert des gorgées de bière dans le verre de son père.

Un appel à témoins lancé

« C’est comme ça qu’on devient un homme », lance même l’adulte, hilare, attablé à la terrasse d’un bar avec au moins un ami. Cette vidéo postée il y a quelques jours sur les réseaux sociaux suscite l’indignation, beaucoup d’internautes réclamant que le père irresponsable soit déchu de ses droits parentaux.

Il s’agirait d’un homme de nationalité roumaine et vivant en Espagne, affirme le quotidien belgeLe Soir, selon qui la police roumaine a lancé un avis de recherche pour le retrouver, de même que l’autre adulte qui allume une cigarette à l’enfant, dont on peut également voir le visage sur la vidéo. Un appel à témoins a été lancé pour les retrouver.

http://www.metronews.fr/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi piquent-ils certaines personnes plus que d’autres ?


Dans un de mes billets, une amie me fait part qu’elle est du groupe sanguin O, ce qui attire les moustiques. Curieuse, j’ai cherché ce qui peut en plus du groupe sanguin permet d’attirer les moustiques qui peut gâcher nos activités extérieures
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Pourquoi piquent-ils certaines personnes plus que d’autres ?

Une question banale, mais qui mérite d’être posée : pourquoi les moustiques piquent-ils ? Et surtout, pourquoi certaines personnes sont épargnées par le diptère quand d’autres se grattent à s’en arracher la peau ? Le Smithsonian magazine pourrait avoir trouvé la réponse. Il a en effet relevé plusieurs facteurs qui expliqueraient l’appétit, parfois féroce, des moustiques.

C’est l’ennemi numéro un de nos étés. Une fois la chaleur bien installée, il se tient prêt à attaquer… et à piquer. On parle bien sûr du moustique. Pourquoi pique-t-il ? Et pourquoi certaines personnes sont plus sujettes que d’autres aux piqûres ? La réponse le Smithsonian magazine pourrait l’avoir trouvée. Il avance en effet plusieurs raisons qui pourraient expliquer comment le diptère choisit sa proie.

Le groupe sanguin

Les moustiques seraient plus friands de certains groupes sanguins que d’autres. Ainsi, les personnes du groupe O sont les cibles préférées des suceurs de sang, qui les piquent deux fois plus souvent que celles du groupe A. Au milieu, on retrouve les personnes du groupe B.

Le dioxyde de carbone

Plus une personne expire du dioxyde de carbone, et plus elle a de chances d’attirer les moustiques. En effet, grâce à leur « palpe maxillaire », les diptères peuvent repérer le rejet de CO2 à près de 50 mètres.

L’exercice physique et le métabolisme

Mauvaise nouvelle pour les plus sportifs, ils ont plus de chances d’attirer la gourmandise des moustiques. Ces derniers sont attirés par la sueur, et plus particulièrement par l’odeur de certaines substances qu’elle renferme, à savoir l’acide lactique, l’acide urique ou encore l’ammoniaque. La chaleur du corps augmente avec l’effort, et ça, les moustiques en raffolent.

Les bactéries de la peau

Une étude menée en 2011, révèle que la présence en grande quantité d’un petit nombre de types de bactéries de la peau appelle davantage les moustiques. C’est pourquoi ils plébiscitent nos pieds et nos chevilles, car les bactéries y sont plus nombreuses que sur d’autres parties du corps.

La bière

Si l’on ne connaît pas encore la raison exacte, une étude publiée en 2011 a toutefois montré que le fait de boire une bière déclenche l’appétit des moustiques.

La grossesse

Les femmes enceintes se font piquer deux fois plus que les autres. La raison ? Elles expirent 21% de dioxyde de carbone en plus et leur température corporelle est plus chaude.

Les vêtements colorés

Les vêtements de couleur noir, bleu foncé ou rouge, permettrait aux moustiques de mieux repérer leur proie, selon James Day, un entomologiste médical à l’Université de Floride.

La génétique

La génétique compte pour 85% de notre attractivité sur les moustiques.

Les répulsifs naturels

Les scientifiques de laboratoire de Rothamsted Research du Royaume-Uni ont découvert que les personnes qui n’attiraient pas les moustiques dégageaient des répulsifs naturels, c’est-à-dire qu’elles ont tendance à excréter des substances naturelles qui ne plaisent pas aux diptères. En intégrant ces molécules dans un insectifuge, il deviendrait alors possible de les éloigner définitivement. Des recherches sont en cours, pour ainsi développer un jour des produits répulsifs plus efficaces.

Elodie Cohen Solal

http://www.terrafemina.com

Etats-Unis. Une marque lance une bière avec des morceaux de… cerveau


Là franchement,il y a des compagnies qui font tout pour vendre leur produit, surtout s’ils peuvent s’unir a des films ou des séries que le public semble aimer (quoique je n’ai jamais vu cette série) C’est vraiment dégoutant ce qu’ils proposent De toute manière, ils ne faisaient pas de l’argent avec moi .. et encore moins aujourd’hui
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Etats-Unis. Une marque lance une bière avec des morceaux de… cerveau

 

Fans de la série d’horreur The Walking Dead ?

Vous allez être ravis. Pour célébrer la sortie de la saison 4 et notamment de l’épisode 16 sur la chaîne AMC, une marque a eu l’idée de créer une bière avec de véritables morceaux de cerveaux de chèvres dedans.

En hommage aux zombies

C’est la société américaine Dock Street Beer qui est à l’origine de cette commercialisation très farfelue. La bière a été appelée Dock Street Walker, en hommage aux « rôdeurs » zombies de la série. D’une couleur rouge sang, elle est aromatisée avec de petits bouts de cerveau. Cette bière très peu ragoûtante sera commercialisée à partir du 30 mars dans les environs de Philadelphie. Avis aux amateurs…

LaDépêche.fr

http://www.ladepeche.fr/

Le ventre de cet homme produit de l’alcool tout seul


Je plains cet homme d’être mal jugé quand il semble être ivre alors que c’est un cas très rare qui quand même heureusement, a été diagnostiqué
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Le ventre de cet homme produit de l’alcool tout seul

 

Contrairement à ce que vous pensez, être ivre sans avoir à ouvrir votre porte monnaie est bien moins drôle que cela peut en avoir l’air. En témoigne cette histoire vraie. Nous sommes en 2009 lorsqu’un Texan de 61 ans se présente aux Urgences locales à la suite d’une sévère intoxication alcoolique.

Alors que l’homme insiste sur le fait qu’il n’a pas bu une seule goutte d’alcool, les médecins diagnostiquent un taux d’alcoolémie de 0,35g/L de sang; soit près de cinq fois supérieur à la limite légale pour conduire dans l’État. Or, cela fait désormais six ans que l’homme ne peut plus boire plus de deux bières sans être excessivement saoul.

Son cas a été l’objet d’une étude scientifique publiée récemment. Il a en effet fallu des semaines d’examens médicaux pour découvrir que le patient était en réalité atteint par une affection insolite.

Une distillerie vivante

Ne parvenant à établir un diagnostic, l’équipe médicale qui l’a reçu décide alors de réaliser une expérience: l’homme est isolé dans une chambre vide, sa nourriture est contrôlée et toutes visites lui sont interdites.

Reste que son taux d’alcoolémie ne cesse de croître pendant la journée, pour finalement atteindre 0,12g/L. Le diagnostic est clair: cet homme peut synthétiser de l’alcool, la levure stockée dans son intestin transformant le sucre en éthanol.

Cette accumulation particulière de Saccharomyces cerevisiae (levure de bière) peut survenir après une prise importante d’antibiotiques. En tuant toutes les bactéries, les médicaments laissent le champ libre à la levure de bière.

Le pauvre sexagénaire, qui était d’ailleurs équipé d’une brasserie à domicile, n’aura donc plus besoin de se servir de l’appareil à des fins personnelles.

Selon l’étude publiée dans l’International Journal of Clinical Medicine, le traitement proposé pour venir à bout de ce dysfonctionnement organique est une bonne dose d’anti-fongiques et d’un régime faible en glucides.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Il crée une bière… pour son chien !


Bon on s’entends que cette boisson ne contient pas d’alcool., mais l’idée de boire une bière avec son chien apparait une image d’alcoolo ..et je n’aime vraiment pas ce concept
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Il crée une bière… pour son chien !

 

Boire une bière avec son meilleur ami, voilà une bien agréable activité, dont raffolent tant d’hommes aux 4 coins du monde.

Une simple envie de boire une bière avec son chien

Mais que faire lorsque l’un de vos plus fidèles compagnons est un chien ?

Créer une bière rien que pour lui pardi !

C’est ce que qu’a fait Daniel Keeton, un barman américain, brasseur à ses heures perdues.

L’homme déplorait depuis longtemps déjà de voir son chien privé du plaisir de boire une bonne bière. Il a donc décidé de brasser une bière spéciale pour son compagnon.

La Dawg Crog, une bière saine et sans alcool

Le résultat de ce projet quelque peu incongru s’appelle Dawg Grog. Il s’agit d’une boisson décrite par son créateur comme « saine et nutritionnelle », à base de bouillon de légumes, d’eau, de glucosamine, et de drêches de brasserie, des résidus de produits végétaux souvent utilisés pour l’alimentation animale.

Rassurez-vous, cette bière est sans alcool. Daniel n’est pas irresponsable, et il adore son chien. Il ne lui fera donc jamais aucun mal.

Et le compagnon à 4 pattes de Daniel n’est pas le seul toutou à avoir le plaisir de s’abreuver de cette étonnante boisson. Le barman a lancé sa petite entreprise de bière pour chien !  Un site Internet, ainsi qu’une page Facebook nous présentent le Dawg Grog de façon plus détaillée.

Et si vous le souhaitez, vous pouvez commander en ligne la bière de Daniel.

La bière pour chien existe aussi en France !

Etonnés par cette drôle d’idée ? Sachez que la bière pour chien existe aussi en France, et ce depuis un moment déjà.

Vendue 2,20 euros la bouteille, sur le site pompe-a-biere.com notamment, la Kwispelbier est une bière aromatisée au boeuf !

http://wamiz.com

Une bedaine de bière, vraiment?


Nous avons souvent tendance a juger un ventre prédominant a une grande consommation de bière. Ce qui, parait-il, ne serait pas totalement faux …
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Une bedaine de bière, vraiment?

 

La bedaine d'un homme  © iStockphoto

Une grande consommation de bière est souvent associée, dans l’imaginaire populaire, à l’apparition d’une bedaine. Des chercheurs suédois de l’Université de Göteborg affirment que l’apparition de la bedaine de bière ne serait pas liée à la consommation de cette boisson.

Plus de 20 000 Allemands ont participé à ces travaux. Les sujets ont été pesés, leur tour de taille et leur tour de hanche mesurés. Ils ont également répondu à un questionnaire sur leur consommation quotidienne de bière.

Les données recueillies montrent que la bière a bel et bien rendu certains participants bedonnants, mais que son effet ne se limite généralement pas uniquement à l’abdomen.

Les chercheurs ont observé qu’une importante consommation de bière semble plutôt associée à une augmentation des graisses sur l’ensemble du corps.

Bref, selon eux, la bière n’est pas le coupable numéro 1 du gonflement du ventre. Il pourrait plutôt être associé à un laisser-aller général de l’individu, ajoutent-ils.

Le détail de ces travaux est publié dans l’European Journal of Clinical Nutrition.

http://www.radio-canada.ca

L’industrie alimentaire joue la carte de la nostalgie


Vous avez remarquer que l’ont parle souvent des moments de notre enfance, des tendances d’autrefois et ce que ce soit a la télévision, musique, mode … Le monde de l’alimentation n’est pas sans reste car eux aussi visent les souvenirs et pour y arriver joue sur nos émotions du temps ou les familles étaient plus unies, ou qu’on mangeaient des mets fait maison … Oui ce temps-la !!!! Vous voyez dans notre monde de consommation tout est de savoir utiliser la psychologie des gens pour vendre .. Peut importe si nous en avons vraiment besoin ou non .. il faut que ce soit rentable
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L’industrie alimentaire joue la carte de la nostalgie

L'industrie alimentaire joue la carte de la nostalgie

Au cours des prochains jours, un emballage anniversaire de biscuits Oreo sera mis en vente.

LE SOLEIL, JOCELYN BERNIER

 

Claudette Samson
Le Soleil

(Québec) La tendance vintage est partout, dans la mode, en musique, dans les émissions de télé… et en alimentation. Au début mars, ce sera au tour de la compagnie Kraft Foods de jouer à fond la carte de la nostalgie à l’occasion du 100e anniversaire du biscuit Oreo.

L'industrie alimentaire joue la carte de la nostalgie

 

Le Soleil, Jocelyn Bernier

L'industrie alimentaire joue la carte de la nostalgie

 

Le Soleil, Jocelyn Bernier

«S’amuser avec un biscuit Oreo est un souvenir réconfortant pour des millions de personnes dans le monde», écrit l’entreprise dans un communiqué.

Pour l’occasion, elle a même produit un sondage mondial (!) selon lequel ceux et celles qui réussissent à garder leur âme d’enfant sont des espèces en voie de disparition. Des «célébrations» auront lieu dans une vingtaine de pays, et des activités spéciales seront proposées à ses 23 millions de fans sur Facebook.

Les grands-parents sont quant à eux invités à partager le plaisir du «Tournez, léchez, trempez» de leur enfance avec leurs petits-enfants. Bref, Oreo est «tout près de notre coeur»…

Le Whippet de Dare n’est pas en reste, lui qui souligne présentement son 85e anniversaire et «fait partie de notre mémoire collective».

Encore là, les amateurs peuvent se rendre sur Facebook et voter pour la prochaine saveur qui sera mise en marché, en plus de partager leur méthode favorite pour manger le populaire biscuit à la guimauve.

Et quoi d’autre… Corn Flakes, qui sort une boîte en quantité limitée avec l’image vieillotte d’un petit garçon comme il ne s’en fait plus. Il y a quelques années, on a eu droit au retour de la bouteille de Coke traditionnelle, au Pepsi Rétro, à la bouteille de bière à l’ancienne avec La Bolduc d’Unibroue. Des symboles surannés traversent le temps (Géant vert, Aunt Jemima…), parce que les consommateurs y sont attachés.

On le devine, la tendance est payante pour les compagnies. Mais qu’est-ce qui se passe donc dans notre subconscient pour que l’on soit si sensibles aux rappels de notre passé?

Clairement, les fabricants de produits alimentaires misent sur la forte charge émotive qui entoure le geste de manger, disent d’entrée de jeu Véronique Provencher, nutritionniste à l’Université Laval spécialisée dans les facteurs psychologiques liés à l’alimentation, et Luc Dupont, professeur au département de communication à l’Université d’Ottawa, qui s’intéresse particulièrement aux stratégies de marketing.

Bien d’autres arguments peuvent être utilisés par les fabricants : faire partie d’une gang, le pouvoir de séduction, etc.

 Mais pour Luc Dupont, la nostalgie est une émotion «extrêmement puissante», parce qu’elle nous ramène à une époque où la fabrication des aliments était artisanale et souvent empreinte d’amour. Celle de grand-maman qui cuisinait des biscuits ou des beignes spécialement pour notre venue. L’ère d’avant l’industrialisation et les aliments congelés.

«Un temps sans faille, plus heureux, plus équilibré, quand papa et maman vivaient ensemble, que la vie était plus facile.» Et ce, même si cette image n’a rien à voir avec la réalité.

L'industrie alimentaire joue la carte de la nostalgie

 

Le Soleil, Jocelyn Bernier

Il dit entendre régulièrement des gens dire «avec le plus grand sérieux» que le Coca-Cola vendu dans la traditionnelle bouteille verte est «bien meilleur», ce qui le fait bien rire.

Un phénomène récent

Le premier à avoir mis le doigt sur ce phénomène est le psychanalyste juif d’origine autrichienne Ernest Dichter, qui a émigré aux États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale. Il avait alors été recruté par des compagnies d’alimentation qui voulaient savoir comment mieux appâter leurs clients.

Avant cette époque, les emballages des différents produits étaient relativement semblables, et les arguments de vente assez similaires. Mais on découvrait tout à coup que les aliments «ont une personnalité», explique le professeur Dupont. Ainsi, certains sont perçus comme «joyeux» (les fraises), alors que d’autres sont «sévères», par exemple le brocoli.

Quand on y regarde de plus près, on constate toutefois que ce sont surtout des aliments de type gâteries qui se retrouvent au coeur de ces campagnes de mise en marché. C’est que dans notre subconscient, ils sont associés aux récompenses que nous recevions enfants, lorsque nous avions été sages, avance le spécialiste.

Et ce qui est encore plus étonnant, c’est que la nostalgie fonctionne aussi avec les jeunes, qui veulent volontiers croire que «c’était mieux avant».

La nutritionniste Véronique Provencher observe pour sa part que c’est une bonne façon de mousser des produits qui, autrement, peuvent difficilement prétendre à une place de choix dans le Guide alimentaire canadien.

«C’est astucieux», dit-elle.

Dans leur travail clinique, les nutritionnistes amènent d’ailleurs leurs clients à cette prise de conscience pour comprendre pourquoi ils abusent de tel ou tel aliment, les frites par exemple.

Apparemment, la plupart des gens résistent difficilement à ce transfert émotif envers l’emballage et, conséquemment, le produit qu’il renferme. Pourtant, selon Luc Dupont, la majorité des consommateurs ne distinguent pas à l’aveugle deux produits comparables.

La prochaine fois que vous arpenterez les allées de votre épicerie, tentez d’identifier vos propres émotions devant certaines images, et les raisons qui vous incitent à choisir un produit en particulier. Il y a bien des chances pour que le prix ou la liste des ingrédients n’expliquent pas tout!

Et si, malgré tout, vous doutez encore des motivations des commerçants, méditez sur cette petite phrase tirée d’une entrevue accordée à La Presse Canadienne par Galen G. Weston, président exécutif du conseil d’administration de la chaîne Loblaws, en novembre 2010 :

«Nous sommes fondamentalement agnostiques face à ce que nous vendons. Nous nous en foutons. Nous nous préoccupons de la quantité de produits que nous vendons et de leurs prix, mais cela nous importe peu de vendre des brocolis ou des biscuits Oreo.»

Et voilà. La boucle est bouclée.

http://www.cyberpresse.ca