Le Saviez-Vous ► Jikji, premier livre imprimé au monde avec des caractères mobiles


La bible de Gutenberg, est la première bible imprimée et le premier livre en Europe, mais il n’est pas le premier livre imprimé au monde. C’est la Corée et la Chine qui ont utilisé des caractères d’imprimerie bien avant l’Europe.
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Jikji, premier livre imprimé au monde avec des caractères mobiles

Imprimé en 1377, Jikji est le premier livre au monde imprimé avec des caractères mobiles.Imprimé en 1377, Jikji est le premier livre au monde imprimé avec des caractères mobiles.

Johan Maumus

Ce traité bouddhique a été imprimé à partir de caractères mobiles en métal en 1377, soit 78 ans avant l’impression de la bible de Gutenberg.


Les moines bouddhistes à l’origine du premier livre imprimé avec des caractères mobiles

D’après les connaissances actuelles, c’est en Corée que l’on retrouve le premier livre imprimé au monde avec des caractères mobiles.

Il s’agit d’un traité bouddhique du moine Seon Baegun (1298-1374) appelé Jikji (abréviation de Baegun hwasang chorok buljo jikji simche yojeol).

En français, le titre signifie Anthologie des enseignements zen des grands prêtres bouddhistes. L’ouvrage a été imprimé en Corée en 1377, soit 78 ans avant l’impression la bible de Gutenberg.

Le Jikji est un livre de 38 pages en papier fin de mûrier de 24,6 cm x 17 cm. C’est le second volume, et aussi le seul encore existant, de l’œuvre originale qui contenait deux volumes.

L’ouvrage est aujourd’hui conservé à la Bibliothèque nationale à Paris (BNF) et a été inscrit par l’Unesco dans le programme Mémoire du Monde en 2001.

La Chine et la Corée, berceaux de l’imprimerie

Avec la Corée, la Chine possède une des plus anciennes traditions d’imprimerie. Un rouleau imprimé à l’aide de planches gravées en relief a également été retrouvé. Il daterait de la seconde moitié du 9e siècle (868).

Nommé Sutra du diamant, il est le plus ancien livre imprimé daté. C’est un rouleau de cinq mètres de long composé de sept feuilles de papier.

Sutra du diamant.

Les Coréens, les Chinois et les Japonais utilisaient cette technique xylographique pour imprimer des ouvrages rituels, historiques ou médicaux.

Parmi les ouvrages les plus célèbres, on peut citer le Canon bouddhique (Tripitaka Koreana) gravé par la cour royale entre 1237 et 1248 qui comprend plus de 80 000 planches xylographiques.

Le Tripitaka Koreana est aujourd’hui conservé au temple Haeinsa, sur les pentes du Mont Gaya, en Corée.

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi dit-on vieux comme Mathusalem ?


Je crois que c’est une de ces expressions qui va sûrement disparaître avec les nouvelles générations. Pour ceux qui connait cette expression elle a une origine biblique, comme bien des expressions d’ailleurs. Elle est liée à l’âge très honorable d’un personnage de la Genèse.
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Pourquoi dit-on vieux comme Mathusalem ?


Nous connaissons tous l’expression « vieux comme Mathusalem ». Elle renvoie à l’ancienneté lointaine d’une chose, et à son caractère vieillot. Cependant, qu’est-ce qui a bien pu amener à utiliser cette expression si employée dans la langue française ? Beaucoup utilisent cette expression, mais ne savent pas d’où elle vient.

Découvrez donc cela ici !

Si vous n’avez pas encore lu la Bible, il va falloir vous y pencher, afin de comprendre dans les détails cette expression. En réalité, dans les temps bibliques, l’âge d’un homme était mesuré en centaine d’années. Et oui ! Depuis le Dieu a donné vie à l’Homme, il lui a insufflé son souffle. Ainsi, il n’était pas étonnant qu’un homme puisse vivre près d’un millénaire, avant de devoir s’éteindre à jamais.

Mathusalem, dans le livre de la Genèse, était le grand père de Noé. Contrairement à nous, dont on estime la jeunesse entre 20 et 35 ans, Mathusalem eu son premier né lors de sa jeunesse, mais c’était lorsqu’il avait 187 ans. Après la naissance de son premier né, il vécut encore pendant 782 ans avant de passer de vie à trépas. Au total, il vécut 979 ans sur terre. Vous voyez donc comment il est vieux !

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Le Saviez-Vous ► D’où vient la superstition du vendredi 13 ?


Certaines phobies sont basées sur des légendes, des histoires plus ou moins précises. Le vendredi 13 aurait  peut-être une origine biblique, pour d’autres elles seraient grec … Ou encore les Templier. Aujourd’hui, cette phobie semble moins populaire.
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D’où vient la superstition du vendredi 13 ?

 

Le vendredi 13 est ambivalent. Pour certains il s’agit d’un jour de chance, pour d’autres il est à craindre. Il y a même des personnes qui développent à son égard une phobie spécifique, la paraskevidékatriaphobie.

Il est difficile de donner une explication unique à cette superstition car elle en concentre deux distinctes: celle du vendredi et celle du 13.

Mais l’explication la plus probable, en tant que porte malheur, se trouve dans la Bible. En effet, lors du dernier repas de Jésus, le soir de la Cène, il y eut 13 personnes à table. Or Judas, le treizième convive est précisément celui qui a trahi Jésus entrainant son arrestation par les Romains. Dès le lendemain, un vendredi, le Christ fut jugé et crucifié.

A elles seules, ces deux scènes justifient que le vendredi 13 soit consideré par certains comme un jour maudit. De plus on fait remarquer que le chapitre 13 de l’Apocalypse concerne l’Antéchrist et la Bête.

Mais d’autres hypothèses existent. Par exemple s’agissant du chiffre 13: chez les Grecs et les Romains, le 12 était considéré comme le nombre parfait: il y avait 12 dieux olympiens, 12 constellations dans le ciel, 12 signes du zodiaque etc… Logiquement le chiffre qui vient ensuite fut considéré comme brisant cette perfection, cet équilibre. Le 13 serait donc à l’origine du désordre.

Enfin le vendredi 13 octobre 1307 tous les templiers du fameux Ordre furent arrêtés par Philippe le Bel. Selon la légende, le grand maître aurait prononcé ces mots sur le bucher :

Vous serez tous maudits, jusqu’à la treizième génération“.

Et on pourrait continuer longtemps sur le même registre. Par exemple au Tarot, la 13e carte symbolise la mort.

Pourtant malgré cette accumulation de raisons de considérer ce jour comme porte malheur, depuis quelques décennies le vendredi 13 fait de moins en moins peur. Mieux il porterait chance ! La raison de ce retournement est incertaine. Mais le résultat est bien là. Il y a deux fois plus de joueurs aux jeux de la Française des Jeux les semaines de vendredi 13, 8 millions au lieu de 4 normalement.

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des expressions culinaires françaises


Des expressions qui ont un lien avec des aliments, il en a juste une que je n’ai jamais entendu, celle du sucre
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Top 10 des expressions culinaires françaises

Crédits : Pixabay

Reconnus comme de fins gourmets dans le monde entier, les Français ont même intégré leur goût pour la cuisine dans leurs expressions quotidiennes. Fort de cette découverte, nous avons décidé d’en savoir davantage sur les plus sollicitées. Alors, d’où vient l’idée de pleurer comme une madeleine ? Pourquoi est-ce la fin des haricots quand rien ne va plus ? Pourquoi est-ce dans les pommes que nous tombons lors d’un malaise ?

1) Pleurer comme une madeleine

Crédits : Pixabay

Il faut remonter au début de notre ère pour retracer son origine. Cette expression nous vient de la Bible, et plus précisément, de l’histoire de Marie la Magdaléenne (Marie-Madeleine), une ancienne prostituée qui confessa ses péchés à Jésus. Envahie par la tristesse, elle aurait pleuré à chaudes larmes, toutes les larmes de son corps. « Pleurer comme une Madeleine » ne fait donc pas référence à cette pâtisserie moelleuse, mais bien à une personne aux pleurs perçus comme excessifs.

2) Rouge comme une tomate

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Apparue dès 1690, elle fait référence à la couleur rouge qui teinte parfois les jours d’un individu lorsqu’il est en proie à une vive émotion, telle que la colère, la timidité ou encore, le sentiment amoureux. L’évidence du rouge de la tomate, un rouge marquant, en fait l’exemple même de la couleur.

3) Tomber dans les pommes

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L’expression serait apparue en 1889, l’origine reste toutefois incertaine. Elle viendrait de la déformation du terme pâmes (tomber en pâmoison, s’évanouir). Cependant, ce terme n’est plus employé depuis le XVe siècle, alors la déformation reste peu plausible. Une autre explication, plus crédible, viendrait de George Sand. Pour décrire à Madame Dupin qu’elle se trouvait dans un état de fatigue avancée, elle écrivit « être dans les pommes cuites ».

4) Raconter des salades

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Cette expression date du XIXe siècle et se base sur une métaphore. Une salade, soit un assortiment d’ingrédients, est associée à un ensemble de ragots qui, alliés à un peu d’humour, peuvent passer pour vrais. « Raconter des salades » signifie alors raconter des balivernes.

5) Être le dindon de la farce

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Il existe plusieurs explications pour justifier de l’origine de cette expression. La première fait un parallèle avec les « farces » au Moyen-âge, c’est-à-dire, les intermèdes comiques des spectacles. Les pères un peu crédules de certaines pièces étaient, à cette époque, surnommés les « pères dindons ». Un personnage alors dupé par sa progéniture était appelé le « dindon de la farce ».

Une seconde explication, vient d’un spectacle forain Le Ballet des dindons joué à Paris entre 1739 et 1844. Les dindons étaient posés sur une plaque métallique chauffée de manière progressive et la situation faisait alors danser les dindons, qui évitaient ainsi de se brûler les pattes. Il s’agissait d’une farce cruelle mais qui plaisait à l’époque aux spectateurs. Néanmoins, le lien avec le fait de duper n’est pas évident.

La dernière explication, et certainement la meilleure, revient au fait de plumer un dindon. Il se fait duper. Puis, étant souvent servi farci, il n’y a plus qu’un pas à faire pour retrouver l’origine de l’expression.

6) Ramener sa fraise

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Il s’agit d’une expression argotique émanant du début du XXe siècle. À l’origine elle signifiait « ronchonner », puis son sens a évolué pour qualifier une personne qui intervient de façon inappropriée dans une conversation. La fraise étant utilisée pour représenter la taille d’une personne approchant.

7) La fin des haricots

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Cette expression est une métaphore, datant du Moyen-âge, signifiant que rien ne va plus. Elle ferait écho aux situations précaires de personnes à cette époque, lorsqu’ils n’avaient plus assez d’argent pour se nourrir, payer des fèves ou même des haricots (les aliments les moins onéreux de l’époque).

Par extension, l’expression est utilisée pour parler d’une situation critique, lorsque l’on perd tout espoir.

8) Casser du sucre sur le dos de quelqu’un

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L’expression est apparue au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, pour signifier le fait de raconter des mensonges sur quelqu’un alors qu’il est absent. Pour les brigands, à cette époque, elle signifiait « dénoncer ». Elle ferait également référence au terme « sucrer » soit, maltraiter.

9) La moutarde me monte au nez

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Faisant référence à la sensation de manger de la moutarde un peu trop piquante, elle signifie être particulièrement en colère. Nous avons tous en mémoire l’émotion provoquée par ce condiment, parvenant même à nous tirer quelques larmes.

10) On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre

Crédits : Pixabay / Steveb

Dérivé de l’expression « on prend plus de mouches avec du miel qu’avec du vinaigre » datant du XVIIIe siècle. Elle signifie que pour amadouer quelqu’un, il vaut mieux être doux et sympathique (comme le miel) qu’acide (comme le vinaigre).

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Le retour de la fin du monde (selon une obscure histoire d’astrologie et de numérologie biblique)


Un de mes proches me racontait un truc qui se passerait le 23 septembre que sa petite amie lui a raconté. Je n’avais pas compris grand chose, mais je lui a dit qu’à mon avis la personne ne sait exactement quand la fin du monde viendra et de ne pas croire tous ces faux prophètes de malheur qui assurent connaître la date exacte. Et cet article viens tout expliquer d’ou part ce nouvel avertissement de fin du monde et comme le 23 septembre touche bientôt à sa fin … On ne peut que conclure que c’est encore une pathétique annonciation de la fin. Alors rendez-vous en 2020, il parait qu’une voyante américaine annonce aussi la fin du monde. Sinon à qui le prochain tour ?
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Le retour de la fin du monde (selon une obscure histoire d’astrologie et de numérologie biblique)

 

IG0RZH VIA GETTY IMAGES

 

Jésus avait 33 ans. Elohim est mentionné 33 fois dans la bible. Il s’est écoulé 33 jours depuis l’éclipse solaire. Imparable, non?

 

Vous n’avez envie de rien aujourd’hui? Ca tombe bien, ce samedi 23 septembre, c’est la fin du monde. Encore? Eh oui, en tout cas, si l’on en croit d’obscures affirmations provenant de chrétiens évangéliques. Par exemple, le site Unsealed a mis en place un compte à rebours depuis quelques jours pour cette date fatidique.

Ne paniquez pas pour autant. Si vous aviez l’once d’un doute, on vous rassure: tout cela est abracadabrantesque. Il n’y a qu’à voir les arguments cités par l’un des auteurs de cette théorie, David Meade, interrogé par le Washington Post.

Pour faire simple, celui qui se dit scientifique (sans expliquer dans quelle université), part d’une lecture de la Bible. Et de beaucoup de mauvaise foi.

« Jesus a vécu 33 ans. Le nom Elohim, celui du dieu des Juifs, est cité 33 fois », affirme-t-il.

Le rapport avec le 23 septembre? Cela fera tout juste 33 jours que l’éclipse solaire au dessus des Etats-Unis a eu lieu, le 21 août dernier.

Une femme, des dragons, mais pas de Marcheurs Blancs

Pas convaincus? Vous faites bien, mais David Meade a d’autres arguments. Il rappelle que dans l’Apocalypse de Jean, une femme enveloppée de soleil avec une lune sous ses pieds et une couronne d’étoiles doit donner naissance à un enfant qui dirigera le monde (alors qu’elle est menacée par un dragon à sept têtes).

Pour certains chrétiens évangéliques, à l’instar de Gary Ray, un des auteurs d’Unsealed, cette prophétie est carrément en train de se réaliser, explique le Washington Post. La constellation de la Vierge représenterait cette femme et elle devrait justement se retrouver encerclée par la Lune, neuf étoiles et trois planètes. Et accoucherait de Jupiter, qui passe justement dans le coin.

Le tout est expliqué dans une vidéo pleine d’images de synthèses qui a été vue plus de 3 millions de fois.

Evidemment, les conspirateurs rappellent que si rien ne se passe le 23 septembre, cela veut simplement dire que le début de l’apocalypse arrive. Pour David Meade, il prendra à terme la forme d’une planète entière qui foncera vers la Terre.

Après Nibiru et Niburu 2012, le retour de Nibiru

Baptisée Nibiru, elle devait normalement nous détruire en 2003. Puis le 21 décembre 2012, pour coller au nouveau cycle du calendrier maya. Evidemment, il est totalement impossible qu’une planète massive se rapprochant de nous puisse avoir échappé aux scientifiques, rappelait en 2012 la Nasa.

D’autant que cette planète ayant une orbite de 3600 ans selon ces théories, elle aurait déjà du passer plusieurs fois en plein coeur du système solaire. Ce qui aurait mis un sacré bazar dans les orbites des différentes planètes, rappelle l’agence spatiale américaine.

Celle-ci a l’habitude de devoir démentir des rumeurs de fin du monde. En 2015, elle rappelait que non, aucune base scientifique ne permettait de dire qu’un astéroïde puisse entrer en collision avec la Terre dans les mois à venir.

Pas totalement rassurés? Sachez que même les théologiens ne croient pas du tout à ces affabulations

Ed Stetzer, chercheur et pasteur américain, affirme tout simplement dans un article que « quand quelqu’un vous dit qu’il a trouvé un nombre secret dans la Bible, arrêtez la conversation ».

Déçus? Rassurez-vous, ce sera bientôt à nouveau la fin du monde. La prochaine prédiction de l’apocalypse, réalisée par la célèbre voyante autoproclamée américaine Jeane Dixon, débute en 2020.

Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

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Le Saviez-Vous ► Les 10 choses les plus volées à l’hôtel


Souvent, on apporte un savon ou un petit truc de la salle de bain, mais des draps, les télécommandes, pouvant aller jusqu’à un ordinateur démontre qu’on fait le vol, ne semble pas être pris au sérieux quand on voyage. Que le vol soit insignifiant ou important, un vol, c’est un vol.
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La chaine Holiday Inn a déclaré en 2008 avoir été délestée d’un demi-million de serviettes.

 

Vous seriez surpris des choses que les gens peuvent piquer dans les hôtels. Si certains s’en tiennent à une petite bouteille de shampoing, d’autres partent carrément avec la couette.

Plus de 58% des voyageurs canadiens admettent avoir volé un objet dans un hôtel au moins une fois, selon un récent sondage réalisé par le comparateur de vols et d’hôtels Jetcost.

Et ils partent vraiment avec n’importe quoi. Ça part des piles dans la télécommande, à la télécommande elle-même qui ne fonctionne que pour cet unique modèle de télé. Ampoules électriques, Bible, oeuvres d’art, serviettes, sèche-cheveux, miroir, vaisselle, nourriture au buffet déjeuner… Oreillers, et couette sont parfois remplacés par d’autres de moindre qualité. Des clients se servent même dans les chariots de femme de chambre.

MARTIN BARRAUD

Les salles de conférence auraient la cote auprès des cleptos! Ordinateurs, imprimantes, papeterie disparaissent fréquemment.

Le minibar attire aussi leur attention. Certains vont même à remplacer le contenu des bouteilles d’alcool par de l’eau quand il s’agit de vodka ou de thé pour le whiskey ou le rhum.

Et comme le note Jetcost, «le plus curieux, c’est que (NDLR: certains) cleptomanes n’ont aucune conscience qu’il s’agit de vol. Eux, ils se perçoivent comme de simples collectionneurs de souvenirs».

Top 10 des objets les plus volés dans les hôtels par les Canadiens:

  • 1.- Les produits de toilette (y compris les plateaux ou les paniers de présentation)
  • 2.- Des serviettes, en particulier les draps de bain
  • 3.-Des ampoules, des batteries de télécommande
  • 4.- Papeterie, stylos, petits carnets, magasines, Bibles…
  • 5.- Des fleurs et des fruits, avec parfois les vases
  • 6.- Les mignonnettes du minibar
  • 7.- Objets décoratifs en céramique, couverts, verres et verres à pied.
  • 8.- Des oreillers et des couettes
  • 9.- Des porte-serviettes, des sèche-cheveux, des miroirs…
  • 10.- Des appareils électriques: fers à repasser, horloges, appliques, lecteurs de DVD…

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Le Saviez-Vous ► Il était une fois la maladie: la gonorrhée et la méthode du bon docteur Oselbiah


Les ITSS (infections transmissibles sexuellement et par le sang) qu’il y a quelques années, nous les appelons MTS ont toujours fait de grands ravages, et les thérapies d’autrefois étaient assez drastiques enfin pour les hommes. Aujourd’hui, nous avons les antibiotiques, mais ces infections deviennent plus résistantes. Alors que l’éducation sexuelle ne semble pas toucher les jeunes, comment réduire ces infections ? Sûrement pas le traitement du Dr Oselbiah au XIIIe siècle
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Il était une fois la maladie: la gonorrhée et la méthode du bon docteur Oselbiah

 

Jacques Beaulieu

La gonorrhée ou les malheurs de Pantagruel

«Peu de temps après, le bon Pantagruel tomba malade, et feut tant prins de l’estomach qu’il ne pouvoyt boyre ni manger; et, parce qu’un malheur ne vient jamais seul, lui vint une pisse chaulde, qui le tourmenta plus que ne penseriez. Mais les medicins le secoururent tres bien; et avecques force drogues lenitives et diurecticques, le feirent pisser son malheur.» (Œuvre de Rabelais, François Rabelais, Charles Esmangart, Éloi Johanneau, Tome 4, Chez Dalibon, Libraire, Paris, 1873, p.144-145)

Ce bon Pantagruel, un gourmand, gourmet et fêtard invétéré, était donc bien puni, mais il ne fut ni le premier, ni le dernier dans l’histoire humaine à avoir subi la blenhorragie, la gonorrhée ou, plus familièrement nommée la pisse-chaude ou encore : la chtouille, altération de jetouille, signifiant rejeter des humeurs, les écoulements étant un des symptômes de la maladie.

L’antiquité

Il est difficile de dater avec précision les premières observations de cette maladie. Des papyrus égyptiens écrits vers 1350 avant Jésus-Christ, font état d’une maladie provoquant l’érection du pénis que les médecins traitaient avec des injections dans l’urètre. On retrouve aussi plusieurs passages bibliques qui citent une maladie avec érection et écoulement purulent. Vers 1200 avant Jésus-Christ, les textes citent une maladie qui se répandit alors que des Juifs, avant l’entrée dans la terre promise, avaient eu des relations sexuelles avec d’autres peuplades sémitiques. La maladie provoquait des écoulements génitaux et il ne faisait pas l’ombre d’un doute pour les médecins de l’époque qu’elle était hautement contagieuse. Une mesure fut alors décidée et appliquée : l’éradication de tous ceux qui en étaient atteints. Dans le livre du Lévitique, on retrouve cette description :

Tout homme qui a une gonorrhée est par là même impur. C’est à cause de sa gonorrhée qu’il est impur : que sa chair laisse couler son flux, ou qu’elle le retienne, il est impur. (Lévitique 15 : 2,3).

D’ailleurs, toujours dans le courant biblique, le terme gonorrhée aurait été souvent écrit : gomorrhée en relation avec les villes pécheresses Sodome et Gomorrhe.

Le terme gonorrhée viendrait du grec antique : gonos (signifiant semence séminale) et rhéon signifiant couler. Hippocrate croyait avoir trouvé le remède idéal pour guérir la maladie. Selon l’illustre médecin, la maladie était le fait des camosités (terme imprécis s’il en est un pour désigner tout autant des granulomes inflammatoires, des polypes, des tumeurs ou encore des rétrécissements). Et pour la guérir, il écrivit :

«ceux qui ont des tubercules ou des camosités dans l’urètre en guériront par la suppuration et l’écoulement du pus.» (HIPPOCRATE: Œuvres complètes d’Hippocrate. Commentées et recueillies par E. Littré, 10 vol. Paris, J.B. Baillière et Fils, (1836-1861) Epid., III, 7; Morb., II, 51; Aph., IV, 82.).

Le remède ne devait pas être tellement efficace.

Quelques siècles plus tard, ce sera le médecin grec Arétée de Cappadoce qui décrivit ainsi la maladie :

« Cette maladie parce qu’elle est honteuse en elle-même, qu’elle est dangereuse en ce qu’elle conduit au marasme, nuisible à la société en ce qu’elle s’oppose à la propagation de l’espèce humaine, et qu’elle est sous tous ces rapports la source d’une infinité de maux, exige de prompts secours. »

D’ailleurs à ce dernier sujet, Arétée suggérait comme remèdes des astringents, un refroidissement des lombes tout en réchauffant les parties génitales en les enveloppant de laines surges (laines non lavées avant ou après la tonte). On pourra aussi verser de l’huile de rose ou d’aneth sur les parties génitales ou encore les recouvrir de cataplasmes de farine d’orge, de semence d’erysinum officinal (une plante) ajouté à du nitre et du miel. Et pour conclure, Arétée écrivait :

« Si le malade veut s’abstenir des plaisirs vénériens et faire un fréquent usage des bains froids, il y a tout lieu d’espérer qu’il recouvrera sa virilité. »

La gonorrhée au Moyen-âge

Les médecins Rhazès, un illustre médecin Perse dont les diagnostics rigoureux étaient fondés sur l’interrogatoire du patient, et Avicennes écrivirent de nombreux textes sur la gonorrhée au Xe siècle de notre ère. Plusieurs hypothèses circulèrent quant aux causes de la maladie.

«Le docteur Abu Oselbiah attribue la maladie à des rapports sexuels impurs avec un animal. Il citait aussi son traitement de prédilection pour guérir la maladie. Il s’agissait d’un coup de poing vigoureux sur le pénis posé sur une pierre.»

La médecine du docteur Oselbiah

Un autre médecin arabe du XIIIe siècle, le docteur Abu Oselbiah attribue la maladie à des rapports sexuels impurs avec un animal. Il citait aussi son traitement de prédilection pour guérir la maladie. Il s’agissait d’un coup de poing vigoureux sur le pénis posé sur une pierre. L’histoire ne commente pas à savoir quelle était l’étendue de sa clientèle mâle… (Androutsos G., Vladimiros L., De la gonorrhée à la blennorragie : Les grandes étapes historiques, Andrologie 2007, 17, No2 143-151)

Puis, paradoxalement pendant plus de six siècles, s’établit un débat où la confusion entre gonorrhée et syphilis fut maître. Les historiens ne s’entendent pas sur l’origine de cet imbroglio. Mais il n’empêche qu’alors plusieurs savants croyaient qu’il ne s’agissait que d’une seule et même maladie tandis que d’autres affirmaient qu’il s’agissait plutôt de deux maladies distinctes. Si plusieurs clamaient haut et fort que syphilis, vérole et gonorrhée n’étaient que des manifestations différentes d’une seule et même maladie, d’autres tentaient des explications tout autant dénuées de fondement réussissant même à en ajouter à la confusion existante. Ainsi le médecin italien Antonio Musa Brassavola, le premier chirurgien connu dans l’histoire pour avoir pratiqué une trachéotomie avec succès et médecin personnel du roi, écrivit que la gonorrhée était la première phase de la syphilis tout en reconnaissant qu’il existait une forme non syphilitique de la gonorrhée. De quoi en perdre son latin même s’il l’avait écrit dans son livre intitulé : Examen simplicium medicamentorum…

Quant au terme blennorragie, il vient du médecin autrichien François-Xavier Swediaur qui publia au début du XIXe siècle : Traité des maladies syphilitiques vénériennes.

Et la vérité s’imposa

C’est un jeune médecin chercheur allemand, à peine âgé de 24 ans qui identifia enfin le coupable qu’il nomma : micrococcus. Albert Neisser avait alors pu l’observer grâce au nouveau microscope de Carl Zeiss. C’est un confrère, non moins connu : Paul Ehrlich qui donna le nom de gonocoque à la bactérie découverte par Neisser.

L’arrivée de la pénicilline allait enfin apporter une thérapie efficace contre la gonorrhée. Mais le gonocoque a plus d’un tour dans son sac. Et son incidence dans la population varie un peu à la façon d’un yoyo. Ainsi après une hausse marquée à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, une lente baisse s’effectue au cours des 15 années qui suivirent. Puis avec les années 1960 et la remontée de l’amour libre, une nouvelle hausse se dessine. L’arrivée du SIDA et les mesures d’informations sur ce qu’on appelait alors les MTS (aujourd’hui les ITSS) la fin de la récréation était sonnée engendrant une nouvelle réduction de cas. La fin des années 1990 voit se propager une nouvelle augmentation due cette fois à l’émergence de plus en plus fréquente de gonocoques résistants aux antibiotiques. Entre 1997 et 2007 au Québec, les cas ont grimpé de 485 à 2 460; une augmentation de plus de 400%. La gonorrhée touche surtout les jeunes de 20 à 29 ans. Il faudra peut-être investir dans la recherche sur de nouveaux antibiotiques ou souhaiter qu’on ne soit pas forcés de revenir aux méthodes du bon docteur Oselbiah!


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Des textes de la Bible pourraient être plus vieux que ce que l’ont croyait


Il semble qu’on parle de l’Ancien testament vue que ces manuscrits datent avant JC. Cependant, j’aimerais bien voir les différences entre hier et aujourd’hui sur ces écrits, car je ne crois pas que la Bible d’aujourd’hui, soit tout a fait la même qu’il y a 2 mille ans
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Des textes de la Bible pourraient être plus vieux que ce que l’ont croyait

 

Des lettres inscrites sur de la poterie ont... (PHOTO DAN BALITY, ASSOCIATED PRESS)

Des lettres inscrites sur de la poterie ont été découvertes lors d’une fouille dans une ancienne forteresse à Arad, en Israël.

PHOTO DAN BALITY, ASSOCIATED PRESS

Associated Press
JÉRUSALEM

Des mathématiciens et des archéologues israéliens affirment qu’ils ont trouvé des preuves suggérant que des textes bibliques clés pourraient avoir été écrits plus tôt que certains universitaires le croient.

À l’aide de technologies d’analyse d’écriture comparables à celles utilisées par les agences de services secrets et les banques pour analyser les signatures, une équipe de recherche de l’Université de Tel-Aviv a déterminé qu’un célèbre ensemble d’inscriptions anciennes en hébreu, qui daterait d’environ 600 avant Jésus-Christ (av. J.-C.), a été rédigé par au moins six auteurs différents.

Même si les inscriptions ne sont pas de la bible hébraïque, leur découverte suggère une alphabétisation répandue en Judée à cette époque, ce qui pourrait soutenir la théorie de la composition d’ouvrages bibliques au même moment.

La découverte, dévoilée lundi par The Proceedings of the National Academy of Sciences, une revue scientifique américaine, contribue à un débat de longue date sur le moment où les textes bibliques ont commencé à être compilés pour la première fois : est-ce que cela a eu lieu avant ou après le siège de Babylone et la destruction de Jérusalem en 586 av. J.-C. et l’exil de ses habitants vers Babylone?

Au cours des dernières années, plusieurs chercheurs ont attribué la composition d’un groupe de textes bibliques, du Livre de Josué au second Livre des Rois, à la période suivant le siège, selon l’archéologue israélien Israël Finkelstein, qui a participé à l’étude. Cette théorie veut que les textes bibliques aient été écrits comme résultat de l’exil à Babylone, quand leurs rédacteurs ont commencé à réfléchir à leur passé, et ont couché leur histoire sur du parchemin.

L’équipe – composée d’étudiants au doctorat en mathématiques appliquées, de professeurs de mathématiques, d’archéologues et d’un physicien – a examiné 16 inscriptions à l’encre sur des morceaux de céramique découverts sur le site d’une ancienne forteresse militaire à Arad, dans le sud d’Israël.

Ils ont utilisé de l’imagerie multispectrale pour reconstituer des lettres hébraïques qui ont été partiellement effacées avec le passage du temps, et ont ensuite utilisé un algorithme informatique pour analyser les écritures pour relever des différences dans la méthode d’écriture.

Vaste maîtrise de l’écriture

Les inscriptions ne sont pas des textes bibliques. Elles détaillent plutôt les mouvements des troupes et les dépenses pour des provisions indiquant que des personnes à différents niveaux de la chaîne de commande militaire étaient capables d’écrire.

Le ton des écritures, qui suggère qu’elles n’étaient pas rédigées par des scribes professionnels, combiné à la localisation éloignée de la forteresse, indique une vaste maîtrise de l’écriture à l’époque.

Un haut niveau de littératie soutiendrait l’idée que les textes bibliques auraient déjà été écrits à cette époque.

L’on croit que les manuscrits de la mer Morte, la plus ancienne collection de textes bibliques, auraient été écrits des siècles plus tard.

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La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d’analyse de texte


Beaucoup ont de préjugés face aux livres religieux, enfin, disons-le surtout envers le Coran. Il faut dire qu’avec les actes terroristes et les menaces envers l’Occident, il est facile de porter des jugements alors que ces personnes ne savent pas vraiment ce que contient le Coran, et même la Bible. Sachez bien, qu’un livre religieux ne se lit pas comme un roman, il y a l’histoire à tenir compte ainsi que le contexte.
Nuage

 

La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d’analyse de texte

 

Le Coran parle plus souvent de joie que la Bible, qui elle, parle davantage d’amour.

SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

ÉCRITURES – Un ingénieur développeur américain a utilisé son logiciel d’analyse de textes sur l’Ancien Testament, le Nouveau, et le Coran. Selon ses résultats, la Bible est légèrement plus portée sur la destruction et le meurtre que le livre de l’islam.

 

« Le Coran est-il vraiment plus violent que la Bible ? » Tout est parti de cette question, que Tom Anderson, un ingénieur développeur de New-York s’est posée. En analysant la Bible complète et le Coran grâce à son logiciel comparatif, l’ingénieur en données informatiques s’est rendu compte que le livre chrétien contenait davantage d’allusions au « meurtre » et à la « destruction » que son homologue coranique.

En janvier dernier, Tom Anderson a constaté que, dans les débats, les récents épisodes terroristes étaient souvent associés à un « islam fondamentaliste », qui serait un foyer de violences exploité par les extrémistes. Selon certains, le Coran encouragerait davantage les actes brutaux comparé aux autres textes religieux.

Or « pour comprendre une religion, il est tout à fait logique de commencer par examiner sa littérature », pose l’ingénieur dans son étude.

Quand l’informatique s’en mêle

Et ça tombe bien, Tom Anderson a conçu un logiciel d’analyse, OdinText, destiné à aider les chercheurs dans leur étude de documents. L’outil scanne froidement le contenu d’une œuvre et révèle des tendances dans le vocabulaire utilisé, en fonction de mots-clés choisis : le nombre de fois où le mot a été utilisé, ses synonymes, les termes liés au même champs lexical, ou encore sa proximité avec les autres vocables recherchés.

 

Sont donc passés sous l’œil mécanique du logiciel : l’Ancien Testament (dont les cinq premiers livres sont communs à la Torah, le livre sacré du judaïsme), le Nouveau Testament (associé à l’Ancien, il constitue la Bible chrétienne) et enfin le Coran (le livre sacré de l’islam). Pour comparer les trois livres, Tom Anderson a utilisé des repères autour des émotions humaines (et non, il ne s’agit pas d’un remake de Vice Versa) : la joie, l’attente, la colère, le dégoût, la tristesse, la surprise, la peur/l’anxiété et la confiance/croyance. OdinText a analysé 886.000 mots au total… le tout en deux minutes.

Bible en « colère », Coran plein de « joie »

Résultat de ce battle : la notion de « colère » est davantage utilisée dans la Bible (les deux Testaments) que dans le Coran, qui lui obtient un score plus élevé côté « joie » et « confiance/croyance », mais aussi pour ce qui est de la « peur/anxiété ». La surprise, la tristesse et le dégoût se retrouvent à parts égales dans les deux textes, précise l’analyste. La Bible se défend toutefois grâce à « l’amour » présent à 3% dans le Nouveau Testament, à 1,9% dans l’Ancien, contre 1,26% dans le Coran.

La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d'analyse de texte

Photo: Odintext.com

Mais la question demeure : la Coran est-il plus violent ? Le « meurtre » et la « destruction » constituent 2,1% du livre des musulmans, contre 2,8% du Nouveau Testament et pas moins de 5,3% de l’Ancien Testament, soit plus du double par rapport au Coran. En regardant le concept « d’ennemis », c’est encore le plus vieux des textes chrétiens qui bat le record. 1,8% de son contenu en fait mention, suivi du Coran (0,7%) et du Nouveau Testament (0,5%). Dans le Coran toutefois, l’ennemi est légèrement plus souvent un concept, comme le « Diable » ou le « mal » (0,2%), que dans le Nouveau Testament (0,1%).

La Bible est plus violente que le Coran selon un logiciel d'analyse de texte

Le Coran évoque par ailleurs plus souvent « le pardon/la grâce » (6,3%) que les Nouveau (2,9%) et Ancien (0,7%) Testaments. Tom Anderson note toutefois que ce rapport est en partie dû à l’épithète « miséricordieux » fréquemment assorti au nom d’ « Allah »

. « Certains pourraient exclure ce mot, considérant qu’il n’est qu’une étiquette ou un titre, mais nous pensons qu’il est signifiant, parce que la miséricorde a été préférée aux autres attributs comme ‘tout-puissant' », nuance-t-il.

Pour lui, il n’est pas question de prendre parti, et il reconnaît n’avoir « fait que gratter la surface ». Il conclut toutefois :

« Il semble juste d’en déduire que certains préjugés communément admis sur la perception de ces textes ne sont pas forcément porteurs de vérité ».

Ce qui nous donne furieusement envie de dire… amen.

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Choqués par des versets du Coran, il s’agit en réalité de la Bible


Ce sont deux Néerlandais qui ont acheté une Bible et on mit une couverture avec l’inscription du Coran. Ils ont choisi des passages controversés ou violents pour démontrer que l’ignorance et la généralisation peuvent faire porter de faux jugements surtout quand des versets sont hors contexte
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Choqués par des versets du Coran, il s’agit en réalité de la Bible