Une "prison" de bélugas et d’orques : un business illégal entre la Chine et la Russie


La hausse d’aquariums en Chine cause des ennuis aux animaux marins. Des gens peu scrupuleux en Russie attrapent des otaries et des orques pour les mettre en « prison » et le terme prison est vraiment bien choisi. Car ils sont dans des endroits restreint malgré l’eau tout autour. Ils seront vendus aux Chinois …
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Une « prison » de bélugas et d’orques : un business illégal entre la Chine et la Russie

 

Prison de bélugas et d'orques

Prison de bélugas et d’orques filmée au large de la Russie.

© FACEBOOK / MASHA NETREBENKO

Par Anne-Sophie Tassart

Une « prison de bélugas et d’orques » a été filmée dans l’Extrême-Orient russe. Un véritable flou entoure les entreprises qui possèdent ces enclos abritant bien souvent des animaux destinés à la Chine.

Au large de la Russie, plus particulièrement de la ville de Nakhodka, 11 orques et 90 bélugas capturés dans la nature ont été filmés par une journaliste russe nommée Masha Netrebenko. Les cétacés sont retenus dans des enclos bien trop petits et en toute illégalité, a indiqué le 6 novembre 2018 la Whale and Dolphin Conservation Society, une ONG britannique.

Plusieurs entreprises semblent se cacher derrière ce juteux business

La plupart de ces animaux capturés au large de la Russie seraient ensuite vendus à des aquariums chinois. Selon une enquête menée par le journal indépendant russeNovaya Gazeta, entre 2013 et 2016, pas moins de 13 épaulards ont été exportés vers la Chine par la Russie pour un montant de 700 millions de roubles russes (environ 9 millions d’euros). En réalité, les établissements chinois ne se cachent même pas à l’image du Linyi Polar Ocean World qui précise sur son site que sa « Baie des orques » abritent « 4 épaulards russes« . Le nombre d’aquarium en Chine est en hausse selon le média. D’ailleurs, en 2017, une firme d’investissements immobiliers chinoise avait annoncé devenir le premier actionnaire des parcs SeaWorld. Elle avait alors fait part de sa volonté de développer ces structures en Asie. Ce pays devient alors un client particulièrement intéressant pour des gens peu scrupuleux qui semblent essentiellement cachés derrière quatre entreprises, toujours selon Novaya Gazeta : LLC Oceanarium DV, LLC Afalina, LLC Bely Kit et LLC Sochi Dolphinarium. Mais qui tire les ficelles ? On nous indique un nom : Arkadi Rotenberg, un oligarque russe proche de Vladimir Poutine.

« Ce sombre business implique les personnes les plus riches de Moscou proches des politiciens les plus importants du gouvernement russe », explique à Sciences et Avenir une source qui souhaite garder l’anonymat.

 

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Des bélugas adoptent un narval égaré dans le Saint-Laurent


Un narval très loin de sa patrie, a été adopté par des bélugas et vit exactement comme eux.
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Des bélugas adoptent un narval égaré dans le Saint-Laurent

 

Une vidéo du narval en compagnie de sa... (PHOTO AFP)

Une vidéo du narval en compagnie de sa nouvelle famille a permis de mieux comprendre la dynamique du groupe. La population de bélugas du Saint-Laurent est officiellement considérée en voie de disparition.

PHOTO AFP

Agence France-Presse
Ottawa

 

Un narval solitaire, nageant à des milliers de kilomètres de son habitat habituel dans Saint-Laurent, s’est trouvé une improbable famille d’adoption au sein d’un groupe de bélugas du fleuve Saint-Laurent, selon une ONG québécoise oeuvrant à la préservation des mammifères marins.

Le jeune narval – identifiable par sa défense et ses taches grises – a été filmé par des biologistes au cours de l’été, nageant au milieu d’une dizaine de bélugas, une petite baleine blanche.

Les bélugas l’ont totalement accepté, car autant le narval que ces derniers nagent à la surface de l’eau en se frottant les uns aux autres et en exhibant leurs organes génitaux, a déclaré Robert Michaud, directeur du Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins (GREMM) de Tadoussac, à 215 km au nord-est de Québec.

«Il a trouvé des copains», a dit ce biologiste. «Et ils le traitent comme s’il était l’un des leurs».

Les narvals vivent dans les eaux de l’Arctique, d’où le caractère exceptionnel de la présence de ce spécimen à des milliers de kilomètres de son habitat.

Le jeune narval a été vu pour la première fois avec les bélugas en 2016 et à nouveau en 2017. Une vidéo du narval en compagnie de sa nouvelle famille a finalement été tournée en juillet par les chercheurs du GREMM, grâce à un drone, ce qui leur a permis de mieux comprendre la dynamique du groupe.

La population de bélugas du Saint-Laurent est la plus méridionale de l’espèce dans le monde et est officiellement considérée en voie de disparition.

Alors que les habitats du béluga et du narval se chevauchent dans une partie de l’Arctique et que ces deux espèces sont étroitement liées, il est rare de les voir interagir entre eux.

Les jeunes baleines ont tendance à errer et lorsqu’elles sont incapables de retrouver les leurs, ces créatures très sociales tentent de se lier d’amitié avec des bouées ou des bateaux, au risque parfois de subir des blessures mortelles causées par des hélices.

Le jeune narval a été «chanceux» d’être accepté par les bélugas car ceux-ci «se retrouvent souvent dans des situations difficiles» en présence de cette espèce, a noté M. Michaud.

À cet âge, vers cinq ou six ans, les jeunes bélugas mâles socialisent et apprennent entre eux, nouant des liens qui les mèneront à l’âge adulte, ce que les narvals ne font pas.

«Pour que ce jeune narval puisse maintenant survivre, il a besoin de contact avec les autres, il a besoins de copains», selon M. Michaud.

«Il apprend, dans les faits, a être un béluga», note-t-il en riant.

«Comment ça va se passer? Les narvals et les bélugas vivent jusqu’à 60 ans. Ce sera donc une longue histoire à suivre. Restez à l’écoute».

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Un satellite européen et son carburant toxique pourraient s’écraser au Canada


Bien que la plupart des débris spatiaux se désintègrent complètement en rentrant dans l’atmosphère de la Terre, il y a quand même un risque que certains passent au travers et tombent dans l’eau ou sur le sol. Le fait d’utiliser un carburant hautement toxique (moins cher) pour la faune marine dans l’Arctique canadien est inadmissible. L’écosystème de cette région est trop fragile pour risquer une telle catastrophe écologique
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Un satellite européen et son carburant toxique pourraient s’écraser au Canada

 

La banquise arctique... (PHOTO Michael Studinger, ARCHIVES REUTERS/NASA)

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La banquise arctique

PHOTO MICHAEL STUDINGER, ARCHIVES REUTERS/NASA

 

BOB WEBER
La Presse Canadienne

Des leaders et des chasseurs inuits sont en colère contre les projets européens de lancer un satellite qui propulserait une fusée qui contiendrait probablement un carburant fortement toxique dans certaines des eaux les plus sensibles dans l’Arctique canadien.

Nancy Karetak-Lindell, présidente du Conseil inuit circumpolaire, a dit croire que le fait que des agences spatiales sont «prêtes à utiliser le Pikialasorsuaq comme une décharge toxique souligne le besoin pressant pour une gestion locale de l’écosystème sensible».

Elle a fait valoir que ces eaux marines étaient en fait «la source de vivres» pour les populations.

Vendredi prochain, l’Agence spatiale européenne prévoit lancer le satellite Sentinel 5P, conçu pour surveiller les traces de gaz dans l’atmosphère. Un second lancement d’un satellite similaire est prévu pour 2018.

Les deux satellites doivent être lancés à partir de la Russie en utilisant des fusées de l’ère soviétique propulsées par de l’hydrazine. L’hydrazine est tellement toxique que pratiquement tous les programmes d’activités dans l’espace dans le monde – incluant ceux de la Russie – l’ont abandonné.

Le deuxième étage de la fusée contenant jusqu’à une tonne d’hydrazine non brûlé doit tomber entre le Groenland et l’île de Baffin, dans un secteur qui fait partie de la zone économique exclusive du Canada.

La polynie des eaux du Nord est un secteur océanique d’une superficie de 85 km carrés libre de glace pendant toute l’année. Elle abrite la plupart des espèces marines, dont environ 14 000 bélugas et 1500 morses. La baleine boréale, l’ours polaire et quatre types de phoque nagent dans ses eaux. Des dizaines de millions d’oiseaux de mer la survolent.

«Ces eaux sont le jardin des espèces que nous chassons, a dit Larry Andlaluk. de Grise Fiord au Nunavut, une des communautés situées le plus près de polynie. Ce qui peut se produire est apeurant.»

Un universitaire canadien, Michael Byers, a étudié l’impact environnemental de l’hydrazine.

Le carburant est carcinogène. Il peut s’attaquer au système nerveux, aux reins et au foie. Son impact sur les écosystèmes marins demeure inconnu, mais si on sait que l’hydrazine a tué un grand nombre de poissons nageant en eaux douces.

«Il faut agir», soutient M. Byers.

Selon lui, les Européens devraient cesser immédiatement à utiliser de l’hydrazine comme carburant. Il a souligné qu’un satellite similaire au Sentinel 5 a été lancé par une fusée utilisant un carburant plus sûr.

Le Canada a insisté auprès de la Russie pour être averti longtemps à l’avance de chaque lancement spatial afin de pouvoir adopter les mesures de précaution appropriées, a dit Brendan Sutton d’Affaires mondiales Canada.

«Comme la plupart des débris spatiaux se désintègrent et brûlent complètement au moment de leur rentrée dans l’atmosphère terrestre, les risques de voir un débris ou du carburant non brûlé atteindre l’environnement marin sont très bas, a-t-il expliqué. Le Canada s’attend à ce que tous les efforts soient déployés pour éviter qu’un débris ne tombe sur le sol ou dans les eaux du pays.»

L’amerrissage doit se dérouler à l’extérieur des eaux territoriales dans un secteur que le Canada entend contrôler et régir.

«L’omission de la zone économique exclusive dans cette déclaration doit être intentionnelle, a souligné M. Byers, qui est un professeur de droit international. Cela représenterait une abdication des responsabilités du Canada. Nous avons une juridiction jusqu’à 200 milles nautiques de nos côtes pour empêcher la pollution. On a mené de chaudes luttes pour l’obtenir.»

Il souligne que l’Agence spatiale européenne compte le Canada parmi ses membres affiliés.

«Elle est une leader dans l’utilisation de satellite dans le domaine des sciences environnementales, mais elle utilise une vieille technologie et ce vieux carburant. Elle n’a aucune raison crédible pour aller de l’avant avec ce lancement, à l’exception de la volonté d’économiser de l’argent.»

Un porte-parole de l’agence n’était pas disponible dans l’immédiat pour commenter.

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Le Saviez-Vous ► Plusieurs animaux se sont retrouvés au centre des débats en 2016


Des animaux ont eu la vie dure au Canada, certains sont dû aux manques de vigilance de leur propriétaire, des combats de chien, des cruautés envers les animaux ….
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Plusieurs animaux se sont retrouvés au centre des débats en 2016

 

Les animaux semblent se faufiler dans l’actualité chaque année. Mais en 2016, plusieurs d’entre eux se sont retrouvés au centre des débats juridiques et politiques au Canada.

Voici un aperçu des bêtes qui ont pris le plus de place dans l’actualité de cette année:

Les pitbulls de Montréal

Le décès de la Montréalaise Christiane Vadnais, qui a été attaquée par un chien dans sa propre cour a provoqué un débat politique enflammé dans la métropole québécoise qui a abouti devant les tribunaux. Dans la foulée du drame, le maire de Montréal, Denis Coderre, a décidé d’adopter un règlement pour interdire les nouveaux chiens de type pitbull sur le territoire. Les Montréalais qui avaient déjà des chiens de ce type devront également se soumettre à des règles strictes lorsque leur animal sera à l’extérieur.

Le règlement a rapidement été contesté par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) en cour, qui avait suspendu temporairement l’ordonnance, avant que la Cour d’appel ne renverse cette suspension en partie. La SPCA de Montréal plaidait que le règlement était discriminatoire, déraisonnable et non applicable. À la fin du mois de novembre, le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a annoncé qu’il ne portera aucune accusation contre le propriétaire du chien qui avait attaqué Mme Vadnais, ce qui démontrait la nécessité, selon le maire Coderre, d’implanter son règlement.

Les capybaras de Toronto

Les gros rongeurs se sont évadés du zoo de Toronto, situé au centre-ville de Toronto, en mai et sont restés au large pendant des semaines dans l’immense zoo de High Park. Les employés de l’établissement sont finalement parvenus à attraper les animaux, âgés de seulement six mois, qui ont ironiquement été baptisés Bonnie et Clyde.

La recherche des deux bêtes a inspiré le mot-clic « CapybaraWatch » en ligne et a mené à la création de parodies de comptes Twitter qui mettaient des messages en ligne de la perspective des deux rongeurs, faisant du mâle et de la femelle de petites célébrités. Les employés du zoo, ont, depuis placé des pièges situés près des cours d’eau, puisque les capybaras aiment se cacher dans l’eau. L’un d’entre eux a finalement été retrouvé le 12 juin, tandis que l’autre a poursuivi sa cavale jusqu’au 28 juin. La fuite de Bonnie et Clyde aurait coûté à la ville 15 000 $.

Le python du Nouveau-Brunswick

Au terme d’un procès très émotif en novembre, un jury du Nouveau-Brunswick a déclaré Jean-Claude Savoie non coupable de négligence criminelle ayant causé la mort de deux bambins, il y a trois ans. Le python de Séba de M. Savoie s’était enfui de son enclos et avait parcouru une conduite de ventilation pour atterrir dans le salon où dormaient Noah Barthe, âgé de quatre ans, et Connor Barthe, âgé de six ans. Un médecin légiste qui a pratiqué l’autopsie a indiqué que les garçons étaient morts d’asphyxie et que leurs corps étaient couverts de morsures de serpent.

Les enfants, qui étaient les meilleurs amis de l’enfant de M. Savoie, avaient passé la journée à s’occuper d’animaux et à jouer dans la ferme du père de M. Savoie. Ils avaient finalement dormi dans l’appartement de l’accusé, qui était au-dessus du magasin d’animaux duquel il était propriétaire à l’époque. Un ancien responsable des reptiles au Jardin zoologique de Toronto a témoigné lors du procès que les serpents devenaient plus agressifs lorsqu’ils détectent la présence de nourriture _ une attaque aurait été peu probable si les enfants n’avaient pas eu l’odeur d’animaux sur eux.

Le singe du Ikea

En août l’ancienne propriétaire du célèbre macaque japonais Darwin, Yasmin Nakhuda, a organisé une soirée chez elle pour ses sympathisants, où elle a rencontré ses deux nouveaux singes, Caesar et Diva. Les invités ont convergé vers la propriété luxueuse de Mme Nakhuda, où ils ont pu prendre des photos avec ses autres animaux – deux ânes miniatures, un kangourou appelé Wall-E, quelques alpagas, deux ouistitis, deux furets, ainsi qu’un renard noir et blanc.

Mme Nakhuda a déménagé là-bas après avoir perdu son « fils », Darwin, un macaque japonais qui s’était échappé de sa voiture pour se promener dans un magasin Ikea. Les images du petit singe portant une veste en mouton beige ont fait le tour des médias sociaux et ont mené à une bataille judiciaire, qui a mené à la perte de la garde de Darwin, qui vit maintenant dans un sanctuaire pour primates.

De présumés chiens de combat en Ontario

En janvier dernier, un organisme de protection des animaux a entamé des procédures judiciaires pour tuer 21 chiens saisis lors d’une descente policière dans une maison où il y aurait eu des combats entre chiens. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de l’Ontario (SPCA) et la police de Chatham-Kent ont saisi 31 chiens en octobre 2015 d’une résidence de Tillbuty en Ontario. Cinq personnes font face à plus de 300 chefs d’accusation liés à la cruauté envers les animaux et à la possession d’armes. Trois des chiens ont été euthanasiés pour des raisons médicales, mais la SPCA ontarienne demande à la cour la permission de tuer 21 autres chiens pour des raisons comportementales.

La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux des États-Unis a évalué les chiens et a jugé qu’ils étaient parmi les chiens les plus agressifs qu’elle a eu à examiner. Les bêtes sont gardées dans un lieu secret depuis plus d’un an, maintenant, alors que l’affaire se prépare à être traitée par les tribunaux. Le commentateur sportif Don Cherry s’est même invité dans le débat, demandant aux citoyens de contribuer à un fonds pour sauver les chiens.

Des bélugas décédés

Deux bélugas, une mère et sa fille, sont morts mystérieusement à neuf jours d’intervalle à l’aquarium de Vancouver en novembre. Des représentants de l’établissement ont affirmé que la mère, Aurora âgée de 28 ans, et Qila âgée de 21 ans, avaient démontré des symptômes semblables avant leur décès, mais les experts n’ont pas réussi à identifier le problème de santé dont elles souffraient. Il s’agissait des deux derniers bélugas de l’aquarium, bien qu’il soit propriétaire de cinq autres qui sont actuellement hébergés aux États-Unis. Aucun d’entre eux ne sera envoyé à Vancouver pour l’instant et l’établissement prévoit suspendre l’expansion de sa section sur les bélugas.

Les ours, les pintades et le paon de Marineland

À la fin du mois de novembre, la Société de protection contre la cruauté envers les animaux de l’Ontario a déposé cinq accusations de cruauté contre Marineland à la suite d’une inspection. Les accusations impliquent des ours, des pintades et un paon. Le parc d’attractions a rejeté ces accusations et a promis de « se défendre vigoureusement » en cour. Il a aussi dit que les accusations faisaient suite à une plainte déposée par « un ancien employé qui a été congédié pour ses piètres résultats et un comportement inapproprié ».

Les pingouins noyés

Sept pingouins se sont noyés au zoo de Calgary au début de décembre. Selon des organismes de protection des animaux en captivité, ces étranges noyades prouvent la nécessité d’installer des caméras de surveillance dans tous les enclos. Les responsables du zoo ont précisé que la colonie de 22 pingouins allait bien lorsqu’un gardien a quitté le bassin en après-midi, mais sept d’entre eux ont cependant été retrouvés morts lorsque le personnel est arrivé, le lendemain matin. Le directeur du zoo, Jamie Dorgan, a déclaré que des employés avaient réalisé des tests concernant la température, l’aération et l’eau des bassins mais rien d’anormal n’a été découvert.

http://quebec.huffingtonpost.ca/