Le Saviez-Vous ► 12 Sons Étranges Que la Science ne Peut Pas Expliquer


Il existe des sons bizarres sur Terre qu’on ne sait ni la provenance, ni la cause.
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12 Sons Étranges Que la Science ne Peut Pas Expliquer


Depuis plusieurs années, les scientifiques s’efforcent à trouver des explications à des sons étranges. Certains se répètent régulièrement, d’autres n’ont été entendus qu’une seule fois, mais tous font partie intégrante de la vie de notre planète.

Que ce soient des grondements étranges, des bourdonnements lointains, ou des grognements inquiétants, oui oui, des grognements, l’atmosphère est littéralement remplie de phénomènes acoustiques surprenants. Et la plupart de ces sons occupent encore les scientifiques à trouver une explication à leur origine.

SOMMAIRE :


Ce son varie entre hautes fréquences et basses fréquences et vice-versa,
et on l’entend plus facilement au printemps et en automne qu’en hiver et en été.


Vous n’avez pas besoin de vous rendre dans une région précise pour entendre un « tremblement de ciel ». De mystérieux bang sonique venant du ciel ont été enregistrés aux États-Unis jusqu’en Inde, en passant par le Japon.
 


Jusqu’à récemment, personne ne pouvait expliquer l’origine de ce son, mais selon la NASA il n’y a pas de quoi paniquer. Ce bruit pourrait aussi venir de notre propre planète.
   


Tout a commencé à Bristol, en Angleterre, dans les années 70, lorsque des centaines d’habitants ont commencé à se plaindre d’un bruit bizarre qui ne se faisait entendre que la nuit.
Ce bruit ressemblait un bourdonnement de faible intensité, et personne ne pouvait l’identifier, ni en retracer la source.  


C’est un léger bourdonnement à basse fréquence qui résonne dans l’air du désert et qui a tendance à taper sur les nerfs. Encore plus étrange, seulement 2% des habitants de Taos entendent ce bruit.
  


Vous avez déjà entendu ce sifflement agaçant lorsqu’une bouilloire vous informe que l’eau est prête pour le thé ?
Eh bien, vous pouvez imaginer à quoi ressemble le Whistle.  


L’un des plus célèbres et plus puissants sons inexpliqués de notre planète a été enregistré  en 1997,
par la US National Oceanic and Atmospheric Administration, et il a duré environ  1 minute.   


Ce phénomène sonore a reçu ce nom curieux parce qu’il dure habituellement environ 7 minutes, et sa fréquence diminue graduellement.
   


Ce son est souvent appelé « Baleine 52 hertz » parce que l’animal qui semble le produire le fait à une fréquence assez unique pour les baleines :
52 hertz. Quand on écoute ce bruit, on dirait une note grave.   


Les scientifiques pensent que ce son pourrait être produit par un iceberg de l’antarctique qui s’est échoué, mais alors, quelle pourrait bien être sa taille pour créer autant de bruit ?  


Alors que la sonde spatiale Juno de la NASA approchait de sa destination – Jupiter – le 4 juillet 2016, les astronomes ont enregistré un étrange mélange de rugissements et de cris.
Ce vacarme ne s’est pas arrêté pendant plus de deux heures.  


Non seulement les astronomes ont confirmé que les trous noirs peuvent chanter, mais ils en ont trouvé un qui le fait depuis 2 milliards d’années !

HORODATAGE :


L’Upsweep 0:38
Les Skyquakes 1:31
Le son de l’apocalypse 2:42
Le Bristol Hum 3:38
Le Taos Hum 4:45
Le Whistle 5:43
Le Bloop 6:29
Le Slow Down 7:49
La baleine la plus seule au monde 8:33
Julia 9:23
Tempêtes de Jupiter 9:56
Le trou noir chantant 10:37



Musique par Epidemic Sound https://www.epidemicsound.com/

Patient hors norme : elle n’entend plus les voix masculines


 

Un cas sur 12 000 souffre de ce mal étrange. En Chine, ils ont une patiente qui souffre d’une perte d’audition, mais des basses fréquences. . Étrangement, elle entend les voix féminine, mais pas masculine. Cela peut être dû a la fatigue et au stress, mais il peut aussi avoir d’autres facteurs de cette rare perte d’audition.
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Patient hors norme : elle n’entend plus les voix masculines


Marie-Céline Ray
Journaliste

Une patiente chinoise s’est réveillée un matin en ayant perdu une partie de son audition : elle ne comprenait plus ce que lui disait son petit ami mais entendait toujours les voix féminines. Elle avait perdu l’audition sur les basses fréquences – un trouble rare connu sous le terme de « perte auditive en pente inversée ».

Généralement, en vieillissant, nous perdons l’audition dans les aigus. Mais ici, c’est l’inverse qui est arrivé à Mme Chen, une patiente chinoise dont le cas surprenant est rapporté par le Daily Mail.  Mme Chen vit dans la ville de Xiamen, sur la côte sud-est de la Chine. Un soir, elle est allée se coucher avec des sifflements d’oreille et la nausée, et le lendemain, elle n’entendait plus la voix de son petit ami.

Pour comprendre ce qui lui arrivait, Mme Chen est allée à l’hôpital où les médecins ont constaté qu’elle avait perdu l’audition dans les fréquences graves. Le médecin ORL qui l’a examinée a diagnostiqué une affection plutôt rare, une perte auditive en pente inversée, ou perte auditive de basse fréquence.

Le Dr Lin Xiaoqing a expliqué dans la presse que la patiente comprenait ce que disait une voix féminine mais pas celle d’un homme : « Elle a pu m’entendre quand je lui ai parlé, mais lorsqu’un jeune patient est entré, elle ne pouvait plus l’entendre. ».

Les voix graves émettent des sons de fréquence plus basse que les voix aiguës. © peterschreiber.media, Fotolia

Les voix graves émettent des sons de fréquence plus basse que les voix aiguës. © peterschreiber.media, Fotolia

    Une perte d’audition rare, peut-être liée au stress

    Généralement, quand on effectue un audiogramme, on observe chez les personnes qui perdent des capacités auditives une pente descendante, « en piste de ski », avec une perte d’audition dans les hautes fréquences. Mais dans les cas de perte auditive de basse fréquence, l’audiogramme présente une courbe montante : la pente est inversée. D’après un centre d’audition américain, seulement une personne sur 12.000, ayant un problème d’audition, serait concernée par cette perte auditive en pente inversée.

    Le saviez-vous ?

    La presbyacousie est une perte auditive liée à l’âge qui se manifeste par une perte de sensibilité pour les sons les plus aigus, c’est-à-dire aux hautes fréquences. Elle est traitée par la mise en place d’une prothèse auditive.

    La patiente avait travaillé tard dans la période précédant l’apparition de ses symptômes ; elle avait manqué de sommeil. L’accumulation de fatigue et de stress sur plusieurs jours a pu contribuer à ce qu’elle développe ce trouble rare. Cependant, il existe d’autres causes à la perte auditive de basse fréquence. En 2012, une étudiante de l’université de Lorraine a fait un rapport sur cette maladie.  Elle explique que les principales causes connues de la perte auditive en pente inversée sont la maladie de Menière et des mutations génétiques.

    La maladie de Meunière touche l’oreille interne ; elle se traduit par des acouphènes, des vertiges et des troubles de l’audition. Les mutations de deux gènes peuvent aussi favoriser la perte auditive en pente inversée : DIAPH1 et WFS1, ce dernier gène étant impliqué dans le syndrome de Wolfram. Ce syndrome, aussi appelé DIDMOAD, est une maladie neurodégénérative caractérisée par un diabète, une surdité dans les hautes ou les basses fréquences, et une atrophie du nerf optique.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Mme Chen s’est réveillée un matin en n’entendant plus les voix masculines.

  • Elle comprenait cependant la voix féminine du médecin.

  • C’est un cas de perte auditive en pente inversée, une affection rare où le patient perd l’audition dans les fréquences graves.

https://www.futura-sciences.com

L’étrange illusion auditive qui divise les internautes


Qu’entendez-vous ? « Laurel/Yanny » ? Je suis surprise qu’il y ait ambigüité sur ce prénom qui a été lancé par un jeune homme américain de 18 ans. Pour ma part, il semble que j’entends les hautes fréquences …
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L’étrange illusion auditive qui divise les internautes

 

 

C’est un mot de deux syllabes qui sème une zizanie mondiale chez les internautes, les divisant en deux camps opposés: ceux qui entendent « Yanny » et ceux qui entendent « Laurel ».

Le mini-clip audio a été publié à l’origine sur Reddit par un lycéen de l’Etat américain de Géorgie, a rapporté mercredi le New York Times. Ce garçon de 18 ans, Roland Szabo, a expliqué qu’après avoir téléchargé le mot apparemment anodin sur un site de vocabulaire, il avait été intrigué de la façon différente dont l’entendaient les personnes autour de lui.

Posté ensuite sur Instagram par l’un de ses amis, sous la forme d’un sondage, l’enregistrement est devenu viral sur internet, avec l’aide de célébrités optant soit pour « Yanny », soit pour « Laurel ».

« J’entends Laurel », a tweeté l’humoriste américaine Ellen DeGeneres.

« C’est clairement Laurel. Je ne peux même pas imaginer qu’on puisse entendre Yanny », a abondé la mannequin Chrissy Teigen, suivie par l’ancien porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer.

L’écrivain Stephen King ou l’actrice Mindy Kalling ont eux rejoint le camp des « Yanny ». « Mon Dieu, voilà que j’entends désormais Laurel », a par la suite tweeté le romancier.

L’aspect le plus bluffant du débat, qui a dépassé les frontières américaines, est que la majorité des auditeurs entendent bien distinctement soit « Yanny » soit « Laurel », rares étant ceux qui se trouvent dans le flou du terrain médian.

Un sondage express (et non représentatif) au sein du bureau de l’AFP de Washington a ainsi donné comme résultat: Yanny 17 (dont 8 francophones), Laurel 14 (dont 8 francophones), entre les deux: 3.

Interrogée par l’AFP, la professeure Poppy Crum, experte des laboratoires Dolby à San Francisco, explique que la réalité en soi n’existe pas, mais plutôt la façon dont nous la percevons.

« Les choses auxquelles nous sommes exposées dans notre univers modifient la façon dont nous considérons l’information arrivant à notre cerveau », dit-elle.

Signal sonore « ambigu »

En clair, le cerveau a besoin de « catégoriser » les éléments de discours quand ils sont ambigus, les faisant passer soit dans la case « Laurel », soit dans la case « Yanny ». Ce processus peut être influencé par de multiples paramètres, parmi lesquels l’âge, le sexe ou la langue natale de l’auditeur. Ou encore les sons qu’il a récemment écoutés.

« L’appareil sur lequel vous écoutez, que ce soient des enceintes ou des écouteurs, le fait qu’il y ait une personne dans la pièce à côté, les sons se répercutant autour, tout cela va affecter l’intensité de certaines fréquences par rapport à d’autres », souligne la spécialiste.

Quand l’accent est mis sur les hautes fréquences, l’auditeur a tendance à entendre « Yanny », et à l’opposé à entendre « Laurel » avec de basses fréquences. Élaboration sonore de synthèse, le mot « Laurel/Yanny » est « ambigu », confirme Jody Kreiman, professeure à l’université UCLA.

Ce son « ne ressemble pas vraiment à un nom courant du discours habituel. Quand les auditeurs entendent un tel signal, ils utilisent tous leurs acquis du discours pour l’interpréter« , assure-t-elle.

Le débat « Yanny/Laurel » rappelle un précédent qui avait enflammé internet il y a trois ans au sujet de la photo d’une robe bicolore que certains voyaient blanche et or, d’autres noire et bleue.

http://www.7sur7.be/

Un système conçu par des étudiants Une façon originale d’éteindre le feu


Il y a des génies dans les écoles. Voilà une invention qui pourrait peut-être bientôt changer la façon d’éteindre des incendies sans avoir les conséquences du dégâts fait par l’eau, sans parler de l’économie de cette dernière.
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Un système conçu par des étudiants

Une façon originale d’éteindre le feu

 


Avant le son. (Crédit: capture d’écran, CNN)

 

Deux futurs ingénieurs ont créé un système grâce auquel ils éteignent des feux par la simple action du son!

Seth Robertson et Viet Tran, tous deux étudiants de l’université George Mason, en Virginie, ont conçu un appareil cylindrique avec lequel ils font des démonstrations étonnantes.

«Le génie, c’est une façon amusante de rendre possible ce qui est impossible», lance Robertson au sujet de son champ d’études.

Les jeunes hommes sont donc partis du même principe qui se produit lorsqu’on tente d’éteindre une chandelle. Sauf que cette fois, ce sont des ondes sonores qui coupent l’oxygène qui nourrit la flamme.


Après le son. (Crédit: capture d’écran, CNN)

Ils ont d’abord pensé que les hautes fréquences seraient les plus efficaces, mais ils n’ont pas tardé à découvrir le contraire: les basses sont celles qui étouffent les flammes le plus rapidement.

Ils estiment que ce système pourrait être installé au-dessus des poêles à cuisiner pour pouvoir réagir rapidement en cas d’accident.

Éventuellement, leur invention pourrait servir pour des opérations de plus grande envergure, par exemple en l’attachant à un drone pour éteindre des feux de forêt ou des incendies de bâtiments.

 

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