Le Saviez-Vous ► 18 Objets Qui Ont Un Sens Caché


On utilise beaucoup d’objets qui ont certaines caractéristiques qui semble n’avoir aucun intérêt et pourtant, ils peuvent s’avérer bien utiles.
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18 Objets Qui Ont Un Sens Caché

Les choses que nous utilisons quotidiennement deviennent tellement partie intégrante de notre routine que nous remarquons rarement leurs caractéristiques les plus simples.

Cependant, si tu regardes attentivement, tu remarqueras peut-être que tes objets préférés ont été conçus pour faire beaucoup plus que tu ne le pensais. Par exemple, les petites brosses sur le côté d’un escalator ne servent pas à polir tes chaussures mais sont en fait une caractéristique de sécurité intéressante.



HORODATAGE

  • Brosses sur les côtés de l’escalator 0:32
  • « 57 » sur les bouteilles de Ketchup Heinz 1:00
  • Pompons sur les bonnets 1:23
  • Fentes des mètres 1:51
  • Rainures sur les cure-dents 2:19
  • Rainures sur les fonds de gobelets 2:47
  • Trous dans les languettes de canettes de soda 3:18
  • Petit point près de la caméra de l’iPhone 3:49
  • Trous sur les bidons d’essence 4:10
  • Trous dans les capuchons de stylo 4:35
  • Flacons à médicaments avec protection pour enfant 5:10
  • Trait sur « F » et « J” » 5:32 Trou dans le fond d’un cadenas 5:53
  • La flèche de la jauge à gaz 6:19
  • Carrés en tissu qui viennent avec des vêtements 6:42
  • Couvercles en plastique 7:13
  • Marges sur les cahiers 7:42
  • Trous latéraux dans tes baskets converses 8:12

Musique par Epidemic Sound  https://www.epidemicsound.com/

Le Saviez-Vous ► Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur Terre


Quand on voit l’argent dépensé pour tout ce qui est en relation avec l’espace, on se demande si cela vaut vraiment la peine. Ce sont des sommes astronomiques qui y passent. Cependant, c’est grâce à l’exploration spatiale que la technologie est accessible aussi pour l’humanité, que ce soient les ordinateurs, les souliers de sports, des couvertures de survie …
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Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur Terre

Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur TerrePhoto: NASA/AFPL’astronaute américain Buzz Aldrin lors de la mission spatiale Apollo 11

La mission Apollo 11 du premier pas sur la Lune, dont le cinquantième anniversaire est célébré ce mois-ci, a catalysé de nombreuses percées scientifiques et technologiques.

Pour Apollo, la Nasa a construit la plus puissante fusée de l’histoire, la Saturn V, développée par l’équipe d’ingénieurs du transfuge nazi Wernher von Braun.

Mais grâce aux crédits généreux accordés par le Congrès américain, de l’ordre de 150G$ US d’aujourd’hui pour les trois premiers programmes de vols habités, la Nasa et l’industrie spatiale ont produit des innovations importantes.

«Apollo fut un laboratoire pour tenter de résoudre les gigantesques problèmes d’ingénierie auxquels nous nous heurtions», dit à l’AFP Brian Odom, historien au centre spatial Marshall de la Nasa.

En voici plusieurs exemples.

Révolution informatique

Jusqu’aux années 1960, les ordinateurs remplissaient des pièces entières et étaient composés de milliers de tubes à vide, très gourmands en énergie.

Tout a changé avec l’arrivée des disques durs de type «solid state» et de transistors rendant possible une miniaturisation suffisante pour être embarqués dans un véhicule spatial.

«Les fusées devaient fournir une très forte poussée, mais il fallait aussi réduire la masse et augmenter la puissance à bord pour l’informatique», dit G. Scott Hubbard, ancien directeur du centre de recherche Ames de la Nasa, près de San Francisco.

Cette évolution était déjà en route avant Apollo, mais c’est ce programme qui a accéléré l’avènement de cette nouvelle informatique… et, in fine, de la Silicon Valley.

Purificateur d’eau

La Nasa a développé un petit appareil de purification d’eau, pesant 255 milligrammes et tenant dans la main. Il purifiait l’eau en relâchant des ions argent, sans chlore.

La technologie a ensuite été adoptée pour tuer les microbes dans les systèmes collectifs de distribution d’eau.

Repas lyophilisés 

Un autre problème des voyages spatiaux est qu’il fallait conserver la nourriture sans réfrigérateur, qui prennent trop de place et consomment de l’énergie.

Les chercheurs de la Nasa ont donc perfectionné une technique appelée lyophilisation: la déshydratation à très basse température d’aliments, afin d’en garder la forme et les nutriments mais sans eau, avec une masse grandement réduite. Des emballages empêchaient l’humidité et l’oxygène de les pénétrer.

IRM

Des techniques d’analyse numérique d’images développées par un centre de la Nasa pour améliorer les images de la surface de la Lune ont trouvé des applications dans d’autres domaines, et notamment en médecine, dans les techniques d’imagerie CT-scan et IRM.

Des bottes lunaires aux baskets 

Les bottes de Neil Armstrong et des astronautes ayant foulé le sol lunaire étaient fabriquées dans des matériaux dont certains ont franchi le pas vers le monde des baskets.

Un ingénieur d’Apollo, Al Gross, est notamment parvenu à compenser l’usure des milieux des semelles de chaussures athlétiques en réutilisant les techniques d’absorption des chocs des bottes spatiales, selon un numéro du magazine Spinoff de la Nasa en 1991.

Couvertures de survie

Les couvertures de survie utilisées aujourd’hui par les premiers secours dans le monde entier ont été inventées par la Nasa, pour protéger les astronautes et leurs instruments de vol des rayons solaires et éviter la surchauffe.

Elles sont très simples, composées d’un film de plastique doublé d’un film d’aluminium très fin, reflétant les rayons infrarouges.

Outils sans fil 

Les astronautes d’Apollo avaient une mission géologique: forer le sol lunaire pour récupérer des échantillons de roche, jusqu’à trois mètres de profondeur.

Black & Decker a développé un algorithme afin d’optimiser le moteur de la perceuse et réduire la consommation d’énergie… Une technologie appliquée plus tard dans les aspirateurs sans fil.

Combinaisons

L’espace est un endroit extrême, avec de terribles variations de températures, entre le froid du vide spatial et les milliers de degrés subis par la capsule pendant la rentrée atmosphérique, sans compter les radiations solaires.

L’armée américaine et la Nasa ont développé une fibre appelé PBI (polybenzimidazole synthétique) dans les années 1950 et 1960, qui a fini par être adoptée par les pompiers dans les années 1970.

Pour l’historien de la Nasa Brian Odom, c’est un exemple parmi d’autres du rôle moteur de l’État américain.

 «Aucune entreprise n’aurait pu le faire», dit-il. «Mais c’était ça, Apollo. Et le programme spatial continue à le faire aujourd’hui».

Retour sur investissement? 

Il n’y a aucun doute que le retour sur investissement, pour l’économie américaine, est positif. Mais ce serait une erreur de n’appréhender l’impact de la recherche spatiale qu’en termes économiques, dit Casey Dreier, de l’organisation The Planetary Society.

«C’était avant tout une démonstration des capacités technologiques et organisationnelles, un message envoyé par les États-Unis non seulement à l’Union soviétique, mais aussi aux pays qui venaient d’être décolonisés après la chute des pouvoirs européens» et devaient choisir entre capitalisme et communisme, dit-il.

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Les baskets à semelles épaisses sont très mauvaises pour vos pieds


Bien que ce soit moins pire que porter des talons haut, il semble que les souliers à semelle épaisse qui sont très vendeurs présentement ne soient non plus recommandé. Ils solliciteraient les muscles de l’avant du tibia et pourraient provoquer des périostites tibiales. Il parait que nos pieds seraient mieux dans des chaussures à orteils séparés.
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Les baskets à semelles épaisses sont très mauvaises pour vos pieds


Ces baskets sont déconseillées pour la pratique d’une activité physique puisqu’elles ne permettent pas de soutenir correctement le pied et la cheville. | Mehdi-Thomas Boutdarine via Unsplash

 

Ces baskets sont déconseillées pour la pratique d’une activité physique puisqu’elles ne permettent pas de soutenir correctement le pied et la cheville. | Mehdi-Thomas Boutdarine via Unsplash

Repéré par Audrey Renault

Repéré sur The guardian

Selon les podologues, les chaussures phares du moment sont un réel danger pour les muscles et les articulations de la cheville et de la jambe.

Fila, Nike, New Balance, Reebok, Superga… Toutes les marques proposent aujourd’hui leurs baskets à semelles épaisses, reprenant l’esthétique des années 1990 qui fait la mode d’aujourd’hui. Mais si elles semblent confortables et inoffensives à première vue, ces grosses baskets ne sont pas une bonne nouvelle pour nos petons.

«Les baskets à semelles épaisses sont plus lourdes. Le surpoids peut augmenter la sollicitation des muscles de l’avant du tibia, explique William Joyce, podologue dans une clinique londonienne. Cela peut provoquer des douleurs à l’avant de la jambe que l’on appelle des périostites tibiales.»

Parmi les paires les plus lourdes du marché, la journaliste Leah Harper cite dans un article pour The Guardian les Reebok Triple Platform X Gigi Hadid, qui pèsent 557 grammes, et les Superga 2790 Linea Up Down, 481 grammes au compteur.

Malgré leur poids, le succès de ces baskets ne se dément pas. Au premier semestre 2019, les baskets pour femmes Alexander McQueen et leurs semelles surdimensionnées ont ainsi caracolé en tête du Lyst Index, un classement trimestriel des marques et des produits de mode les plus populaires du moment. Chez les hommes, ce sont les Nike React Element 87 qui trônent au sommet d’un palmarès composé exclusivement de baskets. Une première.

Moins dangereuses que les talons hauts

Commercialisées par des labels sportifs, ces baskets ne sont pas pour autant conseillées pour la pratique d’une activité physique puisqu’elles ne permettent pas de soutenir correctement le pied et la cheville.

Au contraire de ces baskets à semelles épaisses, les chaussures idéales, pour le sport comme pour le quotidien, seraient selon les expert·es une paire minimaliste comme les fameuses chaussures à orteils séparés, ces sortes de gants pour pieds qui reproduisent la sensation de marcher ou courir pied nu.

Si les podologues assurent que la chaussure la plus adaptée dépend évidemment de l’âge, de l’état de santé ou du poids de chaque personne, ces spécialistes sont néanmoins unanimes sur les dangers des talons hauts, jugés bien plus dangereux que les baskets à semelles épaisses.

«Les talons hauts sont généralement pires que ces baskets, assure Andrew Gladstone, directeur d’un centre de podologie à Londres. Les orteils y sont à l’étroit ce qui entraîne la formation de cors, une pression accrue sur les orteils et les articulations et des problèmes d’ongles, tandis que leurs semelles minces et dures peuvent causer des douleurs à la plante du pied, en endommageant les articulations métatarsiennes et en fatiguant le pied de manière générale.»


http://www.slate.fr/