Un ours noir s’invite chez un barbier


Un salon de barbier appelé : la fosse au lion à reçu une visite inattendu. Un ours qui a fait de gros dégâts. Pour le barbier, il a pu voir pour la première fois une telle bête.
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Un ours noir s’invite chez un barbier

Un ours noir s'invite chez un

CAPTURE D’ÉCRAN

Le propriétaire d’un salon de barbier du nord de l’Alberta a reçu la visite d’un poilu pas très délicat qui n’était pas là pour un dégradé avec chignon.

Sam Assaf avait laissé la porte d’entrée ouverte, mercredi, pour laisser entrer la brise d’air frais dans son tout nouveau salon, ouvert il y a à peine trois semaines à Slave Lake, à 250 kilomètres au nord d’Edmonton.

Sorti prendre l’air à l’extérieur, M. Assaf a aperçu l’ours noir et a commencé à prendre des photos, mais il s’est rapidement souvenu que sa porte était grande ouverte.

L’ours s’y est effectivement engouffré et a causé tout un ravage dans le salon — bien que des tondeuses très dispendieuses aient été épargnées par le gros visiteur.

La police a alors été appelée sur les lieux et a demandé aux passants qui prenaient des photos de laisser de l’espace à l’ours pour qu’il sorte enfin du salon; personne n’a été blessé dans l’aventure.

Ironie du sort: M. Assaf, qui n’avait jamais vu un vrai ours de sa vie, avait baptisé son salon «La fosse aux lions».

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Il s’est tatoué le visage et fait poser des implants pour ressembler à un clown


Chacun ses rêves ! Je n’arrive pas à comprendre comment on peut changer d’apparence à ce point. En vieillissant, il fera un clown tout ridé et triste sous son faux sourire.
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Il s’est tatoué le visage et fait poser des implants pour ressembler à un clown

 

Crédits : Richie the Barber/Facebook

par  Malaurie Chokoualé

 

Il aurait pu continuer à se maquiller de temps à autre, mais Richie the Barber a préféré que ces touches de couleurs deviennent permanentes.

Ce barbier de Los Angeles a décidé de se faire tatouer le visage et poser des implants en silicone sous les sourcils pour les rehausser. Les yeux cernés de bleu, le nez, la bouche et les sourcils colorés de rouge, Richie est très fier de son apparence pour le moins… troublante.

 

« Je vais vous dire pourquoi j’ai tatoué mon visage. C’est parce que j’ai toujours voulu être un clown », explique-t-il au début d’une vidéo postée sur sa chaîne YouTube.

En remontant un peu dans ses souvenirs, il se rappelle de sa première rencontre avec un clown quand il était petit. Il dit avoir été stupéfait et qu’il a immédiatement voulu en être un lui aussi. Avec le temps, il dit avoir compris que personne ne le comprenait vraiment, et il est devenu ce qu’il appelle un « clown de placard » attendant de faire son improbable coming out.

Des années plus tard, il a déménagé à Hollywood et là, tout a changé. Après avoir acheté un monocycle, il a commencé à jongler un peu partout et a intégré des lancers de confettis dans ses rasages. Puis, il est passé au tatouage. Dans sa vidéo, il explique également que son obsession pour les clowns et ses tatouages ont bien eu une incidence sur sa vie personnelle, mais qu’importe, il a continué de suivre son rêve. Aujourd’hui, il est barbier, et surtout il est clown tout le temps, comme il en avait toujours rêvé.

Crédits : Richie the Barber/Facebook

Sources : Richie the Barber/Facebook

https://www.ulyces.co

Un barbier québécois s’allonge au sol pour couper les cheveux d’un enfant autiste


C’est un homme qui ne fait pas son travail pour la paye, il semble avoir sa profession dans le sang, qu’il est prêt à s’adapter pour être au service de sa clientèle, même si les besoins sont particuliers.
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Un barbier québécois s’allonge au sol pour couper les cheveux d’un enfant autiste

 

THE CANADIAN PRESS/HO-FRANZ JACOB

Un geste qui lui a valu de nombreux éloges sur les réseaux sociaux!

Un barbier de Rouyn-Noranda, en Abitibi-Témiscamingue, s’attire des éloges pour sa façon d’accommoder son jeune client autiste.

Une photo publiée en ligne la semaine dernière montre Francis «Franz» Jacob allongé sur le sol de son commerce de Rouyn-Noranda alors qu’il coupe les cheveux d’un jeune garçon nommé Wyatt.

L’homme de 45 ans affirme qu’il est stupéfait de toute l’attention qu’il reçoit depuis que la photo a été largement partagée sur les réseaux sociaux.

M. Jacob indique que Wyatt ne reste généralement pas immobile lorsqu’il se fait couper les cheveux, alors il s’est procuré des tondeuses sans fil pour l’accommoder.

Il soutient avoir quelques autres clients autistes ou ayant des besoins particuliers et affirme qu’il trouve toujours un moyen de s’adapter à leurs besoins.

En entrevue avec La Presse canadienne, vendredi, le barbier a souligné que Wyatt avait été son premier client autiste.

«C’est le premier avec qui j’ai eu à développer une relation et à comprendre cet environnement qui est extrêmement particulier», a-t-il expliqué.

«Chacun de ces enfants a des besoins différents ou des réactions différentes. À chaque fois, c’est de s’ajuster au client et de (…) le suivre dans son environnement. Je pense qu’il faut être beaucoup à l’écoute et c’est Wyatt qui m’a permis de faire ça en premier. J’ai compris rapidement ce que j’avais à faire, mais Wyatt (est) le premier avec qui j’ai eu à travailler et qui m’a permis de comprendre.»

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des coiffeurs formés pour repérer les signes de violence conjugale


Que les coiffeurs (euses), barbiers et autres professionnels de la beauté fassent une formation pour détecter les victimes hommes et femmes de violences conjugales est une bonne chose, sauf qu’une heure de formation, m’apparaît très peu. En plus, ils ne sont pas obligés de faire état de la situation. Il n’est même pas proposé de faire une plainte anonyme ou avoir une personne de référence mandatée pour ce genre de cas.
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Des coiffeurs formés pour repérer les signes de violence conjugale

 

© thinkstock.

Les coiffeurs de l’Illinois, dans le nord des Etats-Unis, vont être formés pour repérer parmi leurs clients d’éventuels signes de violences conjugales, selon une loi inédite en Amérique qui entrera en vigueur le 1er janvier.

Des dizaines de milliers de coiffeurs, barbiers, et autres professionnels de la beauté de cet Etat qui comprend Chicago, troisième ville des Etats-Unis, devront suivre une heure de formation, nécessaire par ailleurs pour obtenir une licence.

« La relation entre celui qui coupe les cheveux et le client est très particulière. On parle à peu près de tous les sujets », explique l’auteure de cette loi, Fran Hurley, élue du parlement de l’Illinois.

« Vous faites toujours appel à la même personne. Et on peut remarquer des choses », ajoute-t-elle.

Les signes avant-coureurs vont des bleus aux contusions en passant par l’isolement social de la famille ou des amis.

Quelque 88.000 salons professionnels de l’Illinois sont concernés mais ils ne sont pas obligés de faire état de ces stigmates.

« S’ils aperçoivent quelque chose, et choisissent de ne pas en faire état (…) ils ne seront pas tenus pour responsables », explique Mme Hurley.

L’association Chicago Says No More a contribué à mettre sur pied cette formation qui est, selon sa fondatrice Kristie Paskvan,

 une « nouvelle manière de lutter contre les violences conjugales et le harcèlement sexuel ».

Une femme sur trois et un homme sur sept aux Etats-Unis sont victimes de violences conjugales, selon l’association, et 20% des femmes et 10% des hommes ont été violés.

L’association propose aussi aux coiffeurs des affiches où apparaît un numéro de téléphone d’aide aux victimes.

Cette idée de former les coiffeurs pour qu’ils repèrent les signes de violences, si elle est transcrite pour la première fois dans la loi d’un Etat américain, n’est toutefois pas nouvelle. La fédération nationale Professional Beauty Association propose une formation similaire depuis une dizaine d’années.

http://www.7sur7.be/

Une blessure chez le barbier cause une affreuse réaction


Avoir des assurances pour les frais médicaux, mais être obligé de chercher des fonds quand une opération qui pourrait améliorer grandement sa qualité de vie, est jugé comme une chirurgie esthétique, est franchement idiot En tout cas, je doute que ce gars est retourné vers le barbier qui lui a coupé les deux côtés du cou, il y a 12 ans
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Une blessure chez le barbier cause une affreuse réaction

 

Une blessure chez le barbier cause une affreuse réaction

Keith Crowell. Photo GoFundMe

Un simple rasage chez le barbier a causé une affreuse réaction cutanée chez Keith Crowell: depuis 12 ans, des masses de chair se développent dans son cou.

Le résident du Wisconsin souffre de chéloïde, une sorte de bourrelet qui se forme sur une cicatrice. Les excroissances se forment de chaque côté de son cou et sont douloureuses, a-t-il expliqué à la station américaine WITI.

«J’ai eu une mauvaise réaction quand je suis allé chez le barbier et qu’il m’a coupé des deux côtés du cou», a raconté l’homme qui vit avec ce problème depuis 12 ans.

À deux reprises, des chirurgies ont été effectuées pour retirer les masses de son cou. Près de 40 lb de chair ont été enlevées à chaque fois, mais les chéloïdes sont revenues.

L’homme ne demande qu’à vivre une vie normale. En raison de ces excroissances, il a de la difficulté à dormir, à avaler et à entendre.

Il a trouvé un chirurgien qui pourrait procéder à une opération qui réglerait définitivement sa situation. Toutefois, son assureur ne veut pas lui payer la chirurgie, prétextant que son problème n’est qu’esthétique.

«Je ne crois pas que c’est seulement esthétique. On parle de ma qualité de vie, ici», plaide M. Crowell.

L’homme a mis en ligne une campagne GoFundMe pour amasser des fonds pour payer pour son déplacement, son hébergement, l’opération et sa convalescence. Il espère ainsi amasser 50 000 $.

http://fr.canoe.ca/

Le Saviez-Vous ► Il était une fois la maladie: chèvre et cataracte


A force de lire ce genre d’article, on ne peut qu’être content de l’évolution de la médecine. Il y a des millions de gens qui souffre de la cataracte, a travers les siècles des méthodes plus moins douteux ont été pratiqués avec un certain succès, mais aujourd’hui, la méthode est plus sûre et moins barbare
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Il était une fois la maladie: chèvre et cataracte

 

Il y aurait actuellement plus de 40 millions de personnes aveugles sur terre, et la moitié le sont à cause de cataractes.

Origine du mot «cataracte»

Tout au long de l’histoire, la cataracte porta bien des noms. Les Grecs antiques qui ne reconnaissaient pas le rôle du cristallin dans l’apparition de la cataracte l’avait nommée : hypochime. Les Romains traduisirent cela par le mot suffusio. Finalement, les Arabes trouvaient que la couleur du cristallin ressemblait à une chute d’eau, ce que les Romains traduisirent comme goutta opacta, qui devint dans le langage courant cataracta, puis cataracte.

D’ailleurs, l’être humain n’est pas le seul à souffrir de cataractes. Plusieurs autres animaux peuvent aussi en être atteints. Ainsi, les premières interventions auraient eu lieu en Inde aussi tôt que 2 500 ans avant Jésus-Christ. Une légende romaine prétendit plus tard que les médecins s’étaient inspirés des animaux pour traiter cette maladie. On disait que lorsqu’une chèvre avait une vision défaillante, elle se précipitait dans les buissons et se perforait l’œil pour abaisser cette cataracte invalidante.

D’ailleurs, ce fut cette première technique, appelée «abaissement», qui fut d’abord utilisée et qui, étonnamment, l’est encore de nos jours dans certaines régions du globe.

Une technique bien décrite

Le médecin romain Aulus Cornelius Celsus (25 AC – 50 DC) en fournit une description très détaillée. Ainsi, on pouvait y lire que le patient devait être assis sur une chaise droite dans une pièce lumineuse. Un assistant se plaçait derrière pour lui tenir la tête, et l’opérateur se tenait devant le patient. Il était recommandé qu’il utilise la main droite pour opérer l’œil droit et la main gauche pour l’autre œil. Il introduisait alors une aiguille dans l’œil et effectuait une perforation perpendiculaire au globe. Puis il effectuait un mouvement de bascule pour provoquer l’abaissement du cristallin. Souvent, il devait répéter ce geste plusieurs fois pour que le résultat souhaité se produise.

Au Moyen Âge, surtout chez les Arabes, on utilisait aussi une aiguille creuse pour aspirer les restes du cristallin. En Europe, les abaisseurs étaient surtout des barbiers itinérants, les médecins ne jugeant pas cette opération assez digne pour leur art. Ce n’est que sous Louis XV (XVIIème siècle) que La Martinière, premier chirurgien du roi, a été chargé par ce dernier d’édicter des règles précises de formation des chirurgiens et les séparer enfin des barbiers-perruquiers.

La méthode de l’abaissement

La méthode de l’abaissement est aussi rudimentaire qu’efficace. Lorsqu’elle est bien exécutée, les patients perçoivent d’abord une bonne amélioration de leur vision. Mais deux complications majeures sont alors à prévoir. La première est, bien sûr, l’infection. La stérilisation étant inconnue jusqu’à tout récemment, les instruments utilisés et le manipulateur provoquaient des contaminations. Même de nos jours, dans les régions reculées où l’abaissement est encore pratiqué, ceux qui exercent le métier d’abaisseurs sont souvent peu conscients des vertus de l’asepsie, et les infections qui surviennent conduisent le plus souvent à la cécité.

L’autre complication est tout aussi fréquente et sévère. Souvent, l’abaisseur commettra l’erreur de rompre la capsule de l’œil, ce qui provoquera l’échappement de protéines du cristallin dans le vitré. Il s’ensuivra généralement une sévère inflammation de l’œil, une uvéite et un glaucome. Le temps que le tout se résorbe et que la tension intraoculaire revienne à la normale, l’œil est devenu pratiquement aveugle.

Les abaisseurs

Comme souligné, ceux qui exercent encore ce métier se retrouvent le plus souvent dans les pays chauds. Ils sont généralement fort peu instruits et n’ont peu ou pas de compréhension des bases médicales. Ils se déplacent de village en village pour offrir leurs services à tous ceux qui souffrent de cataractes. Comme ils sont nomades, il est difficile de les repérer et carrément impossible d’évaluer leur performance.

Une estimation empirique nous montre que même dans les cas plutôt rares où l’opération s’est déroulée sans problèmes et sans infection, tout au plus 50 % d’amélioration visuelle pourrait être observée. Mais dans la majorité des cas, les résultats sont pires que si aucune intervention n’avait été tentée.

Serait-il possible de mieux encadrer et former les abaisseurs pour qu’ils puissent être plus efficaces et rendre de meilleurs services? La réponse est complexe car, d’une part, ces opérateurs ne reconnaissent pas la nécessité d’une formation théorique ou même pratique, et d’autre part, la technique même de l’abaissement n’a pas fait l’objet d’études scientifiques sérieuses.

Par ailleurs, dans certaines régions, les abaisseurs demeurent la seule ressource accessible pour ceux qui souffrent de cataracte.

Si l’abaissement était alors connu comme technique pour améliorer la vision, on n’en savait que très peu sur la physiologie de la vision. L’idée la plus répandue était que le cristallin était le siège de la vision. Il faudra attendre qu’un célèbre astronome, Johannes Keppler, très intéressé par les lentilles, les chambres noires et les miroirs, pour comprendre que la vision s’effectuait dans la rétine et que le cristallin ne faisait que focaliser les rayons lumineux sur celle-ci. Il émit aussi l’hypothèse que la cataracte n’était pas une membrane qui se développait sur le cristallin mais bien une opacification de celui-ci. Il publia ses idées dès 1610, mais il faudra attendre un siècle avant qu’elles ne soient reprises.

Ainsi, en 1705, le Dr Pierre Brisseau décrit les résultats de ses autopsies, dans lesquelles il démontre que la cataracte est vraiment une opacification du cristallin, ce que confirme Antoine Maître-Jean par ses expériences effectuées sur des animaux dès 1907.

Traité de Brisseau (1709)

Le véritable pionnier fut un chirurgien français né en 1693. Durant sa carrière, il aurait opéré pas moins de 206 cataractes, dont 182 avec succès. Mais on ignore qu’elle fut l’acuité visuelle de ces succès. Le docteur Jacques Daviel mit au point la technique de l’extraction de la cataracte. Non seulement il réussissait à abaisser la cataracte, mais il l’extrayait complètement, ce qui provoqua une scission entre les tenants de l’abaissement et ceux de l’extraction. Il faut noter que la technique de l’abaissement survécut en France jusqu’au milieu du XIXème siècle.

Technique de Daviel

Plusieurs autres améliorations à la technique de l’extraction du Dr Daviel virent successivement le jour. Le champion incontesté de l’extraction complète du cristallin fut le Dr Georg Joseph Beer (1763-1821). Ainsi Friedrich Jaeger, qui œuvra longtemps comme assistant du Dr Beer, proposa une incision de la cornée supérieure permettant à la paupière de maintenir en place le volet cornéen. Plus tard, au milieu des années 1800, Albert Mooren suggéra une iridectomie et Albert Von Graefe, élève brillant de Jaeger, proposa une incision linéaire périphérique, technique qui fut adoptée par tous les ophtalmologistes. Deux techniques d’anesthésie allait simplifier grandement le travail des ophtalmologistes : Carl Koler inventa l’anesthésie locale par cocaïne, et Anton Elschnig arriva en 1865 avec l’injection rétrobulbaire d’anesthésiant.

Extraction de la cataracte à la cryode
Extraction de la cataracte à la cryode
Courtesy of the National Library of Medicine
Photo P.Larsen

L’ère moderne

Au milieu des années 1950, le docteur Joaquin Barraquer, dont le père et le grand-père avaient été ophtalmologistes, met au point un microscope pour pouvoir effectuer plus efficacement les chirurgies oculaires.

En 1962, Charles Kelman a développé la technique de la phako-émulsification, qui permet de fragmenter le cristallin tout en ne réalisant qu’une très petite incision (quelques millimètres). Dès la fin des années 1940, les premiers essais pour implanter des cristallins artificiels furent tentés par Harold Ridley en Angleterre, mais il faudra attendre 1972 pour que Cornelius Binkhorst modifie ces lentilles, qui deviennent dès lors à la hauteur des attentes.

En Californie en 1989, le premier laser chirurgical en ophtalmologie fut mis au point. Depuis, d’autres types de laser ont vu le jour, permettant des chirurgies de la cataracte sans douleur et extrêmement performantes.

Chirurgie au laser

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Ce coiffeur coupe gratuitement les cheveux des enfants qui lui font la lecture.


Voilà quelqu’un qui peut faire la différence pour un enfant. Il se sert de son métier pour aider les enfants à affronter le stress de la rentrée juste par la lecture.
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Ce coiffeur coupe gratuitement les cheveux des enfants qui lui font la lecture.

La rentrée approche, et pour de nombreux enfants, cela peut s’avérer stressant, surtout s’ils ont des difficultés à lire. Voilà pourquoi, à Comiskey Park, dans l’Iowa, le barbier Courtney Holmes a décidé de faire quelque chose de spécial pour les enfants, dans le cadre du festival Back to School Bash.

Ce père de deux enfants a en effet décidé de couper gratuitement les cheveux de tous les enfants capables de lui faire la lecture.

“Les enfants arrivent, et je leur dis “Installe-toi à la table, prends le livre qui te plaît, et si tu ne parviens pas à le lire, je t’aiderai à le comprendre, et nous pourrons le lire ensemble”, a expliqué Holmes à USA Today.

“Franchement, j’ai été soufflé. Au début, quatre enfants faisaient la queue, et en un clin d’oeil, ils étaient une vingtaine, qui voulaient tous se faire couper les cheveux et me lire un livre.”

Plus d’info: sparkfamilyhairsalon.com | stmarkyouthenrichment.org

De nombreux enfants ont peur de lire à voix haute, aussi Courtney Holmes, un barbier, a décidé de remédier à cela.

Image credits:  Mike Burley/Telegraph Herald via AP

Image credits: Mike Burley/Telegraph Herald via AP

Il a décidé de couper gratuitement les cheveux de tous les enfants capables de lui faire la lecture.

Image credits: Telegraph Herald

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“Installe-toi à la table, prends le livre qui te plaît, et si tu ne parviens pas à le lire, je t’aiderai à le comprendre, et nous pourrons le lire ensemble.”

Image credits: Telegraph Herald

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