Baleines noires: les biologistes n’ont observé aucun nouveau-né cet hiver


Les biologistes marins n’ont pas vu de bébé baleine noir, à moins que les baleines ont mis bas ailleurs de la zone surveillée. Il se peut que les baleines fassent une pause d’au moins 3 ans avant de reprendre le rôle de maman. Néanmoins, il y a des craintes sur les pertes de ces mammifères qui ont échouer réduit la population de baleine
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Baleines noires: les biologistes n’ont observé aucun nouveau-né cet hiver

 

Depuis une trentaine d'années, les baleines noires donnent... (PHOTO Stephan Savoia, archives Associated Press)

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Depuis une trentaine d’années, les baleines noires donnent naissance en moyenne à 17 baleineaux chaque année, mais depuis 2012, les naissances ont été en général en deçà de cette moyenne annuelle.

PHOTO STEPHAN SAVOIA, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

 

RUSS BYNUM
Associated Press
SAVANNAH

La saison hivernale de mise bas pour les baleines noires de l’Atlantique Nord tire à sa fin sans que les biologistes aient signalé de nouveau-nés au large de la côte sud-est des États-Unis, un phénomène sans précédent depuis trente ans qui fait craindre le pire pour cette espèce menacée d’extinction.

Les biologistes marins recherchent depuis décembre la présence de nouveau-nés au large de la Floride et de la Georgie, là où les baleines franches mettent habituellement bas, dans les eaux plus chaudes de l’Atlantique.

Les sentinelles expérimentées n’ont rien vu jusqu’ici, et leurs recherches du haut des airs prennent fin vendredi. Barb Zoodsma, responsable des baleines noires pour le sud-est des États-Unis au Service national de la pêche maritime, ne s’attend pas à des signalements d’ici là. Si ses prédictions s’avèrent, il s’agirait d’une première depuis que les observations ont commencé en 1989.

Cette absence apparente de naissances n’augure rien de bon. Les scientifiques estiment qu’il ne reste plus que 450 baleines noires de l’Atlantique Nord sur la planète, et l’espèce a subi l’an dernier de lourdes pertes: 17 cadavres de baleines se sont échoués sur les rives américaines et canadiennes l’an dernier, soit trois ou quatre fois plus que les cinq naissances observées cette année-là. Une autre baleine noire a été retrouvée morte au large de la Virginie en janvier.

Depuis une trentaine d’années, les baleines noires donnent naissance en moyenne à 17 baleineaux chaque année, mais depuis 2012, les naissances ont été en général en deçà de cette moyenne annuelle.

Les scientifiques poursuivront quand même leurs observations alors que les baleines noires remonteront la côte pour venir se nourrir plus au nord. Des chercheurs espèrent aussi que des baleineaux sont nés cet hiver au large des Caroline et de la Virginie, des secteurs qui ne sont pas survolés par les sentinelles.

Il est aussi possible que les baleines noires se préparent à une «revanche des berceaux» l’an prochain – les femelles prennent en général une pause de trois ans, parfois plus, entre les grossesses. On avait ainsi observé une seule naissance en 2000, mais 31 l’année suivante.

Des recherches démontrent que les femelles meurent aujourd’hui avant l’âge de 30 ans – soit moins de la moitié de leur espérance de vie. Et les femelles qui ont mis bas l’an dernier ne l’avaient pas fait depuis sept ou huit ans.

Devant toutes ces incertitudes, les chercheurs soutiennent qu’il est d’autant plus crucial d’éliminer les facteurs humains de l’équation – collisions avec des navires et empêtrement dans des filins de pêche.

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Les baleines noires décimées par l’activité humaine


À partir de juin, des baleines ont été retrouvées mortes dans le Golfe du Saint-Laurent, ainsi que les côtes aux États-Unis. Les autopsies ont révélé que ces bêtes en voie de disparition dans des équipements de pêche
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Les baleines noires décimées par l’activité humaine

 

Les baleines noires décimées par l'activité humaine

MONTRÉAL | La circulation maritime et la pêche sont les causes principales d’une vague de décès « sans précédent » de baleines noires, espèce en voie de disparition également appelée baleine franche, au Canada cet été conclut un rapport officiel publié jeudi.

Depuis juin, douze baleines noires sont mortes dans le golfe du Saint-Laurent, qui abrite près du quart des 458 derniers représentants de ce cétacé, parmi « les plus menacés au monde », selon le rapport du Réseau canadien pour la santé de la faune.

Trois autres baleines noires ont aussi été retrouvées mortes le long des côtes de la Nouvelle-Angleterre, dans le nord-est des États-Unis.

Des autopsies pratiquées sur six carcasses de baleines récupérées le long des côtes canadiennes montrent que quatre sont mortes d’hémorragies suite à des collisions probables avec des navires et une après avoir été prise au piège dans des équipements de pêche. Les causes de la mort de la sixième baleine n’ont pu être établies avec précision.

Cette mortalité élevée coïncide avec la circulation accrue de chalutiers dans le Saint-Laurent pour la haute saison de la pêche, dont dépendent de nombreuses zones côtières des provinces atlantiques.

En réponse à la publication du rapport, les ministres canadiens de la Pêche et des Transports se sont dits « profondément préoccupés par l’avenir de ces mammifères marins » et ont assuré vouloir « poursuivre les mesures » pour leur assurer « une protection pour les générations à venir ».

À la suite des décès constatés cet été, le gouvernement avait notamment fermé certaines zones de pêche au crabe pour éviter que les baleines ne s’y retrouvent piégées, et avait imposé une limite de vitesse aux navires les plus imposants pour protéger les cétacés.

La baleine noire est une espèce migratoire qui se déplace le long de la côte Atlantique de l’Amérique du Nord.

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Mort de trois baleines noires: l’activité humaine montrée du doigt


Il y a eu 6 baleines noires de l’Atlantiques qui sont mortes dans le Golfe du Saint-Laurent au Québec, des nécropsies ont été faites sur baleines dont deux sont mortes probablement suite a une collision qui serait peut-être un bateau. Les baleines sont en voie de disparition, il est donc important de mieux comprendre leur migration pour mieux les protéger du trafic maritime
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Mort de trois baleines noires: l’activité humaine montrée du doigt

 

Même si la cause de la mort des... (ARCHIVES AP)

 

Même si la cause de la mort des baleines n’est pas établie avec certitude, les autorités devraient malgré tout tenter de trouver des moyens de diminuer les risques de collision, dit un expert.

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ALISON AULD
Agence France-Presse
Halifax

Les blessures observées sur au moins deux des six baleines noires de l’Atlantique Nord retrouvées sans vie dans le golfe du Saint-Laurent semblent indiquer qu’elles auraient été percutées par des bateaux, selon des spécialistes des mammifères marins.

Tonya Wimmer, de la Marine Animal Response Society, a affirmé mardi que les données préliminaires des nécropsies pratiquées sur trois des baleines suggèrent que deux d’entre elles ont subi un traumatisme contondant, ce qui aurait causé des ecchymoses sur leurs flancs et des hémorragies internes.

La troisième baleine a perdu la vie après s’être emmêlée dans un filet à pêche qui s’est enroulé autour de sa nageoire et dans sa gueule.

L’équipe d’employés fédéraux, de vétérinaires et d’autres experts marins qui a participé aux autopsies à l’Île-du-Prince-Édouard ne peut pas encore dire avec certitude ce qui a causé la mort des baleines et doit attendre les résultats de tests sur les tissus des animaux.

Les spécialistes doivent remettre un rapport final d’ici deux mois.

Mme Wimmer souligne toutefois que les premières informations semblent confirmer que des collisions seraient survenues avec un bateau – l’un des dangers les plus mortels pour ces mammifères en voie de disparition.

«L’animal a été manifestement frappé par quelque chose de gros. Ce que cela pourrait être, nous ne savons pas», a-t-elle expliqué.

«Lorsque nous avons vu cela par le passé, les animaux avaient subi une collision avec des bateaux, mais pour ces deux-là, nous ne savons pas avec certitude ce qui s’est passé, puisque personne n’a vu ces animaux se faire frapper.»

Hémorragies internes

Les six baleines noires de l’Atlantique Nord ont été découvertes sans vie et en état de décomposition dans les eaux situées au nord de l’Île-du-Prince-Édouard et au sud-est de la péninsule de Gaspé le mois dernier. Lundi, les autorités ont annoncé qu’un rorqual commun avait été repéré dans les eaux à l’est de l’Île-du-Prince-Édouard, mais la cause de la mort n’est pas encore connue dans ce cas.

Pierre-Yves Daoust, du Collège vétérinaire de l’Atlantique à l’Île-du-Prince-Édouard, a dirigé les nécropsies sur les baleines noires et dit avoir découvert des hémorragies internes au thorax et dans les tissus mous.

«Cela suggère qu’il pourrait y avoir eu des forces de cisaillement importantes qui ont rompu les vaisseaux sanguins et causé un saignement interne fatal», a-t-il soutenu.

«Ce que nous avons vu est cohérent avec l’hypothèse du traumatisme contondant, et donc une collision avec un bateau (…) mais nous ne pouvons jamais complètement écarter la possibilité que certains changements anormaux soient arrivés après la mort», a-t-il ajouté.

Selon l’expert, même si la cause de la mort des baleines n’est pas établie avec certitude, les autorités devraient malgré tout tenter de trouver des moyens de diminuer les risques de collision, tout en poursuivant les recherches sur ce mammifère, qui a été chassé longtemps avant de devenir en voie d’extinction.

Les six baleines noires de l’Atlantique Nord trouvées mortes représentent environ un pour cent de la population estimée à 525 individus restants.

«Nous ne pouvons pas avoir une autre demi-douzaine de baleines tuées soit cet été ou l’été prochain avant que nous commencions à nous pencher sur les causes potentielles de mortalité», a résumé M. Daoust.

Il faut remonter au XIXe siècle pour voir tant de décès de baleines en si peu de temps, a fait remarquer Mark Baumgartner, de l’Institut océanographique Woods Hole, à Cape Cod.

Selon Tonya Wimmer, davantage de travail doit être fait afin d’identifier le chemin migratoire des baleines et leurs habitats pour s’assurer qu’elles soient protégées du trafic maritime et des activités de pêche.

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Le Saviez-Vous ► 4 informations scientifiques à savoir sur les baleines


Les baleines sont fascinantes autant par leur aspect physique, par la protection des baleineaux et par leurs formes de communications entre elles. Malheureusement, elles sont menacées par l’être humain et les changements climatiques
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4 informations scientifiques à savoir sur les baleines

 

Baleine

Les éthologues ne cessent de faire de nouvelles découvertes concernant les baleines.

© CRIAG PARRY/CATERS/SIPA

Retour sur les connaissances actuelles qui portent sur le comportement des baleines, ces géants marins aussi fascinants que menacés.

BALEINE. Depuis toujours, elles fascinent petits et grands. Animaux majestueux et mystérieux, les vraies baleines appartiennent à un sous-ordre de cétactés appelés mysticètes (contrairement à certaines espèces du sous-ordre odontocètes nommées baleines par abus de langage). Elles délivrent au compte-gouttes leurs secrets scientifiques. Chaque année apporte son lot de découvertes sur ces animaux qui dévoilent des comportements incroyablement complexes. Sciences et Avenir revient sur quelques uns d’entre eux, et sur quelques anecdotes scientifiques qui ont changé à jamais la vision que l’homme avait de ces cétacés.

Un animal proche des siens 

Les baleines sont des animaux qui ont le sens de la famille. Par exemple, chez les baleines à bosse (Megaptera novaeangliae) les mères s’occupent longuement de leur progéniture après les avoir portés entre 11 et 12 mois, ces cétacés étant des mammifères. Le « petit » (1 tonne sur la balance et 4,50 mètres de longueur, tout de même) est sevré vers 11 mois et ne devient complètement autonome qu’à l’âge de 4 ans. Mais avant cela, la mère l’allaite : lors de ce processus, le baleineau alterne entre les phases de succions et de respirations car il a besoin de reprendre son souffle à la surface régulièrement. Tant qu’il n’est pas autonome, la mère se montre particulièrement protectrice avec son petit.

SUPER-MAMAN. Ce comportement de défense s’étend parfois même à d’autres animaux : des chercheurs ont découvert en 2016 qu’une mère baleine à bosse est capable de s’attaquer à un orque pendant qu’il chasse… afin de secourir sa proie, qu’elle que soit l’espèce de celle-ci. Et ceci dans le seul but de dissuader l’épaulard de venir un jour chasser son baleineau, en faisant démonstration de ses capacités de défense. De son côté, le baleineau éprouve un fort attachement pour sa mère, comme le montre une vidéo parue en octobre 2016 dans laquelle un baleineau s’est acharné pendant 40 minutes à pousser sa mère, échouée malgré elle sur un banc de sable au large des côtes de Brisbane en Australie.

Pour en savoir plus :

VIDEO. Une baleine bleue allaite son petit

La baleine à bosse, cette justicière des océans

VIDEO. Un baleineau sauve sa mère piégée par un banc de sable

Un langage complexe

Les baleines utilisent des ultrasons pour communiquer, en tirant parti des conditions particulières de l’océan (profondeur, température et salinité de l’eau). Ainsi, certains sons émis à profondeur moyenne se retrouvent « piégés » dans un canal où les signaux se réfractent et peuvent se propager sur de longues distances. De quoi permettre à ces animaux d’envoyer un signal d’un continent à l’autre en quelques heures !

SALTO. Mais l’utilisation des ultrasons ne serait pas la seule méthode de communication de ces géants des mers. En effet, un comportement appelé breaching (qui se traduit par un saut de l’animal hors de l’eau pour ensuite retomber bruyamment), servirait aussi de moyen de communication.

Cette dernière méthode serait utilisée préférentiellement quand deux groupes sont séparés d’environ 4 kilomètres, ou si la météo est défavorable. Les baleines accompagnent parfois ces sauts de claquements des nageoires pectorales et de la queue. Ces mouvements sont plutôt observés lorsque des membres d’un groupe sont séparés, ou suite à l’apparition d’un nouvel individu. Ils auraient donc un rôle dans une communication rapprochée ou dans un échange à l’intérieur du groupe.

 

Figures artistiques pour tour de force

Ces animaux de plusieurs dizaines de tonnes ne sautent pas uniquement pour converser les uns avec les autres. Lorsque les baleines élèvent leur corps hors de l’eau puis effectuent une torsion pour retomber sur le ventre, les flancs ou le dos, c’est avant tout pour démontrer leur force. En effet, ce mouvement demande beaucoup de puissance au mammifère. Pour cette raison, les mâles utilisent ce comportement pour attirer les membres du sexe opposé ou afin de montrer un comportement agressif face à un rival. Les adultes peuvent également sauter pour se débarrasser des parasites cutanés, effrayer des proies ou les assommer, mais aussi pour se rafraîchir ou respirer quand les vagues sont trop fortes. Mais attention : toutes les espèces de baleines ne sautent pas. Selon les chercheurs, ce comportement est uniquement observable chez le rorqual à bosse, la baleine noire, le cachalot et le petit rorqual.

Des espèces menacées

Appréciées pour leur viande ou leur graisse, les baleines doivent faire face à de nombreuses menaces. Sous couvert de « pêche scientifique » (la recherche létale, c’est à dire sur des spécimens morts, est autorisée sur ces animaux), des pays tel que le Japon n’hésitent pas à chasser bon nombre de ces mammifères pour ensuite en consommer la chair.

RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE. Et malheureusement, comme beaucoup d’autres animaux,  ces cétacés pâtissent aussi de la hausse des températures, qui modifie leurs sources d’alimentation et leurs cycles migratoires. Ces derniers deviennent de plus en plus longs et épuisants à cause du réchauffement des eaux, qui désoriente les baleines et chamboule leur parcours. En outre, l’acidification des océans, également due au changement climatique, met en danger la reproduction de ces animaux.

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C’est prouvé (à cause des excréments), les bateaux stressent les baleines


Beaucoup le savent, les baleines sont sensibles au bruit que les bateaux, sous-marins … Avec le 11 septembre, ils ont pu prouver que ces signaux sonores stress ces baleines et ont des conséquences indésirables pour elles
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C’est prouvé (à cause des excréments), les bateaux stressent les baleines

 

 

Le niveau de stress des baleines noires de l'Atlantique Nord a été mesuré avant et après les attentats.  Anonymous/AP/SIPA

 

Le niveau de stress des baleines noires de l’Atlantique Nord a été mesuré avant et après les attentats. Anonymous/AP/SIPA

Par Dominique Brunet-Vaudrin

Des chercheurs américains ont découvert que le niveau de stress des baleines avait diminué à la suite des attentats du 11 septembre 2001, alors qu’on avait réduit le trafic maritime. Explications.

STRESS. Les scientifiques savent depuis longtemps que les signaux sonores diffusés par les navires de transport interfèrent avec ceux émis par les baleines pour communiquer, car ils ont une fréquence similaire. Or, les événements du 11 septembre 2001 ont permis à des chercheurs américains, dont l’étude a été publiée dans Proceedings of the Royal Society B,  de comprendre que le trafic maritime avait des effets significatifs sur la santé psychologique des cétacés.

Concrètement, ils ont relevé que le stress des baleines noires de l’Atlantique Nord (Eubalaena glacialis) de la baie de Fundy (Canada), où elles se retrouvent tous les ans à la fin de l’été pour nourrir leurs rejetons, était plus bas dans la semaine suivant l’événement. À ce moment, les mesures de sécurité instaurées par les autorités américaines interdisaient le passage de la majorité des embarcations.

Des excréments pour mesurer le stress

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé le niveau sonore des fonds marins et la composition des excréments de baleines. Ils ont noté une diminution de 6dB par rapport à la normale et une réduction du nombre de signaux de basses fréquences qui produisent le plus d’interférences avec le chant des cétacés.

« Nous avons observé que ce phénomène était associé à une baisse des glucocorticoïdes, des hormones liées au stress, dans les matières fécales des animaux« , notent les scientifiques.  » C’est la première fois que nous avons la preuve que la pollution sonore engendrée par les navires de transport peut occasionner du stress chronique chez la baleine ».

DANGER. L’augmentation de la pollution sonore dans les fonds marins oblige les baleines à s’adapter comme elles le peuvent. Certaines se déplacent alors que d’autres changent leur façon de chanter pour continuer à communiquer avec leurs congénères. De plus, dans la baie de Fundy, il arrive que des navires entrent en collision avec des baleines noires de l’Atlantique Nord leur occasionnant des blessures graves, voire la mort. Triste sort pour cette espèce déjà en danger d’extinction…

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