À cause du «shutdown» de Trump, le personnel de sécurité des aéroports n’est plus payé


Pour avoir un mur entre les États-Unis et le Mexique, des milliers de fonctionnaires ne sont pas payés tant que les démocrates n’ont pas mit un budget de 5 milliards de dollars. Le mur est supposé pour la sécurité des Américains contre les migrants, alors que dans les aéroports, la sécurité sera de plus en plus difficile si les agents ne sont pas payés. Donald Trump, n’a pas de souci d’argent, mais les fonctionnaires eux doivent quand même rendre des comptes devant leur dépenses.
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À cause du «shutdown» de Trump, le personnel de sécurité des aéroports n’est plus payé

 

Un employé de la TSA à l'aéroport de La Guardia à New York, le 22 novembre 2018. SPENCER PLATT / AFP

Un employé de la TSA à l’aéroport de La Guardia à New York, le 22 novembre 2018. SPENCER PLATT / AFP

Repéré par Claire Levenson

Cela fait deux semaines que ces employés travaillent sans salaire, et le nombre d’absences a explosé.

 

En refusant d’abandonner leur projet de mur frontalier (pour 5 milliards de dollars), le président Donald Trump et la majorité républicaine au Sénat continuent de bloquer le pays. Le «shutdown», soit la paralysie de certaines agences fédérales, dure maintenant depuis le 22 décembre, et Trump s’est dit prêt à le prolonger pendant des «mois ou des années».

Huit cent mille employés fédéraux sont touchés, et pour certains d’entre eux, la persistance de ce blocage signifie qu’ils auront du mal à payer leur loyer à la fin du mois.

Absences de plus en plus nombreuses

C’est particulièrement le cas des dizaines de milliers d’employés de la TSA, l’autorité de sécurité des transports, dont les salaires sont très bas. À l’aéroport, ce sont les agents qui scannent les bagages et sont amenés à fouiller certains passagers.

Cette semaine, des centaines d’entre eux ne se sont pas rendus au travail dans au moins quatre aéroports. Chaque jour à l’aéroport JFK à New York, près de 170 employésont pris des journées maladie, et les absences ont triplé à l’aéroport de Dallas.

Les représentants syndicaux ont déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une action concertée, mais simplement de réactions aux difficultés causées par l’absence de salaire. Certains employés prévoient en effet de s’absenter pour faire des petits boulots rémunérés ou éviter de payer les transports en commun. Même si techniquement, ils seront payés à la fin du «shutdown», beaucoup n’ont pas les moyens de couvrir leurs dépenses si leurs salaires sont payés trop en retard.

Cela étant, les déclarations des syndicats sont contredites par plusieurs sources anonymes qui parlent d’un mouvement de protestation collective.

Pour l’instant, les aéroports disent avoir réussi à éviter un manque de personnel, notamment en faisant travailler plus certains employés. Mais plusieurs responsables ont aussi parlé d’expédier certaines procédures de sécurité. Si les agents de sécurité continuent de ne pas être payés, il est fort probable que les absences augmenteront.

http://www.slate.fr

Punaise! Mon hôtel est infesté


Partir en voyage, visitez des lieux historiques ou la vie d’ailleurs, se reposer et rapporter des souvenirs … Des souvenirs ??? pas n’importe quel s souvenirs j’espère .. Certains sont vraiment indésirables et ont la fâcheuse habitude de se multiplier en revenant avec vous a la maison
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Punaise! Mon hôtel est infesté

 

Les punaises de lit peuvent aussi s'inviter à... (Photo: PC)

Les punaises de lit peuvent aussi s’inviter à l’hôtel.

PHOTO: PC

ÉMILIE BILODEAU
La Presse

Gare aux voyageurs! Les punaises de lit sont partout. Détectés dans des restaurants d’Honolulu, dans des hôtels de Tokyo ou des cinémas de New York, ces affreux insectes suceurs de sang ne sont pas une raison de gâcher ses vacances. En prenant quelques précautions, on évite le stress d’en traîner dans ses bagages et, pire, d’en rapporter à la maison.

Depuis deux ans, les punaises de lit ternissent l’image de New York: l’Empire State Building et des théâtres de Broadway ont dû engager des destructeurs de nuisibles (exterminateurs) tandis que des clients de l’hôtel Waldorf Astoria, où les chambres coûtent entre 250$ et 8500$ la nuit, se sont fait piquer durant leur sommeil. À cause de l’infestation dans des hôtels et lieux fréquentés par les touristes, la ville est devenue la bête noire des médias. Pourtant, l’épidémie ne touche pas seulement New York, affirme l’entomologiste Harold Leavey.

«On a été un peu injuste avec New York. À Vegas, la situation n’est pas drôle non plus. Il y a des punaises à Toronto, à Paris, à Vancouver, à Londres. C’est un problème mondial», dit-il.

À Québec, le problème est grandissant, mais la situation est tout de même pire à Montréal.

En 1995, les entreprises Maheu faisaient une intervention par année concernant les punaises de lit dans la métropole. Aujourd’hui, elles en réalisent jusqu’à 150 par jour.

Selon M. Leavey, Montréal a déjà connu des épisodes de punaises de lit lorsque la ville a été l’hôte de grands événements, mais les insectes ont pu être maîtrisés rapidement après le départ des touristes.

«Au Québec, les gens voyageaient peu. C’était une question culturelle, peut-être religieuse. Étant donné qu’on ne voyageait pas, on ne rapportait pas de punaises de lit. Elles sont apparues lors de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, puis lors de l’Exposition universelle (1967) et des Jeux olympiques (1976). Après la tenue de ces événements, on réglait le problème en deux ou trois ans», raconte-t-il.

Au milieu des années 90, les résidants des pays de l’Europe de l’Est et de la Chine, des régions infestées par les punaises, se sont mis à voyager davantage, tout comme les Québécois. En plus de ses bons côtés, la mondialisation a amené son lot d’inconvénients comme celui de permettre aux punaises de se déplacer partout sur la planète.

Les personnes qui voyagent fréquemment l’ont appris à leurs dépens. Les voyageurs assidus ramènent des punaises dans un voyage sur cinq, voire un voyage sur quatre, rapporte M. Leavey. Mais pour éviter de devoir faire appel à une entreprise de désinfection dès le retour à la maison, le spécialiste en gestion parasitaire possède quelques trucs.

1 Pour les voyageurs fréquents, il existe un «sac de chaleur».

De retour à la maison, on place sa valise dans cette grande housse, on monte la température jusqu’à 120 degrés et après deux heures seulement, les punaises sont tuées. Mais cette solution a un prix élevé. Le coût d’un sac de chaleur varie de 320$ à près de 1000$ selon sa grandeur et sa qualité.

2 Voyager avec des vêtements lavables à la machine.

Les punaises ne survivent pas à une «brassée» dans l’eau chaude et le savon. Mais attention! Les laveuses frontales sont moins efficaces que les verticales puisqu’elles utilisent moins d’eau. L’autre solution est de placer ses vêtements dans la sécheuse pendant 40 minutes à température élevée.

3 Voyager avec un sac à dos lavable ou une valise de style coquille de plastique.

En arrivant à la maison, on peut immédiatement tuer les insectes en lavant son sac dans la laveuse. Pour la valise de style coquille, il existe un insecticide en vaporisateur que l’on peut se procurer pour une dizaine de dollars chez les spécialistes en gestion parasitaire.

4 Envelopper ses vêtements

Dans sa valise, l’entomologiste Harold Leavey emballe toujours des vêtements dans un sac de plastique étanche et scellé avec du ruban adhésif. À son retour à l’aéroport, il ouvre le sac et enfile les vêtements. Il place sa valise dans un sac de poubelles pour ne pas contaminer sa voiture.

Demander un remboursement?

Vous avez été incapable de trouver le sommeil lors de votre séjour à l’hôtel à cause des punaises de lit qui partageaient votre lit. Bonne chance pour obtenir un remboursement!

«Si on est insatisfait d’un service, on a le droit de demander un remboursement, dit Jean Jacques Préaux, porte-parole de l’Office de la protection du consommateur (OPC). Mais pour obtenir un remboursement, ça va dépendre de la grosseur du marteau avec lequel on frappe sur le comptoir de l’hôtel.»

En effet, bien des hôteliers sont si habitués d’être infestés par des punaises de lit qu’ils ont maintenant l’air insensibles lorsque les clients se plaignent de piqûres. En fait, en fournissant un lit et quatre murs aux consommateurs, l’hôtelier respecte son engagement, explique l’Office. Le dernier recours des clients, s’ils ont voyagé au Québec bien sûr, demeure la cour des petites créances. Le montant maximal d’une réclamation est de 7000$.

http://www.lapresse.ca

Le Bonheur ça se jazz


Oui le bonheur existe … il est souvent présent dans nos vie, dans les petites choses du quotidien, il peut durer qu’un moment ou plus longtemps, puis repart pour un temps, mais il revient frapper a la porte .. Certains ne le voit pas, même s’il essaie par divers moyens de se manifester .. et cela est un drame !!!
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Le Bonheur ça se jazz

 
 


Le bonheur ça se « jazz »! C’est léger et cristallin! C’est fou et c’est doux! Le bonheur ça fait « claqueter » le coeur et ça lui donne dès qu’un moment… il faut savoir le saisir quand il nous passe sous le nez!

Il papillonne, il bourdonne, il nous étonne… et puis il fait trois petits tours et s’en va vite voleter ailleurs! Le bonheur incite à se réinventer à chaque jour! Il apprécie la créativité et s’ennuie bien vite des gestes routiniers… Quel est le chemin qu’il empruntera?

Méfiez-vous c’est un taquin et il aime surprendre! Il arrive au détour du chemin quand on s’y attend le moins! Il se cache souvent dans la nature ou entre deux fleurs dans le jardin! Il aime surtout se nicher tout au fond d’un coeur et s’y laisser bercer par l’amour et la candeur! Chutt!!!!!! Écoute ta petite voix intérieure… puis, ajuste tes pensées à ses tendres propos… Il ne fait pas de tapage, ne parle pas fort et il marche souvent sur la pointe des pieds!

Funambule, il déambule souvent sur une corde raide ou il fait le saut de l’ange pour mieux nous surprendre! Il habite l’écran de nos douces pensées pour nous étonner puis plie bagage pour vite s’en retourner faire son cirque là où il l’a décidé! Le bonheur est souvent fait de simples petites joies enfilées comme des perles colorées sur le collier de la journée… L’odeur d’un bon café corsé bu à petites gorgées en se fermant les yeux au petit matin!

Le regard étonné de l’enfant qui caresse de ses yeux de velours le paysage mis à sa portée! Le chant de l’oiseau qui nous charme ou la prière qui monte du coeur pour aller rejoindre les étoiles!

Richard Bach disait: « Brisez vos limites, faites sauter les barrières de vos contraintes, mobilisez votre volonté, exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être. Découvrez ce que vous aimeriez faire et faites votre possible pour y parvenir. »

Monsieur le Bonheur aime que nous soyons l’artiste de notre propre vie et il nous incite à inventer celle-ci sans nous laisser envahir par les gens ou les évènements qui voudraient s’emparer de l’essence profonde qui coule en nous telle une source d’eau vive! Il fuit les éteignoirs et il nous invite à le faire aussi! Le bonheur aime le partage!

Il est aussi friand d’intermèdes pour mieux se laisser apprécier! Il connaît très bien l’adage qui dit que l’important c’est de toujours espérer et recommencer! Vivre et non seulement Exister!… Aimer et conjuguer ce verbe à tous les temps tout au long de la journée! Et toi? Y crois-tu vraiment au bonheur? Es-tu vraiment prêt à l’accueillir? Si oui, Vis Passionnément et il saura bien te rattraper! 

Jovette Mimeault

Avec ou sans valises


Nous ramassons tout au long de notre vie, des expériences, des bons souvenirs, mais beaucoup de fardeaux sur nos épaules .. Ces poids nous fatigue, nous rends moins heureux. Il faut s’avoir s’arrêter et s’alléger le corps et l’esprit pour n’avoir que le nécessaire pour continuer notre route
Nuage

 

 

Avec ou sans valises

 

Cette histoire se passe dans un pays bien loin d’ici,
là où les voyageurs vont à pied sur de grandes routes de
terre battue. Un voyageur arrivait à un carrefour, chargé d’un grand nombre de valises.

 

Il s’assied pour se reposer à l’ombre d’un arbre sur le
bord de la route, à côté d’un étranger dont on pouvait voir à ses bottes usées qu’il était un habitué des longs chemins.

 

Mais il n’avait pas de bagages, sinon un tout petit sac qu’il pouvait porter en bandoulière. Étonné, le voyageur lui en fit la remarque. Il était le seul au pays à voyager les mains libres.

 

L’étranger ne parut pas surpris de la question. Et bien que réticent à parler de lui, il engagea la conversation: le voyageur avait un regard franc qui lui inspirait confiance. Aussi sur le ton de la confidence, il se mit à lui raconter un évènement de sa vie
qui fût, affirmait-il, déterminant.

 

Dans un passé encore récent, il allait lui aussi, lourdement chargé.Tant pour ses voyages d’affaires que pour ses escapades personnelles. Il ne voulait manquer de rien, surtout disposer de tout: des costumes
et des accessoires accordés à chaque circonstance ainsi qu’à sa personnalité du moment.

 

Un jour qu’il se reposait, étendu dans l’herbe après un
repas, il entendit une voix familière qui se plaignait d’une grande fatigue. Il n’y avait personne autour. La voix était insistante.

 

L’étranger réalisa du coup qu’il se parlait à lui-même.
Lui-même, depuis des années, n’arrêtait pas de se plaindre qu’il était toujours fatigué. Fatigué de marcher pour son travail et fatigué de marcher pour aller ensuite se reposer. Et fatigué de toutes ses valises qu’il traînait pour se rassurer, pour se convaincre qu’il serait bien à la mesure de ce qu’il croyait être.

 

Laissant toutes ses valises à l’endroit où il s’était assoupi, il reprit aussitôt la route, une simple besace à la main.

 

Ayant terminé son récit, l’étranger se releva et parut d’un pas léger. Le voyageur regarda un instant ses valises, prit avec lui la plus petite et se remit en route, lui aussi.

 

 »  Pourquoi traîner tous ces bagages inutiles
au cours de notre vie, c’est épuisant !!!
La vie est belle. Vivez-la pleinement avec l’essentiel. « 

 

Auteur inconnu