Une mystérieuse bactérie se propage rapidement et inquiète la communauté scientifique


Une bactérie mangeuse de chair qu’on appelé l’ulcère de Buruli fait des ravages en Australie. Les scientifiques ne savent pas comment la prévenir et pire comment elle se propage, ils ne sont qu’aux théories. Il n’y a pas juste l’humain qui peut avoir cette maladie, mais aussi les opossums, chiens, chats, koala
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Une mystérieuse bactérie se propage rapidement et inquiète la communauté scientifique

 

Une mystérieuse bactérie se propage rapidement et inquiète la communauté scientifique

Une femme atteinte de l’Ulcère de Buruli. Photo d’archive. AFP

Une mystérieuse bactérie mangeuse de chair se répand à une vitesse inquiétante en Australie, au point où le nombre de cas aurait explosé en 2017.

La bactérie cause une maladie appelée ulcère de Buruli, presque considérée épidémique en Australie, rapporte le site de vulgarisation scientifique Live Science.

Ces dernières années, l’Australie a vu une augmentation rapide des cas d’ulcère de Buruli.

L’ulcère de Buruli est une infection qui provoque des ulcères sur la peau et peut la détruire ainsi que les tissus mous. La bactérie peut parfois s’attaquer aux os.

En 2016, il y a eu 186 cas d’infection signalés en Australie, contre 74 en 2013, soit une augmentation de 150%, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Les autorités de la santé prévoient l’apparition de 286 cas pour 2018, selon un nouveau rapport de chercheurs de Victoria, en Australie.

Rendant la chose encore plus inquiétante, les experts ne savent pas comment prévenir l’infection, ni comment elle se propage précisément.

«Nous sommes confrontés à une épidémie qui s’aggrave rapidement sans savoir comment la prévenir», ont écrit les chercheurs dans le rapport publié hier, dans The Medical Journal of Australia. «Nous avons donc besoin d’une réponse urgente» pour lutter contre la maladie, ont-ils dit.

L’ulcère de Buruli n’apparaît pas seulement en Australie; l’infection a été signalée dans 33 pays d’Afrique, d’Amérique du Sud et du Pacifique, selon l’OMS.

En 2016, il y a eu 2 206 cas dans le monde, l’Australie et le Nigéria enregistrant le plus grand nombre de cas. Et bien que des cas aient été signalés en Australie dès 1948, le pays a connu une hausse des cas depuis 2013.

Tuberculose et lèpre

L’ulcère de Buruli est causé par une bactérie appelée Mycobacterium ulcerans, qui appartient à la même famille de microbes responsables de la tuberculose et de la lèpre.

La bactérie produit une toxine qui détruit les tissus, conduisant à de gros ulcères, souvent sur les bras ou les jambes, selon l’OMS.

Sans traitement précoce, les patients peuvent développer des incapacités à long terme, comme un mouvement articulaire limité, ou nécessiter une chirurgie plastique.

Bien que l’on ne sache pas exactement comment la maladie se propage, les chercheurs ont quelques théories – par exemple, la maladie peut passer aux humains d’insectes trouvés dans l’eau, selon les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis.

Les animaux en Australie – y compris les opossums, les chiens, les chats et les koalas – ont également été trouvés à développer un ulcère de Buruli, mais il est encore incertain s’ils jouent un rôle dans la propagation de la maladie, selon le rapport.

Des données récentes suggèrent que l’infection ne se propage pas d’une personne à l’autre.

http://fr.canoe.ca/

La peau et le retour des rituels tribaux


Autrefois, les clans, les tributs se distinguaient avec des tatouages, des peintures corporelles et des os ou autres en guise de bijou inséré dans la peau. Aujourd’hui, ce genre de rituel tribal revient en force pour se démarquer des autres. Le problème, c’est qu’a chaque fois qu’on transperce la peau, cela est une porte ouverte contre des bactéries comme la bactérie mangeuse de chair, le tétanos et autres microorganismes qui peuvent être mortels.
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La peau et le retour des rituels tribaux

 

Jacques Beaulieu

Chroniqueur et communicateur scientifique

 

Il fut un temps dans l’évolution humaine où l’identification à une tribu ou à une caste quelconque était essentielle à la survie de l’espèce. Il fallait être en mesure d’identifier rapidement dans le feu de l’action d’une attaque, qui était de notre clan et qui appartenait à la tribu adverse. Pour ce faire, tatouages, peintures corporelles et autres signes distinctifs assuraient cette reconnaissance. Plus tard, le vêtement ayant fait son apparition, les costumes militaires, les habits d’apparat, les costumes cléricaux, etc. remplacèrent les tatous, les scarifications et autres identifications corporelles. Faut-il croire que nous assistons présentement à une récession de quelques centaines de milliers d’années de l’évolution humaine lorsqu’on rencontre de plus en plus souvent des personnes tatouées, percées et implantées de toutes parts ? Malheureusement, ces retours aux rituels tribaux n’ont pas que le barbarisme comme traits communs, ils représentent une menace sérieuse à la santé.

Une des fonctions essentielles de la peau est d’établir une barrière entre l’intérieur du corps et l’extérieur, barrière extrêmement efficace contre les infections. Les microorganismes (anciennement, on les appelait les microbes) présents naturellement dans l’environnement sont arrêtés par cette barrière habituellement très étanche. D’ailleurs, le streptocoque béta-hémolytique du groupe A, qu’on appelle communément : la bactérie mangeuse de chair peut trouver son chemin pour entrer dans le corps humain par une éraflure ou une coupure quelconque. Contrairement à ce que son nom laisse supposer, la bactérie ne mange pas les tissus musculaires, elle émet une toxine qui les dissout. Cette fameuse bactérie provoque la fasciite nécrosante. Chaque année au Canada 90 à 200 cas sont dénombrés dont 20% à 30% sont mortels. Bien d’autres microbes peuvent s’insérer dans l’organisme lorsque la peau est endommagée. Le tétanos et bien d’autres agents infectieux n’attendent qu’une porte d’entrée pour s’infiltrer dans l’organisme et causer des ravages parfois mortels. Chaque fois que cette barrière qu’est la peau est endommagée, il y a donc risque d’infection. Et, comme nous l’avons vu, le danger n’est pas anodin.

Exemples d’infections graves

Il y a quelque temps, à la suite de piercings, deux cas sévères furent relatés dans la littérature médicale. Une femme de 29 ans s’est retrouvée avec une péricardite sévère (infection de la membrane qui entoure le cœur). Cette infection avait provoqué une sécrétion d’un fluide infecté entre la membrane et le cœur, fluide qui compressait le cœur, menaçant même les battements cardiaques. L’analyse de ce fluide révéla la présence d’une bactérie susceptible de provoquer en plus une méningite. La dame aurait facilement pu en mourir si elle avait consulté ne serait-ce que 24 heures plus tard. Dans un autre cas, une bactérie s’est logée dans le sein gauche et a provoqué un abcès qu’on dut drainer et traiter avec des antibiotiques. Dans ces deux cas, la porte d’entrée du microorganisme fut une tige avec un bijou implanté dans la langue.

Plus les tissus où sont insérés ces bijoux sont complexes, plus les risques d’infections ou d’autres complications augmentent. Ainsi, une bague insérée dans le lobe de l’oreille ne représente qu’un danger minime. Il en est tout autrement lorsqu’une tige traverse la langue, le mamelon, l’ombilical ou encore le clitoris. Dans ces cas, en plus de transpercer la peau, le corps étranger traverse aussi du tissu musculaire et du tissu nerveux. Il ne s’agit plus d’une porte d’entrée, mais d’une autoroute en ligne directe avec tous les organes vitaux du corps humain.

Une asepsie douteuse

De plus, contrairement à ce qui est avancé par ces poseurs d’autoroutes à infections, même si toutes les précautions d’asepsies sont prises, le risque demeure. Il faut se rappeler que des infections se produisent même en milieu hospitalier où les mesures de stérilité sont maximales, alors qu’en est-il dans un commerce de tatouage ou de perçage ?

Finalement, il en existe plusieurs qui prétendent que ces bijoux qu’on insère dans la langue ou sur la lèvre n’ont aucun effet sur la dentition et sur la santé buccale. Les dentistes pourront vous donner l’heure juste à ce sujet. Dents usées, dents fêlées, dents cassées ou fissurées de l’intérieure (visible seulement à la radiographie) et déchaussement de la gencive entraînant une sensibilité accrue et des caries au niveau de la racine de la dent sont autant de conséquences que doivent traiter les dentistes. Comme l’indique le site Orthodontiste en ligne : Les risques et complications liés au piercing des lèvres et de la langue vont de l’usure dentaire anormale et fracture de dents à la récession gingivale et infections systémiques sévères. ( https://www.orthodontisteenligne.com/blogue/le-piercing-buccal-pensez-y-bien/?amp=1#ixzz4jL4eXoaD )

Il doit surement exister des manières moins barbares et surtout bien moins dangereuses pour se distinguer les uns des autres.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Opération chirurgicale ratée Son ventre explose avant son mariage


Pourquoi la chirurgie esthétique et en plus aller à l’étranger sans savoir si les contrôles sont sévères. Ce n’est pas parce que c’est moins cher que c’est mieux et puis si elle se mariait, son mari la prenait telle qu’elle était non ? Le pire, c’est qu’elle ne semble s’être informée sur ses opérations que malgré la déception la première fois, elle y est retournée une autre fois, une fois de trop
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Opération chirurgicale ratée : Son ventre explose avant son mariage

 

Son ventre explose avant son mariage

Crédit photo : The Sun

Toutes les mariées du monde veulent avoir l’air parfaites le jour de leur mariage. Une femme de Grande-Bretagne regrette amèrement avoir voulu améliorer son apparence physique pour ce jour unique, en procédant à des chirurgies esthétiques à l’extérieur de son pays.

Dawn Moore, 42 ans, de l’Essex en Grande-Bretagne, s’est retrouvée avec des seins tombants de taille 38DD, mais le pire, c’est que son ventre a explosé notamment en raison des points de suture qui ont été mal exécutés.

(The Sun)

Les deux opérations qui ont été effectuées en Pologne ont laissé cette nouvelle mariée dans un état lamentable. Dawn Moore avait l’impression d’avoir le corps complètement déformé sous sa jolie robe blanche.

«Ça aurait dû être le plus beau jour de ma vie, mais ça ne l’a pas été. Je me sentais comme un cadavre en décomposition, même si j’avais l’air de valoir un million de dollars».

(The Sun)

La mère de trios enfants a dépensé près de 2300 livres sterling (3500$ USD) en janvier 2013 pour faire augmenter sa poitrine.

Une semaine après l’opération, ses seins qui devaient être voluptueux, sont devenus sans tonus et flasques.

Elle est retournée voir l’équipe médicale responsable de la chirurgie. On lui a dit que ses seins mettraient au moins un an pour retrouver une apparence plus naturelle, et qu’elle n’avait pas à s’inquiéter.

(The Sun)

Malgré le résultat douteux de cette première chirurgie, elle y est retournée pour subir une liposuccion de l’abdomen, valant près de 4000 livres sterling (plus de 6000$ USD) mais tout de même la moitié moins cher qu’en Grande-Bretagne.

Bactérie mangeuse de chair

 

Alors qu’elle se remettait de cette deuxième opération, elle a contracté la bactérie mangeuse de chair qui s’est attaquée à son tout nouveau ventre plat.

De retour au pays, Dawn qui était dans un piètre état a été transférée à un hôpital pour obtenir des soins rapidement.

«Lors que j’ai levé mon chandail devant les médecins, ils ont eu un regard terrifié. Ils m’ont dit que mon ventre avait explosé», a raconté Dawn en entrevue au journal The Sun.

Après avoir été soignée, elle s’est rendue en Mauritanie où le mariage était prévu. Mais ce jour spécial était bel et bien ruiné.

Dawn Moore (The Sun)

«Je n’avais pas l’impression que mon corps m’appartenait. Même si j’étais heureuse de me marier, je n’étais pas profondément heureuse.»

Aujourd’hui la femme n’est plus apte au travail en raison des nombreuses douleurs engendrées par les chirurgies, et les cicatrices laissées sur son corps. Ces chirurgies mal exécutées l’ont aussi laissée infertile.

Elle souhaite aujourd’hui que les gens prennent conscience des dangers de se faire opérer dans des pays où les coûts sont moindres, mais où parfois le contrôle de qualité est inexistant.

«En y pensant bien, je me rends compte que j’étais beaucoup trop naïve. J’espère que les gens seront plus prudents», conclut-elle.

http://tvanouvelles.ca/

Les pires maladies qui guettent les voyageurs


Partir en voyage, prendre des vacances ou même aller pour affaire a l’extérieur du pays, mieux vaut s’informer des risques d’infections, prendre les vaccins et médicaments nécessaires et prendre toutes précautions conseillées pour que ce séjour ne devienne pas un cauchemar
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Les pires maladies qui guettent les voyageurs

 

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Photo Fotolia

Frédérique Sauvée

Avertissement: Certaines des photos qui suivent ne conviennent pas à tous les publics.

Voici notre top 10 des maladies les plus effrayantes à attraper à l’autre bout de la planète. De quoi donner la chair de poule aux voyageurs, mais surtout leur permettre de partir bien informés, et vaccinés.

Rage

La rage est une maladie mortelle encore loin d’être éradiquée dans le monde. Elle se transmet par la morsure d’un animal contaminé, ou le contact d’une plaie avec sa salive. En Europe et en Amérique du Nord, la rage a été efficacement éliminée de la plupart des pays, mais elle reste encore une maladie endémique dans plusieurs pays d’Asie et d’Afrique. En safari ou en excursion dans la jungle (également dans la forêt amazonienne), pensez à vous faire vacciner si vous prévoyez entrer en contact – de près ou de loin – avec la faune locale.

Maladie mangeuse de chair

Maladie

La bactérie «mangeuse de chair». Photo Wikimedia Commons

La fasciite nécrosante est une terrible bactérie «mangeuse de chair» qui ronge les tissus et prolifère dans l’organisme de façon particulièrement rapide. Il faut bien souvent avoir recours à l’amputation des membres contaminés afin d’éviter la prolifération à travers l’organisme.

Selon Santé Canada, la bactérie mangeuse de chair pénètre généralement dans le corps par une blessure mineure comme une coupure, une ecchymose ou par une plaie consécutive à une chirurgie. En 2011, une cinquantaine de passagers du Carnival Paradise auraient contracté la bactérie mangeuse de chair en utilisant les bains à remous du bateau de croisière.

Maladies sexuellement transmissibles

Ce n’est pas parce qu’on est en vacances qu’il faut oublier de se protéger! Présentes partout dans le monde, les maladies et infections sexuellement transmissibles représentent un fléau dans certains pays, notamment en Afrique et en Asie.

Afin d’éviter tout risque inutile, on pensera à adopter des pratiques sexuelles sans danger et à se faire vacciner contre l’hépatite A, l’hépatite B ainsi que le virus du papillome humain (VPH) (actuellement recommandé chez les femmes et les hommes jusqu’à l’âge de 26 ans par Santé Canada), toutes ces maladies étant transmissibles lors de certaines activités sexuelles.

Hépatite A

Hépatite

Coloration jaune de la peau et de la conjonctive des yeux (dans ce cas due à une hépatite). Photo Wikimedia Common

Les symptômes de cette maladie sont facilement reconnaissables: jaunissement marqué de la peau mais également nausées, diarrhées et vomissements. Bien que rarement mortelle, l’hépatite peut rendre très malade. Elle est fréquente dans presque tous les pays sous-développés et se transmet par l’eau et les aliments, même dans les hôtels de bonne qualité ou lors d’une visite familiale.

Sa période d’incubation étant relativement longue (10 à 50 jours), les voyageurs peuvent avoir une mauvaise surprise à leur retour à la maison. Seules la vaccination et une précaution accrue par rapport aux aliments et à l’eau sont recommandées afin de prévenir la maladie.

Fièvre du castor

Appelée aussi giardiase, la fièvre du castor est une infection intestinale provoquée par l’ingestion d’un parasite microscopique. On est susceptible de l’attraper lors d’une baignade dans un lac, un cours d’eau ou un étang contaminé par les excréments de castors, mais également de chiens et même d’hommes, par lesquels le parasite est véhiculé.

Les personnes voyageant dans certaines régions d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine courent un risque plus élevé de contracter l’infection, car l’approvisionnement en eau potable est moins régulier. Attention donc où vous allez vous baigner et à l’eau que vous buvez.

Bilharziose

Bilharziose

La bilharziose. Photo Wikimedia Commons

Avec le choléra et le paludisme, la bilharziose représente un des problèmes majeurs de la santé publique dans les zones tropicales. Cette maladie parasitaire est due à la pénétration à travers la peau d’un ver qui peut atteindre jusqu’à 2cm de long.

Celui-ci se loge dans les veines et peut pondre jusqu’à une centaine d’œufs par jour dans l’organisme du porteur. Appelé aussi dermatite des nageurs, ce ver peut s’attraper en baignade dans des eaux contaminées (lors d’une expédition en rafting par exemple), notamment dans les pays subtropicaux comme la Martinique. Un traitement très efficace permet toutefois d’en guérir.

Ciguatera

Ciguatera

Le barracuda. Photo Fotolia

Amateurs de poissons tropicaux, attention à l’intoxication! La ciguatera est une maladie d’origine alimentaire causée par l’ingestion de poissons contaminés par une toxine se trouvant dans les algues des récifs coralliens dans les océans tropicaux et subtropicaux.

On évitera alors toute consommation de barracuda ou de vivaneau rouge (même décongelés ou cuits), particulièrement après des événements qui auraient perturbé les récifs coralliens, comme les tsunamis. Il y a 5 ans, 200 voyageurs ont été intoxiqués par la ciguatera en Colombie.

Méningite

Méningite

Un homme de New Deli, en Inde, atteint d’une méningite. Photo Fotolia

En cas de méningite, il faut agir très vite. Cette maladie transmise par les sécrétions respiratoires (salive, éternuements, toux) peut entraîner des séquelles graves telles que la surdité, l’amputation des membres ou des troubles neurologiques si elle n’est pas dépistée suffisamment tôt et soignée par des antibiotiques.

Sa propagation se fait essentiellement dans les régions surpeuplées où le manque d’accès aux médicaments peut être lourd de conséquences. Afin de vous en protéger, un vaccin existe contre les quatre souches de méningite existantes. Autre précaution: évitez la foule.

Malaria (ou paludisme)

Malaria

Malaria (ou paludisme). Photo Fotolia

Vous êtes atteint d’une forte fièvre (plus de 38,5 degrés) lors d’un voyage en zone de malaria? Il est conseillé de consulter au plus vite un médecin afin de dépister une éventuelle infection du virus. Cette maladie est transmise par un moustique qui pique surtout le soir et certaines de ses formes sont fulgurantes et peuvent conduire à la mort en 48 à 72 heures.

Un simple examen sanguin permet de l’identifier afin de la traiter avant qu’il y ait trop de dommages. À savoir: la malaria est présente en République Dominicaine, en Haïti et dans certains pays d’Amérique Centrale et du Sud. Un médicament pourra être prescrit en prévention.

Fièvre jaune

Condition d’entrée dans plusieurs pays où la maladie est fréquente, la vaccination contre la fièvre jaune est fortement recommandée lors d’un voyage en Afrique et dans certains pays sud-américains (forêts tropicales humides ou savanes). Ce sont encore les moustiques qui sont les propagateurs de cette maladie, et cela essentiellement en journée.

Les premiers symptômes qui se font ressentir sont des douleurs musculaires, de la fièvre ainsi que le jaunissement des yeux. Si elle n’est pas soignée à temps, la fièvre jaune peut provoquer une toxicité sévère au foie et au cerveau, pouvant entraîner la mort. Mieux vaut éviter tout risque et payer les 175$ de vaccination préalable en clinique de voyageurs.

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Où se cachent les microbes?


On ne peut pas s’en sortir, que ce soit à la maison ou a l’extérieur nous sommes en contacts avec d’innombrables bactéries, dont certaines ne sont pas nocives voir même nécessaire mais d’autres sont contaminants et peuvent entrainer des maladies. Tenir le plus possible les endroits propres et se laver souvent les mains sont les meilleurs moyens pour minimiser les contamination

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Où se cachent les microbes?

 

Bonne nouvelle: la plupart des microbes ne sont pas dangereux (y compris les quelque milliards qui vivent sur votre peau). La mauvaise nouvelle, c’est qu’il y en a de vilains qui rôdent autour de nous.

Éponges et torchons à vaisselle

Selon une étude récente, les éponges utilisées pour laver la vaisselle renferment plus de microbes que la cuvette des toilettes. D’après une autre étude, il y a pire : plus de 7% des éponges et torchon à vaisselle abritent la bactérie staphylococcus aureus, résistante à la méticilline (SARM), communément appelée « bactérie mangeuse de chair ».

La solution? Désinfectez-les. Mettez les éponges dans le four micro-ondes (trempez-les d’abord). Quant aux torchons, lavez-les à la machine.


Les éviers, le support à brosses à dents et les comptoirs

Les éviers, le support à brosses à dents et les comptoirs

Tous ces endroits sont des paradis pour les bactéries, alors assurez-vous de les désinfecter régulièrement. Pour l’évier et les comptoirs, utilisez un produit javellisant dilué (une cuillérée à table du produit pour un quart d’eau). Passez le support à brosses à dents au lave-vaisselle une à deux fois par semaine (ou lavez-le à la main dans l’eau chaude savonneuse, puis passez-y un coup de chiffon avec un torchon désinfectant).


Les robinets, les télécommandes, les poignées

Les robinets, les télécommandes, les poignées

Birgit Winther, chercheuse et oto-rhino-laryngologiste (ORL) de l’University of Virginia, a découvert récemment que les virus du rhume peuvent survivre 24 heures sur ces surfaces (les virus de la grippe peuvent survivre encore plus longtemps). À présent, lorsqu’un membre de la famille est malade, la spécialiste s’assure de nettoyer fréquemment les surfaces qui ont été utilisées.


Les endroits publics comme les guichets automatiques

Les endroits publics comme les guichets automatiques

Des chercheurs britanniques ont récemment découvert la présence de bactéries staphylococcus sur 95% des claviers des guichets automatiques du centre de Londres.


Les paniers d’épicerie

Les paniers d'épicerie

Une enquête menée plus tôt cette année a révélé que, dans quatre États américains, 70% des paniers d’achats étaient couverts de bactéries E. coli ou de bactéries similaires.

« Il se peut que du liquide s’échappe des emballages de viandes, fait remarquer Chuck Gerba, microbiologiste-chercheur de l’University of Arizona. Les bébés s’asseyent souvent à l’endroit du panier où vous placez des aliments crus comme le brocoli ».

Soyez prudent et évitez de placer ces aliments à cet endroit.


Le plus important

Le plus important

Vous l’avez certainement déjà entendu, mais étant donné l’approche de la saison des rhumes, des douleurs et d’autres cas encore plus graves, il est bon de le répéter : lavez-vous les mains souvent et en profondeur, ce qui veut dire avec beaucoup de savon; et frottez vos mains durant 20 secondes au minimum

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