Voici pourquoi vous ne devriez jamais laisser votre chien vous lécher le visage


Malgré que j’aime bien les chiens, je déteste quand ils lèchent les visages et on ne devrait jamais les laissés faire.
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Voici pourquoi vous ne devriez jamais laisser votre chien vous lécher le visage

 

Si vous aimez les chiens, il est probable que vous les laissiez lécher votre visage. Vous savez que sa langue est probablement infestée de bactéries, mais vous n’en faites pas de cas.

Mais selon une nouvelle étude rapportée dans le New York Times, une telle habitude augmenterait les risques de propagation de maladies que l’être humain n’est pas forcément en mesure de combattre.

Le Dr Neilanjan Nandi, du Drexel University College of Medicine, à Philadelphie, explique que l’on retrouve dans la bouche de la plupart des animaux une quantité incroyable de bactéries et de virus.

Bien qu’il note que la salive des chiens contient une protéine l’aidant à guérir ses blessures, il souligne également qu’on y retrouve des organismes uniques au genre canin que le corps humain ne peut tolérer ou combattre.

Cette liste inclue la bactérie C. difficile, l’E. coli, la salmonellose et la bactérie Campylobacter, à l’origine de maladies gastro-intestinales.

Mais cela ne veut pas dire que vous devriez empêcher complètement votre chien de vous manifester son affection.

Quand la salive d’un chien entre en contact avec la peau humaine, surtout celle d’une personne en santé, il n’y a pratiquement aucun risque d’infection, explique le Dr Leni K. Kaplan de l’université Cornell.

Il conseille cependant de ne jamais laisser un chien lécher votre nez, votre bouche, vos yeux, une coupure ou une plaie ouverte, qui absorbent davantage les agents pathogènes.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

CANADA. Un chien renifleur de bactérie C. difficile dans l’hôpital de Vancouver


Une très bonne raison pour permettre des animaux dans les hôpitaux et les maisons de retraite ou encore ou le besoin se fait sentir. Par exemple, ce chien est capable de détecter la bactérie C difficile. Cette bactérie si elle n’est pas détectée à temps, elle peut faire des ravages en plus d’être très contagieuse, chose qu’on n’a vraiment pas besoin dans un hôpital
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CANADA. Un chien renifleur de bactérie C. difficile dans l’hôpital de Vancouver

 

(Photo d'illustration d'un springer anglais). Angus commencera à travailler à l'hôpital général de Vancouver (Canada) en août 2016. ©ARDEA/MARY EVANS/SIPA(Photo d’illustration d’un springer anglais). Angus commencera à travailler à l’hôpital général de Vancouver (Canada) en août 2016. ©ARDEA/MARY EVANS/SIPA

L’hôpital général de Vancouver au Canada accueillera prochainement un chien dans ses locaux. Angus, un springer anglais, a été formé à détecter la bactérie Clostridium difficile, un microbe responsable chaque année de nombreux décès.

CLOSTRIDIUM. Angus est un chien destiné à sauver des vies, grâce à son flair. Il a été entraîné pendant 18 mois à détecter une bactérie pouvant être mortelle : le Clostridium difficile. Ce germe touche des patients affaiblis, sous traitement antibiotique, le plus souvent des personnes âgées. Il provoque une diarrhée nosocomiale, allant jusqu’à une perforation du colon et peut susciter des opérations chirurgicales ou entraîner la mort. Le malade touché par la bactérie dégage habituellement dans ses selles une odeur particulière. Mais si le personnel médical n’a pas suffisamment le nez fin pour en conclure à la présence d’une bactérie, Angus, jeune springer anglais, sait, lui, repérer l’odeur du germe. Il est actuellement le seul chien du Canada à pouvoir détecter la présence de ce microbe, pas seulement dans les selles, mais en reniflant le sol, le mur, les surfaces… et les patients, d’un simple coup de museau.

Angus sur les traces de Cliff, un beagle précurseur 

A l’hôpital général de Vancouver, au Canada, Angus commencera par renifler les endroits où peu d’éléments sont susceptibles de le distraire, tels que les chambres inoccupées, les salles médicales et les corridors. Le chien, qui tiendra ce rôle dès août 2016, a été dressé dans la province de Mapple Ridge par sa maîtresse Teresa Zurberg, une éleveuse de chiens détecteurs de drogues et d’explosifs. Auparavant soignée pour une blessure à la jambe, Teresa a attrapé la bactérie lors de son séjour à l’hôpital.

« Je suis tombée très malade et mon mari a lu un article à propos d’un chien à Amsterdam qui détectait le clostridium difficile chez les patients… Alors il m’a demandé si je pourrais enseigner à un chien de le faire« , indique Teresa Zurberg àSciences et Avenir.

Et en partant sur le modèle de Cliff, un beagle de deux ans, Angus a appris à détecter la bactérie via « une méthode d’entraînement basée sur la récompense et le jeu », nous explique sa maitresse.

« Il a d’abord appris à chercher et retrouver son jouet. Une fois qu’il était bon à cela, nous avons jumelé son jouet avec l’odeur de la bactérie Clostridium difficile. Il a alors compris qu’en retrouvant l’odeur, il obtiendrait son jouet. »

Et pour marquer sa cible, Angus agit comme un chien détecteur de drogues ou d’explosifs : il se couche ou s’assoit devant la bactérie. Une fois identifié par Angus, le germe pourra être éliminé dans les locaux à l’aide de lumière ultraviolette, évitant ainsi sa propagation et la contamination des patients.

Le flair du chien utile pour identifier les toxines

Ces dernières années, le nombre de personnes touchées par le Clostridium difficile a considérablement augmenté, entraînant une hausse de la mortalité. Au Canada, 700 personnes sont traitées en moyenne chaque année dans la municipalité de Vancouver pour des cas d’infections liées à cette bactérie. Le microbe, particulièrement contagieux, se transmet facilement entre patients d’un hôpital ou pensionnaires d’une maison de retraite.

Avec un flair 10.000 à 20.000 fois plus développé que chez l’homme, le chien peut aisément utiliser ses capacités olfactives pour trouver les toxines du Clostridium difficile. Possédant notamment une cavité olfactive 30 fois supérieure à celle de l’humain, il compte également 100 à 200 millions de cellules olfactives dans la muqueuse, contre seulement 5 millions pour l’humain. Des compétences qui permettent aujourd’hui à ces animaux de se faire une place dans les hôpitaux où ils détectent bactéries et cellules cancéreuses…

http://www.sciencesetavenir.fr/

Guerre aux virus: mythes et vérités sur le gel désinfectant


Le gel désinfectant est de plus en plus présent dans nos habitudes car il peut éliminer bien des bactéries sans pour autant délaisser le savon. Mais dans la réalité est-il vraiment utile de trainer avec nous une petite bouteille de désinfectant ?
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Guerre aux virus: mythes et vérités sur le gel désinfectant

 

Qui, aujourd'hui, ne traîne pas dans son sac à main ou dans la poche intérieure... (Photo La Presse)

 

PHOTO LA PRESSE

SOPHIE ALLARD
La Presse

Qui, aujourd’hui, ne traîne pas dans son sac à main ou dans la poche intérieure de son manteau une petite fiole de gel désinfectant? Depuis la pandémie de grippe (A) H1N1, on ne sort plus sans son flacon que l’on dégaine à toute occasion, toujours prêt à combattre une potentielle attaque de germes.

Une arme efficace qui a ses limites et ses risques. Voici quelques vérités et mensonges sur le gel désinfectant.

1. Plus le taux d’alcool est élevé, plus le gel désinfectant est efficace

Vrai et faux. L’Institut national de santé publique du Québec recommande fortement que, en milieux de soins, soient utilisées des solutions hydro-alcooliques (SHA) contenant de 60 à 80% d’éthanol ou d’isopropanol.

«Les experts sont d’avis que les SHA contenant de 60 à 80% d’alcool sont considérées comme les plus efficaces. Les solutions contenant plus de 80 à 90% d’alcool sont en général moins efficaces puisque l’alcool a besoin d’eau pour dénaturer les protéines», indique l’organisme dans un avis publié en 2009.

À noter: les solutions sans alcool ne sont d’aucune utilité contre les virus et les bactéries.

2. Le gel désinfectant gagne en efficacité s’il est frictionné pendant 20 secondes

Vrai.

«On recommande de laver les mains avec le savon pendant 40 à 60 secondes, alors qu’une friction de 15 à 30 secondes suffit avec un gel pour une efficacité optimale», note la docteure Renée Paré, médecin-conseil en santé publique à la Direction de la santé publique de Montréal.

Pour que cela soit vrai, il faut que la solution recouvre entièrement la surface des mains.

«Si on se lavait tous les mains, peu importe la façon et la durée du lavage, ce serait déjà un énorme pas de fait. C’est une habitude qui est loin d’être ancrée, même chez les professionnels de la santé», indique Karl Weiss, infectiologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont.

On se lave les mains (ou on applique du gel) surtout: avant de manger, de cuisiner, après avoir mangé et après son passage aux toilettes.

3. Contre les virus et les bactéries, le gel vaut mieux que le lavage des mains

Vrai.

«Ç’a été démontré dans plusieurs études: les solutions hydro-alcooliques sont plus efficaces que le lavage traditionnel des mains à l’eau et au savon pour éliminer la plupart des virus et des bactéries», indique le docteur Alex Carignan, professeur adjoint au département de microbiologie et d’infectiologie
 de faculté de médecine et des sciences de la santé
 de l’Université de Sherbrooke.

 «Ces solutions agissent en diminuant la quantité de plusieurs bactéries et virus et leur action est plus prolongée que celle du savon. Cela prendra donc plus de temps avant que les mains ne se contaminent de nouveau.»

Les virus du rhume et de la grippe sont notamment bien éliminés.

4. Le gel protège contre le virus de la gastroentérite

Faux. Les solutions hydro-alcoolisées vendues en commerce ont néanmoins certaines limites: elles ne viennent pas à bout du norovirus, virus le plus commun de la gastroentérite. La bactérie Clostrodium difficile résiste aussi bien aux solutions alcoolisées.

«Les bactéries qui produisent des spores forment une coquille et sont plus difficiles à déloger avec les gels. Par contre, l’action mécanique du lavage des mains sous l’eau nous débarrassera de ces bactéries», dit le docteur Alex Carignan.

Voilà de bonnes raisons de ne pas délaisser le savon.

5. Le gel peut prendre feu

Vrai. Fumeurs, soyez prudents!

«Les solutions hydro-alcooliques sont inflammables», souligne le Dr Carignan.

Leur utilisation comporte donc des risques de brûlure si l’alcool enduit sur la peau n’est pas complètement évaporé. Par ailleurs, l’application de solution désinfectante- qu’elle soit sous forme de mousse, de gel ou de liquide – n’est pas indiquée sur une plaie ouverte ou sur les muqueuses. Le contact avec les yeux est à éviter.

6. Le gel agit comme un nettoyant

Faux. Le gel ne nettoie pas les mains, il agit plutôt pour détruire les bactéries, les virus et les champignons. Si nos mains sont souillées de terre ou de nourriture, par exemple, le gel sera donc très peu efficace. Il s’agit d’un désinfectant et non pas d’un nettoyant. Rien de mieux que du savon pour déloger la saleté!

À noter: on ne doit pas avoir les mains mouillées lorsqu’on applique un gel, l’agent actif en est dilué.

7. On peut s’intoxiquer avec le gel

Vrai. Au Québec, entre 2005 et 2011, le Centre antipoison du Québec a reçu près de 1000 appels concernant une intoxication au Purell, selon Protégez-vous.

«Dans la plupart des cas, ces intoxications sont accidentelles et surviennent chez de jeunes enfants», nous indique Anne Letarte, porte-parole du Centre antipoison du Québec.

Les gels, qui contiennent de l’alcool éthylique (parfois de l’iso-propanol), peuvent causer un état d’ébriété et, à fortes doses, un coma éthylique. Une bouteille de 60 ml correspond à 4 petits verres de vodka! Aussi, l’utilisation de gels est interdite dans plusieurs écoles et garderies, à moins d’exceptions comme des sorties.

«Dans les hôpitaux, les services de pédiatrie et de psychiatrie sont exempts de solutions hydro-alcooliques. Les bouteilles sont attirantes, parfumées. Il y a déjà eu des cas d’intoxication», indique Karl Weiss, infectiologue à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont.

L’automne dernier, Santé Canada a mis en garde la population après la mort de deux Ontariens qui avaient ingéré du désinfectant pour les mains de marque Bodico. On y a trouvé du méthanol (hautement toxique) non déclaré.

«Chez les adolescents et dans le milieu carcéral, l’ingestion de gels désinfectants, peu coûteux, est d’ailleurs un problème», note Anne Letarte.

Peut-on donner du gel à son enfant? Oui, mais on l’applique pour lui, on ne laisse jamais le flacon à sa portée et on frotte jusqu’à ce que les mains soient sèches.

8. Les gels éliminent 99% des germes

Faux. Les gels éliminent la majorité des germes uniquement là où ils sont appliqués.

«Ça ne nous protège pas des virus que l’on respire», souligne Renée Paré, médecin-conseil en santé publique.

 Si la transmission de virus se fait plus souvent par les mains que par inhalation (on porte nos mains à notre visage plusieurs fois par minute!), l’étiquette respiratoire demeure un outil préventif important.

«Pendant un éternuement, des gouttelettes du virus de la grippe sont dispersées dans un rayon d’un mètre ou deux, explique le Dr Carignan. Si quelqu’un tousse vers nous, on peut être contaminé. Il faut surtout savoir que le virus vit jusqu’à 48 heures sur les surfaces et reste actif pendant 5 minutes sur nos mains.»

Et qu’une personne malade est généralement contagieuse jusqu’à 48 heures avant les premiers symptômes et 5 à 10 jours après.

9. Le gel, plus que le savon, assèche les mains

Faux.

«Autrefois, les solutions étaient très irritantes, mais la plupart contiennent aujourd’hui de la glycérine, un agent barrière qui protège contre les fissures et les gerçures sur les mains, dit le Dr Carignan. Les irritations surviennent en cas de lavages des mains à l’eau répétés quotidiennement, pas avec les gels alcoolisés.»

10. Certaines études remettent en cause l’utilité des gels

Vrai. Mais attention, plusieurs de ces études comportent des lacunes, note le Dr Carignan. Par exemple, des chercheurs américains ont avancé que, dans les maisons où il y a de jeunes enfants, les désinfectants ont peu d’impact pour prévenir les infections respiratoires, tandis qu’ils seraient assez efficaces contre la propagation du virus de la gastroentérite.

«Si l’on regarde les habitudes d’hygiène globalement, on remarque que les parents ont tendance à se désinfecter les mains après avoir changé une couche, ce qu’ils font peu après avoir mouché le nez de leur enfant. En milieu contrôlé, on sait que les gels sont efficaces.»

http://www.lapresse.ca

Bactérie C. difficile: choquer pour prévenir


La bactérie C difficile a fait beaucoup de victimes au Québec, et si des mesures qui sont malgré tout très simples ne sont pas pris sérieusement, rien ne fera diminuer les morts.
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Bactérie C. difficile: choquer pour prévenir

 

Dans une vidéo percutante, le comédien et metteur en scène Stéphane E. Roy illustre l’inaction du gouvernement et du système de santé dans la prévention des infections par la bactérie C. difficile en mentionnant que «nous avons les mains tachées de sang».

IMAGE TIRÉE DE LA VIDÉO

PIERRE PELCHAT
Le Soleil

(Québec) Le comédien Stéphane E. Roy en a assez de voir des personnes – comme sa mère en 2004 – perdre la vie après avoir contracté la bactérie C. difficile à l’hôpital. Il vient de mettre en ligne une vidéo percutante pour souligner les risques de contamination dans les hôpitaux et les centres d’hébergement et de soins de longue durée.

Dans la vidéo, il qualifie l’infection par le C. difficile de «maladie honteuse de nos hôpitaux», et les milliers de décès en lien avec cette infection de «faille de notre système de santé». Ces images sont en appui à une pétition pour demander au gouvernement de nouvelles mesures pour diminuer les taux d’infection.

«Dans la tête du public, il faut arrêter de penser que c’est des vieux en phase terminale qui pognent ça. Il y a des jeunes de 30, 40 ans qui se font couper des bouts de côlon parce qu’ils ont attrapé la bactérie C. difficile, mais on n’en parle pas parce qu’ils vont en mourir moins souvent. S’ils n’en meurent pas, ils vont être malades et leur vie sera grandement hypothéquée», a-t-il déploré, lundu, au cours d’une entrevue au Soleil.

Stéphane E. Roy, qui a joué le rôle de Sylvain Desjardins dans l’adaptation québécoise de la série télévisée française Caméra café, a perdu sa mère en 2004. Elle était âgée de 59 ans.

«Elle a eu une opération au coeur. C’était pour changer une valve. Elle a subi l’opération avec succès. On était content. Deux, trois jours plus tard, on nous a appris qu’elle avait contracté la bactérie C. difficile. On n’avait jamais entendu parler de ça à l’époque. Deux, trois semaines après, elle est décédée», a raconté Stéphane E. Roy.

Faire bouger les choses

Depuis ce temps, l’acteur et metteur en scène est intervenu à quelques reprises sans grand succès pour faire bouger les choses.

«Le problème, c’est qu’il y a une espèce d’omerta médicale. Les médecins et le gouvernement ne veulent pas trop parler de ça. Il y a une espèce de fatalisme. On minimise ça beaucoup dans le corps médical», a-t-il dit.

Il déplore que le Québec ne fasse pas meilleure figure dans la prévention des infections en milieu hospitalier.

«Je pensais avant que c’était de même partout dans les pays avancés. Ce n’est pas le cas. Quand on regarde les chiffres, on a 50 % de plus de taux d’infection au Québec que dans d’autres pays où on a pris des mesures importantes pour réduire les infections», a ajouté le comédien`

 Parmi les mesures à promouvoir, la principale est le lavage des mains de façon régulière par le personnel soignant. Dans plusieurs hôpitaux, bon nombre de médecins et d’infirmières ne suivraient pas la consigne.

«Il faudrait aussi que les infirmières et les infirmiers n’aient pas le droit de sortir ou entrer en uniforme, qu’on identifie les chambres des malades qui ont le C. difficile par un écriteau particulier, qu’on diminue le nombre de patients par chambre. Ce sont toutes des solutions à court terme qui pourraient être mises en place. En prévention, on pourrait prescrire les probiotiques Bio K lors de la prise d’antibiotiques», a-t-il indiqué.

En outre, Stéphane E. Roy estime que la Régie de l’assurance maladie devrait couvrir des médicaments qui ne le sont pas actuellement pour des personnes qui contractent la bactérie plus d’une fois.

«Une personne sur cinq aura plus d’une fois un épisode de C. difficile. Ce sont des coûts très importants pour le système de santé et des pertes de revenus pour les personnes malades», a-t-il souligné.

Il propose également que les résultats des tests pour détecter le C. difficile soient connus plus rapidement.

Pour en savoir plus: www.actioncdifficile.com.

http://www.lapresse.ca

Les excréments, un remède contre les infections à la C. difficile


Quand j’ai lu le billet a mon gars .. il lève le nez et dit c’est qui le con (Bon, il n’est pas si con que cela vue que le traitement fonctionne) qui pense a cela .. Bon si c’est efficace, sauf qu’en imaginant le processus pas sur que cela est très tentant comme traitement
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Les excréments, un remède contre les infections à la C. difficile

 

Photo Fotolia

Agence QMI

 

Les excréments humains constituent un traitement très efficace, mais non conventionnel, contre des infections potentiellement mortelles, comme la bactérie C. difficile, selon une nouvelle étude américaine.

Une thérapie utilisant un échantillon de selle qui provient d’un membre de la famille en bonne santé, mélangé à l’eau du robinet à température de la pièce, et qui est pompé à l’intérieur des intestins du patient s’est avérée une cure «très efficace», a dit le Dr. Mayur Ramesh, du Henry Ford Health System, à Detroit.

Le traitement contribue à rétablir dans le système gastro-intestinal du patient la bonne bactérie, qui a son tour, aide à l’absorption et la digestion de nourriture et stimule le système immunitaire, a indiqué le Dr. Ramesh.

Quarante-trois des 49 patients qui ont participé à l’étude ont rapidement récupéré et n’ont pas montré de complications dues à C. difficile, a démontré un suivi effectué trois mois plus tard.

«Le traitement est une option pour les gens qui répondent mal aux traitements conventionnels, et qui veulent éviter la chirurgie», a dit le spécialiste.

http://sante.canoe.ca