Alpes: un enfant retrouvé vivant après 40 minutes sous une avalanche


Quand ce n’est pas ton heure ! Ce jeune garçon a survécu grâce à un chien secouriste qui a pu le détecter après une avalanche. Généralement, après 15 minutes sous la neige, les chances sont minces, alors que ce jeune homme a survécu presque 3/4 d’heure.
Nuage

 

Alpes: un enfant retrouvé vivant après 40 minutes sous une avalanche

 

Une station de ski, dans la Savoie, en... (Photo archives La Presse)

 

Une station de ski, dans la Savoie, en France.

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

 

Agence France-Presse
Grenoble

Un enfant a été retrouvé vivant mercredi après avoir passé 40 minutes enseveli sous une avalanche qui l’avait emporté pendant qu’il skiait sur un secteur hors piste d’une station située en Savoie, dans les Alpes françaises, a-t-on appris auprès des secours en montagne.

Âgé de 12 ans, le garçon venait de quitter une piste balisée de la station de La Plagne en compagnie de ses parents lorsqu’il a été pris peu après 14h (heure locale) dans une coulée de 150 mètres sur 200 mètres.

L’enfant a été retrouvé conscient une quarantaine de minutes plus tard par un chien des secouristes, qui sont intervenus pour relayer les pisteurs de la station, arrivés sur place peu après l’accident pour sonder la neige.

« C’est un miracle, car il ne portait pas de détecteur de victimes d’avalanches (DVA). Les chances de survie sont infimes après quinze minutes sous la neige. Il a eu beaucoup de chance que le chien ait marqué à un endroit », ont souligné les secours.

Le garçon s’en tire avec une jambe cassée et une grosse frayeur. Il a été transporté à l’hôpital de Grenoble (centre-ouest), où il a été placé en observation.

https://www.lapresse.ca/

Avalanches: 10 minutes pour s’en sortir vivant, selon un expert


Je n’aime pas assez les sports d’hiver pour aller à des endroits que les avalanches sont possibles. Imaginez pratiquer un des sports les plus populaires tel que la motoneige et le ski, faire unisson avec la neige, mais finalement, elle se retourne contre les amateurs de sports d’hiver. C’est un coup dure pour les familles et amis
Nuage

 

Avalanches: 10 minutes pour s’en sortir vivant, selon un expert

Un hélicoptère participant à des recherches près de Revelstoke, en Colombie-Britannique, en mars 2010.

PHOTO JEFF MCINTOSH, PC

La Presse Canadienne

MCBRIDE, C.-B.McBride

La fenêtre d’opportunité pour sauver quelqu’un enterré dans une avalanche est d’environ 10 minutes, a expliqué un expert dans la foulée du décès de cinq motoneigistes, vendredi en Colombie-Britannique.

Cinq personnes ont perdu la vie dans une importante avalanche près de McBride, à l’intérieur de la province, à environ 210 kilomètres au sud-est de Prince George. La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a indiqué que trois groupes de motoneigistes étaient dans la région au moment de l’avalanche.

Un chercheur en gestion des risques des avalanches de l’université Simon Frasier, Pascal Haegli, a affirmé qu’il était presque impossible de se sortir soi-même de la neige une fois qu’elle nous a ensevelis. Sans l’équipement adéquat, a-t-il ajouté, les chances de survie sont quasiment nulles.

Une fois l’avalanche terminée, la neige se durcit comme du ciment, très rapidement, a-t-il expliqué.

De l’avis de l’expert, les gens ne devraient pas se fier aux équipes de recherche et de sauvetage. Ils doivent plutôt s’informer des conditions de la neige, sur Avalanche Canada notamment, avant de s’aventurer en nature.

Vendredi, Karl Klassen de chez Avalanche Canada avait affirmé vendredi que la chute de neige semblait avoir été déclenchée par l’activité humaine, sans élaborer.

Pascal Haegli ignore ce qui s’est passé exactement dans le cas des motoneigistes, mais les avalanches déclenchées par les humains peuvent avoir lieu lorsque des gens perturbent différentes couches de neige du manteau neigeux. Par exemple, si une mince couche de neige glacée recouvrant de la neige plus légère est déplacée, cela peut faire débouler toute la neige.

Karl Klassen a indiqué que la pluie et la neige tombées au cours des derniers jours, suivies par un refroidissement et un éclaircissement, vendredi, peuvent avoir perturbé l’accumulation de neige. Les avalanches peuvent aussi être déclenchées par des explosifs, pour permettre le ski ou la conduite.

Les agents de la GRC ont été avertis par l’activation signaux GPS, envoyés par des appareils utilisés par les amateurs de plein air extrême, en cas d’urgence. L’équipe de recherche et de sauvetage de Robson Valley a été immédiatement déployée. Un hélicoptère a aussi été envoyé, et deux techniciens de recherche étaient sur les lieux presque immédiatement, puisqu’ils se promenaient en motoneige dans les alentours, juste avant l’avalanche.

Tout au long de l’après-midi et de la soirée, les équipes ont déterré des gens et soigné les blessés. Au moins huit motoneiges ont été enterrées.

http://www.lapresse.ca/

Et si l’Homme traitait les requins comme la neige?


Il est triste que des gens qui vont avec plaisir a la plage, mais meurs à cause des requins. Doit-on les exterminer alors que ces bêtes ne font que suivre leur nature ? J’ai trouvé l’exemple des avalanches pour protégé les baigneurs des requins très réaliste et sans doute, la meilleure chose à faire. De toute manière, il faut apprendre a vivre avec les animaux, nous qui avons envahi leur territoire
Nuage

 

Et si l’Homme traitait les requins comme la neige?

 

Robert Calcagno
Directeur général de l’Institut océanographique- Fondation Albert 1er, Prince de Monaco

ANIMAUX – La terrible série d’avalanches meurtrières qui a frappé dernièrement les massifs alpins pose cruellement la question du risque associé à la pratique du ski hors-piste. L’émotion est naturellement vive, mais nous avons appris à reconnaître et à gérer ce risque. La collectivité joue son rôle en annonçant le risque, en sécurisant les pistes balisées et en déconseillant la pratique du hors-piste. Les skieurs qui tentent malgré tout l’aventure, sont le plus souvent équipés de dispositifs facilitant les secours et assument la responsabilité de s’engager hors-piste malgré le risque signalé.

L’Homme face au risque naturel

Il en va tout autrement d’un autre risque naturel: la présence de requins. Les récents accidents mortels sur l’île de La Réunion et en Australie nous y ramènent douloureusement.

Comme les montagnes enneigées, les océans sont aujourd’hui une manne touristique appréciable. Mais tout comme en montagne, le rêve peut dans certains cas tourner au drame, en présence de l’une des très rares espèces de requins susceptibles d’être dangereuses pour l’homme (cinq sur plus de cinq cents existantes).

Mais la comparaison s’arrête souvent là. Car le risque lié aux requins nous est insupportable. L’idée même d’être dévoré par une bête sauvage surgie de nulle part nous ramène droit à la préhistoire, lorsque la survie de l’espèce humaine passait par une éradication des animaux dangereux. Nos automatismes n’ont pas vraiment changé: face au risque requin, le premier réflexe est de les supprimer.

L’innovation nous ouvre de nouvelles perspectives

L’innovation technique a été relancée par les accidents enregistrés ces dix dernières années. Des répulsifs électromagnétiques individuels ont été développés et les premières déclinaisons en barrières collectives sont aujourd’hui à l’essai. Des initiatives simples peuvent aussi être efficaces, telles que la surveillance du plan d’eau pour détecter la présence de requins, depuis un point haut ou directement dans l’eau par des apnéistes. Des solutions plus lourdes comme des filets d’isolement peuvent également convenir pour de petites zones.

Ces solutions ont été testées dans différents endroits du monde, souvent sur de longues périodes. Combinées avec une pratique responsable des activités nautiques, dans le cadre d’une gestion globale du risque, elles ont dans ces endroits-là considérablement renforcé la sécurité. Des résultats partagés par l’ensemble des experts rassemblés en octobre dernier par l’Institut océanographique lors des « 2es rencontres autour des Requins », pour passer en revue les technologies existantes et les meilleures pratiques internationales de gestion du risque. L’objectif est double: améliorer la sécurité des activités nautiques et partager pacifiquement l’océan avec les requins.

Changer de point de vue et accepter de gérer le risque

L’innovation technique n’est rien si elle ne s’inscrit pas dans un changement d’état d’esprit. Il faut pour cela que, collectivement, nous acceptions que des animaux sauvages puissent être dangereux, sans que cela ne constitue leur arrêt de mort.

Les crises récentes ont beaucoup fait progresser la connaissance de ces derniers, permettant d’affiner l’appréciation du niveau de risque, en fonction des saisons, des conditions météo… Des informations précises et transparentes sur l’existence d’un risque peuvent désormais permettre à chaque individu de choisir de pratiquer ou non son activité et de l’adapter aux conditions du moment.

Ultime étape, la collectivité qui entend gérer pleinement le risque doit mettre en place une veille et des mesures proactives pour le réduire et permettre des pratiques nautiques dans des conditions de sécurité acceptables. Le risque zéro ne peut pas être garanti, mais le risque résiduel est alors connu et assumé collectivement et individuellement.

Cette dynamique a pu se mettre en place localement, en Afrique du Sud ou en Australie, même si l’équilibre reste fragile face aux drames. La tentation ressurgit alors de mettre les efforts de cohabitation de côté, au profit d’une solution extrême, prétendument infaillible, l’élimination des grands requins.

Sur l’île de La Réunion, le Préfet venait, le 12 février, de franchir une étape décisive dans la gestion du risque. Tout en prolongeant pour l’année 2015 l’arrêté d’interdiction des activités nautiques sur tout le littoral à l’exception des portions de lagon et des zones sécurisées par les communes, il ouvrait explicitement la porte aux dispositifs de gestion du risque: vigies requins, filets, surveillance. L’accident dont a été victime deux jours plus tard une jeune femme de 22 ans, au bord d’une plage non sécurisée, a replongé l’île dans l’émotion.

Souhaitons que ce décès ne brise pas l’élan constructif de ces derniers mois et vienne au contraire accélérer la mise en place d’une véritable gestion équilibrée du risque.

Dépasser l’instinct de survie

L’espèce humaine a construit sa survie initiale sur l’éradication de ses prédateurs. Sommes-nous aujourd’hui prêts à franchir une nouvelle étape en acceptant de cohabiter avec les rares espèces sauvages restantes qui présentent pour nous un danger, mais qui ont une place primordiale dans les équilibres vivants?

Chaque mort est un mort de trop, chaque drame, chaque accident qu’il soit mortel ou non doit nous pousser à agir pour éviter qu’il ne se reproduise. La sécurité des citoyens est certainement le principal objectif de toute société. Mais dans les choix qui s’offrent à nous, sachons faire preuve d’ingéniosité, pour nous protéger sans nous opposer.

Montrons que, depuis la préhistoire, l’Homme a non seulement gagné en puissance, mais aussi en intelligence et en tolérance.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► 10 métiers de chiens


Les chiens ne sont pas juste des animaux de compagnie, ils sont réputés pour aider l’homme à diverses tâches, certaines races sont plus prédisposées à accomplir des tâches précises.
Nuage

 

10 métiers de chiens

Traîneau à chiens

Ils sont enjoués, affectueux. Ils réclament votre attention quotidienne. On parle bien sûr des chiens. Mais certains représentants de la race canine sont au service de l’homme. Ils travaillent de longues heures sans jamais réclamer de salaire, sauf peut-être une caresse et une petite friandise. On parle des chiens d’utilité.

Le chien guide

 

Chien guide

Peut-être le plus connu. Le chien guide aide les personnes à mobilité réduite et les non-voyants à se déplacer dans leur environnement, voire dans la rue. Dressé pour servir, il est toujours attentif à son environnement et évitera des situations fâcheuses, en plus de guider son maître à bon port. Au Canada, trois races sont privilégiées pour jouer ce rôle : le labrador retriever, le labernois et le bouvier bernois. Mais des représentants d’autres races peuvent devenir chiens guide, à condition d’être bien dressés.

Le chien de compagnie

 

Chien de compagnie

Ici, toutes les races, ou presque, sont les bienvenues. On parle de chiens dociles et affectueux, qui peuvent aider leurs maîtres… Ils sont généralement sommairement dressés et rendront de menus services. Ils deviendront même des confidents. Parfois, la relation humain-animal est tellement étroite que la bête n’hésitera pas à mettre sa vie en péril pour sauver celle de son protecteur.

Le chien policier

 

Chien policier

Ce sont des chiens qui, généralement, sont dressés pour détecter des explosifs, de la drogue, des produits inflammables (après incendie), voire immobiliser des suspects lors d’une chasse à l’homme. Après entrainement, on leur confie des missions spécifiques. Ce sont souvent de véritables enquêteurs à quatre pattes qui  rendent de fiers services à la société. Les bergers allemands, belges et de Beauce, les dobermans, les rottweilers et le golden retriever sont particulièrement adaptés pour ces missions.

Le chien de recherche et de sauvetage

 

Chien de sauvetage

Ce chien, comme son nom l’indique, sera mis à contribution lors de disparition de personnes (en forêt et en mer, par exemple), ou lors d’effondrement, de catastrophes naturelles ou de séismes. Ils ont pour mission de retrouver des personnes égarées ou enfouies sur des débris. À maintes reprises, les médias ont démontré leur efficacité. Golden retriever, labrador et berger allemand sont souvent utilisés. Mais le prérequis est d’avoir un bon odorat.

Le chien d’avalanche

 

Chien d'avalanche

Il n’est pas donné à tous de se tremper le museau dans la neige pour retrouver une personne enfouie sous la neige. Le chien d’avalanche est souvent un berger allemand ou un malinois. Héliporté sur les lieux de l’avalanche, il se mettra rapidement à la recherche de victimes et, dès qu‘il en localise une, il se met à aboyer, remue la queue et gratte la neige.

Le chien de garde

 

Chien de garde

Sélectionnés parmi les grands chiens de berge (allemands, belges), les dogues, les dobermans ou les rottweilers, les chiens de garde ont pour mandat de protéger un lieu, une personne, contre des individus mal intentionnés. Leur utilisation est règlementée dans certains pays et de nombreuses nations en comptent dans leurs rangs militaires. En général, ils sont entièrement dédiés à la tâche qui leur est confiée et ils n’hésitent pas à se montrer menaçants, si la situation le commande.

Le chien d’attelage

 

Traîneau à chiens

Même si de nombreux grands chiens peuvent tirer un traîneau ou un kart, le husky est particulièrement adapté à cette tâche. Il tirera, parfois sur de longues distances, un traîneau pour transporter personne et objets à bon port. Il semble infatigable et s’adapte à des températures très basses. Mais ne deviens pas chien de traîneau qui veut. Il faut que la bête ait un grand sens social face à ses congénères. Quand on mène une personne, ce n’est pas le moment de se battre… entre chiens.

Le chien de chasse

 

Chien de chasse

Celui-là, ça fait longtemps qu’il travaille. Les familles des terriers, les teckels, les chiens d’élan, et les laïkas, pour ne nommer que celles-là, sont bien adaptées à cette tâche. Leur mission consiste à traquer une bête pour l’amener à portée de tir des chasseurs ou de rapporter le gibier tué par un chasseur. Et chaque race à sa spécialité.

Le chien de guerre

 

Chien de guerre

Son usage a changé avec le développement de la technologie, mais le chien de guerre est utilisé depuis l’Antiquité. On l’emploie ces grands chiens comme  chien de combat, de garde, comme « facteur » pour transporter le courrier, comme pisteur ou détecteur d’explosifs. Les Russes ont même employé des chiens pour détruire des tanks. Mais leur méthode était pour le moins barbare. À chaque tentative de détruire un tank ennemi, une bête était sacrifiée.

Le chien de berger

 

Chien de berger

Lui aussi est mis à contribution depuis des millénaires. Le chien de berger garde les moutons, les rassemble et les protège contre certains prédateurs. Ils sont de moins en moins utilisés, mais de nombreuses espèces peuvent accomplir cette mission avec succès.

Le chien truffier

 

Chien truffier

Lui, il a une tâche agréable. Comme son nom l’indique, il cherche des truffes enfouies dans la terre. Il a donc l’odorat particulièrement formé pour détecter les produits sucrés. Il ne faut donc pas le récompenser en lui donnant du chocolat… Mais il aura besoin de beaucoup d’eau.

http://www.canald.com/

Alaska: un orignal enseveli est secouru par des motoneigistes


Un très beau sauvetage après une avalanche en Alaska. L’animal a-t-il compris que ces hommes ne lui voulaient aucun mal, mais plutôt le délivré d’une mort certaine ?
Nuage

 

Alaska: un orignal enseveli est secouru par des motoneigistes

 

Male buck moose

Photo Fotolia

Trois motoneigistes ont réussi à dégager un orignal enseveli sous la neige à cause d’une avalanche, le sauvant d’une mort certaine, la semaine dernière, à Hatcher Pass, au nord-est d’Anchorage, en Alaska.

Le 28 décembre dernier, les trois amis circulaient en motoneige à Hatcher Pass, une région propice aux avalanches. Lorsqu’ils ont fait demi-tour, ils ont remarqué que des traces d’orignal avaient été effacées par une avalanche qui venait de s’abattre sur le sentier. Ils ont également aperçu une forme qui bougeait.

«On ne voyait que son museau qui sortait de la neige, lui permettant de respirer», a dit Marty Mobley au Alaska Dispatch News.

«On a d’abord cru que c’était le bras d’un skieur, mais ça bougeait et on entendait des plaintes et des gémissements, et on s’est rendu compte qu’il s’agissait d’un orignal», a-t-il ajouté.

Ils ont alors sorti leurs pelles pour dégager l’animal.

«Il ne nous a pas attaqués, a dit M. Mobley. C’est comme s’il nous disait « aidez-moi, aidez-moi ». Il était très docile et nous a laissé le toucher.»

Dix minutes plus tard, l’orignal a réussi à s’extirper de l’amoncellement de neige.

«Il s’est relevé complètement et il est passé par-dessus nous, parce qu’à force de pelleter, nous étions dans une sorte de trou, a dit le motoneigiste. Il ressemblait à l’abominable homme des neiges, car sa fourrure était pleine de neige. Il nous a regardés, il s’est secoué et il est parti.»

http://www.journaldequebec.com

VIDÉO. Insolite: des chamois échappent miraculeusement à une avalanche


Être sous la route d’une avalanche, cela ne pardonne pas. Toute cette neige qui dévale les pentes a une vitesse folle, rafle tout sur son passage, mais des chamois ont quand même pu en ressortir indemne
Nuage

 

VIDÉO. Insolite: des chamois échappent miraculeusement à une avalanche

 

Par Wendy Bracat

 

NATURE – C’est ce qui s’appelle avoir de la chance! En avril dernier, des touristes français séjournant dans les Alpes ont pu immortaliser sur vidéo cette scène des plus étonnantes.

En effet, pour échapper à une avalanche, un troupeau de chamois dévalent à toute vitesse un pan de montagne. Les touristes impuissants voient alors la coulée de neige se rapprocher inexorablement des animaux terrifiés, avant d’en engloutir certains.

Les touristes craignent alors le pire… soudain, les uns après les autres, les chamois ensevelis se dégagent de la neige avant de courir rejoindre leurs camarades sains et saufs.

Un vrai miracle pour ces animaux qui peuvent courir à environ 48 km/h, soit à peine plus que le sprinteur jamaïcain Usain Bolt ( 44,72 km/h).

http://www.huffingtonpost.fr

Le Saviez-vous ►Les chiens d’avalanche, ces sauveteurs pas comme les autres


Quand une avalanche se déclare mieux vaut ne pas être sur son passage car sous son emprise est peut être mortelle … C’est une question de temps pour faire la différence entre la mort et la vie dans un cas d’avalanche et retrouver les victimes et primordial  Donc, il faut avoir du flair et quel animal est capable de flairé mieux que l’homme si ce n’est que le chien ?
Nuage

Les chiens d’avalanche, ces sauveteurs pas comme les autres

 

La montagne est aussi belle que dangereuse, surtout lorsque l’hiver vient, et avec lui les risques d’avalanches de neige.

Les chiens, bien plus rapides et efficaces que les hommes

Plus rapides, et donc plus efficaces que les hommes, les chiens sont irremplaçables dans des situations d’extrême urgence telles que la recherche de personnes ensevelies sous la neige.

En quelques minutes seulement, ils couvrent des zones qui demanderaient des heures de travail aux pisteurs.

La survie des victimes d’avalanche est une question de minutes. La rapidité est donc primordiale pour espérer les sauver.

(…)

Quelles races de chiens sont adaptées à la vie en haute-montagne ?

Si le Saint-Bernard est bien souvent le premier auquel on pense lorsque l’on évoque les chiens sauveteurs, cette race n’est pas adaptée à la vie en montagne en hiver. Trop lourd, il manque d’efficacité, et la neige se colle à ses longs poils.

Ce sont essentiellement des Bergers Allemands et des Bergers Belges qui sont mobilisés. Ces chiens s’adaptent vite aux conditions de la haute-montagne.

Leur pelage change et les protège plus efficacement du froid. Leurs coussinets se transforment aussi. Ils durcissent afin de mieux supporter la neige et le sel qui ont tendance à irriter les pattes des chiens.

D’autres races, telles que le Boxer, le Golden Retriever ou le Labrador sont aussi parfois formées au sauvetage de victimes d’avalanche.

La formation

Les chiens sauveteurs doivent naturellement être formés avant de participer à des sauvetages en montagne. Ils commencent cette formation à l’âge de 1 à 4 ans, et  il faut compter à peu près 1 an et demi d’entraînement pour qu’un chien soit prêt et mobilisé sur des missions.

Ils apprennent alors à reconnaitre une odeur particulière du corps humain, qui remonte à la surface du manteau neigeux. Grâce à leur incomparable flair, les chiens peuvent repérer cette odeur, même lorsque les victimes sont ensevelies sous une couche de neige atteignant plusieurs mètres.

Les chiens ne connaissent pas la notion de travail, et leur formation est  avant tout un jeu pour eux. L’entraînement s’articule autour de différents exercices, certains visant à développer leur rapidité de découverte, et d’autres à leur apprendre la persévérance.

Une confiance sans faille entre le chien et son maître

Si la formation des chiens est bien sûr indispensable, la relation qu’ils entretiennent avec leur maître est elle aussi primordiale.

Une complicité et une confiance sans faille doivent naître entre l’animal et l’homme.

Un chien sauveteur reste ainsi généralement auprès du même maître tout au long de sa carrière, et très souvent toute sa vie. La relation liée est en effet si forte qu’il est inenvisageable de séparer les deux compagnons de travail.

http://wamiz.com/