Skyslide, une attraction terrifiante pour voir Los Angeles du haut des airs


Des sensations fortes ! Un endroit que je n’irais jamais, j’aurais beaucoup trop le vertige.
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Skyslide, une attraction terrifiante pour voir Los Angeles du haut des airs

 

The Huffington Post Canada  |  Par Jesse Ferreras

Les immeubles situés en plein centre-ville offrent souvent de nombreuses commodités tels des salles d’exercice, une piscine ou encore un jardin sur le toit.

Mais une glissade extérieure, ça, c’est nouveau!

oue los angeles

La Skyslide, un toboggan de 14 mètres de longueur, est faite de verre ayant à peine plus d’un pouce d’épaisseur. Il s’agit de la future attraction du OUE Skyspace LA, un poste d’observation à aire ouverte prévue pour le 69e et 70e étage de la U.S. Bank Tour à Los Angeles.

La plateforme permettra aux visiteurs de profiter d’une vue panoramique à 305 mètres du sol.

oue los angeles

La Skyslide amènera les gens du 70e au 60e étage tout en offrant une vue imprenable de la ville.

L’ouverture de cette glissade hors de l’ordinaire est en date du 25 juin, mais les billets seront en vente d’ici la fin du mois.

Cette nouveauté impressionnante ravive les images d’attractions similaires donnant tout autant le vertige.

china glass bridge

china glass suspension bridge

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-vous ►5 mai 1889. Quatre cents "nègres", Kanaks et Annamites sont les stars de l’Expo universelle


Autre temps, autres moeurs, On est loin des documentaires sur les ethnies d’un pays, d’une région, En ce temps-là c’était une attraction qu’on jugeaient a tord comme des peuples arriérée car ils vivaient bien différemment de l’Occident.
Ce genre de représentation était grotesque et un manque total de respect … Alors que le slogan  liberté, égalité et fraternité n’étaient et est toujours une façade Cela devait être pareil en Amérique avec les amérindiens
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5 mai 1889. Quatre cents « nègres », Kanaks et Annamites sont les stars de l’Expo universelle

 

Se croyant au zoo, les Français se précipitent dans le village indigène reconstitué sous la tour Eiffel pour admirer les sauvages

 

5 mai 1889. Quatre cents "nègres", Kanaks et Annamites sont les stars de l'Expo universelle© DR

FRÉDÉRIC LEWINO ET GWENDOLINE DOS SANTOS
     

Le 5 mai 1889, quelque quatre cents Africains et Asiatiques prennent possession du Champ-de-Mars. Ce n’est pas une manif de sans-papiers avant la lettre, ni une réunion de rappeurs, mais les habitants du village indigène de l’Exposition universelle dont l’ouverture officielle est pour le lendemain. Ces hommes et femmes « importés » des lointaines colonies françaises sont impatients de découvrir les millions de visiteurs blancs attendus. La curiosité vaut dans les deux sens.

Attraction phare de l’Exposition, ces Africains, Kanaks et Annamites ont l’immense honneur (!) d’être les habitants du premier « village indigène » organisé dans le cadre d’une « exhibition ethnologique ». Plusieurs expositions précédentes en Europe et en Amérique ont déjà montré de petits groupes d’individus, ou même des personnes seules, parfois même dans des cages. Mais plusieurs centaines d’indigènes du bout du monde répartis dans plusieurs villages, c’est du jamais-vu. Le gouvernement de Carnot garantit l’authenticité des Sénégalais, Gabonais ou Congolais ramenés de leurs forêts primitives ! On n’est pas allé les chercher à la Goutte-d’Or ou encore dans le 13e arrondissement… Il s’agit de vraies pièces originales ! Approchez, approchez ! Touchez ! Certains savent même parler et, qui plus est, français ! Le jour de l’inauguration, seul Dieudonné brandit une banderole sous les objectifs des caméras : « Stop au continuum colonial et esclavagiste ».

Vingt-huit millions de visiteurs

Les organisateurs de l’Exposition universelle sont finalement animés par les meilleurs sentiments : ce qu’ils désirent avec l’étalage de cette chair fraîche, c’est montrer comment une nation civilisatrice comme la France a tiré de leur obscurantisme ces êtres primitifs entre animaux et hommes. L’Occident tend la main aux maillons manquants de l’évolution humaine !

Pendant près de 6 mois, 28 millions de voyeurs défilent sur les Invalides pour épier ces hommes primitifs répartis dans une demi-douzaine de villages indigènes prétendument reconstitués à l’identique. Les brochures expliquent aux visiteurs que leurs habitants vivent, travaillent et s’amusent exactement comme au pays. Il y a là des Arabes, des Kanaks, des Gabonais, des Congolais, des Javanais, des Sénégalais… et Harry Roselmack en immersion… Les visiteurs mais aussi les scientifiques se précipitent. Pour une fois qu’ils ont l’occasion d’observer, de palper, de parler à ces primitifs sans avoir à courir à l’autre extrémité du monde.

Fantasmes du Blanc

À vrai dire, les villages ne sont pas construits avec un grand souci d’authenticité. Décors, costumes, accessoires… sont censés représenter leur « milieu naturel », mais tout est mis en scène, caricaturé, stéréotypé. Par exemple, le village pahouin (tribu habitant la rive droite de l’Ogooué) n’est pas habité par des Pahouins, mais par des Adoumas et des Okandas.

« Au premier abord, on ne percevra pas grande différence entre ces deux races, et tous ces nègres sembleront appartenir au même type », note alors le géographe et archéologue Louis Rousselet.

À propos du village sénégalais, le même auteur remarque :

« Ici, c’est la mare où nous voyons accroupie une des femmes du village, dont les attributions sont de laver le linge des habitants. Et vous pouvez être certains qu’elle ne chôme pas. Les nègres sont propres et aiment à porter des vêtements toujours frais. »

On demande même parfois aux indigènes de jouer la comédie ! Ici, des femmes aux seins nus se livrent à des danses soi-disant guerrières. Un panneau stipule qu’elles appartiennent à la tribu des Femen… Là, des hommes battent tambours en inventant carrément des rituels pour l’occasion. Ce qui marche très bien auprès des visiteurs, ce sont les combats, forcément simulés… Pas question de décevoir le public venu chercher de l’exotisme. On leur demanderait presque de se bouffer entre eux juste pour confirmer aux Blancs qu’ils ont raison de les croire cannibales.

Liberté, égalité, fraternité

Pour autant, les indigènes présentés ne sont pas des comédiens engagés pour l’occasion. Ils ont été recrutés dans leurs pays d’origine par des imprésarios ou des chefs d’expédition, aidés souvent par des chefs de village, les fixeurs de l’époque… Ils sélectionnent les beaux spécimens, leur font passer de véritables castings. Le public de l’Exposition universelle se croit souvent au zoo, n’hésitant pas à railler à voix haute les traits simiesques. On compare ces sauvages à des singes, montrant du doigt leurs lèvres énormes, leur teint huileux, leurs cheveux crépus. D’ailleurs, comme devant la cage d’un singe, certains visiteurs jettent de la nourriture, des babioles. Ils se moquent des indigènes malades, tremblant à la porte de leur case… Ils sont là pour se marrer, ils n’ont sûrement pas payé pour pleurer sur leur sort.

En marge de l’Exposition, loin du cadre officiel, des petits malins ont compris qu’il y avait de l’argent à se faire en exhibant eux aussi des sauvages. C’est le cas du Hollandais Godefroy, qui rassemble des Angolais rue Laffitte. Tandis qu’un certain Gravier installe 18 Accréens (des Ghanéens de la région d’Accra) au 62 quai de Billy (actuel quai Branly). Il les avait déjà montrés à Amsterdam en 1880, mais, fait curieux, ils étaient alors 23. Que sont devenus les cinq manquants ? Nombreux sont les participants à ce genre d’exhibition qui ne rentreront jamais chez eux, victimes de maladies occidentales comme la variole, la tuberculose… Des victimes collatérales… On oublie alors que l’Exposition universelle de 1889 est censée symboliser le centenaire de la prise de la Bastille, et la devise républicaine : liberté, égalité et fraternité.

http://www.lepoint.fr/

Le saviez-vous ► Les routes les plus dangereuses de la planète


Normalement emprunter des routes, c’est d’être assuré qu’elles soient sécuritaire .. Par contre a cause des terrains accidentés, de la météo certaines sont dangereuses .. et d’autres sont vraiment périlleuses et dire que certains y voient un défi a relevé pour le plaisir de braver la mort
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Les routes les plus dangereuses de la planète

 

Frédérique Sauvée

Tunnel de Guoliang, Chine

Photo Courtoisie http://www.ssqq.com

Creusé par des villageois qui souhaitaient sortir de leur isolement entre les montagnes, le tunnel de Guoliang est aussi spectaculaire qu’effrayant. La route traverse littéralement les falaises par une succession de tunnels et de passages ouverts sur le flanc de la montagne.

Inaugurée en 1977, la route n’a subi que très peu de travaux en 35 ans et souffre d’un manque cruel de sécurité. Le village de Guoliang est toutefois maintenant accessible, mais à quel prix?

 

 

Route de la Lena, Russie

À vos risques et périls - Les routes les plus dangereuses de la planète (2)
Photos Courtoisie http://www.ssqq.com

Dans la plupart des pays, conduire en hiver est toujours plus délicat qu’en été. En Sibérie, la route de la Lena qui traverse 1235 km entre Lakoutsk et Skovorodino s’avère bien plus hasardeuse à la belle saison, lorsque la glace dégèle.

Sur cette piste de terre, plus qu’une réelle route, les voitures et camions s’embourbent fatalement à la période des pluies dans ce qui devient une immense piscine de terre. Des centaines de véhicules sont pris chaque année dans ce piège, et cela parfois pendant plusieurs jours, ce qui lui a valu le surnom de «Russian Highway from Hell» («Autoroute russe de l’enfer»).

 

Route entre Louxor et Hurgada, Égypte

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Photo Fotolia

L’Égypte se place en troisième place des pays aux routes les plus mortelles selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé, après l’Érythrée et les îles Cook. La plupart des gouvernements occidentaux demandent d’ailleurs à leurs touristes d’éviter les routes secondaires du pays. C’est le cas de la route qui mène de Louxor à Hurgada, tristement célèbre pour être la plus dangereuse du pays. Non seulement les automobilistes roulent tous feux éteints la nuit, mais des bandits et des terroristes y organisent des guets-apens et n’hésitent pas à tirer sur les voitures. Sans foi, ni loi dans ce Far-East…

 

Route des Yungas, Bolivie

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Photo celineo / Wikimedia Commons

L’Amérique du Sud compte de nombreux pays dans lesquels rouler est une activité périlleuse. La Bolivie remporte la palme avec sa Route des Yungas, réputée la plus dangereuse au monde, où décèdent 200 à 300 personnes chaque année, soit un véhicule toutes les deux semaines!

Étroite, sinueuse et accrochée dangereusement à la falaise, elle ne permet presque jamais à deux véhicules de se croiser sans tomber dans le précipice. Devenue une attraction touristique majeure pour le pays, la route est empruntée par des autobus de touristes et des cyclistes casse-cou qui souhaitent consciemment braver la mort.

NB : Le son de cette vidéo n’est pas très bon, il est préférable de diminuer le volume de vos hauts-parleurs.

Autoroute James Dalton, Alaska

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Photo Greg Bulla / Wikimedia Commons

Les routes du Grand Nord canadien et de l’Alaska n’ont rien à envier à ces dernières en termes de dangerosité! La pire d’entre elles est la route 11, la Dalton Highway, rendue célèbre par les émissions de convois routiers de l’extrême.

Longue de 666 kilomètres, elle traverse le nord de l’Alaska et ne passe que par trois villages d’une poignée d’habitants seulement. Construite pour rendre accessible le pipeline Trans-Alaska aux poids lourds, l’autoroute Dalton est déconseillée aux voitures, qui se font souffler par les vents dévastateurs qui la traversent l’hiver. Si vous souhaitez tout de même tenter le coup, apportez rations de survie et essence en quantité suffisante pour pallier le manque total de dépanneur sur la route.

http://fr.canoe.ca