Une fillette de 6 ans arrêtée après avoir piqué une crise de colère à l’école


Heu !!! Bien qu’une crise d’enfant est parfois difficile à gérer et qu’un coup de pied a un adulte ou même un autre enfant devrait avoir une conséquence…. L’arrestation, poursuivie de coup et blessure et tout le processus de la détention d’une fillette de 6 ans par la police américaine et un peu trop extrême.
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Une fillette de 6 ans arrêtée après avoir piqué une crise de colère à l’école


Kaia, une petite fille de 6 ans originaire de Floride, a été menottée et conduite dans un centre de détention après avoir piqué une crise de colère en classe. Choquée par les faits, sa grand-mère a contacté la presse

Ce jeudi 19 septembre, Meralyn Kirkland a reçu un appel de l’école primaire de sa petite-fille Kaia pour lui informer que cette dernière avait été placée en garde à vue. La fillette de 6 ans a été arrêtée après avoir piqué une crise de colère en classe et avoir donné un coup de pied à un membre du personnel de l’établissement. Elle a été menottée et conduite dans un centre de détention juvénile d’Orlando, à plus de 12 kilomètres de son école, où ses empreintes digitales ont été relevées et où elle a été photographiée comme une criminelle, selon le rapport des forces de l’ordre.

“J’ai dit: ‘Comment ça, elle a été arrêtée?’, et on m’a répondu: ‘Il y a eu un incident à l’école, elle a frappé quelqu’un’”, a raconté Meralyn à la télévision locale  WFLA-TV, avant d’ajouter, abasourdie: “Elle est poursuivie pour coups et blessures!”

“Aucun enfant de 6 ans ne devrait pouvoir dire qu’il a été menotté et qu’il se trouvait à l’arrière d’une voiture de police qui l’emmenait dans un centre pour mineurs afin de prendre ses empreintes digitales et se faire prendre en photo”, a-t-elle ajouté.

Selon le site d’information local Click Orlando, un deuxième enfant âgé de 8 ans a également été arrêté par le même policier ce jour-là. Une enquête interne est en cours.

https://www.7sur7.be

Le Saviez-Vous ► La question à 1000 $: qu’est-ce que l’état d’arrestation?


Quels sont nos droits si nous sommes arrêté au Canada ? Bien que la plupart des gens n’auront pas, espérons-le, à subir une arrestation, il est important de savoir comment agir quand un policier nous met en état d’arrestation.
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La question à 1000 $: qu’est-ce que l’état d’arrestation?

FILO VIA GETTY IMAGES

Par Mathieu Galarneau

Parce que la vraie vie, ce n’est pas comme dans les films.

«Vous êtes en état d’arrestation.»

On a beau avoir entendu cette phrase-là des milliers de fois, reste qu’on ne sait pas toujours ce qui pourrait nous arriver une fois ces mots prononcés. Le HuffPost Québec s’est entretenue avec Me Sophie Gagnon, directrice générale de la clinique juridique Juripop, question de mettre un peu de lumière sur le terme – et savoir comment agir si un policier nous passe les menottes.

«L’état d’arrestation fait référence à une personne qui est arrêtée par un policier et qui est privée de sa liberté», explique d’entrée de jeu Me Gagnon.

À ce moment, il est donc interdit de quitter les lieux, mais recommandé de suivre les ordres des policiers.

Il y a deux façons qu’un policier peu procéder à une arrestation.

De manière générale, pour aller de l’avant avec ce pouvoir, le policier doit détenir un mandat d’arrestation émis par un tribunal. Il est généralement octroyé après une enquête fouillée qui démontre que la personne à arrêter a commis un crime.

La seconde, plus populaire dans l’imaginaire cinématographique, est sans mandat, et effectuée sur le fait.

«Un policier ne peut pas se promener dans la rue et arrêter n’importe qui, n’importe quand», tempère Me Gagnon.

Il peut le faire quand il voit quelqu’un commettre un acte criminel, comme par exemple quand il voit quelqu’un entrer par effraction dans une maison, ou quand il voit quelqu’un rouler au-dessus de la limite de vitesse, ou encore quand un policier a des motifs raisonnables de croire qu’une personne est sur le point de commettre un acte criminel.

«L’objectif de l’arrestation à ce moment-là, c’est de prévenir ou d’interrompre un acte criminel», résume la directrice générale de Juripop.

Faire valoir ses droits

Une personne en état d’arrestation bénéficie de certains droits ― des droits constitutionnels qui sont protégés par la Charte canadienne des droits et libertés. Le premier, c’est celui de connaître les motifs de son arrestation, et ce, sans délai.

«Un policier ne peut pas dire « suivez-nous, vous saurez plus tard pourquoi », comme on voit parfois dans les films. Ça, c’est illégal et ça n’existe pas, ou du moins ça ne devrait pas exister. Les policiers sont vraiment tenus d’informer les citoyens sur les motifs de leur arrestation et de savoir ce qui leur est reproché», indique Me Gagnon.

Droit au silence

Selon l’avocate, le premier droit dont une personne en état d’arrestation doit se prémunir est le droit au silence.

«Un principe très important en droit criminel dit qu’il appartient à l’État, ou si on veut à la couronne, d’assembler les éléments pour faire la preuve qu’une infraction criminelle a été commise. La personne accusée ne doit pas faire entrave, bien sûr, mais elle n’a pas à faire le travail des policiers», informe-t-elle.

Les citoyens du Canada bénéficient d’une protection contre l’auto-incrimination. Ainsi, dans les procès, l’accusé ne peut jamais être forcé à témoigner.

«On ne peut pas pousser quelqu’un à parler au sujet d’une infraction de laquelle il est soupçonné ou accusé. Dans un contexte d’arrestation, ça se voit dans le droit au silence. C’est d’ailleurs le premier conseil qu’un avocat va prodiguer à quelqu’un qui est en état d’arrestation parce que tout ce qu’une personne peut dire peut, et généralement, sera retenue contre elle.»

L’exemple classique, dit-elle, c’est le policier qui vous arrête alors que vous roulez à 150 km/h. Il vous demande «savez-vous pourquoi je vous arrête?» et vous répondez «je roulais à 150». alors le policier pourra dire si vous contestez votre contravention,

 «le monsieur a admis qu’il roulait à 150». «C’est important de prendre en note qu’en procès, un procureur de la couronne ne peut pas dire quelque chose comme « on sait bien qu’il a quelque chose à se reprocher, il n’a pas voulu parler aux policiers ». Le droit au silence est protégé par la charte et il ne peut être retenu contre vous», assure Me Gagnon.

Droit de parler à un avocat

C’est un autre droit dont les policiers doivent informer immédiatement les gens qu’ils placent en état d’arrestation. Ils doivent aussi aider la personne dans ses démarches pour trouver un avocat.

«Les policiers ne peuvent pas se promener avec un avocat dans leur voiture et dire « tu parles juste à celui-là »», ironise l’avocate.

Si la personne est incapable de trouver un avocat, les policiers doivent la référer à l’aide juridique.

La fouille

Les droits de fouille des policiers sont limités. En l’absence d’un mandat de perquisition, les policiers peuvent seulement fouiller une personne ou son véhicule quand ils ont des motifs de croire qu’ils seront capables de trouver des éléments de preuve qu’un crime a été commis.

«Un policier ne peut pas fouiller l’auto de l’homme arrêté à 150 km/h pour le fouiller juste parce que ça lui tente. Il peut le faire par contre s’il voit un sac semblant contenir du pot, par exemple», lance-t-elle.

S’identifier ou non?

On n’est jamais obliger de s’identifier à un policier, sauf si on conduit un véhicule, pour prouver qu’on a le droit de le conduire. Si l’arrestation a lieu dans la rue, en théorie, la personne n’est pas obligée de s’identifier.

«C’est quand même une fine ligne à respecter parce qu’on a certaines obligations, comme celle de ne pas résister à notre arrestation, de ne pas mentir sur notre nom et de ne pas faire entrave au travail des policiers. On ne peut pas faire comme le manifestant Jaggi Singh qui avait donné le nom d’un joueur de hockey des Nordiques lors d’une protestation contre le groupe La Meute.»

Les conséquences d’une entrave peuvent s’étendre d’une amende à deux ans d’emprisonnement, dans les cas les plus graves.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Inde: une adolescente violée et brûlée vive, 14 arrestations


100 pompes et une amende de 50 000 roupies qui équivaut à 750 $,  c’est la valeur du crime horrible d’une adolescente de 16 ans de la part du conseil des anciens. En plus les accusés choqués par cette sentence, ils ont battu les parents et brûlé vif la jeune fille. Et on ose d’appeler cela comme un incident horrible !!! Non, c’est un crime odieux.
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Inde: une adolescente violée et brûlée vive, 14 arrestations

 

Le drame intervient à la suite de toute... (Photo Abhishek N. Chinnappa, archives Reuters)

Le drame intervient à la suite de toute une série d’affaires de violences sexuelles en Inde, en dépit du renforcement des dispositions légales.

PHOTO ABHISHEK N. CHINNAPPA, ARCHIVES REUTERS

 

Agence France-Presse
New Delhi

Quatorze personnes ont été arrêtées après le viol dans l’est de l’Inde d’une adolescente qui a ensuite été brûlée vive, a-t-on annoncé samedi de source policière, dernière affaire en date dans une série d’agressions sexuelles contre les femmes dans le pays.

La jeune fille, âgée de 16 ans, a été enlevée de chez elle jeudi alors que sa famille assistait à un mariage et violée dans une forêt de l’État de Jharkhand, a précisé la police locale.

La famille s’est alors plainte auprès du conseil des anciens du village qui a ordonné vendredi à deux accusés d’effectuer… 100 pompes et de verser une amende de 50 000 roupies (750 $).

Furieux devant cette sentence, les accusés ont roué de coups les parents de la jeune fille.

«Ils se sont précipités vers la demeure [de la victime] et l’ont brûlée vive avec l’aide de complices», a expliqué à l’AFP un responsable de la police locale, Ashok Ram.

Les conseils d’anciens règlent souvent des différends, contournant le système judiciaire en Inde, long et coûteux. Même si leurs décisions n’ont pas de force juridique, leur influence sur les communautés rurales est considérable.

Ashok Ram a précisé que 14 personnes avaient été arrêtées dans cette affaire, mais que le principal suspect était toujours en fuite.

Le responsable du gouvernement de l’État du Jharkhand, Raghubar Das, a exprimé son émotion devant cet «incident horrible» et a réclamé des mesures les plus strictes contre les coupables.

Ce drame intervient à la suite de toute une série d’affaires de violences sexuelles en Inde, en dépit du renforcement des dispositions légales.

Selon l’agence Press Trust of India, un homme de 55 ans s’est suicidé vendredi. Il était accusé d’avoir violé une enfant de neuf ans dans l’État d’Andhra Pradesh, dans le sud du pays.

Le viol collectif et le meurtre d’une enfant de huit ans le mois dernier dans l’État du Jammu et Cachemire ont suscité de nombreuses manifestations de protestations.

Quelque 40 000 viols ont été signalés en Inde en 2016, mais leur nombre serait bien plus élevé en raison du silence entourant ces crimes dans un pays qui reste très patriarcal.

http://www.lapresse.ca/

À 102 ans, elle réalise son rêve de se faire passer les menottes


Le jour de son 102e anniversaire, le 30 septembre dernier, Edie a connu le « frisson » de l’arrestation policière en se faisant embarquer par une patrouille de la police de Saint-Louis (Missouri)  La mise en scène a été orchestrée par un bénévole du centre communal des séniors. Tout à été préparé par un bénévole du centre communal des séniors
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À 102 ans, elle réalise son rêve de se faire passer les menottes

 

Recherché par la police, il se fait arrêter en jouant à Pokémon Go


Je crois que nous allons voir plusieurs faits insolites avec le jeu de Pokémon Go. Certains seront dramatiques, mais d’autres seront assez cocasses comme cet homme qui se livre à la police en pyjama à cause de Pokémon
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Recherché par la police, il se fait arrêter en jouant à Pokémon Go

 

L'appli Pokémon Go./Photo d'illustration - RelaxNews - AFP PHOTO / TIZIANA FABI

L’appli Pokémon Go./Photo d’illustration RelaxNews  /  AFP PHOTO / TIZIANA FABI

Décidément, le jeu Pokémon Go est à l’origine de bien des faits divers ! Dernier en date, l’arrestation d’un malfrat grâce à l’application est relatée par le site d’actualité américain Fox Detroit et repris par Metronews. William Wilcow faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour « recel de bien volés » et « défaut de comparution ».

Un délinquant pas très malin

L’homme âgé de 24 ans s’est rendu de lui-même au poste de police de Milford, dans le Michigan (États-Unis) pour chercher des Pokémon. En le voyant errer sur la pelouse en pyjama, un membre des forces de l’ordre l’a alors reconnu et a procédé à son interpellation.

« Ils l’ont mis en détention sans incident et il a admis qu’il était en train d’essayer d’attraper des Pokémon en haut du mât du drapeau », raconte Thomas Lindberg, chef de la police, tout en confiant qu’il s’agit d’un des cas les plus drôles qu’il ait jamais vu.

« Il a rendu notre travail beaucoup plus facile ce jour-là ! »

William Wilcox a finalement été relâché avec ordre de se présenter au tribunal dans deux semaines.

http://www.ladepeche.fr/

Saskatchewan Une chèvre se fait «arrêter» par la police


Une arrestation qui restera surement graver dans l’esprit des policiers. !! Bien que la chèvre n’a fait aucun crime, sauf peut-être squatter un fast-food, elle a pu retourner à la maison sans dossier criminel
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Saskatchewan

Une chèvre se fait «arrêter» par la police

 

Une chèvre se fait «arrêter» par la police

Crédit photo : Via Twitter GRC

Une chèvre entêtée qui s’obstinait à rester dans un Tim Hortons de Warman, en Saskatchewan, a finalement pris la direction du poste de police escortée par deux agents.

Selon la GRC, la bête a fait son apparition dans le commerce très tôt dimanche matin. Les employés ont forcé le ruminant à sortir à plusieurs reprises, mais immanquablement, il revenait à l’intérieur,en utilisant les portes automatiques.

(Via Twitter)

Finalement, la GRC a été appelée sur les lieux. Les autorités croient que la chèvre voulait dormir à l’abri du froid. Les policiers n’ont pas eu d’autres options que de l’«arrêter» et de la faire monter dans leur véhicule.

(Via Twitter)

Comme la chèvre était très malheureuse en captivité, les agents ont décidé d’aller avec elle à la recherche de ses propriétaires, mais en vain. Après avoir fait la tournée des fermes avoisinantes, les policiers ont dû laisser l’animal à un hôpital vétérinaire, pendant qu’ils poursuivaient l’enquête.

Lundi, la GRC a finalement annoncé que la chèvre était de retour chez elle, en sécurité, après son escapade hasardeuse en ville, son propriétaire ayant été retrouvé.

http://tvanouvelles.ca/

Columbus : Une mère fait arrêter son fils de 10 ans!


Cela me parait assez drastique, et les opinions sont partagées sur cette méthode. Dans des commentaires, on pouvait lire que certains l’ont fait pour des raisons de sécurité, comme ne pas attacher sa ceinture dans l’auto. Des gens vont sûrement dire que la mère n’a pas d’autorité. Mais, aujourd’hui, les enfants ne s’élèvent pas comme avant. Je ne pense pas que ce soit la bonne méthode, mais peut-on vraiment juger la maman et le professeur qui ne semble pas avoir essayé de la dissuader ?
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Columbus : Une mère fait arrêter son fils de 10 ans!

 

Sean, dix ans, en pleurs dans le véhicule de police. (Photo Facebook)

TVA Nouvelles

Découragée du comportement de son fils irrespectueux avec son professeur, une maman de l’Ohio a pris les grands moyens, le faire arrêter par la police!

Chiquita Hill de Columbus a appelé le 911 la semaine dernière et demandé si des agents pouvaient venir chez elle afin de «simuler l’arrestation de Sean pour le secouer», lui faire peur, a raconté la mère à wrbl.com.

Deux policiers ont donc décidé de participer à la simulation d’intervention. Arrivés chez Mme Hill, ils ont mis l’enfant en état d’arrestation comme ils l’auraient fait avec un criminel.

Un des agents a menotté le gamin puis l’a conduit dans la voiture de police. Hurlant, en larmes, Sean pensait vraiment qu’il s’en allait en prison comme les policiers le lui ont fait croire.

Grossier

Chiquita Hill ne savait plus quoi faire avec son garçon. Depuis quelques semaines, il était grossier avec son professeur et ne travaillait plus en classe.

Devant son comportement inacceptable, le professeur de 5e années’ était même rendu chez la mère, mardi, pour discuter du cas de l’enfant.

«La discipline avec Sean n’avait pas fonctionné jusqu’à maintenant. Je me suis dit dans ma tête: “Je vais appeler la police tout simplement”», a précisé Mme Hill. Et c’est ce qu’elle a fait.

Sean se fait passer les menottes. (Photo Facebook)

«Tough love»

Son fils ne la croyait pas jusqu’au moment où il a vu arriver l’auto patrouille dont la sirène était en fonction.

«Je ne sais pas exactement ce que les agents lui ont dit, mais quand ils l’ont relâché, Sean a couru vers moi me faire un gros câlin et me répétant: “Je suis désolé. Je suis désolé.”»

Chiquita Hill a mis les photos de l’arrestation de son fils sur Facebooket elles sont devenues virales.

Les avis sont toutefois partagés quant à la technique «tough love» de l’Américaine. D’aucuns y voient une bonne leçon, d’autres que la maman aurait dû elle-même parvenir à discipliner son garçon.

Chiquita Hill et son fils après son arrestation. (Photo Facebook)

http://tvanouvelles.ca/

 

Le Saviez-Vous ► 8 idées bizarres… qui ont marché!


Quand il y a une difficulté, on cherche des solutions. Parfois, ce sont des idées un peu fofolles et contre toute attente qui résout les problèmes. Il fallait juste l’essayer
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8 idées bizarres… qui ont marché!

 

De temps en temps, quelqu’un lance une idée franchement idiote. « Allons, pourquoi ne pas essayer ? » propose un interlocuteur avisé. Et voilà, ça marche ! Voici 8 exemples d’idées bizarres qui ont marché!

Grève de « relations »

Crédit photo : iStock

De mémoire d’homme, l’unique route qui reliait le petit village colombien de Barbacaos au reste du monde avait toujours été très mauvaise. Si bien qu’il fallait une demi-journée pour parcourir les 56 km qui le séparent de la ville voisine.

Les demandes de réparation avaient toutes été ignorées. La mort d’une jeune femme et de son enfant à naître dans l’ambulance restée coincée sur la route qui menait à l’hôpital fut la tragédie de trop. En juin 2013, les femmes entreprirent de manifester dans les rues et lancèrent « le mouvement des jambes croisées ».

Bref, pas de galipettes tant que la route ne serait pas réparée. Même le maire eut à en souffrir quand sa femme décida de dormir dans une autre pièce.

…Et ça a marché !

La grève fut levée en octobre de la même année quand des bulldozers et autres gros engins commencèrent les travaux de réparation. Grâce à la nouvelle route, il faudra six heures de moins pour relier Barbacaos à la ville la plus proche.

En jupe sur les rails

Crédit photo : iStock

À l’été 2013, une vague de chaleur submergea le nord de Stockholm.

Les cheminots décidèrent donc de porter un short au travail. La direction leur fit remarquer que cela contrevenait au code vestimentaire des chemins de fer. Les hommes enfilèrent aussitôt la jupe.

…Et ça a marché !

Les hommes peuvent porter la jupe parce que les femmes la portent, déclara un porte-parole de la société ferroviaire. « Soutenir le contraire serait discriminatoire », expliqua-t-il.

Un changement officiel du code vestimentaire autorisant le short suivit rapidement cette action. La compagnie de chemins de fer prétend que l’affaire des hommes en jupe n’y est pour rien.

Retour à l’envoyeur

Crédit photo : iStock

Les chiens sont des créatures merveilleuses, mais ils ont un gros défaut. Ils refusent de ramasser ce qu’ils sèment derrière eux. C’est particulièrement délicat à Brunete, en Espagne, où les propriétaires de chien ne ramassent pas les crottes non plus.

Or, l’agence de publicité McCann concocta un coup de génie : renvoyer le caca à son propriétaire. À l’initiative de l’agence, le projet fonctionne de cette façon : en discutant avec un propriétaire négligent, un volontaire découvre le nom de son chien.

Après leur départ, il s’emploie à retrouver l’identité et l’adresse du propriétaire en soumettant le nom et la race du chien à une base de données via son téléphone portable. Il ramasse la crotte, la dépose dans un petit paquet estampillé « Objet perdu » qu’il fait ensuite livrer par coursier à son propriétaire.

…Et ça a marché !

Il y eut pas moins de 147 livraisons au cours de la campagne, et la quantité d’excréments laissés dans les rues chuta de 70 %.

De l’herbe aux cochons

Crédit photo : iStock

Aux États-Unis, avec la légalisation de la marijuana dans l’État de Washington, les cultivateurs d’herbe se demandaient comment rentabiliser les racines et les tiges inutilisées. Entre-temps, les éleveurs de porcs des environs ne supportaient plus le coût élevé de la nourriture qui entamaient leurs profits. Un éleveur proposa une solution : intégrer les restes de marijuana (moins coûteux) à l’alimentation des cochons.

…Et ça a marché !

Ce surplus d’herbe fit baisser les coûts de la nourriture pour l’éleveuse Susannah Gross, avec un bénéfice supplémentaire : l’appétit de ses bêtes. En effet, les porcs qui avaient dévoré la marijuana pesaient de 10 à 15 kilos de plus que ceux qui n’en avaient pas profité.

Aboyer contre les vilains

Crédit photo : iStock

À New Haven, au Connecticut, deux présumés voleurs de voitures refusaient de sortir de la maison où ils étaient planqués. La police menaça d’envoyer la brigade canine. Le seul souci ? Un manque cruel de chiens sur place. Quelques agents décidèrent alors de s’approcher de la porte et se mirent à aboyer.

…Et ça a marché !

Terrifiés, les intrus sortirent aussitôt pour se livrer à la police

Chasser les ennuis

Crédit photo : iStock

Une grave sécheresse combinée au mauvais entretien du réseau a eu raison des égouts de Bulawayo, au Zimbabwe. À cause de la pression insuffisante de l’eau, les canalisations étaient sans cesse bouchées, ce qui les faisait parfois éclater.

…Et ça a marché !

Devant l’impossibilité de recourir à un débouchoir à ventouse géant, que pouvait faire la ville ? C’est simple, proposa le conseil municipal. Deux fois par semaine, les citoyens doivent tous en chœur actionner la chasse pour générer suffisamment de pression d’eau dans les conduites et déloger les bouchons. Et ça a marché !

Un résident raconte à l’Associated Press :

« Jusqu’ici, l’opération chasse d’eau est un succès. »

Fuite musicale

Crédit photo : iStock

Portland, en Oregon, ne doit pas être un endroit très dynamique, à moins que sa gare soit particulièrement attrayante, puisque les jeunes hommes ont visiblement décidé del’investir. Les nombreuses tentatives pour les en déloger sont restées vaines. Les autorités ont consulté les jeunes eux-mêmes pour trouver une solution. Question : « Qu’est-ce qui vous chasserait de là ? » Réponse : « L’opéra et la musique classique. » Aussitôt dit, aussitôt fait, des haut-parleurs de la gare leur en beuglèrent lors d’un programme pilote.

…Et ça a marché !

La présence des jeunes de 18 à 25 ans a chuté dès que la musique a retenti dans la gare. L’un d’eux a pris ses jambes à son cou alors que la Carmen de Bizet proclamait son amour à celui qui ne l’aimait pas. À l’autre bout du monde, la Royal Navy fit hurler du Britney Spears pour chasser les pirates somaliens.

« Ces hommes ne supportent pas la musique occidentale », confie un officier à metro.co.uk. Dès qu’ils se prennent une dose de Britney, ils déguerpissent au quart de tour. C’est tellement efficace que les gardes ont rarement besoin de recourir aux armes à feu. »

Miroirs au sommet

Crédit photo : iStock

En Norvège, jusqu’à récemment, l’hiver à Rjukan était déprimant. En effet, la ville, nichée au creux d’une vallée, ne reçoit pas de lumière directe du soleil près de six mois par an. Quelques esprits éclairés, c’est le cas de le dire, ont eu l’idée de reprendre un projet proposé régulièrement depuis un siècle : installer sur le versant de l’une des montagnes des miroirs géants qui réfléchiraient les rayons du soleil sur la place principale du village.

…Et ça a marché !

Grâce à des moteurs contrôlés par ordinateur, trois imposants miroirs suivent le parcours de l’astre solaire. Pour la première fois de l’histoire de Rjukan, le soleil d’automne a brillé sur la place en 2013 ! Pour célébrer l’événement, quelques villageois ont siroté un cocktail en se faisant bronzer sur une chaise longue ; d’autres ont joué au volley sur une plage improvisée.

« L’idée était un peu folle, mais la folie est notre plus grande qualité », a précisé un coordonnateur du projet à l’Agence France-Presse. « Après s’être prélassés au soleil, les gens sont rayonnants. »

Il y a de quoi. Les miroirs éclaireront la place durant tout l’hiver.

http://selection.readersdigest.ca/

Quand les vêtements connectés vous envoient en prison


Au Canada, les policiers peuvent maintenant fouiller sans mandat tout appareil technologie lors de l’arrestation, sauf si par exemple, le téléphone est verrouillé par un mot de passe, il faut un mandat pour accéder aux données. Mais, bon, de toute manière,  si vous avez des secrets, le virtuel n’est pas la meilleure cachette
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Quand les vêtements connectés vous envoient en prison

 

Quand les vêtements connectés vous envoient en prison

Montre Moto 360: ses données pourront être retenues contre vous en cours. Photo Motorola

André Boily

 

Les données de vos téléphones intelligents ou cellulaires, de vos montres intelligentes, de vos brassards numériques, voire les futurs vêtements intelligents, peuvent être utilisées en preuve dans un litige ou une poursuite criminelle.

De plus, d’après un récent jugement du plus haut tribunal du pays, les policiers peuvent dorénavant fouiller sans mandat votre téléphone.

La technologie vous met à nu

Si vous pensiez que tout ce que vous mettiez dans votre téléphone intelligent ou appareil numérique personnel, comme une montre numérique, un brassard numérique, un navigateur GPS, etc., est protégé par les lois sur la vie privée, oubliez cela tout de suite.

Comme n’importe quel document admissible en preuve, les données qu’ils contiennent peuvent servir dans un litige ou une poursuite criminelle, à votre avantage ou contre vous.

Les informations et éléments de preuve – qu’ils soient sur papier ou binaires – sont admissibles devant un juge. Comme cet exemple en Alberta où un avocat a défendu sa cliente dans un cas d’accident du travail en comparant les données de son brassard Fitbit avec celles d’autres utilisateurs.

Et malgré l’absence de normes entre les applications comme Google Fit, Microsoft HealthVault, Apple HealthKit ou Samsum Sammy, les données de ces dernières sont recevables en cour, tout comme le contenu de votre compte Facebook le cas échéant.

Et au Québec?

Que disent nos lois sur la recevabilité des données personnelles en cour? Pour y répondre, la question a été posée à Me Claude Villeneuve, avocat associé du cabinet juridique Lavery, à Sherbrooke.

«Il faut cependant, pour faire admettre cette preuve devant un tribunal, démontrer que l’information stockée est fiable et « intègre » (i.e. non altérée)».

Les articles 2837 et suivants du Code civil du Québec et la Loi concernant le cadre juridique des technologies de l’information (LRQ, c. C-1.1, ci-après la «Loi») encadrent le tout, dont voici quelques grandes lignes de la «Loi»:

– la valeur d’un document n’est ni augmentée ni diminuée pour la seule raison qu’un support technologique ait été choisi;

– un document dont l’intégrité a été assurée a la même valeur juridique, peu importe le support;

– l’intégrité du document doit être maintenue au cours de son cycle de vie;

– dans l’appréciation de l’intégrité, il est tenu compte, notamment des mesures de sécurité prises pour protéger le document au cours de son cycle de vie.

Fouilles sans mandat de vos cellulaires contre vie privée

Dans un récent jugement à quatre juges contre trois, la Cour suprême du Canada vient de permettre aux policiers de vérifier sans mandat le contenu d’un cellulaire dans le cadre d’une arrestation.

Sous certaines conditions, vos textos, vos photos, vos courriels sont admissibles comme preuve pourvu que la fouille serve à protéger la police, l’accusé ou le public ou encore à découvrir de nouveaux éléments de preuve. Donc, un cadre juridique devient très large du moment que ces éléments contribuent à l’enquête.

Par exemple, les informations d’un navigateur GPS ou d’une application comme Speed Tracker qui sert enregistrer vos données de déplacement – pour votre travail par exemple -, à indiquer votre vitesse, depuis combien de temps vous roulez et votre distance pourraient être utilisées contre vous.

Les données de positionnement des gadgets numériques comme celles des brassards GPS qui mesurent la distance de votre jogging matinal sont de parfaits candidats dans un procès. Tout comme le sont les dizaines de milliers de comptes d’individus inspectés par année sur les systèmes infonuagiques de Microsoft ou de Google par les différents organes fédéraux de sécurité américains.

Si vous avez de petits secrets cachés dans vos appareils numériques, gare à ce que vous mettez dans votre téléphone. Verrouillé, les policiers devront obtenir un mandat pour le fouiller.

http://fr.canoe.ca