La manie de Trump de déchirer ses documents, un cauchemar pour les archivistes


Donald Trump enfreint une loi qui ordonne que tout document consulté par le président des États-Unis soit archivé aux Archives nationales. Les archivistes sont obligés de chercher, ramasser et recoller les morceaux déchirés par Donald Trump, quand c’est de gros morceaux ce n’est pas si pire, mais quand c’est de la grosseur des confettis, c’est un vrai casse-tête. Parmi les documents déchirés, il y a quand même des papiers importants. Généralement, si on enfreint une loi, on doit en subir les conséquences alors pourquoi pas lui ?
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La manie de Trump de déchirer ses documents, un cauchemar pour les archivistes

 

La manie de Donald Trump de déchirer les documents... (ARCHIVES AFP)

 

La manie de Donald Trump de déchirer les documents qu’il vient de lire, «parfois juste en deux, mais d’autres en morceaux si petits qu’ils ressemblaient à des confettis», a largement compliqué la tâche des archivistes dès son arrivée à la Maison-Blanche, en janvier 2017.

Agence France-Presse
Washington

Le président américain Donald Trump a l’habitude de déchirer les documents qu’il vient de lire, forçant les archivistes de la Maison-Blanche à recoller des morceaux parfois aussi petits que des confettis, selon le site d’information Politico.

«C’est la chose la plus folle que j’ai jamais vue. Il déchirait les papiers en tous petits bouts», a raconté Solomon Lartey, un ancien employé de la Maison-Blanche chargé de l’archivage des documents pendant les cinq premiers mois de la présidence Trump.

Une loi ordonne que tout document consulté par le président américain – lettres, courriels, breffage – soit conservé et envoyé aux Archives nationales. L’article de Politico ne suggère pas que le septuagénaire procède ainsi pour faire disparaître des documents, mais plutôt qu’il s’agit d’une vieille habitude chez l’homme d’affaires, un «système d’archivage» à sa manière.

Mais la manie de Donald Trump de déchirer les documents qu’il vient de lire, «parfois juste en deux, mais d’autres en morceaux si petits qu’ils ressemblaient à des confettis», a largement compliqué la tâche des archivistes dès son arrivée à la Maison-Blanche, en janvier 2017.

Selon Solomon Lartey, licencié en mars, des employés de la Maison-Blanche devaient récupérer les bouts de documents dans le Bureau ovale ainsi qu’à la résidence privée du président, à l’étage, pour les livrer aux archivistes, «comme un puzzle» à reconstituer. Tout le bureau chargé des registres devait alors scotcher les documents, a-t-il expliqué à Politico.

Parmi les documents qu’il a reconstitués: des articles de journaux annotés par Donald Trump, des invitations et des lettres d’élus.

C’est la première fois en vingt ans de service que Reginald Young, un autre ancien employé du département des archives à la Maison-Blanche, congédié en avril, dit avoir vu une telle pratique.

«J’ai regardé mon directeur et lui ai dit « Vous êtes sérieux? » On gagne plus de 60 000 dollars par an, on devrait faire des choses beaucoup plus importantes que ça», a-t-il raconté à Politico. «J’avais l’impression de faire le travail le plus ingrat qu’on aurait pu me demander à moins de devoir vider les poubelles».

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Une copie du testament politique du patriote De Lorimier trouvée à Rimouski


Lundi, le 21 avril, le Canada jour férié, la fête de la reine, mais au Québec, nous préférons la fête des Patriotes qui ont voulu défendre le Québec des Anglais. Une nouvelle qui tombe bien, avec la découverte d’une copie du testament politique du patriote Chevalier de Lorimier qui dormait dans les archives de Rimouski au Québec
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Une copie du testament politique du patriote De Lorimier trouvée à Rimouski

 

Une copie du testament politique rédigé par le patriote

Une copie du testament politique rédigé par le patriote François-Marie-Thomas Chevalier de Lorimier en 1839 a été trouvée dans des archives de la BAnQ à Rimouski. Photo : Gracieuseté BAnQ

La plus ancienne copie connue du testament politique d’un des grands patriotes, François-Marie-Thomas Chevalier de Lorimier, a été retrouvée dans les archives de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) à Rimouski.

Un texte d’Édith Drouin d’après une entrevue de l’émission Le monde aujourd’hui

C’est en cherchant dans une boîte de testaments léguée l’an dernier par le séminaire de Rimouski que Guillaume Marsan, l’archiviste coordonnateur de BanQ Rimouski, est tombé sur un document sur lequel il était inscrit « Prison de Montréal, 14 février 1839, 11 heures PM ». Ce détail a piqué sa curiosité.

Il a par la suite découvert qu’il s’agissait de la transcription exacte du testament politique du patriote De Lorimier et d’une copie du discours de Charles Hindelang, qui a été pendu en même temps que De Lorimier.

Le testament politique trouvé par Guillaume Marsan serait la plus ancienne copie du document rédigé par De Lorimier, en prison, quelques heures avant qu’il soit pendu.

Première page du document retrouvé dans les archives du séminaire de Rimouski.

Première page du document retrouvé dans les archives du séminaire de Rimouski Photo : Gracieuseté – BAnQ

Selon l’archiviste, le patriote l’a rédigé pour que ses idées politiques continuent à circuler après sa mort. Il voulait aussi éviter que ses mots soient déformés par les journaux, comme l’avait été le discours, sur l’échafaud, d’un patriote pendu avant lui.

Des copies du document ont circulé clandestinement à l’extérieur de la prison alors que la loi martiale était en vigueur, mais la version originale rédigée par De Lorimier lui-même n’a jamais été retrouvée.

Les copies auraient pu être écrites par d’autres prisonniers ou par des membres de sa famille, comme sa veuve qui s’était exilée au Vermont.

Une de ces copies s’est retrouvée entre les mains de l’agriculteur Lambert Richard de Saint-Pascal, au Kamouraska, en 1840. Le document a ensuite été légué, de père en fils, et de père en fille. La petite-fille de Lambert Richard l’aurait ensuite donné au curé David Alexandre Michaud de Saint-Octave de Métis en 1937.

Le fils de Lambert Richard s'est servi de la marge du document pour prendre des notes, ce qui a permis à la BAnQ de déterminer l'âge du document.

Le fils de Lambert Richard s’est servi de la marge du document pour prendre des notes, ce qui a permis à la BAnQ de déterminer l’âge du document. Photo : Gracieuseté – BAnQ

Guillaume Marsan croit que le document a été envoyé clandestinement au Kamouraska parce qu’il y était plus en sécurité. Pendant la rébellion des Patriotes, en 1837 et 1838, la région de Côte-du-Sud ne connaissait pas de soulèvement comme ce fut le cas sur les rives nord et sud du Saint-Laurent à Montréal.

Le fait qu’on l’ait retrouvé en 1840, à Saint-Pascal, confirme évidemment toute la clandestinité, mais toute la circulation de ces documents-là à cette époque-là pendant la loi martiale.  Guillaume Marsan, archiviste coordonnateur de BAnQ Rimouski

Cette copie n’est pas la seule à avoir survécu, certaines copies moins anciennes se retrouvent aujourd’hui à Québec et Montréal, selon l’archiviste.

Guillaume Marsan pense que les responsables du séminaire de Rimouski, qui est fermé depuis 1967, n’étaient pas au courant qu’ils possédaient probablement la plus vieille copie du testament. Le document aurait sommeillé dans une boîte de 1937 à aujourd’hui.

Le document numérisé est maintenant accessible sur le portail numérique de BAnQ.

Transcription du testament politique de François-Marie-Thomas Chevalier de Lorimier

Prison de Montréal,14 février 1839, 11 heures PM

Le public et mes amis en particulier attendent peut-être une déclaration sincère de mes sentiments. À l’heure fatale qui doit nous séparer de terre, les opinions sont toujours regardées et reçues avec plus d’impartialité. L’homme chrétien se dépouille en ce moment du voile qui a obscurci beaucoup de ses actions pour se laisser voir en plein jour. L’intérêt et les passions expirent avec son âme. Pour ma part, à la veille de rendre mon esprit à son Créateur, je désire faire connaître ce que je ressens et ce que je pense.

Je ne prendrais pas ce parti si je ne craignais qu’on ne représentât mes sentiments sous un faux jour. On sait que le mort ne parle plus et la même raison d’État qui me fait expier sur l’échafaud ma conduite politique pourrait bien forger des contes à mon sujet. J’ai le temps et le désir de prévenir de telles fabrications et je le fais d’une manière vraie et solennelle, à mon heure dernière, non pas sur l’échafaud environné d’une foule insatiable de sang et stupide, mais dans le silence et les réflexions du cachot. Je meurs sans remords. Je ne désirais que le bien de mon pays dans l’insurrection et l’indépendance.

Mes vues et mes actions étaient sincères et n’ont été entachées d’aucun [des] crimes qui déshonorent l’humanité et qui ne sont que trop communs dans l’effervescence des passions déchaînées. Depuis 17 à 18 ans j’ai pris une part active dans presque toutes les mesures populaires, et toujours avec convictions et sincérités. Mes efforts ont été pour l’indépendance de mes compatriotes. Nous avons été malheureux jusqu’à ce jour. La mort a déjà décimé plusieurs de mes collaborateurs. Beaucoup gémissent dans les fers, un plus grand nombre sur la terre de l’exil, avec leurs propriétés détruites et leurs familles abandonnées sans ressources aux rigueurs d’un hiver canadien. Malgré tant d’infortune, mon coeur entretient encore son courage et des espérances pour l’avenir. Mes amis et mes enfants verront de meilleurs jours, ils seront libres. Un pressentiment certain, ma conscience tranquille me l’assurent. Voilà ce qui me remplit de joie lorsque tout est désolation et douleur autour de moi. Les plaies de mon pays se cicatriseront.

Après les malheurs de l’anarchie d’une révolution sanglante, le paisible Canadien verra renaître le bonheur et la liberté sur le Saint-Laurent. Tout concourt à ce but; les exécutions même. Le sang et les larmes versés sur l’autel de la liberté arrosent aujourd’hui les racines de l’arbre qui fera flotter le drapeau marqué des deux étoiles des Canadas. Je laisse des enfants qui n’ont pour héritage que le souvenir de mes malheurs. Pauvres orphelins; c’est vous que je plains. C’est vous que la main sanglante et arbitraire de la loi martiale frappe par ma mort. Vous n’aurez pas connu les douceurs et les avantages d’embrasser votre père aux jours d’allégresse, aux jours de fête. Quand votre raison vous permettra de réfléchir, vous verrez votre père qui a expié sur le gibet des actions qui ont immortalisé d’autres hommes plus heureux. Le crime de votre père est dans l’irréussite. Si le succès eût accompagné ses tentatives, on eût honoré ses actions d’une mention respectable. « Le crime fait la honte et non pas l’échafaud. » Des hommes d’un mérite supérieur au mien m’ont déjà battu la triste carrière qui me reste à courir de la prison obscure au gibet. Pauvres enfants! Vous n’aurez plus qu’une mère tendre et désolée pour soutien [et] si ma mort et mes sacrifices vous réduisent à l’indigence, demandez quelques fois en mon nom, je ne fus pas insensible aux malheurs de l’infortune.

Quant à vous mes compatriotes! Puisse mon exécution et celle de mes compagnons d’échafaud vous être utiles. Puissent-elles vous démontrer ce que vous devez attendre du gouvernement anglais. Je n’ai plus que quelques heures à vivre, mais j’ai voulu partager ce temps précieux entre mes devoirs religieux et ceux dus à mes compatriotes. Pour eux, je meurs sur le gibet de la mort infâme du meurtrier, pour eux je me sépare de mes jeunes enfants, de mon épouse, sans autre appui que mon industrie et pour eux je meurs en m’écriant : Vive la Liberté, Vive l’indépendance.

Chevalier de Lorimier

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Le Saviez-Vous ► Le top des lieux interdits


 

Il y a des lieux qu’on ne peut visiter, soit à cause de légendes ou de sécurité ou pourquoi garder un lieu tout simplement mystérieux
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Le top des lieux interdits

L’interdit et le mystère vous fascinent? Si vous avez envie de jouer à Indiana Jones, voici quelques lieux interdits à ajouter à votre liste de destinations à visiter un jour!

1. L’île hantée de Poveglia en Italie

Poveglia

Cette petite île est située entre Venise et Lido dans la lagune. Elle appartient à l’état et est fermée aux touristes depuis les années 70. Elle a la réputation d’être hantée. Son passé sombre y est sans doute pour quelque chose. Poveglia  a servi à au moins quatre reprises de lieu de quarantaine pendant les épidémies de peste qui ont frappé la région depuis l’époque romaine. Plusieurs milliers de personnes y seraient donc mortes.  La légende dit que le sol est composé à 40% de cendres humaines.  Puis, en 1922, un hôpital psychiatrique y fut construit. On rapporte que des patients croyaient voir les esprits des victimes de la peste errer sur l’île. Le psychiatre en chef aurait enquêté sur ce phénomène, puis se serait lancé du haut de la tour d’observation.

2. Les archives secrètes du Vatican

Archives secrètes du Vatican

Photo: ©Giovanni Ciarlo

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les archives du Vatican ne sont pas «secrètes», mais plus plutôt fermées au grand public. Les archives ont été instaurées il y a 400 ans, mais ne sont ouvertes aux chercheurs et aux universitaires que depuis 1881. Ceux-ci doivent faire une demande écrite pour accéder aux milliers de documents d’archive qu’elles contiennent.

3. L’église Sainte-Marie-de-Sion en Éthiopie

Chapelle de l'Arche

C’est dans la petite chapelle adjacente à l’église Sainte-Marie-de-Sion, à Aksoum, en Éthiopie, que reposerait l’Arche d’alliance contenant les tables de la Loi (les dix commandements).  La seule personne admise à l’intérieur de la chapelle est le moine responsable de garder l’Arche. Celui-ci est nommé à vie et nomme lui-même son successeur avant sa mort. On raconte que l’arche aurait été gardée dans le Temple de Salomon à Jérusalem jusqu’à la destruction du temple en 600 av. J.-C. par Nabuchodonosor. Ce serait le roi éthiopien Ménélik, le fils de Salomon, qui aurait rapporté l’Arche dans son pays.

4. La zone 51 (Area 51) au Nevada 

Area 51

En juillet 2013, la CIA a enfin confirmé l’existence d’une base militaire sur le lieu appelé Area 51 par les ufologues.  Si ces derniers croient qu’il s’agit d’une base militaire vouée à l’étude des extra-terrestres, les sources officielles la décrivent comme une base d’essai pour le matériel militaire. Longtemps absente des cartes et effacée des photos satellites, la base est hautement surveillée. Même l’espace aérien au dessus de la zone est réservé uniquement aux appareils de la base. Pour y accéder, vous devez posséder la cote de sécurité nécessaire et être invité par les plus hautes instances militaires ou des services de renseignement.

5. Mount Weather Emergency Operations Center en Virginie

Mount Weather Emergency Operations Center

En activité depuis la guerre froide, c’est le bunker dans lequel les membres du gouvernement seraient mis à l’abri en cas de conflit ou de catastrophe majeure. C’est là qu’ont été évacués certains dirigeants américains pendant les attaques du 11 septembre 2001. Pour des raisons évidentes de sécurité, on sait peu de choses des installations du complexe, mais l’endroit possède son propre service d’incendie, son corps policer et ses dirigeants. La plus grande partie du centre serait sous terre.

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Pensionnats autochtones : faut-il détruire les témoignages des victimes ?


Personnellement, je ne crois pas qu’on devrait détruire ses archives, car cela fait partie de l’Histoire du Canada aussi noire, soit-elle. Il est important cette assimilation des Premières Nations a été fait non pas en douceur, mais par la force, mais bien sûr respecter la confidentialité des victimes
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Pensionnats autochtones : faut-il détruire les témoignages des victimes ?

 

De jeunes Autochtones à l'étude dans un pensionnat,... (Photo fournie, Bibliothèque et Archives Canada)

De jeunes Autochtones à l’étude dans un pensionnat, à une date non précisée.

PHOTO FOURNIE, BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA

COLIN PERKEL
La Presse Canadienne
Toronto

 

Les récits déchirants d’Autochtones victimes des pensionnats fédéraux devraient-ils être détruits après 15 ans, puisqu’on leur avait promis la confidentialité? Ou devraient-ils être considérés comme des documents essentiels de l’histoire canadienne, et précieusement archivés?

La Cour suprême du Canada a accepté, jeudi, d’entendre l’appel du gouvernement fédéral et de la Commission de vérité et réconciliation, qui contestent deux décisions rendues en Ontario.

Les tribunaux de premières instances avaient alors tranché que les comptes rendus des témoignages très personnels, souvent troublants, livrés par des Autochtones dans leur réclamation pour recevoir une indemnisation devaient être détruits après une période de 15 ans, à moins que les intéressés ne donnent spécifiquement leur autorisation.

Ottawa a fait appel de ces jugements parce que d’un point de vue juridique, le dépositaire de ces documents doit respecter les diverses lois régissant les renseignements personnels, la protection de la vie privée, l’accès à l’information et les archives.

À la suite du règlement, en 2006, d’une action collective, quelque 30 000 survivants de pensionnats fédéraux pour Autochtones ont réclamé une indemnisation pour les mauvais traitements subis durant leur enfance – sévices physiques, sexuels et psychologiques. Or, les responsables de ce programme d’indemnisations plaident qu’on avait promis aux requérants la confidentialité concernant leur témoignage, à moins qu’ils ne renoncent eux-mêmes à ce droit.

Par contre, les comptes rendus des milliers de témoignages recueillis par la Commission de vérité et réconciliation du Canada sont quant à eux archivés au Centre national pour la vérité et réconciliation, à l’Université du Manitoba.

En avril dernier, la Cour d’appel de l’Ontario, dans un jugement partagé (2-1), a confirmé une décision de première instance: les documents de réclamations doivent être détruits après 15 ans, à moins que l’auteur du témoignage autorise sa conservation, au Centre national pour la vérité et réconciliation. La Cour d’appel a estimé que les témoignages ne peuvent être considérés comme des documents fédéraux, que le principe de confidentialité doit primer, et que la décision appartient aux seuls survivants.

Au cours du siècle dernier, environ 150 000 enfants des Premières Nations et des communautés inuites et métis au pays ont été emmenés de force dans des pensionnats fédéraux, habituellement tenus par des congrégations religieuses, dans le but avoué de les assimiler. Plusieurs y ont subi des sévices terribles.

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Titanic, 1912-2012: le meilleur du web


Pour ceux qui s’intéressent au naufrage du Titanic qui a eu lieu le 15 avril 1912, il y a 100 ans,  voici des sites qui sont semble t’ils les mieux documenté que ce soit la catastrophe elle-même, que le côté scientifique que journalistique, Le seul  »hic » ces sites sont tous en anglais .. mais avec la facilité de traduire on peu quand même comprendre pour les non anglophone
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Titanic, 1912-2012: le meilleur du web

 

Un homme passe devant une murale rendant hommage au Titanic dans une rue de Belfast (où l’on peut lire construit à Belfast), à l’occasion du 100e anniversaire du naufrage du paquebot qui a coûté la vie à 1500 passagers dans la nuit du 14 au 15 avril 1912.

PHOTO: CATHAL MCNAUGHTON, REUTERS

La Presse

Documents d’archives, photos inédites, vidéos de l’épave… Vous êtes passionnés du Titanic ? Voici ce qu’internet a de meilleur à vous offrir.

 

National Geographic

Photos et vidéos de l’épave, et une superbe application gratuite pour tablette électronique, Building Titanic.

 

New York Times

Articles, photos, graphiques, en plus des archives journalistiques de l’époque

Discovery

L’histoire du Titanic, côté scientifique

BBC

La section spéciale du télédiffuseur britannique

Encyclopedia Titanica

La bible des spécialistes du Titanic.

Titanic: inquiry project

Tous les rapports d’enquêtes originaux sur les causes du désastre.

Poynter Institute

Comment le naufrage a révolutionné la couverture journalistique des catastrophes

Journalism.co.uk

Comment les journaux britanniques ont annoncé la nouvelle du naufrage

http://www.cyberpresse.ca