La beauté rend heureux: logique mais désormais scientifiquement prouvé


Ce n’est pas vraiment surprenant que d’aller dans un bel environnement qu’il soit naturel ou non permet de se sentir bien. Quoique, je pense que la nature est encore plus profitable que les constructions humaine. Donner aux villes des endroits attrayants donnerait un second souffle a bien des quartiers.
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La beauté rend heureux: logique mais désormais scientifiquement prouvé

 

Paysage de Savoie (mont Granier) © getty.

Vivre dans un bel endroit rend heureux. Quand la science vient confirmer la découverte de l’instinct.

C’est désormais scientifiquement prouvé grâce aux conclusions d’une recherche dirigée par Chanuki Seresinheet réalisée en collaboration avec l’université de Warwick (Royaume-Uni).

Confrontés à une série de photos prises aux quatre coins du Royaume-Uni, des volontaires ont permis de distinguer des tendances récurrentes. Si les gens confient être plus heureux dans les « environnements les plus pittoresques », la nature ne possède heureusement pas le monopole du bonheur. En effet, la chercheuse a pu démontrer que les constructions humaines pouvaient également contribuer au bien-être intérieur: les ponts ou les immeubles à l’architecture soignée, par exemple. relate le magazine Nature, relayé par Slate. 

Une observation intéressante et qui vient conforter la nécessité de repenser l’environnement urbain pour optimiser le bien-être de la population. 

Mais quel est donc le point commun de ces « beaux endroits », naturels ou urbains? Selon Chanuki Seresinhe, le secret réside dans leur « charge cognitive ». Le paysage doit attirer l’attention sans surcharger, de façon à rendre agréable sa contemplation:

« De jolies rues avec une vue dégagée et peu de distractions peuvent également être revigorantes. Un bel environnement capte notre attention plus longtemps et permet de bloquer l’intrusion de pensées négatives », précise la chercheuse.

https://www.7sur7.be/

Et si nous vivions dans des maisons invisibles ?


Comment seront nos maisons du futur ? Sans que cela n’altère le paysage naturel, une maison invisible ? J’espère que non, je crois qu’il doit avoir plus des points négatifs. Juste à penser aux oiseaux qui ne verront pas l’obstacle devant eux.
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Et si nous vivions dans des maisons invisibles ?

 

Crédits : capture Youtube / arquinfad

par Yohan Demeure

Pour certains, la maison du futur est le concentré d’une multitude de technologies alors que d’autres y voient plus une habitation durable, autonome et dont l’empreinte écologique est moindre. Et s’il était question de maisons qui se fondent parfaitement dans le paysage ? Voici cinq concepts permettant l’évasion.

Le Mirrorcube

L’agence suédoise Tham & Videgård a installé des cubes de 4 min 3 s au milieu de sapins d’une forêt. Plusieurs « Mirrorcube » composent le TreeHotel, un hôtel dont chaque chambre est perchée et camouflée dans les arbres. Le cube contient une structure légère en aluminium et l’extérieur est composé de verre réfléchissant.

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Crédits : Pinterest/Tham & Videgård

La House of Mirrors

Cette œuvre du sculpteur allemand Ekkehard Altenburger avait été installée provisoirement il y a une vingtaine d’années sur l’île de Tiree (Écosse). Véritable précurseur à l’époque, l’artiste était parvenu à fondre cette maison dans le paysage.

Crédits : Ekkehard Altenburger

Le Sauna Cadyville

Il ne s’agit pas d’une habitation, mais d’un sauna dessiné par le cabinet Dan Hisel Architect. Situé dans l’état de New York (États-Unis), le Sauna Cadyville a été bâti contre une falaise qui constitue l’un de ses murs, et des miroirs le rendent quasi invisible dans son élément.

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Crédits : Dan Hisel Architect

Le ÖÖD

Voici une habitation à proprement dit. En effet, la tiny house de la start-up ÖÖDbasée en Estonie est une sorte de préfabriqué de 18 min 2 s Facilement montable et démontable, ce logement est meublé et contient une cuisine. Les trois façades vitrées contribuent à rendre cette maison quasiment invisible !

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Crédits : ÖÖD

Le Liquid Pavilion

Le lac du parc de Serralves à Porto (Portugal) est un véritable havre de paix. Et pourtant, lorsque l’on y regarde à deux fois, une petite maison y est présente. En effet, il s’agit d’une œuvre du cabinet d’architecte depA qui se fond encore très bien dans son environnement avec ses murs en miroir.

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Crédits : capture YouTube/ arquinfad

Source

Les 7 merveilles du Japon


Le Japon est riche en histoire. L’architecture est impressionnante dans un paysage magnifique
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Les 7 merveilles du Japon

 

Le mont Fuji, ou Fujisan, la montagne au centre du Japon

 

Volcan ensommeillé depuis le XVIIIe siècle, Fujisan, plus communément appelé « mont Fuji », se trouve sur l’île de Honshü au sud-ouest de la ville de Tokyo. Sur cette image où il apparaît encore enneigé, nous le découvrons lors d’une belle journée ensoleillée. Très souvent gravi par des touristes, Fujisan dévoile des panoramas vertigineux tout au long de l’ascension sur ses chemins escarpés. Les plus hautes haltes ne sont accessibles qu’à pied. De son sommet, à 3.776 m, les plus courageux peuvent observer de superbes lueurs au lever du soleil.

Au second plan, nous apercevons la pagode Chureito, construite en 1963 en tant que mémorial de la paix. C’est sans doute la pagode la plus photographiée au Japon grâce à la vue qu’elle offre sur le mont Fuji. Elle fait partie du sanctuaire Arakura Fuji Sengen Jinja.

Classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2013, le mont Fuji est considéré comme une des merveilles du Japon.

© oadtz CCO

Le château d’Himeji, un trésor médiéval

 

Entouré de cerisiers, le château d’Himeji évoque immédiatement le Japon, son architecture si caractéristique et son histoire millénaire. Situé à Himeji, dans la préfecture de Hyōgo, cet imposant édifice en bois a été construit à l’époque Nanboku-chō de la période Muromachi, entre 1346 et 1618. C’est l’un des plus anciens bâtiments du Japon médiéval, l’un des douze châteaux japonais dont les donjons en bois existent toujours.

Aussi appelé Hakuro-jō ou Shirasagi-jō (château du Héron blanc ou château de l’Aigrette blanche) en raison de sa couleur blanche, il a abrité le tournage de nombreuses fictions, comme Kagemusha et Ran, deux célèbres films du réalisateur Akira Kurosawa, en 1980 et 1985. Le bâtiment apparaît également dans un opus de la saga James Bond, On ne vit que deux fois (1967).

La visite du château d’Himeji demande environ trois à quatre heures, en particulier si l’on souhaite se promener dans les jardins du Kōko-en. Classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1993, le château d’Himeji est considéré comme une des merveilles du Japon.

© Richie Chan, Fotolia

Le temple d’Hōryū-ji, le cœur de la culture japonaise

 

Le temple bouddhique d’Hōryū-ji (temple de la loi Florissante), à Ikaruga, ville de la préfecture de Nara a été fondé par le prince Shōtoku en 607. Cette merveille japonaise, s’étendant sur 187.000 m2, comprend une cinquantaine de bâtiments, dont certains font partie des plus anciens édifices en bois du monde. Les plus impressionnants sont le Nandai-mon (la Grande porte du sud), le Shoryoin (le pavillon de l’esprit sacré), le Kondo (le bâtiment principal), le Yumenodo (le pavillon des rêves) et le Daikōdō qui est une pagode bâtie sur cinq étages (le pavillon lecture).

L’admirable temple d’Hōryū-ji abrite une multitude d’œuvres historiques de l’architecture japonaise, de prestigieuses sculptures, ainsi que des peintures faisant partie à part entière du patrimoine culturel asiatique. Parmi ses 2.300 structures architecturales, ou objets réputés « de la plus haute importance sur le plan culturel ou artistique », 190 sont officiellement  inscrits en tant que Trésors Nationaux ou Biens Culturels.

Le temple bouddhique japonais a intégré le classement du patrimoine mondial de l’Unesco en 1993.

© 663highland CC BY-SA 3.0

La ville de Kyōto et ses monuments sacrés

 

Le célèbre temple Kinkaku-ji, ou temple Rokuon-ji, se situe au nord-ouest de Kyōto, abrité par des collines. Le contraste entre la froideur de l’hiver et la couleur dorée du temple rappelle que ce bâtiment est surnommé le « Pavillon d’Or ». Ses parois sont en effet recouvertes de feuilles d’or. Le temple sacré est surveillé par la statue d’un phénix vissée à son sommet.

Située sur l’île principale Honshū dans la région de Kansaï (Kansai-chihō), la ville de Kyōto préserve seize autres monuments historiques inscrits au registre du patrimoine mondial de l’Unesco. Kyōto, autrefois Heian-kyō, fut la capitale impériale du Japon jusqu’en 1868. Elle est le berceau historique de l’architecture religieuse ainsi qu’avant-gardiste pour l’art des jardins japonais. La ville en compte d’ailleurs près de 2.000. L’influence des jardins japonais s’est étendue partout dans le monde au fil des années.

Considérée comme la capitale culturelle du Japon, la ville a engagé depuis 2015 de nombreux travaux en vue des Jeux olympiques de Tokyo de 2020. Classée au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1994, Kyōto est considérée comme une des merveilles du Japon.

© Kanenori CCO

La Porte d’Itsukushima au Japon livre tous ses secrets

 

Le sanctuaire Itsukushima (Itsukushima-jinja) est le lieu saint incontournable du shintoïsme au Japon. Il est situé sur l’île de Miyajima (l’île du Sanctuaire). Composé de plusieurs bâtiments architecturalement surprenants, l’édifice fait preuve d’une touche artistique développée et travaillée. C’est le contraste de son rouge vif sur cette eau turquoise qui saisit. Entouré d’une forêt dense, le sanctuaire se fond harmonieusement parmi le panorama.

Son nom lui vient de l’ancien nom de l’île, autrefois appelée île Itsukushima. Son architecture est très marquée par l’époque Heian et, malgré les multiples destructions dont il a été victime, notamment en 1555 pour marquer une défaite militaire, il fut toujours reconstruit à l’identique. La Porte d’Itsukushima est aussi le dôme du Parc du mémorial de la paix à Hiroshima.

Sa beauté architecturale, son histoire et son empreinte culturelle placent le sanctuaire d’Itsukushima comme l’une des merveilles du Japon. En 1996, la Porte d’Itsukushima se classe parmi les monuments sacrés, dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

© Jordy Meow CC BY-SA 3.0

Nikkō et la forêt sacrée

 

À 150 km au nord de Tokyo, Nikkō est une ville à flanc de montagne très réputée et très visitée. Les sanctuaires et les temples de Nikkō sont entourés par une immense forêt. Ce cadre naturel ordonné recèle des parcelles d’art constituant la richesse culturelle de l’empire japonais.

Composé de 300 édifices, les sanctuaires et temples de Nikkō reflètent un niveau artistique très élevé, comme il est de coutume au Japon. Particulièrement colorés et parfois recouverts de feuilles d’or, ils relèvent de plus de cinquante styles architecturaux différents. Ce sont officiellement des « Trésors nationaux » et des « Biens culturels importants ».

Nikkō révèle le sanctuaire shinto Tōshō-gū, construit par les artisans les plus célèbres de l’époque, ainsi que les temples Rinnō-ji et Futarasan (Futarasan-jinja), bâtis au VIIIe siècle par le moine Shōdō Shōnin, à l’origine du bouddhisme dans cette région.

Classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999, la ville de Nikkō est considérée comme une des merveilles du Japon.

© rudiuk, Fotolia

L’extraordinaire forêt de Yakushima

 

Cette forêt tempérée chaude, et sempervirente (toujours verte, donc), sur l’île montagneuse presque circulaire de Yakushima. À 60 km au large de la pointe sud de l’île de Kyushu, dans l’extrémité sud-ouest de l’archipel japonais, elle se trouve à l’interface des régions paléarctiques et orientales. Des montagnes de près de 2.000 m de hauteur dominent l’île, et la forêt se trouve en son centre, avec des ramifications vers le sud, l’est et l’ouest jusqu’à la côte.

L’écosystème insulaire de Yakushima est unique dans la zone tempérée de l’hémisphère nord. La distribution verticale des plantes va de la végétation côtière, avec des éléments subtropicaux à une forêt pluviale tempérée de montagne puis à des marais d’altitude et enfin à des prairies tempérées froides de bambous sur les pics centraux.

À l’échelle mondiale, la forêt de Yakushima est spécifique, en raison de son écosystème particulier, avec des rhéophytes et des épiphytes abondants, adaptés aux fortes précipitations, supérieures à 8.000 mm par an. Elle accueille quelque 1.900 espèces et sous-espèces de flore, 16 espèces de mammifères et 150 espèces d’oiseaux. On y trouve le cèdre du Japon (Cryptomeria japonica) et une forêt vierge composée d’arbres appelés Yakusugi, qui ont plus de mille ans d’âge.

© Unesco

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12 façons remarquables dont l’humanité a respecté la nature à l’aide de l’architecture.


Généralement, lors d’une construction d’un bâtiment, tout ce qui est sur le terrain est enlevé, les plantes, les arbres. Pourtant d’autres préfèrent utiliser la nature pour l’incorporer à l’architecture de leurs bâtiments
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12 façons remarquables dont l’humanité a respecté la nature à l’aide de l’architecture.

 

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Le Saviez-Vous ► Les Jeux olympiques antiques : les sports qui ont disparu


Les Jeux olympiques d’hiver sont finis, il y a eu des perdants et des gagnants dans diverses disciplines. Ces compétitions existent depuis l’antiquité et à travers le temps certains sports ont été exclus pour certaines raisons comme les courses de char (avec chevaux) qui ne font plus partie de notre temps, ou encore par manque d’intérêt ou par cruauté. Les plus surprenants qui ont exister comme disciplines furent les épreuves artistiques en musique, littérature, sculpture, peinture et architecture
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Les Jeux olympiques antiques : les sports qui ont disparu

 

Pascal Boutreau
Journaliste

 

Course de chars

C’était l’événement le plus attendu des Jeux olympiques antiques, dès 680 avant J.-C. Sur des chars menés par des attelages de deux ou quatre chevaux, les courses étaient émaillées de nombreux accrochages, de quoi ravir le public.

Pancrace

Scène de pancrace peinte sur un kylix. Le lutteur de droite essaie de crever l'œil de son adversaire. L’arbitre intervient avec un fouet pour sanctionner la faute. © Domaine public

Scène de pancrace peinte sur un kylix. Le lutteur de droite essaie de crever l’œil de son adversaire. L’arbitre intervient avec un fouet pour sanctionner la faute. © Domaine public

Les actuels combattants du très controversé « ultimate fight » auraient connu leur heure de gloire lors des Jeux olympiques antiques avec la discipline du pancrace, une sorte de lutte où l’arrachage des yeux et les morsures constituaient les seules limites.

Course en armes

Lors des premières éditions vers 520 avant J.-C, les participants étaient équipés d’un casque, d’une armure et d’un bouclier. Plus tard, ils furent autorisés à ne porter qu’un bouclier. L’épreuve se disputait sur la distance de deux « stades », soit environ 386 mètres, à Olympie. Leonidas fut un des grands noms de cette discipline.

 

Jeux olympiques : les disciplines qui ont disparu depuis 1924

Croquet

En 1900, dans le Bois de Boulogne, se dispute une épreuve de croquet. C’est dans cette discipline que l’on note la présence pour la première fois aux Jeux olympiques de femmes. Les compétitions n’attireront qu’un seul spectateur payant.

Pelote basque

Même si seulement deux équipes participèrent au tournoi en 1900 à Paris, la pelote basque a bel et bien connu sa consécration olympique, sur un fronton installé à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Elle reviendra même comme sport de démonstration en 1924, 1968 et 1992.

L’équipe de police de Londres, vainqueurs du tir à la corde aux Jeux olympiques de Londres de 1920. © Domaine public

L’équipe de police de Londres, vainqueurs du tir à la corde aux Jeux olympiques de Londres de 1920. © Domaine public

Tir à la corde

De 1900 à Paris jusqu’à 1920, à Anvers, des compétitions de tir à la corde sont inscrites au programme olympique. Les équipes étaient composées de six tireurs. Une équipe de Danois et  de Suédois remporta la première médaille d’or face à la France.

Ski-joering

Une course de skieurs tractés par des chevaux, tel est le principe du ski-joëring, épreuve présente en démonstration aux Jeux d’hiver de Saint-Moritz, en 1928. La discipline existe toujours aujourd’hui, mais n’a vécu qu’une seule expérience olympique.

Architecture, Littérature, Musique, Peinture, Sculpture
Sous l’impulsion du Baron Pierre de Coubertin, des épreuves artistiques sont introduites au programme olympique de 1912 (Stockholm) à 1948 (Londres). Des médailles d’or sont ainsi distribuées dans cinq « disciplines » pour les créateurs d’œuvres d’art ayant un rapport avec le sport
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Tir aux pigeons vivants et pêche


Si le skeet (une sorte de ball-trap) est au programme des Jeux olympiques actuels, il fut un temps où les pigeons vivants tenaient la place des disques d’argile d’aujourd’hui. Ainsi, en 1900 à Paris, 300 pigeons furent abattus dont 21 par le Belge Leon de Lunden, vainqueur du jour. Si elle n’eut jamais le statut officiel de sport olympique, la pêche fut discipline de démonstration en 1900 avec un concours organisé sur l’île aux Cygnes, près de la Tour Eiffel. 881 poissons furent remontés de la Seine par les 600 concurrents.

Polo à bicyclette

Comme la pêche, le polo à bicyclette dût se contenter du rang de sport de démonstration, en 1908 à Londres. À l’instar du polo à cheval, les participants étaient équipés d’un maillet et devaient marquer des buts.

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Le Vieux-Québec recréé en Chine


Un coin du vieux Québec sera construit près de Shanghai en Chine ayant d’une superficie de 3 km carré. Nous avons bien des quartiers chinois, alors pourquoi pas un quartier québécois chez eux
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Le Vieux-Québec recréé en Chine

 

 

Le Château Frontenac par un après-midi de novembre, lors du coucher du soleil. Le ciel couvert porte des teintes roses annonciatrices de précipitations.

Le Château Frontenac Photo : Radio-Canada/Daniel Coulombe

Un projet immobilier inspiré du Vieux-Québec et du Château Frontenac pourrait voir le jour en Chine dans la ville de Qidong, située à une centaine de kilomètres de Shanghai.

La firme d’urbanisme montréalaise WAA International fait partie des groupes qui planchent sur le concept qui sera présenté aux autorités locales d’ici la fin de l’année dans le cadre d’un concours d’architecture.

C’est le développeur immobilier PC Group qui a mandaté quelques firmes à travers le monde pour développer le secteur de la ville à saveur québécoise. Le tout devrait être achevé en 2022.

En plus d’un hôtel qui ressemblerait au célèbre Château, le projet prévoit la construction de résidences privées, d’écoles et de salles de spectacles sur une superficie de trois kilomètres carrés.

« Même nos clients chinois qui ont un bureau ici à Montréal, on parlait avec eux durant la préparation de ce projet dans son volet initial et il y a une fascination envers la culture québécoise et le français aussi », mentionne Ziad Haddad de WAA International.

http://ici.radio-canada.ca

Le Saviez-vous ► Palmyre, un site historique unique au monde


Personnellement, je m’inquiète plus des victimes de l’État Islamique qui pour moi, combattent pour de faux prétextes, cependant, je trouve dommage que les vestiges du passé soient détruits pour les leçons d’histoire de la civilisation
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Palmyre, un site historique unique au monde

Photo: OSEPH EID/AFP/Getty

La fiancée du désert:

(Source)

Perle du désert, Fiancée du désert ou Venise des sables, la cité antique de Palmyre, située en marge du désert de Syrie, a eu beaucoup de surnoms au fil du temps. Elle a en effet été construite à un endroit stratégique au nord-est de l’actuelle ville de Damas, où se trouvaient des sources d’eau, propres aux oasis, qui pouvaient alimenter les chameaux venant ou quittant vers l’Asie en passant par le désert syrien. Elle a été une zone d’arrêt pour les caravanes dès le 3ème millénaire avant notre ère et portait jadis le nom de Tadmor, soit la cité des dattes. 

(Source)

Plus le commerce s’est accru en Méditerranée au cours de l’Antiquité, plus des points d’arrêts avant de continuer sur la mythique route de la soie devinrent importants. Le site de Palmyre devint ainsi le carrefour des rencontres commerciales entre l’Orient et l’Occident pour des produits comme la soie, mais aussi les épices.

Un mélange culturel unique:

Bas-relief funéraire
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Source)

Cette position géographique stratégique finit par intéresser l’Empire romain qui avait établi un commerce de luxe avec l’Orient, échangeant du verre, des métaux et du vin contre les soieries et les précieuses épices. C’est au 1er siècle de notre ère, dans les sources romaines, que l’oasis commença à être connue sous le nom de Palmyre, la cité des palmiers. Elle fut annexée à l’Empire romain sous Tibère en l’an 14 et devint ainsi une alliée économique de l’Empire romain. 

Le majestueux théâtre, tel qu’il était avant décembre
(
Source)

Les fouilles archéologiques à Palmyre sont importantes pour comprendre cet important commerce de l’Empire romain, pour lequel nous manquons d’informations. Par cette alliance avec la puissante Rome, Palmyre devint une cité très riche, qui chargeait des taxes sur les produits qui transitaient sur son territoire en échange d’eau et parfois du gite pour les commerçants voyageurs. Elle développa de ce fait une architecture monumentale et fabuleuse, avec des monuments colorés à l’origine, qui témoignait de sa richesse et de sa puissance. Palmyre est un site historique unique à cet égard car les monuments mélangent un style à la fois oriental (persan-phénicien) et gréco-romain. Temples dédiés à des divinités orientales comme Bel, une longue colonnade de 1.1 kilomètres faite de colonnes massives de plus de 9 mètres, un théâtre romain gigantesque et des tombes témoignant de la richesse des habitants, le site de Palmyre offre une vue inégalée sur un passé luxueux en plein désert.

L’état des destructions:

Photo: AP

Depuis l’occupation du site par l’État islamique en 2015, plusieurs des joyaux de Palmyre ont hélas été détruits et endommagés, incluant le musée. Malgré tout, l’UNESCO estimait au printemps que 80% du site était encore en état. Ce n’est hélas plus le cas. L’organisation a repris le site à la mi-décembre et depuis quelques jours, les images satellites confirment les craintes des spécialistes du site: le théâtre, qui était encore intact, a été sérieusement mutilé, soit par des pioches et/ou des explosifs. 

(Source)

Le tétrapyle, cette structure de 16 colonnes qui servait à marquer un carrefour de rues, semble avoir été détruit en grande partie également. 

L’objectif de l’État islamique est entre autres d’effacer la mémoire d’un passé qui ne correspond pas à leur vision. La meilleure arme dans un tel cas reste de s’intéresser davantage à l’histoire de ces sites marquants du patrimoine de l’humanité, afin que le souvenir des grands bâtisseurs et commerçants de l’Antiquité ne meurt jamais…

Spécialisée en histoire ancienne, Evelyne Ferron

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26 ponts parmi les plus magnifiques du monde


Il y a des ponts qui sont des oeuvres architecturales vraiment magnifiques. Ces ponts viennent de divers pays et valent vraiment le coup d’oeil
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26 ponts parmi les plus magnifiques du monde

 

Le pont Rakotz, Allemagne

Le pont Lune, Taipei, Taïwan

Le pont Stari Most, Mostar, Bosnie-Herzégovine

Le pont du Diable, Rhodopes, Bulgarie

Le pont Huangshan, Chine

Les chutes de Multnomah, Oregon, Etats-Unis

Le viaduc de Glenfinnan, Ecosse

Le pont Gaztelugatxe, Espagne

Le Pont Neuf, Ronda, Espagne

Le pont sur la Merced, Yosemite, Etats-Unis

Le pont Massif du Pinde, Grèce

Le pont en racines, Cherrapunji, Inde

Le pont Gobbo, Robbio, Italie

Le pont Mullerthal, Luxembourg

Les cascades Låtefossen, Norvège

Le pont Hermitage, Ecosse

Le pont Tollymore, Royaume-Uni

Les gorges de l’Areuse, Suisse

Le pont Gapstow Bridge, New York, USA

Gateshead Millennium Bridge (Newcastle, UK)

Pont du gard

Ponte-VecchioPonte Vecchio (Florence, Italie)

Rainbow-Bridge

Séoul

Viaduc de Millau (Millau, France)

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La première ville-forêt se construit en Chine


Je trouve l’idée vraiment intéressante cette ville forêt, et une manière d’harmoniser la nature et la ville. Sûrement que cette ville sera pour des personnes aisées. Peut-être qu’un jour, les grandes villes verront l’avantage de ne pas tout détruire pour du béton
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La première ville-forêt se construit en Chine

 

Xavier Demeersman

Journaliste

 

Le chantier de la première ville-forêt vient de commencer. Imaginée par Stefano Boeri Architetti, connu pour ses tours écologiques, la future cité se situera dans le sud de la Chine et pourra accueillir 30.000 habitants dès 2020. Pas un seul bâtiment ne sera sans végétation, c’est la grande innovation du projet explique le cabinet.

C’est dans le sud de la Chine, dans la région montagneuse de Guangxi, que la première ville-forêt du monde va voir le jour. Ce chantier inédit qui vient de commencer — et devrait être achevé en 2020 — a été pensé par le cabinet de l’architecte italien Stefano Boeri connu, entre autres, pour les tours ou « forêts verticales » qu’il sème dans de multiples villes à travers le monde (citons par exemple la Green River à Milan, la jungle de l’aéroport de Pudong et les tours écologiques de Nanjing, Shanghai, Shenzhen…).

Cette évolution de l’architecture urbaine est portée par plusieurs architectes, comme Vincent Callebaut. L’objectif est d’améliorer le confort, de gagner en autonomie énergétique et, particulièrement en Chine, de rendre l’air des villes plus respirable…

À Liuzhou Forest City, il n’y aura pas un seul bâtiment qui ne sera pas couvert de végétation. © Stefano Boeri Architetti

À Liuzhou Forest City, il n’y aura pas un seul bâtiment qui ne sera pas couvert de végétation. © Stefano Boeri Architetti

Plus de 40.000 arbres dans la ville-forêt

C’est au nord de la municipalité de Liuzhou (qui a passé la commande), le long de la rivière Liujiang, que la ville sortira de terre. Différents types de bâtiments et de services sont prévus : sur les quelque 175 hectares qu’elle occupera, se trouveront des bureaux, des hôtels, des centres commerciaux, des écoles, des hôpitaux et bien sûr de nombreuses habitations.

Le cabinet d’architecture assure qu’elle pourra « accueillir 30.000 habitants, absorber environ 10.000 tonnes de CO2 et 57 tonnes de polluants par an, et produire approximativement 900 tonnes d’oxygène. »

Mais ce n’est pas tout, Liuzhou Forest City se veut aussi un modèle d’urbanisme autosuffisant en énergie grâce, à la fois, à la géothermie et une multitude de panneaux solaires.

La ville-forêt sera reliée à Liuzhou par une ligne rapide utilisée par des voitures électriques. © Stefano Boeri Architetti

La ville-forêt sera reliée à Liuzhou par une ligne rapide utilisée par des voitures électriques. © Stefano Boeri Architetti

Enfin, la végétation sera partout. Pas seulement le long des rues ou dans les jardins publics… Comme le montrent les dessins réalisés par les architectes, ils couvriront chaque bâtiment :

« c’est la grande innovation de ce projet ».

Pas moins de 40.000 arbres seront ainsi plantés et, avec eux, un million de plantes d’une centaine d’espèces différentes.

L’idée est non seulement d’absorber le dioxyde de carbone mais aussi d’abaisser la température, d’amenuiser la pollution sonore et bien sûr d’accueillir et favoriser la biodiversité de la région. Une ville du futur audacieuse et respectueuse de l’environnement comme on en rêverait, est en train de naître.

http://www.futura-sciences.com