Arctic World Archive: une bibliothèque de la fin du monde pour sauvegarder la connaissance en cas d’apocalypse


Vous avez sûrement entendue parler de l’arche de Noé en Norvège qui protège des graines et plantes du monde entier et qui a d’ailleurs servi à cause du conflit Syrien. Bien, ils veulent récidiver avec une autre arche au même endroit, mais pour la connaissance mondiale au cas … Cela me rappelle le film « La machine à explorer le temps » réalisé par Simon Wells. Ce qui fait que je me demande si dans quelques centaines d’années ou moins, il sera possible de consultés ces archives qui seront obsolète ou à moitié disparus.. Mais bon, je trouve que ce projet est important à réalisé
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Arctic World Archive: une bibliothèque de la fin du monde pour sauvegarder la connaissance en cas d’apocalypse

 

Le HuffPost  |  Par Grégory Rozières

    Et si la fin du monde était pour demain? Bon, d’accord, cela fait un peu alarmiste, mais avec l’élection de Donald Trump, l’horloge de l’apocalypse n’a jamais été aussi proche de minuit depuis 1953 et le début de la course à l’armement nucléaire.

    Il serait peut-être temps de penser à stocker nos connaissances. Juste au cas où. C’est en tout cas ce que propose la société norvégienne Piql, qui a ouvert lundi 27 mars une sorte de gigantesque bibliothèque sécurisée, cachée sous une montagne sur l’île du Spitzberg, à 1000 km du pôle Nord.

    L’idée: permettre aux gouvernements, organisations, mais aussi aux entreprises et particuliers de copier leurs informations et données les plus importantes dans un lieu sûr, précise LiveScience.

    Cet « Arctic World Archive sera un héritage digital de données précieuses pour le monde », affirme la société dans un communiqué.

    Physiquement, le lieu de stockage est une partie d’une ancienne mine désaffectée qui héberge déjà une autre arche de Noé: la Réserve mondiale de semences du Svalbard.

    Celle-ci, créée en 2008, contient 541 millions de graines de plus de 843 000 espèces différentes de plantes et se situe dans une zone démilitarisée.

    Elle a d’ailleurs servi lors du conflit syrien, pour reconstituer les stocks dans les pays voisins de la Syrie, dévastés par la guerre.

    Des données stockées… sur une pellicule photo

    L’Arctic World Archive veut faire la même chose, mais avec toutes sortes de données. Textes, photos, vidéos, peu importe. Mais si la Réserve mondiale de semences est non lucrative et financée par la Norvège et des ONG internationales, ce n’est pas le cas de cette bibliothèque de la fin du monde.

    Contactée par Le HuffPost, la société a confirmé que le stockage de données est payant, même si l’initiative est avant tout destinée à « sauvegarder les informations mondiales ». Pour autant, Piql affirme ne pas encore pouvoir communiquer le prix du billet d’entrée.

    Pour l’instant, l’Arctic World Archive est hébergé par la Réserve mondiale de semences. Mais Piql prévoit justement d’aménager une zone à part, avec sa propre porte d’entrée.

    Les gouvernements brésiliens et mexicains ont déjà archivé quelques éléments de leur histoire, comme leur constitution. Des représentants brésiliens et mexicains étaient justement présents pour l’ouverture, le 27 mars.

    Des QR codes sur des microfilms

    Le système de stockage est d’ailleurs bien particulier. Les données ne sont pas archivées sur des disques durs, mais « imprimées » sur des films photosensibles, comme les pellicules des appareils photos argentiques. C’est la spécialité de Piql, fondée en 2002.

    « Nous enregistrons des données comme des gros QR codes sur des films », explique Rune Bjerkestrand, le PDG, à LiveScience.

    L’idée: un stockage physique de ce type implique qu’il est impossible de modifier les données sauvegardées. De plus, ce nouveau type de microfilm est conçu pour se conserver au moins 500 ans.

    Il y a évidemment une contrepartie: la taille. Ainsi, une bobine de 40 cm de diamètre ne peut stocker que 120 Go de données. C’est peu, quand on sait qu’une carte microSD de la taille d’un ongle dispose de deux fois plus d’espace.

    PiqlFilm with digital data


http://quebec.huffingtonpost.ca/

147 animaux dans leur 4 et demi L’Arche de Noé de Longueuil menacé


Je peux comprendre le couple qui veut de leur appartement soit un refuge pour les animaux qui seraient probablement voués a l’euthanasie, mais avoir un tel nombre dans un appartement n’est pas vraiment ce qui est mieux et ce même si le couple s’en occupe bien. S’ils permettent a ce couple de garder autant d’animaux, d’autres voudrons faire la même chose et les animaux seraient peut-être négligés. Pour un tel refuge, la campagne serait idéal
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147 animaux dans leur 4 et demi  : L’Arche de Noé de Longueuil menacé

 

 

L'Arche de Noé de Longueuil menacé

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, ANNE-LOVELY ETIENNE
Mélanie Desfosses et Ian Paquette, le couple qui possède 147 animaux

Mélanie Desfosses et Ian Paquette, le couple qui possède 147 animaux.

Le couple de Longueuil qui accueille 147 animaux dans son 4 1/2 risque d’être obligé de se débarrasser de la majorité de ses petites bêtes. Des plaintes de citoyens auraient mené la police de la Ville de Longueuil à ouvrir une enquête.

«Quand la police est arrivée à l’animalerie pour questionner mon conjoint et moi sur nos animaux, ça a été angoissant. De plus, lorsqu’ils nous ont dit que nous devions nous défaire de nos animaux, mes jambes ont cédé. Pour moi, c’est comme enlever à une mère ses enfants», dit avec émoi Mélanie Desfosses.

Comme nous le rapportions dans le Journal, elle et son conjoint Ian Paquette ont créé un véritable refuge dans leur appartement.

M. Paquette raconte que la police de la Ville de Longueuil est arrivée à l’improviste sur leur lieu de travail. On les aurait alors informés que les gens n’ont droit qu’à deux animaux par foyer.

«Les policiers nous ont dit que les plaintes sont arrivées à la suite de la parution de l’article dans le Journal. Après la visite d’un inspecteur, on nous donnait un mois pour vider l’appartement», explique Mme Desfosses.

Le couple soutient que si le chiffre de 147 animaux paraît élevé, il comprend dans les faits une centaine de poissons.

«Dans le règlement municipal, les poissons ne sont pas pris en compte. Pour mon chien et mes trois chats, je suis en règle, car le règlement stipule le droit à deux chiens et trois chats par habitat. Pour les autres que je sauve, on pourrait avoir le bon sens de me les laisser», déplore Mme Desfosses.

Le couple confie avec tristesse qu’abandonner ses animaux équivaut à en condamner une bonne partie à l’euthanasie.

Des voisins témoignent

Pourtant, les voisins immédiats du couple ne se plaignent pas de la présence de la ménagerie.

«Je ne sens et je n’entends rien. C’est tranquille malgré la présence des animaux. Je n’ai rien à dire», confirme Caroline Desautels.

Sylvain Lefèbvre, son conjoint, trouve que rescaper les animaux est une action louable. Il lève son chapeau au couple qui consacre temps et argent à sauver des petites bêtes abandonnées.

«Je ne sais pas qui se plaint, mais ceux qui se plaignent sont des gens qui n’ont rien à faire. C’est chialer sans savoir», exprime M. Lefèbvre.

Aucune loi

Il y a un grand manque de protection pour les animaux exotiques. La loi provinciale T42 qui protège tous les animaux, exclut les animaux exotiques et leur commerce. Il y a beaucoup de lacunes pour protéger les reptiles», explique Alanna Devine, directrice de la défense des animaux à la SPCA.

Selon Mme Devine, le problème n’est pas dans la quantité d’animaux par habitat, mais plutôt la qualité des soins prodigués à ces animaux.

«La SPCA est contre le fait de limiter le nombre d’animaux sauf s’il y a nuisance, négligence ou violence faite aux animaux», conclut Mme Devine.

La police de Longueuil n’a pas répondu à nos nombreuses demandes de renseignements sur d’éventuelles poursuites dans ce dossier.


Il est obligatoire d’obtenir une licence de la Ville de Longueuil pour la garde d’un chien.

La Ville de Longueuil interdit la possession de plus de 5 animaux de compagnie dans une propriété.

La Ville de Longueuil stipule le droit à deux chiens et trois chats par habitat.

La Ville de Longueuil ne comptabilise pas les poissons.

La Ville de Longueuil interdit la possession d’un animal exotique en territoire québécois tels qu’un tigre, un léopard, un lion, une panthère ou un crocodile.

500 000 animaux sont abandonnés chaque année au Québec.

http://www.journaldemontreal.com

L’ADN, arche de Noé des espèces disparues?


La science veut aller très loin pour ressuscité des espèces disparues, voir quelques milliers d’années. Alors quel est notre responsabilité face à cette science. Faire revivre le tigre à dent de sabre, quelle sera l’impact pour l’environnement, sera-t-il une espèce invasive où il mourra faut de s’adapter. Ces chers savants ne seraient-ils pas mieux de s’occuper des espèces existantes qui sont en danger au lieu de faire revivre des animaux d’un passé révolu
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L’ADN, arche de Noé des espèces disparues?

 

Des troupeaux de mammouths piétinant de nouveau le sol sibérien? Ce  n'est pas... (Photo: Mopic)

PHOTO: MOPIC

MARIETTE LE ROUX
Agence France-Presse
Paris

Des troupeaux de mammouths piétinant de nouveau le sol sibérien? Ce n’est pas un mauvais remake de Jurassic Park, mais un exploit à la portée des généticiens, dont certains pensent pouvoir ressusciter des espèces disparues depuis des décennies, voire des millénaires, grâce à leur ADN.

Voici 60 ans, le 25 avril 1953, Francis Crick et James Watson décrivaient pour la première fois dans une étude la structure de l’ADN (acide désoxyribonucléique), la fameuse molécule en forme de doubles hélices renfermant le patrimoine génétique de toute forme de vie.

Aujourd’hui, certains experts utilisent cette clef pour faire sauter le verrou du vivant et tenter de cloner des espèces éteintes à partir de vieux échantillons conservés dans les muséums.

Le mois dernier, des scientifiques du projet australien «Lazare» ont annoncé avoir récupéré des «noyaux morts» dans les cellules d’une étrange petite grenouille, considérée comme éteinte depuis 1983, pour les injecter dans la cellule énucléée d’une cousine éloignée, bien vivante celle-là.

Surgelé depuis 40 ans, ce matériel génétique de la grenouille Rheobatrachus silus est revenu à la vie, comme le Lazare biblique. Certaines cellules d’oeufs ainsi bricolées ont commencé à se multiplier pour former des débuts d’embryons.

Certes, les embryons clonés ont tous péri en quelques jours, mais les chercheurs restent convaincus de pouvoir accomplir le miracle de la «dé-extinction» de cette grenouille.

«Pour la grenouille, ça pourrait prendre un ou deux ans. Pour un mammouth, peut-être 20 ou 30 ans, peut-être moins», estime Hendrik Poinar, spécialiste de la génétique de l’évolution et de l’ADN ancien à l’université canadienne McMaster, interrogé par l’AFP sur cette nouvelle mode des biotechnologies.

Car la liste ne s’arrête pas là: le tigre de Tasmanie, un marsupial carnivore aux allures de loup zébré rayé de la carte dans les années 1930, l’oiseau dodo, disparu depuis la fin du XVIIe siècle…

La dé-extinction compte déjà un succès à son actif: en 2009, un bouquetin des Pyrénées avait été cloné à partir de cellules provenant du dernier représentant de cette espèce, mort en 2000.

Un succès mitigé toutefois, car le bébé, porté par une chèvre domestique, était mort au bout d’une dizaine de minutes en raison d’une malformation des poumons.

Malgré ces difficultés et les limites du clonage par transfert de noyau de cellule adulte, les biologistes impliqués dans ces projets restent confiants. Et ils peuvent toujours espérer un jour intervenir directement au niveau du génome, c’est-à-dire insérer des bouts d’ADN caractéristiques d’un animal disparu dans le génome d’une espèce très proche.

Ramener à la vie des dinosaures, disparus voici 65 millions d’années, comme dans le film de Steven Spielberg restera inenvisageable, car leur ADN est trop dégradé. Mais les spécialistes pensent tout de même pouvoir remonter jusqu’à 200 000 ans en arrière dans l’arbre de l’évolution.

Largement suffisant pour ressusciter des tigres à dents de sabre ou l’homme de Neandertal…

«J’imagine que s’il n’y avait aucune loi ou morale contre ça, on pourrait repeupler de vastes étendues de Sibérie avec des mammouths et des lions des cavernes», déclare Hendrik Poinar.

«La vraie question c’est: « Est-ce qu’on doit le faire? »»

«Un animal est plus que son génome»

Carrie Friese, sociologue à la London School of Economics, redoute que cette course à l’exploit scientifique ne laisse l’éthique sur le bord du chemin.

«Je crains qu’on pense davantage à la possibilité de réussir qu’à ce qu’on fera de l’être vivant qui en résultera», dit-elle.

«Un animal est plus que son seul génome», tout n’est pas inscrit dans son ADN alors comment fera-t-il pour apprendre à se nourrir, chasser, voler…?

Bref, «comment un dodo apprend-il à devenir un dodo?», ajoute Carrie Friese.

Hank Greely, spécialiste de la bioéthique à l’Université américaine de Stanford, reste très enthousiaste à l’idée de pouvoir ressusciter une espèce.

«La meilleure raison de le faire, c’est tout simplement que ce serait formidable, vraiment très cool», dit-il, évoquant aussi des bénéfices potentiels pour la science et la biodiversité.

Mais pas à n’importe quel prix, insiste le chercheur.

En effet, de nombreuses espèces ayant disparu en même temps que leur milieu naturel, leur progéniture clonée n’aurait nulle part où aller et deviendrait fatalement des bêtes de zoo.

Au pire, les espèces ressuscitées pourraient même devenir «invasives» et recoloniser certains milieux, au détriment d’autres espèces menacées, mais toujours bien vivantes, elles.

«La dé-extinction est une application particulièrement intrigante du contrôle croissant que nous avons sur le vivant. Nous pensons que cela va arriver. La question la plus intéressante et la plus importante qui se pose, c’est comment l’humanité va s’y prendre», concluaient récemment Hank Greely et son collègue Jacob Sherkow dans un article sur le sujet.

http://www.lapresse.ca

Différence entre le Titanic et l’Arche de Noé


On parle beaucoup du Titanic alors voici une citation pour l’occasion, C’est comme bien des choses .. y’a des gens qui ont pleins de diplômes, de cartes de compétences mais pour le travail bien fait on passera !!
Nuage

Différence entre le Titanic et l’Arche de Noé

 

« N’oubliez jamais que ce sont des professionnels qui ont construit le Titanic et des amateurs l’Arche de Noé. »

Anonyme

Un tour du monde des animaux avec Antoine


Faire le tour du monde a la chasse d’image de la nature est une des plus belles activités que l’on puisse faire. Ici un très bon photographe a mit son don a l’oeuvre pour nous présenter les animaux dans leur environnements .. Des images spectaculaires de toutes beautés
Nuage

 

Un tour du monde des animaux avec Antoine

antoine au paradis des animaux 

Dans son livre « Au paradis des animaux », le voyageur Antoine nous invite à découvrir les bêtes qui constitueraient son « arche de Noé » idéale. Ce wallaby, un kangourou de petite taille ici rencontré en Tasmanie, s’est approché d’Antoine alors qu’il filmait. Comme ce petit curieux, la plupart des animaux du livre sont venus d’eux-mêmes vers notre voyageur. © Antoine


La sterne paradis, un ange dans le ciel

la sterne paradis, un ange dans le ciel

© Antoine


Les lémuriens se chauffent au soleil

les lémuriens se chauffent au soleil

© Antoine


Les incroyables couleurs du guêpier

le guêpier

© Antoine


L’ornithorynque, un mystère de la nature

l'ornithorynque, un mystère de la nature

© Antoine


Le sourire du Sifaka

le sourire du sifaka

© Antoine


Le masque du fou aux pieds rouges

le masque du fou aux pieds rouges

© Antoine


Les lionnes à l’abreuvoir

lionnes

© Antoine


La blanche silhouette du Beluga

beluga

© Antoine


Les récifs de corail dur

les récifs de corail dur

© Antoine


La bonne tête du lamantin

la bonne tête du lamantin

© Antoine

 

 

http://www.linternaute.com/