Vous avez peur des araignées? Regardez «Spider-Man»


C’est une étude faite sur un petit groupe, mais les recherches vont se poursuivre pour lutter contre certaines phobies comme l’arachnophobie. Grâce à certains films de Marvel, comme Spider-Man, cela pourrait être un outil bénéfique pour réduire la peur des araignées.
Nuage

 

Vous avez peur des araignées? Regardez «Spider-Man»

 

Les personnes qui ont participé ont été divisées en quatre groupes de visionnage dont deux chargés de regarder des extraits liés à leurs phobies. | Max Kleinen via Unsplash

Les personnes qui ont participé ont été divisées en quatre groupes de visionnage dont deux chargés de regarder des extraits liés à leurs phobies. | Max Kleinen via Unsplash

Repéré par Hakim Mokadem

Une étude menée sur près de 400 personnes a permis de découvrir que certains films Marvel pourraient réduire des phobies.

Une étude publiée dans la revue Frontiers in Psychiatry a montré que regarder quelques minutes d’un des films de la saga Spider-Man et Ant-Man pourrait réduire l’arachnophobie.

Ces travaux, menés par des chercheurs des universités Bar-Ilan et d’Ariel en Israël, se sont appuyés sur la théorie selon laquelle l’exposition à des phobies spécifiques pourrait contrecarrer des peurs irrationnelles.

Sept secondes de film nécessaires

Les professeurs Menachem Ben-Ezra et Yaakov Hoffman ont diffusé des extraits de sept secondes tirés des films Spider-Man et Ant-Man auprès de 424 personnes. L’objectif était de déterminer les effets de ces productions sur les phobiques des araignées et des fourmis.

Les scientifiques ont ainsi découvert que la vue d’un court extrait d’un film contenant des images de ces animaux pouvait diminuer les phobies de 20%.

«Être exposé pendant sept secondes à une phobie spécifique à un insecte dans un contexte positif réduit le niveau des symptômes de la phobie», ont-ils écrit dans leur enquête.

Les films de super-héros seraient connus pour avoir des effets psychologiques globalement positifs et ces récents résultats scientifiques pourraient ouvrir une nouvelle voie dans la thérapie cognitive, estime le professeur Ben-Ezra. Son collègue Hoffman a même suggéré qu’utiliser des images de films ou de bandes dessinées pourrait être plus efficace que l’usage de la réalité réelle ou virtuelle pour traiter une phobie.

L’équipe a affirmé qu’elle poursuivrait ses recherches dans ce domaine et qu’elle examinerait ensuite les effets des films Marvel sur les personnes souffrant du syndrome de stress post-traumatique.

http://www.slate.fr/

Arrêtez de tuer les araignées qui se trouvent dans votre maison


Les araignées dans nos maisons sont des prédateurs utiles pour tous autres insectes nuisibles. Elles permettent en effet de s’occuper de notre logement le plus discrètement possible. Il arrive parfois qu’elles se font prendre par l’humain et au lieu de la considérer comme des héroïnes au combat des méchants, elles sont chassées ou pire écrasées sans reconnaissance pour les services rendus.
Nuage

 

Arrêtez de tuer les araignées qui se trouvent dans votre maison

 

L'araignée est signe de maison saine | Lucas the spider via Youtube License by

L’araignée est signe de maison saine | Lucas the spider via Youtube License by

Repéré par Aurélie Rodrigues

Repéré sur The Independant

L’arachnophobie est l’une des peurs les plus courantes chez l’être humain: elle affecte 3,5 à 6,1% de la population.

Selon le Huffington Post, la peur des araignées serait héréditaire. Une étude menée par l‘Institut pour le cognitif humain et la science du cerveau en Allemagne révèle que

«les nourrissons âgés de six mois montrent déjà des signes de stress quand ils voient une araignée».

Pourtant, Matt Bertone, entomologiste (discipline qui étudie les insectes) et spider lover, signe un article dans The Independant où il appelle à «arrêter de tuer les araignées domestiques».

Les araignées font parties intégrantes de l’écosystème domestique: certaines se retrouvent coincées par accident et d’autres sont de simples visiteuses de courte durée.

«La plupart des espèces qui vivent à l’intérieur des maisons sont très discrètes. Elles ne sont que très rarement agressives et dangereuses», écrit Matt Bertone.

Des araignées aux petits soins de votre maison

Matt Bertone a mené une enquête dans cinquante maisons de l’État de Caroline du Nord, aux États-Unis, afin de déterminer quelles espèces d’araignées vivent sous nos toits. Il a découvert que chaque maison abritait des arthropodes: les Steatoda grossa et les araignées de cave sont les espèces que l’on retrouve le plus fréquemment.

«Ces araignées mangent tout ce qu’elles attrapent dans leur toile. La plupart du temps, elles nous rendent service en mangeant des nuisibles, des insectes porteurs de maladies et même d’autres araignées. En Afrique, il y a même des araignées domestiques sauteuses qui ont pour principale proie les moustiques remplis de sang», souligne Matt Bertone.

En somme: quand vous tuez une araignée, vous perdez un prédateur précieux dans votre maison. The Independent rappelle que même si la plupart des araignées sont venimeuses, leur venin est bien trop faible –à part celui des veuves noires et des recluses brunes– pour réellement poser des problèmes de santé aux humains.

Si vous êtes arachnophobe, il faudra éviter de déménager en Australie: pour les phobiques maladifs il sera compliqué de passer outre les 4.000 espèces qui y résident. En attendant, plutôt que de les tuer, pourquoi ne pas essayer d’apprivoiser votre peur des araignées? Vous pourrez ensuite même en adopter une comme animal de compagnie et lui apprendre à sauter sur demande.

 

http://www.slate.fr/

Mauvaise nouvelle pour les arachnophobes, on a découvert une nouvelle espèce de mygale


C’est en Colombie qu’une nouvelle araignée, une mygale a été retrouvée. Cette araignée est très différente par ses défenses et la façon qu’elles se reproduisent
Nuage

 

Mauvaise nouvelle pour les arachnophobes, on a découvert une nouvelle espèce de mygale

 

  Par Aurélien Deligne

ANIMAUX – Arachnophobes, votre peur des araignées ne va pas s’arranger en lisant cet article. Une nouvelle espèce d’araignée, de mygale plus précisément, a été découverte par une équipe de scientifiques dans le nord de la Colombie. Comme ils l’expliquent sur Zookeys le 29 juin, la « Kankuamo marquezi » a la particularité de rentrer en contact avec ses ennemis, pour leur enfoncer ses poils urticants.

« Ces poils servent de défense », explique le biologiste Carlos Perafán au New York Times. « Mais ceux-là sont différents de ce qu’on trouve habituellement sur le corps des mygales. Ils ont une pointe qui permet de pénétrer la peau et de causer des irritations », explique-t-il. C’est donc au contact de ses ennemis qu’elle se libère de son arme, alors que d’autres espèces les projettent directement sur leurs cibles.

Au moins des centaines d’espèces pas encore découvertes

Mais les chercheurs n’ont pas seulement découvert une nouvelle espèce, ils ont mis la main sur un nouveau genre. Comme l’explique National Geographic, le mâle n’a pas vraiment de pénis à proprement parler mais plutôt des sortes d’ampoules au bout des pattes avant qui lui permet le transfert des semences vers la femelle.

Son nom de « Kankuamo marquezi » a été choisi en référence aux indigènes vivant dans la montagne de Santa Marta, ou l’animal a été trouvé.

Mais selon Gustavo Hormiga, biologiste spécialisé dans les araignées à l’Université George Washington aux États-Unis, « il y a actuellement des centaines d’espèces de tarentules connues, mais il y en a au moins autant que nous n’avons encore jamais découvertes ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Vos phobies disent énormément de choses sur votre personnalité !


Très intéressant !!! Une autre façon de voir les phobies. En fait, ces phobies auraient un rapport avec notre personnalité et ne seraient pas nécessairement négatives, en autant bien sûr que ces peurs ne saccagent pas  notre existence
Nuage

 

Vos phobies disent énormément de choses sur votre personnalité !

 

Nos peurs les plus profondes sont étroitement liées à notre inconscient, et cela révèle énormément de choses sur notre vraie nature… En effet, il s’agit d’une manière pour notre cerveau de nous mettre en garde contre de nombreuses choses, et avant tout contre nous-mêmes !

De nombreux travaux dans le domaine de la psychologie ont été faits à ce sujet, et les peurs plus ou moins conscientes des individus ont passionné des générations de psychologues et de chercheurs.

Voici quelques unes des peurs les plus communes… Et ce que la psychologie dit à leur sujet.

1. Vous avez peur du noir

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être de nyctophobie, c’est-à-dire la peur du noir !

Vous êtes une personne joyeuse et positive, avec une imagination extrêmement active — bref, vous êtes un créatif dans l’âme. Vous adorez utiliser votre potentiel créatif, tant  au travail qu’à la maison.

Le noir ne vous fait pas peur en lui-même : c’est plutôt la sensation de ne pas voir ce qui se trouve en face de vous qui vous effraye. Si vous avez peur du noir, c’est avant tout parce que vous avez peur de ce que vous ne connaissez pas, de l’invisible et de ce que vous ne pouvez pas comprendre ou cerner. Vous avez probablement également peur de l’avenir, de votre futur personnel et professionnel, de la mort, des situations imprévisibles qui pourraient mal tourner…

Outre une certaine peur de l’inconnu, la peur du noir peut également être le résultat d’une imagination hyperactive ! C’est la raison pour laquelle cette peur est tellement présente chez les enfants, mais certains adultes parviennent à conserver cette imagination d’enfant. Votre cerveau crée de scénarios improbables qui pourraient se dérouler dans ce noir, une fois les lumières éteintes… Votre grand défi réside ici : parvenir à dompter votre propre imagination et à l’utiliser pour votre propre bien. Peut-être est-ce le moment de vous atteler à un projet créatif, d’écrire ce livre que vous voulez écrire depuis longtemps, de prendre des cours de photo ou de peinture… ? Bref, il est sans doute temps d’utiliser votre nature hautement créative  à son plein potentiel si vous ne le faites pas déjà !

2. Vous avez peur de vous exprimer en public

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être de glossophobie, c’est-à-dire la peur de s’exprimer en public !

Vous êtes un introverti dans le sens le plus profond du terme. Il se peut que vous n’en laissiez rien paraître aux autres, car vous avez appris à masquer votre nature à ceux qui vous entourent… Pour autant, même si c’était le cas, cela ne change rien à ce que vous êtes au plus profond de votre être. Vous aimez être seul face à vos pensées. Vous préférez avoir quelques amis avec des relations solides et sincères, plutôt que d’accumuler les relations superficielles avec un maximum de personnes.

Le docteur Sian Beilock, enseignante-chercheuse en psychologie, écrit dans la revue spécialisée Psychology Today que, « depuis plus de vingt ans, les chercheurs ne parviennent pas à comprendre pourquoi certaines personnes rayonnent littéralement lorsque tous les regards sont braqués sur eux, alors que d’autres parviennent à peine à se trainer jusqu’au micro. »

Les gens qui, comme vous,  n’aiment pas être placés sous le feu des projecteurs ont fortement tendance à être de personnes simples, honnêtes et humbles. Elles préfèrent œuvrer pour le bien commun plutôt que d’être mises en valeur et de récolter les lauriers de la gloire. Cependant, vous pouvez travailler votre timidité de manière à vous ouvrir plus encore vers le monde — car vous en valez vraiment la peine.

3. Vous avez peur des serpents 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être d’ophidiophobie, c’est-à-dire la peur des serpents !

Vous êtes un ami aimant, dévoué aux autres, et tourné vers votre famille. Vous accordez énormément de valeur aux gens qui vous entourent, et aux relations que vous entretenez avec eux. Vous êtes prêt à tous les sacrifices pour aider un ami, et vous seriez le premier à défendre vos proches lors d’une dispute.

Votre peur des serpents traduit en vérité une peur profonde de voir la vie des personnes que vous aimez être mise en danger.

Un article publié dans la revue spécialisée Psychology Today fait ainsi état que « l’une des théories expliquant [la peur des serpents] suppose que  les humains, tout comme les autres primates, sont prédisposés pour acquérir la peur des créatures qui ont par le passé menacé la vie de leurs ancêtres ».

Pour cause, les serpents sont des animaux potentiellement dangereux pour un groupe de primates, en particulier pour ses membres les plus vulnérables tels que les bébés et les jeunes individus.

Votre phobie des serpents est tout simplement une expression de votre cerveau, qui cherche instinctivement à vous protéger, vous ainsi que ceux que vous aimez, du danger.

4. Vous avez peur du sang 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être d’hémophobie, c’est-à-dire la peur du sang !

Parmi tous vos amis, vous êtes la personne la plus calme, dotée d’un tempérament sage et équilibré. Vous essayez toujours d’être zen et tempéré. Vous avez également une grande appréciation de votre propre corps, que vous percevez un peu comme le temple de votre esprit. Vous aspirez à prendre soin de votre corps, tout comme de votre esprit, comme le veut l’adage.

Cependant, votre peur du sang puise ses sources dans une peur intérieure qu’une blessure vienne endommager votre « temple ». Et assurément, vous n’êtes pas tout seul à avoir peur de cela !

Le docteur Jordan Gaines Lewis écrit ainsi que « la peur du sang et le réflexe d’évanouissement à la simple vue du sang est possiblement un réflexe primitif ancré très profondément dans le cerveau de certaines personnes. »

Votre esprit profondément conscient de votre propre  corps, en harmonie avec votre enveloppe charnelle, tente de vous protéger en vous faisant savoir que quelque chose ne va pas lorsque vous voyez du sang.

5. Vous avez peur des germes 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être de mysophobie, c’est-à-dire la peur des germes et des microbes !

Vous êtes un petit peu plus nerveux que certains de vos amis. Vous aimez que les choses soient propres, nettes et bien rangées, et vous n’appréciez pas du tout lorsque vous sentez qu’il y a du bazar dans votre vie. Perfectionniste voire un brin maniaque sur les bords, vous tirez votre fierté d’un travail bien fait et de la sensation du devoir accompli… Mais le revers de la médaille, c’est que cette phobie va souvent de pair avec un taux très fort de stress et d’anxiété.

Le docteur Graham C.L. Davey explique dans un article paru dans Psychology Today que, «  nous savons que la peur de la contamination bactérienne et/ou virale peut être induite par ce qu’on appelle la ‘sensibilité au dégoût’, et donc par le niveau élevé de sensibilité qu’un individu peut éprouver face à cela. »

En d’autres termes, vous éprouvez une sensation élevée d’angoisse lorsque quelque chose vous paraît dégoûtant ou désordonné.

Si votre côté perfectionniste vous pousse sans cesse à vous dépasser et qu’il sera sans doute très apprécié de votre entourage professionnel, il serait peut-être bon pour vous de souffler un peu et de vous décontracter aussi ! Vous pouvez travailler votre stress afin d’être moins exigeant envers les autres comme envers vous-même.

6. Vous avez peur des araignées 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être d’arachnophobie, c’est-à-dire la peur des araignées !

Vous êtes un individu fort, et un véritable leader dans l’âme. Les autres personnes sont naturellement attirées vers vous, et trouvent de l’inspiration dans vos méthodes.

Votre peur des araignées n’est pas vraiment une chose inquiétante. En fait, l’arachnophobie est une peur très commune : Une étude britannique a démontré que 32% des femmes et 18% des hommes partagent la même peur que vous.

Pourquoi avez-vous peur des araignées ? Inconsciemment, de nombreuses personnes perçoivent ces petits animaux comme des êtres dégoûtants et sales, et les araignées sont également liées à une idée de danger car certaines espèces sont venimeuses. Tout comme les germophobes, votre peur des araignées provient donc d’une réponse de dégoût,  à cela près que la vôtre est plus lié à la crainte d’être médiocre, de ne pas être à la hauteur, d’être une personne « commune ».

De même, tout comme les personnes ayant la phobie des serpents, vous êtes prédisposé à vouloir vous protéger, ainsi que les autres, des choses potentiellement dangereuses.

7. Vous avez peur des clowns 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être de coulrophobie, c’est-à-dire la peur des clowns !

Vous êtes une personne qui déteste le mensonge et les choses absurdes, vous vous enorgueillissez d’être honnête, sincère et de dire la vérité. En conséquence, vous attendez des autres qu’ils soient honnêtes et directs envers vous, tout comme vous l’êtes à leur égard.

Et si vous trouvez cette peur bizarre, sachez qu’elle s’explique très facilement au niveau psychologique… et c’est une peur bien plus commune que vous ne le pensiez. En fait, près de 1 adulte sur 10 a peur des clowns !

Selon Carlin Flora pour la revue Psychology Today, « c’est parce que notre capacité à lire et à interpréter les expressions faciales a été, depuis la nuit des temps, une des clés essentielles de notre survie, que notre incapacité à discerner l’expression d’un clown (et donc, ses véritables intentions) derrière son maquillage et son accoutrement peut provoquer la méfiance et la suspicion. »

8. Vous avez peur de la solitude 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être de monophobie, c’est-à-dire la peur d’être seul !

Vous êtes une personne ouverte, sociable et extravertie. Bien souvent c’est vous qui mettez l’ambiance lors des soirées. Vous aimez être le centre de l’attention et adorez être en compagnie de vos amis. Vous sautez sur toutes les occasions qui se présentent à vous pour vous amuser. Et en amour comme en amitié, c’est un fait : être seul vous terrifie au plus haut point.

Mais qu’est-ce qui vous fait si peur dans l’idée de solitude ? le sentiment d’être abandonné ?

La sociologue Theresa DiDonato écrit ainsi que « dans la culture occidentale, non seulement nous promouvons l’idée qu’être dans une relation amoureuse est essentiel pour notre bien-être, mais nous stigmatisons aussi souvent les individus seuls, en associant de manière erronée le fait d’être seul avec le concept d’échec, ou avec un problème de personnalité. »

Si vous êtes très sensible à cette peur, il se peut qu’inconsciemment, vous ne vous considériez en tant qu’individu que lorsque vous faites partie d’un groupe… Vous manquez peut-être de confiance en vous, malgré vos dehors sociables et extravertis. À terme, cela pourrait être nocif pour votre bien-être personnel. Essayez de prendre le temps d’être seul et de vous recentrer sur vous-même — vous ressortirez sans doute grandi de cette expérience.

9. Vous avez peur des hauteurs 

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être d’acrophobie, c’est-à-dire la peur des hauteurs !

Vous êtes une personne complexe, un véritable paradoxe. D’un côté, vous adorez rencontrer de nouvelles personnes, vivre de nouvelles expériences, découvrir de nouveaux endroits. De l’autre, vous avez en réalité profondément peur de l’inconnu. Mais comment peut-on aimer la découverte et avoir peur de l’inconnu en même temps ? Eh bien, regardons votre phobie de plus près !

Lorsque vous vous retrouvez dans une situation où vous éprouvez une peur du vide, demandez-vous ceci : comment êtes-vous arrivé là ? Vous êtes monté quelque part, donc manifestement en train de vous élever, de découvrir quelque chose de nouveau. Mais maintenant que vous êtes arrivé là, vous regardez en bas… et vous prenez soudain conscience du danger (relatif ou réel) que vous encourrez en vivant quelque chose d’incertain. Et figurez-vous que beaucoup de personnes partagent cette peur et ce paradoxe avec vous, à des degrés plus ou moins forts bien sûr.

 Le docteur Glenn Geher explique ainsi que « la peur du vide et des hauteurs est une peur universelle et humaine. »

Être complexe, tout le monde l’est à des différents degrés. Mais si vous êtes particulièrement complexe, vous pouvez parfois en souffrir : par exemple, les autres personnes pourraient avoir du mal à vous comprendre. Vous avez certainement du mal à prendre certaines décisions, et vous êtes souvent partagé entre deux côtés lors d’une dispute.

10. Vous avez peur des foules

Cette image vous fait peur ? Vous souffrez peut-être d’agoraphobie, c’est-à-dire la peur de la foule !

Il ne faut pas confondre cela avec de la claustrophobie, vous n’êtes pas nécessairement effrayé par les espaces clos… vous avez peur d’être coincé, non pas par les murs, mais par d’autres humains.

Vous êtes une personne relativement sociable, pour autant il est crucial pour vous de disposer de votre propre espace personnel. Vous préférez garder vos distances lors d’un conflit, et vous avez besoin de moments de solitude par moments.

Psychology Today définit l’agoraphobie comme « une peur intense des espaces peuplés dans lesquels s’échapper ou prendre la fuite serait difficile. »

Il s’agit d’une déformation d’un réflexe naturel lié à l’évolution, qui nous pousse à éviter les espaces dans lesquels nous pourrions être facilement pris au piège par un prédateur. Chez vous, cela se traduit par un besoin de garder un certain espace physique et émotionnel entre vous et les autres.

Vous êtes très débrouillard, rêveur, indépendant et épris de liberté, de grands espaces. Vous avez votre petit monde bien à vous, et seules les personnes que vous jugez dignes de confiance obtiennent le privilège de pouvoir vraiment pénétrer dans votre intimité.

http://www.demotivateur.fr/

Une araignée de quai plutôt qu’une araignée-loup


Je ne pensais pas qu’il pouvait exister des araignées aussi grosses au Québec, mais heureusement ne sont pas dangereuse. Cette araignée photographiée dans une maison d’un village dans la région de l’Outaouais, a été confondue avec l’araignée-loup, alors qu’elle est l’araignée de quai et n’aime pas vraiment les maisons, elle préfère la nature.
Nuage

 

 

Une araignée de quai plutôt qu’une araignée-loup

 

Ces araignées format géant peuvent certes en surprendre... (Courtoisie)

Ces araignées format géant peuvent certes en surprendre plus d’un, mais elles sont totalement inoffensives.

COURTOISIE

LOUIS-DENIS EBACHER
Le Droit

L’araignée de l’heure à Wakefield serait une «araignée de quai» plutôt qu’une «araignée-loup», tranche une entomologiste de l’Insectarium de Montréal.

Dans son édition de vendredi, LeDroit rapportait quelques anecdotes de résidents de Wakefield ayant rencontré des spécimens d’araignée plutôt impressionnants, dans leurs propriétés.

L’un d’eux, Luc Paquette, a reçu la visite d’une araignée dont les dimensions s’approcheraient de celles d’une main adulte, dans son chalet. Il s’agit de la plus grosse qu’il ait vue en quatre décennies. Cette araignée est commune et bien connue dans les secteurs bordés de rivières et de lacs.

Mais cette bestiole n’est pas une araignée-loup, tel qu’avancé dans notre édition de vendredi. Il s’agit en effet d’une araignée de quai. Les deux sont de grande taille et peuvent être confondues. L’araignée de quai est… un peu plus grosse.

L’araignée-loup est dans la famille des lycosidae. L’araignée de quai, ou dolomèdes, est dans la famille des pisauridae.

«Nous les différencions entre autres par la disposition des yeux, explique l’entomologiste Marjolaine Giroux. Elles sont toutes les deux très communes au Québec. La dolomède sort à cette période de l’année. L’araignée-loup est visible à la fin de l’été.»

Si la dolomède se retrouve dans la maison, ce n’est certes pas pour tisser une grande toile et faire vivre un film d’horreur aux occupants. Elle va tenter de fuir l’humain et n’attaquera pas.

«Elle peut mordre si on la manipule, poursuit Mme Giroux. Si elle est dans une maison, c’est qu’elle est prise et ne sait plus comment sortir. Elle était probablement à la chasse et s’est égarée.»

Luc Paquette a raconté quelques anecdotes d’amis qui avaient mis le pied sur un tel arthropode en mettant leurs chaussures. Lui-même dit secouer ses couvertures avant d’aller au lit «pour être certain».

L’araignée de quai a des qualités de prédatrice considérables. Elle peut «plonger» et attraper de petits poissons pour se nourrir et satisfaire son besoin de protéines. Les poils sur ses pattes la font flotter.

«Nous avons de très beaux spécimens, au Québec, commente la scientifique. Beaucoup d’araignées, cela signifie un environnement sain, un habitat riche en insectes et une faune en santé. Il faut plutôt s’inquiéter si nous n’en voyons jamais près des berges.»

La dolomède est d’ailleurs «la vedette» de l’Insectarium, précise Mme Giroux. Sa taille fascine et impressionne.

«Les gens pensent que c’est une mygale ou quelque chose de très dangereux. Son venin sert à paralyser ses proies, puisqu’elle va ensuite boire l’intérieur du corps, mais l’humain n’a rien à craindre, à part une réaction locale en cas de morsure, et sauf si la personne est allergique.»

Sur le site de l’Insectarium, on apprend qu’une centaine d’espèces de dolomèdes peuple la Terre, dont une douzaine en Amérique du Nord, et quatre au Québec.

Cette araignée semi-aquatique se trouve fréquemment sur des pierres, des quais ou des embarcations.

Les dolomèdes meurent à la fin de l’été après s’être reproduites.

 

http://www.lapresse.ca/

Une pluie d’araignées s’abat sur l’Australie


C’est sûrement le pire cauchemar des arachnophobes, mais cela est pourtant un phénomène naturel et que ces araignées ne sont pas dangereux. On peut dire qu’à part des araignées, il n’y aura pas de moustique dans les parages pour un certain temps
Nuage

 

Une pluie d’araignées s’abat sur l’Australie

 

Une pluie d'araignées s'abat sur l'Australie

Photo : SIPA

SCIENCE – Des millions de bébés araignées et leurs toiles ont envahi la ville australienne de Goulburn. Un phénomène naturel lié à leur migration.

Quand les habitants de Goulburn à South Wales, en Australie, se sont réveillés plus tôt ce mois-ci, le paysage était couvert de toiles d’araignées. Voitures, maisons, arbres ou verdure accueillaient des millions de bébés araignées tombés du ciel.

L’un des témoins, Ian Watson, a avoué au journal local Sydney Morning Herald que sa maison avait l’air « abandonnée et était recouverte par les araignées ». « Quand je levais les yeux vers le soleil, il y avait comme un tunnel de toiles volant sur plusieurs centaines de mètres dans le ciel », a-t-il précisé. Impossible de sortir sans être recouvert de ces petites araignées noires nichées dans les fils.

Technique de parachutistes

Si cette invasion apparente peut terroriser les arachnophobes, il s’agit d’un phénomène naturel appelé « cheveux d’ange ». Les aranéides ne proviennent pas des nuages, mais du sol. Pendant les périodes de migration, elles montent au sommet des arbres pour libérer un flux de soie, sorte de parachute qui sera emmené par le vent. La technique, baptisée « montgolfière », permet de déplacer les bébés sur de grandes distances. Des embarcations naturelles comme celles-ci ont ainsi été aperçues jusqu’à 1600 kilomètres de la terre ferme.

« Les araignées peuvent voyager sur des kilomètres, explique le naturaliste Martyn Robinson, de l’Australian Museum. Ce qui explique pourquoi elles sont présentes sur tous les continents, même régulièrement en Antarctique, où elles ne survivent pas. »

Selon, l’homme de science, rien à craindre de cette pluie exceptionnelle. Les invitées surprises se disperseront avec l’augmentation des températures.

http://www.metronews.fr/

PEUR DES ARAIGNÉES : COMMENT SURMONTER L’ARACHNOPHOBIE ?


Que ce soit en France ou au Québec, il n’y a pas d’araignées mortelles qui vivent sur ces territoires. Mais n’empêche que certaines personnes aient une peur irrationnelle et que parmi eux ce la peut aller jusqu’à la panique et la fuite devant ce petit insecte qui est d’une très grande utilité dans notre environnement.
Nuage

 

PEUR DES ARAIGNÉES : COMMENT SURMONTER L’ARACHNOPHOBIE ?

 

La peur des araignées est une peur irrationnelle.

Peu importe, leurs grandes pattes velues effrayent une grande partie d’entre nous et les toiles qu’elles tissent pour piéger leurs proies n’ont rien de rassurant, sans oublier l’araignée qui descend suspendue au bout de son fil de soie.

Une personne sur quatre aurait peur des araignées…

Selon le degré de notre phobie, quelle technique pour se débarrasser de la peur des araignées ?

L’arachnophobie : une personne sur quatre

Aussi petite soit-elle, une araignée (de la famille des arachnides) peut faire monter au plafond près d’une personne sur quatre. Autant dire que la peur des araignées est chose courante. Mais cette peur face à ces petites bêtes inoffensives peut être intense et parfois à l’origine d’un réel handicap. Paradoxalement, c’est une peur qui est banalisée, rarement prise en charge, les nombreuses personnes concernées choisissant de prendre sur eux et de la cacher autant que possible.

Que se passe-t-il ?

La peur est une réaction utile qui permet de se protéger face à un danger. La phobie est un dérèglement du mécanisme de la peur, provoquant une réaction démesurée et incontrôlable face à un déclencheur anodin, comme ici une araignée. La simple vue de cette petite bête peut induire l’apparition de nombreux symptômes, à commencer par une anxiété, une accélération de la respiration, une tachycardie, voire des vertiges, des maux de ventre, des crises de panique, mais aussi parfois des vomissements et des évanouissements.

Aucun élément rationnel ne peut atténuer cette réaction émotionnelle exagérée. La victime ne peut que prendre la fuite. Pis, l’arachnophobie sévère peut plonger dans l’anticipation, c’est alors la peur d’avoir peur, pouvant entraîner des handicaps dans la vie quotidienne.

On l’aura bien compris, si 40 % des Français ont peur des araignées, ces petites bêtes ne gâchent pas forcément la vie de la totalité d’entre eux. Tout dépend du degré de la phobie dont on souffre.

À quoi est due l’arachnophobie ?

Comme pour toutes les phobies concernant les animaux, une origine ancestrale est supposée : nos ancêtres devaient se protéger contre de dangereuses espèces d’araignées mortelles.

Mais une origine familiale est aujourd’hui plus fortement présumée : cette peur peut être transmise (involontairement) par un parent arachnophobe à ses enfants.

Dans ce même ordre d’idée, la peur des araignées est aussi culturelle : les médias, les films et certains livres véhiculant une image négative des araignées. N’oublions pas que certains peuples respectent et vénèrent les araignées…

Enfin, une expérience malheureuse peut expliquer une arachnophobie : une rencontre traumatique avec l’animal ou une morsure, réelle ou imaginaire.

Les araignées… Venimeuses, mais pas dangereuses pour l’homme (en France !)

 

Les araignées sont toutes venimeuses, leur venin leur servant à paralyser et tuer leurs proies. Mais sur les 1.600 espèces recensées en France, une seule serait dangereuse (veuve noire en Corse). De plus, les crochets d’araignées ne sont souvent pas assez durs pour pénétrer la peau.

En cas de morsure, une légère réaction comme une petite boursouflure, un gonflement ou une démangeaison peut se manifester. Enfin, de rares réactions allergiques sont possibles. Mais comparativement aux piqûres de guêpes ou d’abeilles qui causent une quinzaine de décès chaque année en France et aux moustiques vecteurs de maladies mortelles comme le paludisme à l’origine de 2 millions de décès par an dans le monde, les morsures d’araignées sont vraiment peu dangereuses (aucun cas de décès n’a été recensé en France).

Quelles solutions contre la peur des araignées ?

 

Faites connaissance

Détendez-vous. Prenez le temps d’inspirer et d’expirer lentement. Ensuite, observez une araignée, petite ou grande à votre convenance. Si vous le pouvez, sortez votre loupe.

Si vous n’y arrivez pas, commencez par observer sa toile, parfaitement symétrique, c’est une véritable œuvre d’art.

À défaut, vous pouvez également détailler des images d’araignée, afin de comprendre leur morphologie. Renseignez-vous sur leur physiologie (nombre de pattes, d’yeux, taille, couleur…) et sur leur comportement (de quoi se nourrit une araignée, comment procède-t-elle pour capturer ses proies, les attirer, comment fait-elle pour tisser sa toile, s’accoupler ? etc.). Et n’hésitez pas à faire la comparaison avec les petites bêtes qui ne vous effrayent pas : mouches, moustiques, fourmis…

L’objectif est de découvrir concrètement ce petit animal, qui, s’il effraye beaucoup de monde, en passionne d’autres à juste titre. Le simple fait de s’intéresser et de se familiariser avec les araignées, dans des circonstances sécurisées si nécessaires (livre, internet…), aide à devenir plus rationnel et à diminuer la peur en cas de rencontre. 

Pour preuve d’efficacité, cette étude américaine de la Northwestern University Feinberg School of Medicine de Chicago, ayant consisté à exposer progressivement les patients à une tarentule dans un terrarium.

En début d’expérience, l’IRM cérébrale des arachnophobes exposés à l’araignée montrait une activation importante des zones impliquées dans la peur. Deux à trois heures plus tard, après avoir essayé de toucher l’animal avec une spatule puis à travers un gant, les patients ont réussi à la toucher directement avec la main, tandis que leur IRM indiquait une nette diminution de la peur. Cet effet perdurait six mois plus tard.

Méthode approuvée : la thérapie cognitive et comportementale

La thérapie cognitive et comportementale est très efficace contre les phobies, dont l’arachnophobie. Elle est employée pour aider les patients à se comporter de façon plus fonctionnelle. C’est une technique de psychothérapie reconnue pour le traitement de nombreuses pathologies psychiatriques (phobies,troubles anxieux, troubles thymiques…). Elle vise à enseigner au patient comment corriger ses pensées erronées, maîtriser ses symptômes et gérer sa pathologie au quotidien.

Dans le cas de la peur des araignées, c’est précisément la technique d’exposition qui est employée pour modifier le comportement en s’entraînant à repérer les évènements de vie et les schémas cognitifs qui sont à leur origine.

Par exemple, il est demandé au patient de franchir plusieurs étapes : au début très faciles comme imaginer une araignée, puis plus difficiles comme toucher une photographie d’araignée, jusqu’à être capable de supporter la vue d’une araignée. Ensuite, le patient est invité à hiérarchiser les situations réelles en fonction de l’intensité de l’angoisse qu’elle crée : regarder une araignée en vrai, lorsqu’elle bouge, s’en approcher, etc., jusqu’à progressivement faire disparaître la peur. 

Article publié par Isabelle Eustache

Sources : Hauner  K. et al., Actes de l’Académie nationale des sciences, 2012

http://www.e-sante.fr/