Le Saviez-Vous ► Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur Terre


Quand on voit l’argent dépensé pour tout ce qui est en relation avec l’espace, on se demande si cela vaut vraiment la peine. Ce sont des sommes astronomiques qui y passent. Cependant, c’est grâce à l’exploration spatiale que la technologie est accessible aussi pour l’humanité, que ce soient les ordinateurs, les souliers de sports, des couvertures de survie …
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Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur Terre

Apollo 11 fut aussi un pas de géant technologique sur TerrePhoto: NASA/AFPL’astronaute américain Buzz Aldrin lors de la mission spatiale Apollo 11

La mission Apollo 11 du premier pas sur la Lune, dont le cinquantième anniversaire est célébré ce mois-ci, a catalysé de nombreuses percées scientifiques et technologiques.

Pour Apollo, la Nasa a construit la plus puissante fusée de l’histoire, la Saturn V, développée par l’équipe d’ingénieurs du transfuge nazi Wernher von Braun.

Mais grâce aux crédits généreux accordés par le Congrès américain, de l’ordre de 150G$ US d’aujourd’hui pour les trois premiers programmes de vols habités, la Nasa et l’industrie spatiale ont produit des innovations importantes.

«Apollo fut un laboratoire pour tenter de résoudre les gigantesques problèmes d’ingénierie auxquels nous nous heurtions», dit à l’AFP Brian Odom, historien au centre spatial Marshall de la Nasa.

En voici plusieurs exemples.

Révolution informatique

Jusqu’aux années 1960, les ordinateurs remplissaient des pièces entières et étaient composés de milliers de tubes à vide, très gourmands en énergie.

Tout a changé avec l’arrivée des disques durs de type «solid state» et de transistors rendant possible une miniaturisation suffisante pour être embarqués dans un véhicule spatial.

«Les fusées devaient fournir une très forte poussée, mais il fallait aussi réduire la masse et augmenter la puissance à bord pour l’informatique», dit G. Scott Hubbard, ancien directeur du centre de recherche Ames de la Nasa, près de San Francisco.

Cette évolution était déjà en route avant Apollo, mais c’est ce programme qui a accéléré l’avènement de cette nouvelle informatique… et, in fine, de la Silicon Valley.

Purificateur d’eau

La Nasa a développé un petit appareil de purification d’eau, pesant 255 milligrammes et tenant dans la main. Il purifiait l’eau en relâchant des ions argent, sans chlore.

La technologie a ensuite été adoptée pour tuer les microbes dans les systèmes collectifs de distribution d’eau.

Repas lyophilisés 

Un autre problème des voyages spatiaux est qu’il fallait conserver la nourriture sans réfrigérateur, qui prennent trop de place et consomment de l’énergie.

Les chercheurs de la Nasa ont donc perfectionné une technique appelée lyophilisation: la déshydratation à très basse température d’aliments, afin d’en garder la forme et les nutriments mais sans eau, avec une masse grandement réduite. Des emballages empêchaient l’humidité et l’oxygène de les pénétrer.

IRM

Des techniques d’analyse numérique d’images développées par un centre de la Nasa pour améliorer les images de la surface de la Lune ont trouvé des applications dans d’autres domaines, et notamment en médecine, dans les techniques d’imagerie CT-scan et IRM.

Des bottes lunaires aux baskets 

Les bottes de Neil Armstrong et des astronautes ayant foulé le sol lunaire étaient fabriquées dans des matériaux dont certains ont franchi le pas vers le monde des baskets.

Un ingénieur d’Apollo, Al Gross, est notamment parvenu à compenser l’usure des milieux des semelles de chaussures athlétiques en réutilisant les techniques d’absorption des chocs des bottes spatiales, selon un numéro du magazine Spinoff de la Nasa en 1991.

Couvertures de survie

Les couvertures de survie utilisées aujourd’hui par les premiers secours dans le monde entier ont été inventées par la Nasa, pour protéger les astronautes et leurs instruments de vol des rayons solaires et éviter la surchauffe.

Elles sont très simples, composées d’un film de plastique doublé d’un film d’aluminium très fin, reflétant les rayons infrarouges.

Outils sans fil 

Les astronautes d’Apollo avaient une mission géologique: forer le sol lunaire pour récupérer des échantillons de roche, jusqu’à trois mètres de profondeur.

Black & Decker a développé un algorithme afin d’optimiser le moteur de la perceuse et réduire la consommation d’énergie… Une technologie appliquée plus tard dans les aspirateurs sans fil.

Combinaisons

L’espace est un endroit extrême, avec de terribles variations de températures, entre le froid du vide spatial et les milliers de degrés subis par la capsule pendant la rentrée atmosphérique, sans compter les radiations solaires.

L’armée américaine et la Nasa ont développé une fibre appelé PBI (polybenzimidazole synthétique) dans les années 1950 et 1960, qui a fini par être adoptée par les pompiers dans les années 1970.

Pour l’historien de la Nasa Brian Odom, c’est un exemple parmi d’autres du rôle moteur de l’État américain.

 «Aucune entreprise n’aurait pu le faire», dit-il. «Mais c’était ça, Apollo. Et le programme spatial continue à le faire aujourd’hui».

Retour sur investissement? 

Il n’y a aucun doute que le retour sur investissement, pour l’économie américaine, est positif. Mais ce serait une erreur de n’appréhender l’impact de la recherche spatiale qu’en termes économiques, dit Casey Dreier, de l’organisation The Planetary Society.

«C’était avant tout une démonstration des capacités technologiques et organisationnelles, un message envoyé par les États-Unis non seulement à l’Union soviétique, mais aussi aux pays qui venaient d’être décolonisés après la chute des pouvoirs européens» et devaient choisir entre capitalisme et communisme, dit-il.

https://journalmetro.com/

Le Saviez-Vous ► Mission Apollo 11 : premier pas sur la Lune et théories du complot


Les théories du complot réfutent des faits, des évènements importants qui se sont passé dans l’histoire de l’humanité. Je ne sais pas si les théories sont toutes fausses, sauf que certaines d’entre elle sont assez incroyables. Les missions spatiales comme Apollo 11 et les autres qui ont suivi font partie des théories du complot, même avec les images, les documentaires, les échantillons etc, n’ont pu convaincre les complotistes.
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Mission Apollo 11 : premier pas sur la Lune et théories du complot

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| NASA

Thomas Boisson

Le 20 juillet 1969, les astronautes de la mission Apollo 11 posent le pied sur le Lune. S’ensuivront six autres missions, jusqu’à Apollo 17, qui verront à chaque fois des astronautes de la NASA fouler la surface lunaire. Malgré toutes les images retransmises, les échantillons de roches lunaires rapportés et les confirmations modernes, de nombreuses théories du complot continuent de remettre en cause le fait que l’Homme ait un jour marché sur la Lune.

Des millions de personnes à travers le monde croient encore que l’Homme n’a jamais marché sur la Lune et que les images diffusées par la NASA en juillet 1969 ont été tournées dans un studio hollywoodien. Des milliers de sites Internet sont consacrés à prouver que l’atterrissage n’a jamais eu lieu ou à remettre en question l’ensemble de la mission Apollo 11.

Certains prétendent que la NASA n’avait pas le savoir-faire technologique pour réussir un tel coup, ou que si elle avait pu le faire, cela n’incluait pas d’équipage humain.

D’autres parlent d’une possible implication extraterrestre, ce qui bien sûr aurait été dissimulé, tout comme la civilisation lunaire découverte par les astronautes. Mais presque toutes les théories du complot se concentrent sur des anomalies supposées dans les photos et vidéos granuleuses que la NASA a renvoyées sur Terre.

Le développement progressif des théories du complot

Les ombres dans les images suscitent les doutes des complotistes, de même que l’absence d’étoiles dans le ciel sur certaines images — des théories qui ont depuis longtemps été réfutées par les scientifiques. Pourtant, ces théories sont toujours d’actualité, malgré les preuves directes apportées par le Lunar Orbiter en 2009, qui montrait toujours les modules abandonnés d’Apollo 11, 14, 15, 16 et 17 sur la surface de la Lune.

Lorsque le module lunaire d’Apollo 11 est arrivé sur la mer de la tranquillité en 1969, moins d’un Américain sur 20 doutait de ce qu’il voyait sur son écran de télévision. Au tournant du siècle, un sondage Gallup a révélé que le scepticisme ne s’était étendu qu’à 6% de la population. En revanche, plus de la moitié des Russes refusent toujours de croire que les Américains sont arrivés les premiers.

drapeau apollo 11

Parmi les nombreux éléments alimentant les théories du complot, est l’apparent flottement du drapeau planté par les astronautes d’Apollo 11. Le drapeau contenait des tiges rigides de maintien ; les astronautes n’ont pas réussi à le déployer complètement, lui donnant cet aspect froissé. Crédits : NASA

Cependant, des doutes étonnamment sérieux règnent également parmi les alliés les plus proches de Washington. En 2009, selon un sondage TNS, un quart des Britanniques ne croyaient pas à l’atterrissage, tandis que 9% des Français n’étaient pas convaincus non plus, selon des sondages Ifop. L’académicien Didier Desormeaux, qui a beaucoup écrit sur les théories du complot, a déclaré que plus un événement était important, plus il était susceptible d’attirer des récits contradictoires.

« La conquête de l’espace a été un événement majeur pour l’humanité. En douter peut ébranler les fondements mêmes de la science et de la maîtrise de la nature par l’Homme » déclare Desormeaux, faisant de la Lune une cible de choix pour les conspirateurs. Alors que les théories du complot précédentes impliquaient également des images — telles que l’assassinat du président américain John F Kennedy en 1963 et le prétendu incident de Roswell impliquant un OVNI — « la nouveauté de ces rumeurs est qu’elles reposent sur une déconstruction minutieuse des images envoyées par la NASA ».

Des théories du complot persistantes

Pour Desormeaux, c’est la première fois qu’une « théorie du complot est entièrement construite autour de l’interprétation visuelle d’un événement médiatique – qu’ils dénoncent entièrement comme une mise en scène ».

La même logique a été utilisée à plusieurs reprises pour qualifier de faux les massacres dans les écoles américaines, a-t-il ajouté, des conspirateurs hardcores affirmant que les morts « sont interprétés par des acteurs »

« Les images peuvent anesthésier notre capacité à penser » lorsqu’elles sont déployées avec une logique de plus en plus tordue, prévient Desormeaux. « Le pouvoir de telles théories réside dans le fait que peu importe leur survie, elles deviennent une croyance accompagnant une sorte d’évangélisation, leur permettent de persister à jamais ».

Pour Roger Launius, ancien historien officiel de la NASA, « le fait que les dénégations de l’atterrissage de la Lune ne disparaîtront pas, ne devrait surprendre personne ».

Launius — qui a consacré une grande partie de sa carrière à les combattre — déclare dans son dernier livre, « Apollo’s Legacy », que les négateurs « n’acceptent pas les mêmes règles d’investigation et de connaissances que tous les autres. Ils ont puisé dans une riche lignée de méfiance à l’égard du gouvernement, des critiques populistes de la société et des questions sur les fondements de la méthode scientifique, ainsi que de la création de connaissances ».

Sources : AFP

https://trustmyscience.com/

Le Saviez-Vous ► 6 anecdotes historiques sur le XXe siècle


Des anecdotes qui ne changera pas grand chose à l’humanité, mais celle d’Armstrong quand on y pense …
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6 anecdotes historiques sur le XXe siècle

 

 

par Louison

Il s’est passé beaucoup de choses entre le 1er janvier 1901 et le 31 décembre 2000. Venez (re) découvrir certaines anecdotes historiques sur le XXe siècle.

En 1901, Paris organisait un concours pour éliminer les rats

Dans un article des archives du Figaro, on a retrouvé la mention d’un concours pour tuer les rats. Il y est notamment écrit que la ville s’inquiète de l’envahissement des souterrains par ces « rongeurs à longue queue et à dents acérées ».

En effet, « le rat de Paris est un animal très particulier, pas bête du tout, qui n’a rien de commun avec le grossier rat des campagnes ou le rat naïf de province ».

Neil Armstrong s’est trompé…

Le 20 juillet 1969, la mission Apollo 11 alunit. En sortant de la cabine et en posant un pied sur la Lune, Neil Armstrong devient l’astronaute le plus célèbre de l’histoire, et le premier à marcher sur notre satellite. Il a eu ces mots :

« C’est un petit pas pour l’Homme, et un grand pas pour l’humanité ».

Cette phrase était préparée, mais l’astronaute devait en réalité dire :

« C’est un petit pas pour un homme, un grand pas pour l’humanité ».

Source : CNET-France

neil armstrong lune apollo 11

Crédits : Pixabay

Féminiser Hitler pour mettre fin à la guerre

Le gouvernement anglais avait un plan, qui a été très sérieusement envisagé. Il s’agissait de féminiser Hitler à l’aide d’hormones pour adoucir ses mœurs agressives.

Utiliser les excréments pour mieux connaître ses potentiels alliés

L’idée parait saugrenue, mais c’est en tout cas ce qu’avait rapporté la BBC il y a quelques années au sujet de Staline. Celui-ci avait fondé un laboratoire dont le but était d’étudier les excréments de ses visiteurs afin d’en apprendre davantage à leur sujet. Ce serait suite à un rapport de ce laboratoire qu’il aurait refusé des accords avec la Chine.

Les tueurs pour la République

Comme dans un film d’action, la France a elle aussi son petit groupe commando pour effectuer des missions sensibles. La cellule Alpha serait un commando qui opère depuis les années 80, et qui effectue des missions clandestines partout dans le monde.

Un décès par flèche lors de la Seconde Guerre mondiale

Bien sûr, il ne s’agit là que des rapports officiels. Mais un soldat allemand a été identifié pour avoir été tué par une flèche en mai 1940 dans le Pas-de-Calais. Le responsable serait un soldat de l’armée britannique connu pour toujours avoir un arc et une épée en plus de l’équipement habituel.

https://lesavaistu.fr/

L’Homme est-il vraiment allé dans l’espace ?


Les théories du complot, vous connaissez ? Je ne sais pas si elles se valent toutes, mais celle qui prétend que l’homme n’a été dans l’espace n’a pas de fondement solide Même si nous n’étions pas physiquement présent à la NASA, nous avons des données et des documents qui prouvent que l’homme a été dans l’espace, et même marché sur la Lune.
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L’Homme est-il vraiment allé dans l’espace ?

 

Sur cette photo prise en 1965 par l’astronaute James McDivitt, son collègue Ed White flotte à l’extérieur du vaisseau Gemini 4.

PHOTOGRAPHIE DE JAMES MCDIVITT, AVEC L’AIMABLE AUTORISATION DE BLOOMSBURY AUCTIONS

La réponse est oui. Même si près de deux Français sur dix en doutent, selon une récente étude IFOP réalisée conjointement pour la Fondation Jean-Jaurès et l’observatoire Conspiracy Watch. Jeudi, 5 avril

De National Geographic

Peu importe le nombre de vidéos, d’articles, de faits scientifiques vérifiés (et vérifiables) prouvant que les Hommes sont bien allés dans l’espace, d’aucuns – et ils sont nombreux – continuent de le nier. De fait, l’une des théories du complot les plus populaires est sans doute celle concernant la mission lunaire Apollo 11.

Les premiers pas de Neil Armstrong et Buzz Aldrin sur le sol lunaire le 20 juillet 1969 ont marqué à jamais l’histoire de l’exploration spatiale. Pendant près de 2h30, les astronautes américains ont exploré la surface de notre satellite tandis que Michael Collins pilotait le module de commande en orbite. Beaucoup d’entre nous se souviennent avoir suivi l’événement à la télévision, ou l’ont entendu raconter par leurs parents ou grand-parents.

Mais que dire à ceux et celles qui doutent que l’Homme ait jamais voyagé dans l’espace ?

LES ASTRONAUTES NE POUVAIENT PAS PASSER LA CEINTURE DE VAN ALLEN

Un des « arguments » les plus populaires pour justifier que l’Homme n’est jamais allé dans l’espace est lié à la Ceinture de Van Allen, une zone toroïdale de la magnétosphère de la Terre entourant l’équateur magnétique et chargé de particules énergétiques provenant du vent solaire. Beaucoup aiment à dire que l’être humain ne pourrait passer à travers cette ceinture magnétique sans mourir des suites de l’exposition à de telles radiations.

En fait, la communauté scientifique internationale avait connaissance de l’activité énergétique de la Ceinture de Van Allen depuis les années 1950 et les missions lunaires Explorer et Pioneer. Au moment du lancement de la mission Apollo 11, l’intensité de la Ceinture de Van Allen était à son plus bas niveau, l’énergie fluctuant avec l’activité du Soleil.

Le syndrome d’irradiation aiguë, potentiellement mortel, résulte d’une exposition à une forte dose de rayonnements ionisants, d’environ 20 à 100 gray en l’espace de quelques heures. Les astronautes de la mission Apollo 11 ont passé moins de 2 heures à l’intérieur de la ceinture, protégés par la cellule de commande. Ils n’ont été exposés qu’à une radiation d’environ 0.18 gray, soit un niveau de radiation tout à fait acceptable. La NASA avait d’ailleurs fait en sorte que durant cette mission de 12 jours, les astronautes ne puissent être exposés à plus de 0.0018 gray par jour (l’équivalent d’une radio aux rayons X), sécurisant et isolant autant que possible la capsule qui les a emmenés sur la Lune.

La NASA a pensé aux plus sceptiques d’entre vous avec ces estimations mathématiques de la charge énergétique de la Ceinture de Van Allen.

POURQUOI LE DRAPEAU AMÉRICAIN FLOTTAIT-IL ?

Autres « preuves » irréfutables que l’Homme n’a pas posé le pied sur la Lune selon les adeptes de la théorie du complot : les images du drapeau américain flottant sur le sol lunaire. Sur les vidéos et photos montrant Neil Armstrong et Buzz Aldrin planter le drapeau états-unien sur la Lune, celui-ci semble flotter au vent. Mais attendez une minute… il n’y a pas de vent sur la Lune. Comment pourrait-il flotter ?

La vérité, c’est que le drapeau ne flotte pas. Si vous prêtez attention aux détails de ce GIF réalisé par le National Space Center britannique, le drapeau a la même position d’une image à l’autre, alors que l’astronaute se meut sur le sol lunaire. Une tige horizontale au sommet du poteau a été pensée pour tenir le drapeau déployé, d’où sa position verticale. Cette tige a été légèrement déformée au moment où le drapeau a été planté au sol, ce qui lui a donné cette inclinaison inchangée par l’absence de gravité sur notre satellite.

Sur cette autre vidéo montrant les astronautes planter le drapeau, il semble être ballotté d’avant en arrière. Les astronautes, en le plantant, l’on fait bouger d’avant en arrière pour mieux l’enfoncer dans le sol lunaire, ce qui a donné au drapeau un mouvement similaire à celui d’un pendule pendant quelques secondes. Pas besoin de vent ici pour faire bouger le drapeau. De nombreuses vidéos de la NASA montrent du reste le drapeau dans la même exacte position pendant des heures.

L’astronaute Buzz Aldrin près du drapeau américain.

PHOTOGRAPHIE DE NASA

POURQUOI NE VOIT-ON PAS D’ÉTOILE SUR LES IMAGES DE LA MISSION APOLLO 11 ?

Autre point régulièrement soulevé dès lors que l’on jette un oeil aux images de la mission lunaire : on ne distingue sur celles-ci aucune étoile dans le ciel sombre. Ce qui, en fait, est commun à la plupart des photos prises dans l’espace, où le contraste ombre / lumière est extrême. De plus, les pellicules photo utilisées ne pouvaient pas montrer en même temps une brillance et des zones plus sombre.

L’astrophysicien Brian Koberlein a par ailleurs consacré une publication à cette question.La luminosité éclipse les lumières lointaines, plus faibles, de la même manière que des phares peuvent éclipser les lumières environnantes plus faibles. L’oeil humain et les objectifs optiques doivent s’adapter pour « faire le point » sur les étoiles. Les astronautes envoyés en mission dans la station spatiale internationale prennent régulièrement des photos de la Terre entourée d’un immense manteau sombre sans étoile, pour les mêmes raisons de contraste.

LANCER LE DIAPORAMA

LE ROCHER MARQUÉ DE LA LETTRE « C »

Le célèbre rocher marqué de la lettre C de la mission Apollo 16. Les accessoires utilisés sur les plateaux de cinéma sont souvent numérotés ou marqués d’une lettre pour mieux les distinguer et les placer. Ce rocher aurait été malencontreusement placé du mauvais côté, laissant apparaître son indicatif et trahissant donc la supercherie d’images filmées en studio.

Mais en vérité la marque n’existe tout simplement pas. L’image du rocher est extraite d’un plan beaucoup plus large de la surface lunaire, comme on peut l’observer sur les images ci-dessous. L’image originale, à gauche, ne montre aucune marque. Un cheveu ou un fil s’est sans doute retrouvé coincé dans la caméra ou dans l’outil utilisé pour copier les images.

Les archives de la NASA peuvent être une première étape fascinante si vous souhaitez mener votre propre enquête.

Zoom sur le rocher « marqué » par un « C ».

PHOTOGRAPHIE DE NASA

IL Y A DES TRACES DES MISSIONS APOLLO SUR LA LUNE

Il existe des preuves de notre passage dans l’espace et plus précisément sur la Lune – et toutes ne viennent pas de la NASA. Il est par exemple possible de voir des traces de pas et l’engin spatial laissé là par les astronautes des missions Apollo.

Si des télescopes pourtant très puissants comme Hubble n’ont pas la résolution suffisante pour déceler ce type de détails, des sondes en orbite autour de la Lune comme le Lunar Reconnaissance Orbiter de la NASA ou des sondes envoyées par la Chine, l’Inde et le Japon ont pu observer les traces de pas des astronautes sur le sol lunaire (à voir ici et ici). Les images envoyées à la Terre montrent que l’engin spatial abandonné par les astronautes se trouve toujours au même endroit.

Autres éléments essentiels, encore en usage aujourd’hui : les réflecteurs lunaires. Cinq rétro réflecteurs ont été déposés sur la Lune par les missions humaines Apollo 11, 14 et 15 puis par les sondes robots soviétiques Lunokhod afin de mesurer la distance qui sépare la Terre de son satellite au moyen de faisceaux laser. Cette mesure est effectuée dans le cadre de l’expérience dite Télémétrie laser-Lune (ou Lunar Laser Ranging Experiment, LLR) de l’Observatoire de la Côte d’Azur.

Ces réflecteurs sont toujours utilisés pour mesurer la distance Terre-Lune (variable) avec une précision centimétrique.

LA PREUVE EST DANS LA PIERRE

La preuve ultime tient sans doute aux roches lunaires que les astronautes ont rapporté de leurs missions. Des prélèvements de plus de 832 kilogrammes ont été faits lors des missions lunaires habitées. Ceux-ci contiennent de nombreuses sphérules de verre, formées soit par l’activité volcanique ou l’impact de météorites. La cristallisation qui suit l’un de ces événements explosifs sur la Lune produit des sortes de sphérules translucides, que l’on ne retrouve pas sur Terre où le verre produit par l’activité volcanique est rapidement et naturellement détruit.

L’observation même de sphérules de verre sur les météorites et sur les morceaux de roches rapportées par les astronautes des missions Apollo prouve que les Hommes ont bien été dans l’espace.

Cette roche lunaire a été prélevée par les astronautes de la mission Apollo 14, en 1971.

PHOTOGRAPHIE DE NASA/SEAN SMITH

Cet article n’aborde bien sûr que de manière succincte l’immense quantité de preuves scientifiques passées et présentes qui prouvent que l’Homme est bien allé dans l’espace.

Outre les missions lunaires, sans doute les plus observées et médiatisées, les missions habitées pourraient se multiplier dans les années à venir, notamment pour découvrir Mars, présentée par Elon Musk et d’autres comme la « planète de secours » de la Terre. 

http://www.nationalgeographic.fr/

La pochette où Neil Armstrong a mis des bouts de lune vendue 1,8 million de dollars


Cette fameuse pochette contenant des résidus de poussière lunaire devait aller au musée de l’air et de l’espace de Washington, mais suite à une erreur, il a été expédié plus tard et a faillit se retrouver dans les poubelles .. Bref après avoir été vendu dans une enchère pour moins de 1,000 la première fois, il fut revendu à plus de 1 million de dollars. Personnellement, même si cette pochette fait partie des prouesses de l’homme dans l’espace, c’est un prix exorbitant pour une simple pochette. De l’argent jeter par les fenêtres
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La pochette où Neil Armstrong a mis des bouts de lune vendue 1,8 million de dollars

 

 

Ce sachet de décontamination, de la taille d’une trousse de toilette, est encore imprégné de traces de poussière et de petits cailloux lunaires. RelaxNews  /  Jewel SAMAD / AFP

(AFP) – Une pochette utilisée par Neil Armstrong pour ranger les premiers échantillons lunaires jamais ramassés par l’Homme, et qui a failli finir à la poubelle, a trouvé preneur contre 1,8 million de dollars jeudi, a annoncé la maison de vente aux enchères Sotheby’s.

Ce sachet de décontamination, de la taille d’une trousse de toilette, est encore imprégné de traces de poussière et de petits cailloux lunaires.

L’heureux propriétaire de cette pochette à tirette est un acheteur anonyme, qui a effectué la transaction au téléphone après cinq minutes d’enchères à New York.

La précédente propriétaire, une avocate de l’Illinois, n’avait déboursé que 995 dollars pour acquérir ce petit bout d’histoire de la conquête spatiale en 2015.

La vente coïncidait avec le 48e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 en 1969, mais cela n’a pas permis à la pochette d’être vendue entre 2 et 4 millions de dollars, comme l’espérait Sotheby’s.

C’est le seul objet de la mission Apollo 11 resté aux mains de propriétaires privés.

Armstrong avait utilisé cette pochette pour ramasser ces échantillons de poussière et fragments de rochers sur la surface lunaire.

Vu leur nature alors inconnue, ils furent placés dans des sachets de décontamination pour limiter les risques de toxicité.

Une fois Apollo 11 revenue sur terre, la quasi-totalité du matériel fut expédiée au musée de l’air et de l’espace de Washington. Mais suite à une erreur d’inventaire, la pochette échoua au Johnson Space Center.

Le personnel faillit la jeter, avant de la proposer à un collectionneur spatial du Kansas, gratuitement semble-t-il, qui la conserva sans connaître son histoire.

A la suite d’une condamnation sans lien avec cette affaire, le FBI confisqua ses avoirs, pochette comprise. Elle fut mise aux enchères trois fois sans trouver preneur, jusqu’à ce qu’une avocate de l’Illinois ne s’en empare en 2015 pour une bouchée de pain: 995 dollars.

Remarquant des traces noires, elle l’envoya pour test à la NASA, qui confirma qu’il s’agissait de poussière lunaire d’Apollo 11 et d’un sachet de décontamination figurant sur la liste d’arrimage.

Une bataille judiciaire s’ensuivit pour établir la propriété de la pochette, qu’un juge texan finit par trancher en faveur de l’avocate de l’Illinois.

http://www.ladepeche.fr/

Le Saviez-Vous ► Marcher sur la lune … Pour un maigre salaire


Le salaire d’un astronaute de la mission Apollo 11 n’était pas très élevé, il fallait avoir la piqure de l’espace pour aller sur la lune. Aujourd’hui, il parait que les astronautes américains quelque 80 000 est 170 000 dollars par année
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Marcher sur la lune … Pour un maigre salaire

PAR EVELYNE FERRON

Cette troisième mission spatiale à s’approcher de la lune à l’été 1969 a été assurée par trois astronautes qualifiés, bien entraînés, mais aussi intrépides! Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins ont quitté la Terre le 16 juillet 1969 avec pour mandat principal d’étudier et d’évaluer les possibilités et les limites d’une marche humaine sur la Lune, en plus de recueillir des échantillons de sol et de roches lunaires.

Une mission réussie pendant laquelle ils ont pu se poser sur le satellite de la Terre le 20 juillet et qui a permis le lendemain à Neil Armstrong de faire vivre au monde entier ce grand moment qu’ont été les premiers pas d’un homme sur la Lune.

« Un petit pas pour l’Homme, mais un pas de géant pour l’Humanité! »

Eh bien sachez que ces hommes ont été payés le même salaire que lors d’une journée normale sur Terre pour des officiers militaires, soit l’équivalent d’environ 8$ par jour! Ajoutez à cela des déductions sur ce salaire, puisque la NASA leur fournissait entre autres les nuits dans la navette spatiale! 

http://www.historiatv.com/

Le Saviez-Vous ► Les drapeaux américains sur la Lune ne sont plus américains


Le drapeau Américain, symbole du rêve américain, de leur réussite aurait perdu ses étoiles et ses couleurs sur la lune, du a un environnement austère
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Les drapeaux américains sur la Lune ne sont plus américains

 

Au cours du programme Apollo, 6 drapeaux américains ont été déployés sur la Lune.

D’après les images de LROC on peut voir les ombres des drapeaux américains présents sur la Lune sauf celle du drapeau déposé par Apollo 11. (L’astronaute Buzz Aldrin avait rapporté que le drapeau avait été soufflé par le gaz d’échappement pendant le décollage d’Apollo 11, et les images lui ont donné raison).

Sur les 5 drapeaux restants, aucun n’est plus américain : pendant une quarantaine d’années (bientôt 44 ans), ils ont été exposés à la fureur d’un environnement alternant 14 jours de soleil brulant avec une chaleur de 100°C et 14 jours d’obscurité avec un froid glacial de -150°C.

Ajoutez à cela l’intense rayonnement ultraviolet d’une lumière solaire non filtrée sur le tissu avec lequel les drapeaux ont été fabriqués. Même sur Terre, les couleurs d’un drapeau exposé en plein soleil pendant plusieurs années finissent par s’estomper. Il est donc probable que ces symboles de la réussite américaine soient devenus tout blanc. Certains d’entre eux pourraient même avoir commencé à se désintégrer.

Les drapeaux ont été fabriqués par Annin Flagmakers. Ils sont en nylon et ont coûté 5,50 dollars chacun à la NASA.

http://guydoyen.fr

Le Saviez-vous ► Fisher Space Pen Histoire – Les petits détails qui font de grandes choses


Quel lien avec les stylos à bille et Apollo 11 ? Si le concepteur du stylo a bille n’aurais pas eu l’idée de tester son produit dans l’espace, Apollo 11 n’aurait peut-être pas pu revenir sur Terre avec l’équipe de  Neil Armstrong
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Fisher Space Pen Histoire – Les petits détails qui font de grandes choses

 

En cherchant à améliorer l’encre des stylos à bille, Paul Fisher, un américain spécialise dans les roulements à bille des moteurs de bombardiers, était loin d’imaginer qu’il viendrait un jour au secours des astronautes. Et pourtant…

Années 45 : a la fin de la seconde guerre mondiale, Paul Fisher, qui voit le chiffre d’affaires de son usine péricliter, se lance, à la demande dune grande firme américaine, dans l’amélioration de la qualité de la bille des stylos. En effet les stylos billes ne sont guerres fiables. A cause de leurs cartouches : soit l’encre coule trop, soit elle sèche, soit elle fuit. Difficile dans le telles conditions de mener un travail à bien sans s’énerver !

Années 50 : Paul Fisher se penche donc sur le problème et se pique a jeu. Très vite, il découvre qu’en mettant un gaz – de l’azote – dans la cartouche, l’encre s’écoule quelle que soit la position du stylo. Puis grâce à un système de valves à la pointe, il parvient à en régulariser le débit. Finies les poches de veste auréolées par une tache disgracieuse. Par la suite Paul Fisher améliorera la qualité de l’encre en modifiant complètement, sa composition afin de la rendre quasi-solide, visqueuse, et insoluble dans l’eau.

Années 60 : la conquête de l’espace à commence et Paul Fisher s’interroge : son stylo-bille écrit par froid et chaleur extrêmes et cela quelle que soit la position de la pointe, mais comment réagirait-il dans l’espace ?

Pour se savoir il suffit de le faire tester. Paul Fisher contacte la NASA qui accepte de l’essayer. Il est vrai qu’a l’époque, les astronautes ont bien des problèmes pour pendre des notes en état d’apesanteur. Aucun stylo n’écrit. En 1968, le stylo de Paul Fisher s’envole donc avec Apollo VII. Le succès est immédiat : l’encre réagit bien. Dés lors, le stylo prend le nom de  » Fisher Space Pen « . Le stylo de l’espace est né, il ne quittera plus les astronautes.

21 Juillet 1969 : tous les habitants de la planète terre ont les yeux rivés sur les postes de télévision. Neil Armstrong, talonné par Edwin  » Buzz  » Aldrin, marche sur la lune. De retour dans le LEM les astronautes se préparent à revenir sur terre. Armstrong se rend alors compte qu’ils ne disposent plus que d’une faible quantité d’oxygène. Hors de question de rater la mise à feu. Il faut la réussir de Premier coup, sinon…

Alerte, Houston – siège des opérations en vol leur ordonne de laisser sur la lune tous les objets dont l’utilité n’est plus primordiale : Trousse à outils, Appareils – photo, nourriture, etc. Tout est abandonné sur la lune. Malheureusement à cause de l’exiguïté de module lunaire, en se retournant pour s’asseoir, Buzz Aldrin accroche la manette de mise à feu avec les tuyaux de sa combinaison et la casse nette. Catastrophe ! Impossible de réparer : la trousse à outils est sur la lune et, sous peine de perdre de l’oxygène, on ne peut pas rouvrir le LEM. Il faut trouver une solution rapidement.

A Houston, les ingénieurs s’installent devant la reproduction du LEM grandeur nature installé dans leurs locaux et simulent la panne à l’identique afin de trouver la solution. La tension monte, le silence devient pesant. Seul, un  » clic-clac  » incessant résonne. Machinalement nerveusement les spécialistes jouent avec le mécanisme de leur stylo de l’espace. Les minutes s’écoulent, l’angoisse se croît quand soudain un ingénieur ayant remarque le  » clic-clac  » se précipite sur le LEM met son stylo à la place de la manette de mise à feu et réussi le contact. Le résultat laisse bouche bée ses confères : Les monteurs se sont mis à vrombir.

Après plusieurs essais, il n’y a plus de doute : le stylo de l’espace, dont la gaine est en laiton peut remplacer la manette. Sans plus attendre la NASA contacte les astronautes et leur demande d’effectuer la même manoeuvre. Armstrong n’hésite pas et le LEM décolle. Apollo XI revient sur terre.

Cet épisode heureux et méconnu de la conquête spatiale américaine fut caché quelques années avant d’être dévoilé par John McLeish un des responsables des relations publiques de la NASA, et rapporté par Carl W. Ritter dans le journal  » The San Diego Union « .

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Le premier homme à avoir marché sur la Lune est décédé


Une étape dans l’histoire spatiale viens de fermer un chapitre du premier homme qui aurait marché sur la lune. Neil Armstrong est mort laissant un héritage de l’amour de l’espace en photos et vidéo
Nuage

 

Le premier homme à avoir marché sur la Lune est décédé

 

Washington - Le premier homme à avoir marché sur la Lune est décédé

Neil Armstrong

Photo AFP

WASHINGTON – L’ancien astronaute américain Neil Armstrong, le premier homme à avoir marché sur la Lune en 1969, est mort à l’âge de 82 ans de complications liées à une opération cardiovasculaire, a annoncé samedi sa famille.

Armstrong, qui vivait avec sa femme Carol près de Cincinnati , avait subi une opération au coeur début août deux jours après avoir fêté ses 82 ans.

Fasciné par les avions dès son plus jeune âge, Neil Alden Armstrong, né le 5 août 1930 dans l’Ohio, était devenu pilote d’essai en 1955 avant de rejoindre le programme de la Nasa en 1962.

En tant que commandant de la mission Apollo 11, il était devenu le premier homme à fouler le sol lunaire, le 20 juillet 1969.

«C’est un petit pas pour un homme mais un pas de géant pour l’humanité», déclarait-il alors.

Peu après cette mission, Armstrong mettait fin à sa carrière d’astronaute et est nommé en 1970 administrateur adjoint pour l’aéronautique au siège de l’agence spatiale américaine (Nasa).

Il quittait la Nasa l’année suivante pour enseigner la technologie aérospatiale à l’université de Cincinnati.

Hissé au rang de véritable héros, Armstrong n’avait jamais réellement compris l’engouement suscité autour de sa personne, qui avait notamment conduit son coiffeur à vendre ses cheveux à un collectionneur pour 3000 dollars.

«J’imagine que nous aimons tous être reconnu non pas pour un seul coup d’éclat mais pour l’ensemble de notre travail quotidien»,déclarait-il en 2005 dans l’émission 60 minutes diffusée sur CBS.

Prié de dire ce qu’il ressentait à l’idée que ses traces de pas resteraient imprimées sur la surface de la lune pendant plusieurs milliers d’années, il avait répondu :

«J’ai l’espoir que quelqu’un ira sur place un de ces jours et les effacera.»

Le premier homme à avoir marché sur la Lune, est mort samedi le 25 août 2012 à l’âge de 82 ans. Voici Neil Armstrong en images.
Photo AFP / NASA

 

 

 

 

 

 

 

 

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