Un mur entre les États-Unis et le Mexique menacerait la biodiversité


« Le mur serait un crime contre la biodiversité » Paul Ehrlich. Avec le mur entre les États-Unis et le Mexique feront beaucoup de tort aux animaux et seront menacés d’extinction à cause de cette limitation. Les frontières existent pour l’humain et non pour les animaux. Une chose que Donald Trump devrait penser !
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Un mur entre les États-Unis et le Mexique menacerait la biodiversité

 

Un ocelot dans la nuit.

L’ocelot pourrait disparaître des États-Unis si un mur frontalier continu était construit. Photo : iStock

 

La survie de plus de 1000 espèces animales serait sérieusement menacée si le mur voulu par le président Donald Trump était construit tout le long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique, ont averti des scientifiques.

AGENCE FRANCE-PRESSE

Le loup du Mexique, le mouflon d’Amérique et l’antilope de Sonora verraient par exemple leurs populations scindées par ce mur, ont expliqué plus de 2700 chercheurs dans une lettre publiée dans le journal BioScience.

Les jaguars et les ocelots, qui n’ont qu’une très faible population en territoire américain, seraient menacés d’extinction.

« La construction de clôtures et de murs au cours de la dernière décennie et les efforts déployés par l’administration Trump pour ériger un mur frontalier continu menacent certaines des régions les plus diverses, biologiquement, du continent », préviennent les scientifiques.

« Les sections du mur déjà construites réduisent la superficie, la qualité et la connectivité des habitats végétaux et animaux, et compromettent plus d’un siècle d’investissements binationaux dans la conservation », ajoutent-ils, déplorant que « l’attention politique et médiatique […] sous-estime ou dénature souvent le tort causé à la biodiversité ».

Quand les populations d’animaux sont fragmentées, il est plus difficile pour eux de trouver de la nourriture, de l’eau et des partenaires pour s’accoupler, et font donc face à des risques plus élevés d’extinction.

Une soixantaine d’espèces présentes dans cette région frontalière sont déjà « listées comme étant en danger critique d’extinction, en voie de disparition ou vulnérables par l’Union internationale pour la conservation de la nature », selon les scientifiques.

Le mur serait « un crime contre la biodiversité », assène par ailleurs dans un communiqué un coauteur de la lettre, Paul Ehrlich, professeur à l’Université de Stanford.

Les chercheurs appellent les autorités américaines à identifier les espèces vulnérables et à concevoir des barrières qui permettent aux animaux de passer autant que possible d’un côté et de l’autre.

Une loi adoptée en 2005 aux États-Unis donne au département de la Sécurité intérieure le droit de lever des protections telles que la Loi sur les espèces en danger (Endangered Species Acts) s’il juge qu’elles peuvent ralentir la construction du mur.

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60.000 antilopes décèdent mystérieusement au Kazahkstan


Les scientifiques pensent qu’une bactérie aurait causé les morts en masse des antilopes Saïga (Une espèce en danger), malgré que généralement, ils sont protégés contre cette bactérie, mais leur système immunitaire aurait été affaibli probablement dû à l’environnement
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60.000 antilopes décèdent mystérieusement au Kazahkstan

 

Les saïgas font partie des rares antilopes d'Asie et appartiennent à la liste des espèces menacées de l'International Union for the Conservation of Nature. © SIPA PRESS

Les saïgas font partie des rares antilopes d’Asie et appartiennent à la liste des espèces menacées de l’International Union for the Conservation of Nature. © SIPA PRESS

Par Louise Duclos

Un nouveau cas d’épidémie a eu lieu au Kazahkstan, touchant ainsi 60.000 antilopes saïgas. Ces espèces, déjà en voie d’extinction, sont en proies à une maladie dont le pathogène est encore inconnu.

ÉPIDÉMIE. Le cauchemar continue au Kazakhstan. Au mois de mai 2015, 120.000 antilopes Saïgas sont mortes dans des circonstances mystérieuses. Début septembre, des chercheurs rapportent que 60.000 de ces antilopes asiatiques sont tombées les unes à la suite des autres, sans raison, en l’espace de seulement 4 jours. C’est la découverte qu’ont fait le géoécologiste, Steffen Zuther, et ses collègues, lorsqu’ils se sont rendus dans le centre du Kazakhstan pour analyser le vêlage d’un troupeau de Saïgas. Comme des scientifiques en avaient fait l’hypothèse quelques mois plus tôt, la cause de leur mort est liée à une bactérie. Des échantillons de tissus de l’animal, relevés lors de l’autopsie, ont montré que la toxine produite par les bactéries du genre Pasteurella, et possiblement Clostridium, causait une perte de sang abondante dans la plupart des organes de l’antilope. Ces bactéries seraient donc responsables de la perte de la moitié des antilopes du pays, qu’on estimait à 257.000 en 2014. Cependant, rien n’est encore résolu. La bactérie de genre Pasteurellane devrait normalement pas avoir d’impact sur cette espèce, étant souvent présente dans les cavités buccales et nasales de l’animal. Excepté si l’antilope est touchée par une maladie auto-immune. Si leur système immunitaire est autant affaibli pour laisser passer une telle épidémie, c’est que l’environnement doit jouer, estiment les chercheurs.

Des facteurs environnementaux

La cause de cette épidémie pourrait être le fait d’un hiver rude, poursuivi par un printemps humide. L’abondance de végétaux et l’accumulation d’eau sur le sol, provoqués par un temps pareil, sont des facteurs de multiplication des bactéries. Effectivement, les morts en masse de cette espèce commencent au moment de la fin du printemps, tout comme leur vêlage. Lorsqu’elles se regroupent pour mettre bas, les saïgas sont en forte proximité, ce qui permet la transmission rapide de la maladie. De même, les pluies abondantes survenues en mai au Kazakhstan ont pu avoir une influence néfaste sur la qualité de l’herbe, ce qui explique la perte des 120.000 saïgas à cette période. Comme les facteurs écologiques doivent jouer sur la perte de ces antilopes rares, leur déclin est dangereux pour l’écosystèmes des steppes. En consommant l’herbe des steppes, les antilopes permettent de préserver la décomposition de ces plantes et ainsi le recyclage des éléments nutritifs. De même, leur présence est essentielle pour les prédateurs, vivant dans cet environnement.

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Une antilope essaie de faire ami-ami avec un léopard!


Est-ce une amitié passagère ? Peut-être que le léopard n’avait pas faim ! Quoiqu’il en soit cet antilope n’a pas froid aux yeux d’aller aussi proche d’un prédateur
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Une antilope essaie de faire ami-ami avec un léopard!

 

La plupart des antilopes courent pour leur vie à la vue d’un léopard, mais celle-ci semblait déterminée à se lier d’amitié avec!

Pendant une heure, elle ne va pas cesser de titiller le léopard du bout de son museau.

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Une antilope échappe à des guépards en sautant dans une voiture


Prière de ne pas descendre de votre automobile lors de la visite du parc, mais laissé les fenêtres ouvertes, on ne sait jamais qui vous pourriez sauvé la vie
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Une antilope échappe à des guépards en sautant dans une voiture

Vidéo d'un impala qui tente d'échapper à un guépard au parc Kruger, en Afrique du Sud.

Vidéo d’un impala qui tente d’échapper à un guépard au parc Kruger, en Afrique du Sud. 20 MINUTES

VIDEO – Sans ce geste instinctif, l’animal aurait probablement été dévoré…

Parfois, la vie tient à une fenêtre de voiture ouverte. Un impala, une antilope qui vit traditionnellement en Afrique, en a fait la violente expérience dans le parc national Kruger d’Afrique du Sud quand, pourchassé par des guépards, l’animal a réussi à sauver sa peau en s’engouffrant dans un 4X4 de touristes par la fenêtre d’une portière, rapporte le Daily Mail.

Entrez la légende de la vidéo ici

La scène, filmée par une touriste qui se trouvait une dizaine de mètres derrière le véhicule, est impressionnante. On y voit d’abord l’impala débouler du fourré à toute vitesse –l’animal peut faire des pointes à 90 km/h- suivi d’un guépard –qui peut, lui, aller jusqu’à 110 km/h-, puis faire un bond en direction de la voiture.

Happy end

La suite, c’est la vidéaste amateure qui la raconte au Daily Mail. Dans la confusion, raconte-t-elle, un des passagers réussit à ouvrir l’une des portières du véhicule, et à en faire sortir l’impala. Le guépard, lui, a déjà rebroussé chemin.

A la fin de la vidéo, on peut ainsi voir l’animal gambader entre les voitures, puis s’en éloigner lentement. De l’autre côté de la route, des guépards restent quelques secondes à l’affut, puis quittent le terrain de leur chasse ratée, la queue entre les jambes. Sans son saut instinctif, l’impala leur aurait très probablement servi de repas.

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