Les éléphants ont un cri d’alarme pour avertir de la présence d’humains !


Les éléphants sont des animaux très intelligents et ont une excellente mémoire. Ils ont aussi une capacité d’adaptation impressionnante pour éviter les menaces. Des éléphants vont même vivre la nuit si cela est plus sécuritaire. Parmi les menaces, l’humain est une de taille. Alors, ils ont créer un son spécifique, comme un grondement spécifique à l’homme et qui sera différent aux danger que représente les abeilles.
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Les éléphants ont un cri d’alarme pour avertir de la présence d’humains !

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Les éléphants sont réputés pour leur grande intelligence, leur incroyable mémoire et leur formidable capacité d’adaptation.

En effet, ils ont par exemple compris qu’il était désormais plus prudent pour eux de vivre la nuit afin d’échapper aux braconniers. Mais une récente étude a également révélé que ces pachydermes avaient mis au point d’autres moyens pour se protéger des humains…

Un signal d’alarme spécifique pour les humains

Les scientifiques de l’université d’Oxford ont découvert que les éléphants émettaient un son bien particulier lorsqu’ils apercevaient un humain L’objectif ? Avertir leurs congénères d’un éventuel danger afin de leur laisser le temps de fuir !

En effet, les éléphants savent pertinemment que les humains sont l’une de leurs principales menaces. Depuis le temps qu’ils cohabitent avec eux sur la planète, ils ont appris à se méfier de ces êtres qui les poursuivent et qui les tuent sans relâche pour leurs défenses ou simplement parce qu’ils les gênent dans leurs activités.

Par ailleurs, les éléphants sont des animaux sociaux qui vivent en groupe et qui prennent soin de leurs proches. Ils ont pour habitude de vocaliser lorsqu’ils sont heureux, excités ou même effrayés. Mais ils peuvent également émettre des grondements plus graves et inaudibles pour l’oreille humaine. L’intérêt de ces sons de basse fréquence (infrasons) est qu’ils permettent d’alerter discrètement du danger, notamment sur de longues distances.

éléphant

Crédits : David Clode/Unsplash

Les autres cris d’alarme des éléphants

Les humains ne sont pas le seul danger auquel les éléphants ont à faire face dans la nature. Il existe d’autres menaces qui méritent également leur propre signal d’alarme. C’est notamment le cas des abeilles.

En effet, les éléphants sont particulièrement vulnérables aux piqûres d’abeilles, notamment au niveau des yeux. Quant aux bébés éléphants, leur peau n’est pas encore assez épaisse pour les protéger des piqûres. En ce sens, ils peuvent même être tués par un essaim d’abeilles.

Il était donc essentiel que les éléphants créent un signal spécifique permettant d’avertir les autres éléphants de la présence d’abeilles dans les alentours. Généralement, ce cri d’alarme, qui diffère de celui prévu pour les humains, est accompagné de secousses vigoureuses de la tête destinées à chasser les insectes posés au sol.

Les chercheurs ont ainsi pu découvrir que les éléphants avaient non seulement des signaux d’alarme spécifiques à chaque menace, mais qu’en plus ils avaient leur propre langue. Encore mieux, leurs cris pourraient s’apparenter à des mots humains. Ainsi, lorsqu’ils aperçoivent un humain, il est tout à fait possible que la signification de leurs grondements soit : “Humains, fuyez !”.

Source

https://animalaxy.fr/

Ce village de Nouvelle-Zélande veut interdire les chats


J’aime les chats, vraiment beaucoup, mais je peux comprendre qu’en temps de prédateur, ils peuvent faire beaucoup de victimes. La Nouvelle-Zélande veut protéger sa faune sans pourtant tuer tous les chats qui s’y trouvent dans des zones protégées. La stérilisation n’enlève pas leur instinct de prédateurs. Par contre, ils ont une solution qui semble la plus équitable.
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Ce village de Nouvelle-Zélande veut interdire les chats

 

chat chasse oiseau

Les autorités du village d’Omaui, situé dans la région de Southland en Nouvelle-Zélande, veulent totalement bannir les chats domestiques afin de protéger la faune locale.

Sera-t-il bientôt interdit d’avoir un chat pour les habitants d’Omaui ? C’est ce qui semble se profiler. Il n’est pas question de mener une campagne d’extermination des chats déjà présents sur le territoire. Pas d’euthanasies prévues, donc.

Cependant, les propriétaires de petits félins domestiques ont d’ores et déjà l’obligation de les faire stériliser, identifier par puce électronique et enregistrer auprès des autorités locales. Et lorsqu’un chat domestique décède, il ne sera bientôt plus possible d’en adopter un autre.

A moyen terme, le village souhaite donc contrôler et limiter sa population féline, mais à long terme, la voir totalement disparaître. En cas de non-respect de la loi, les autorités se réservent même le droit de saisir les chats et de les faire adopter dans d’autres zones, non protégées.

Protéger la faune locale

Alors pourquoi cette politique hostile à la présence des chats domestiques ? D’après les personnes qui s’occupent des réserves naturelles avoisinantes et les caméras de surveillances qui y sont installées, les chats seraient à l’origine d’un désastre écologique :

« Il y a des chats qui vont dans le bush et ils chassent les oiseaux, ils tuent les insectes, ils tuent les reptiles… un peu de tout », a expliqué une employée de la biosécurité. « Nous ne détestons pas les chats, mais nous voulons un environnement riche en animaux sauvages », a quant à lui déclaré John Collins, président de l’association environnement d’Omaui.

Le chat, même s’il est domestiqué, a conservé ses instincts de chasseur. Il est donc un prédateur pour de nombreuses espèces. En Australie, un million d’oiseaux par jour sont tués par des chats.

https://wamiz.com/

Une Française a grandi avec des animaux sauvages


Une fillette a pu vivre une expérience extraordinaire dans la savane africaine à Namibie grâce à ses parents. Elle a pu côtoyer des animaux sauvages qui ont été soignés alors que la plupart étaient orphelins. Personnellement, certains animaux m’apparaissaient dangereux pour la petite qui aujourd’hui, c’est une jeune femme qui est retournée en Afrique pour des documentaires
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Une Française a grandi avec des animaux sauvages

Née en 1990, Tippi a grandi dans la savane africaine jusqu’à l’âge de 10 ans avec ses parents Sylvie Robert et Alain Degré.

« C’était une période magique, d’être capable d’être dans la nature sauvage et libre avec notre enfant, » a dit Sylvie à The Telegraph.

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« C’était une petite fille chanceuse. Elle a grandi dans la nature jusqu’à ses dix ans. Il n’y avait que nous trois et tous les animaux. Nous n’avions pas beaucoup de contact avec d’autres personnes. »

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Même si cela ne se voit pas particulièrement dans certaines des photos, les parents de Tippi sont extrêmement préoccupés par sa sécurité.

« De nombreux fermiers des environs prenaient soin de certains animaux orphelins et nous avions l’habitude d’être proches d’eux. Ils étaient presque domptés ou très habitués aux gens et c’est pourquoi Tippi pouvait s’approcher d’eux. »

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Il est évident que les parents de Tippi sont des photographes professionnels, car les photos de leur fille sont vraiment fantastiques.

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Les cheveux en bataille de la petite fille, les beaux paysages et les animaux sauvages font des photos exceptionnelles. Vous pouvez voir le lien fort qui unit Tippi et les animaux.

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Après 10 ans en Namibie, Tippi est retournée à Paris avec ses parents. Mais la vie sauvage d’Afrique tient toujours une place de choix dans le cœur de Tippi. Elle y est retournée 6 fois pour filmer des documentaires pour Discovery Channel.

Aujourd’hui, Tippi est âgée de 27 ans.

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Les merveilleuses photos de l’enfance de Tippi sont maintenant publiées dans un livre, Tippi – Mon Livre d’Afrique.

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Vous pouvez voir d’autres photos de Tippi ci-dessous. Plus bas, vous pouvez aussi voir à quoi elle ressemble aujourd’hui.

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Voici Tippi aujourd’hui :

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Quelles photos magiques ! On dirait vraiment qu’elle a eu une enfance merveilleuse.

Vous pouvez regarder une vidéo au sujet de Tippi ci-dessous.

Entrez la légende de la vidéo ici

https://fr.newsner.com/

Bienvenue à Anchorage, la ville des orignaux


C’est surprenant que des orignaux puissent circuler librement dans une ville en Alaska, sans peur d’être la cible d’un fusil. Plus de la moitié de la population humaine aime cohabiter avec ces animaux sauvages imposants qui peuvent provoquer des collisions extrême sur la route avec une voiture ou même être agressifs s’ils se sentent menacés
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Bienvenue à Anchorage, la ville des orignaux

 

Un bébé orignal juste à côté d'une affiche où on peut lire : «Welcome».

Un bébé orignal cherche à se nourrir dans un massif de verdure devant une maison à Anchorage, en Alaska.   Photo : Anne Kessler

Près de 2000 orignaux ont élu domicile dans les rues et les arrière-cours d’Anchorage, en Alaska. Les résidents se sont habitués à leur présence, et ils sont même fiers de cohabiter avec ces animaux pourtant dangereux.

Un texte de Benoît Ferradini, à La semaine verte

Les orignaux font partie du quotidien des habitants d’Anchorage. Cela va des combats de mâles en rut en pleine rue, jusqu’aux ébats des bébés en mai.

C’est fréquent de les voir traverser la rue devant les voitures, de marcher sur les trottoirs. On a même des photos d’eux dans des épiceries, ou en train d’entrer à l’hôpital. Don Dyer, de l’Alaska Moose Federation

Les voir de son salon

Michel Villon habite à Anchorage depuis 50 ans. Il a appris à respecter ces quadrupèdes imposants, qui mesurent plus de deux mètres et peuvent peser jusqu’à 700 kilos.

« Il y a deux mois, je sors, et l’orignal était juste là », explique Michel Villon en montrant du doigt l’entrée de sa maison.

Le plus souvent, il reste dans son salon et observe les orignaux qui traversent son arrière-cour.

S’ils se retrouvent dans ce quartier, c’est qu’ils suivent des ruisseaux qui descendent des montagnes avoisinantes où ils passent l’hiver.

« Ça permet aux orignaux de descendre quand il y a beaucoup de neige en hiver », dit Michel Villon.

Comprendre leurs déplacements

Ces déplacements intriguent le département de la Pêche et de la Chasse d’Alaska, qui tente de mieux comprendre l’organisation de la population d’orignaux.

« Nous avons quelques centaines d’orignaux qui sont résidents permanents d’Anchorage, mais pendant l’hiver, ils sont rejoints par les orignaux des montagnes Chugach, à l’est et au sud de la ville », explique l’agent de la faune Dave Saalfeld.

Personne ne sait exactement combien d’orignaux s’installent dans les nombreux parcs de la ville. Selon les dernières estimations, leur nombre varierait entre 1200 et 2000 individus.

Mais impossible pour le département de faire des inventaires par avion; il y a trop de trafic aérien au-dessus d’Anchorage, la plus grande ville d’Alaska.

En février, le gouvernement a donc lancé un projet pilote : compter les bêtes en se basant sur les appels des résidents.

« Si on se base sur les centaines d’appels qu’on a reçus, on peut dire que tout le monde est très satisfait de notre projet », se réjouit Dave Saalfeld.

Une fois que les orignaux repérés grâce aux appels, des agents de la faune tentent de les approcher pour prélever des échantillons d’ADN. L’objectif : dresser une carte génétique des familles d’orignaux.

Les chercheurs espèrent ainsi les dénombrer et comprendre leurs déplacements. L’étude se poursuivra pendant trois ans. Elle devrait permettre de mieux gérer une population dont la présence provoque aussi bien des dégâts.

Plus agressifs que des grizzlis

Don Dyer, de l’Alaska Moose Federation, raconte que les collisions entre voitures et orignaux sont monnaie courante. Lorsque nous l’avons rencontré, il venait de se rendre sur le lieu d’un tel accident.

« La voiture a heurté l’orignal, il a roulé sur le toit et a ensuite écrasé l’arrière du véhicule », raconte-t-il.

Le toit et le pare-brise du véhicule étaient complètement enfoncés.

Don Dyer explique que ses collègues et lui récupèrent les carcasses des orignaux tués après les accidents.

« On en ramasse 500 à 600 par an », dit-il, avant d’ajouter qu’il récupère la viande en l’apportant à des associations à but caritatif.

« On tire environ 275 livres de viande d’un orignal tué. Si on compte tout ce qu’on a déjà distribué, en nombre de steaks hachés, cela fait 700 000 hamburgers! », explique Don Dyer.

Les risques liés à la cohabitation avec les orignaux ne se limitent pas aux collisions routières. Les orignaux sont considérés comme étant les animaux les plus dangereux de l’État, plus agressifs que les grizzlis. En mai, huit personnes ont été blessées par des orignaux à Anchorage, surtout par des mères protégeant leurs petits.

Michel Villon est très conscient des risques encourus.

On a un sens un petit peu plus développé que les nouveaux arrivés qui regardent ces animaux comme au zoo : « Oh, c’est mignon! » Oui, c’est mignon, mais ça peut tuer; c’est ça le problème.

Michel Villon

 

 

Reste que la population d’Anchorage aime ces bêtes. En 2010, un sondage du département de la Pêche et de la Chasse a démontré que 87 % des résidents apprécient la présence des orignaux malgré les risques.

Une fierté qui fait maintenant partie de la ville. Anchorage est reconnue mondialement pour sa population d’orignaux urbains.

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Un hippopotame s’échappe d’un cirque en pleine ville


Les animaux sauvages ne devraient pas se retrouver dans des espaces confinés tels que des cirques et des zoos. Cet hippopotame ne pourra probablement jamais savoir ce qu’est la liberté des grands espaces
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Un hippopotame s’échappe d’un cirque en pleine ville

 

Un hippopotame s'échappe d'un cirque en pleine ville

L’hippopotame en fugue.Photo Gentside

Visiblement en manque de liberté, cet hippopotame s’est échappé de son cirque mercredi, le temps d’une petite balade sur un boulevard de Palos de la Frontera, au sud-ouest de l’Espagne. Bien évidemment, l’escapade n’est pas passée inaperçue, provocant la stupéfaction de nombreux passants et automobilistes.

Plusieurs vidéos et photographies partagées sur les réseaux sociaux relatent cet événement. Elles ont été capturées pendant que l’animal errait au milieu de la foule et des véhicules en stationnement. À travers les images, on peut le voir déambuler sur la route principale, s’arrêtant de temps à autre pour brouter un peu d’herbe.

UN INCIDENT SANS CONSÉQUENCE

Bien que l’hippopotame présente une envergure impressionnante, avec un poids de plus d’une tonne, celui-ci n’a causé aucun dégât matériel ou humain. Particulièrement pacifiste, il s’est contenté de tracer tranquillement son chemin, évitant les piétons.

Malheureusement pour lui et pour les témoins amusés, l’excursion n’a pas duré longtemps. Les autorités et responsables du cirque l’ont retrouvé immédiatement. Après quelques réprimandes, l’hippopotame a été ramené dans son enclos.

Pour le moment, l’identité de l’animal et les circonstances de son évasion n’ont pas été révélées. Le cirque ayant préféré rester discret au sujet de cet incident. Pour les défenseurs des animaux, cette fugue est toutefois révélatrice du désir de grands espaces de ces spécimens.

DES CONDITIONS D’EXPLOITATION INCOMPATIBLES

Comme beaucoup de spécimens sauvages, cet hippopotame possède des besoins naturels dont il est privé en raison de son mode de vie dans le milieu du cirque. L’animal ne connaitra surement jamais les bienfaits du soleil d’Afrique pour se réchauffer ou encore celui des vastes entendues d’eau dans lesquelles se rouler.

Parce que les cirques ne peuvent offrir à  leurs pensionnaires une telle qualité de vie, l’exploitation d’animaux sauvages est de plus en plus contestée. Certains pays comme la Grèce, l’Autriche ou encore le Pérou ou la Colombie ont même interdit cette pratique au niveau national.

http://fr.canoe.ca/

Ses photos de chasse choquent la toile «Les girafes sont vraiment des animaux dangereux»


Pffffffffffffffffffffff ! Elle dit que les girafes peuvent nous blesser sérieusement, bien oui, si tu vas sur son territoire et que tu te trouve dans ses pattes, oui, elles peuvent te blesser !!! Je ne comprends pas quand une personne dite qu’elle respect les animaux alors qu’elle les chasse pour son passe-temps ! Ce n’est même pas une question de survie ou au pire un problème de surpopulation, ce n’est pas pour se nourrir non, ce n’est que pour le plaisir ! C’est égoïste !
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Ses photos de chasse choquent la toile

«Les girafes sont vraiment des animaux dangereux»

 


(Crédit photo: gracieuseté, Facebook de Sabrina Corgatelli)

 

Une jeune femme américaine en safari en Afrique du Sud dont les photos de chasse ont choqué de nombreux internautes a voulu expliquer pourquoi ce passe-temps lui tient tant à coeur. Toutefois, les explications n’ont pas été mieux accueillies.

Sabrina Corgatelli a publié de nombreuses photos d’elle avec ses proies, un gnou, un impala, mais surtout, une girafe. C’est surtout les photos de cet animal, un herbivore considéré par tous comme inoffensif, qui ont scandalisé les utilisateurs des réseaux sociaux.

La jeune femme s’est expliqué dans une entrevue avec Carson Daly dans le cadre du Today Show. Selon elle, il n’y a rien de mal à tuer une girafe.

«Les girafes sont vraiment des animaux dangereux. Ils pourraient nous blesser sérieusement très rapidement», a-t-elle dit.

Mme Corgatelli a aussi voulu s’expliquer sur le plaisir de chasser et que ceux qui le font ne sont pas des «tueurs sans coeur».

«Tout le monde croit que nous sommes de tueurs sans coeur, mais ce n’est pas ça. Il y a une connexion avec l’animal et juste parce que nous les chassons, ça ne veut pas dire que nous n’avons pas de respect pour eux», a-t-elle ajouté.


(Crédit photo: gracieuseté, Facebook de Sabrina Corgatelli)

«Tout ce que je fais ici est légal, pourquoi blâmer quelqu’un à cause de ses passe-temps?» a notamment dit Sabrina en répondant à un internaute qui critiquait ses photos.

La jeune femme qui travaille comme comptable à l’université de l’État d’Idaho affirme n’avoir eu connaissance de l’histoire de Cecil qu’au lendemain de sa chasse à la girafe. Elle n’a pas voulu se prononcer sur le sort réservé au dentiste.

http://tvanouvelles.ca/