Ce petit chaton fera tout pour retrouver son ami le chiot


L’animalerie JoLinn Pet House, située à Taïwan, a mis en ligne un chaton déterminé à retrouver son ami, le chiot. Le chaton aurait pu prendre la fuite, non, au nom de l’amitié, il a préféré son ami dans l’autre cage en verre
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Ce petit chaton fera tout pour retrouver son ami le chiot

 

Une voleuse de chat… prise la main dans le sac !


Une voleuse repentie de son vol dans une animalerie, elle avait été filmée par la caméra de surveillance et la propriétaire avait posté sur Facebook. On voyait bien le visage de la voleuse. Au lieu d’appeler la police, elle a préféré laisser une chance à la dame pour reporter le chat ou payer 1000 dollars avant un temps fixé
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Une voleuse de chat… prise la main dans le sac !

 

L’animalerie Bill et Bull de Saint-Nicolas (Québec) a été, lundi, le théâtre d’une scène bien étonnante : une femme y a dérobé un chat ! Mais suite à un ultimatum posté par la gérante sur Facebook, la coupable a fini par se rendre mercredi.

Incroyable mais vrai : lundi, c’est sans payer qu’une jeune femme est sortie d’une animalerie, chat sous le bras. Et ce n’était pas n’importe quel matou ! L’objet de son larcin au sein de l’animalerie Bill et Bull de Saint-Nicolas (Québec) n’était autre qu’un adorable chaton Sphynx, d’une valeur de 1000$ canadiens (soit 628,29€).

Mais loin de se laisser abattre, la gérante de l’établissement a très vite riposté en postant sur la page Facebook de son enseigne la vidéo de surveillance sur laquelle on voit la voleuse s’emparer de la cage.

Par ailleurs, comme le rapporte Le Journal de Québec, celle-ci aurait sommé dans son post la truande de lui rapporter l’animal ou alors, de payer la facture de celui-ci avant mercredi 21h faute de quoi, les autorités seraient alertées. Et ça a marché !

Des regrets et une parole

C’est sur l’heure du déjeuner que, ce mercredi 23 décembre, la chipeuse est revenu sur les lieux de son crime. Et pour cause, elle y a réglé la totalité de son dû.

«Elle m’a dit qu’elle veut bien s’occuper du chat. Je lui ai donné le carnet de santé et quelques conseils», a quant à elle indiqué la propriétaire, qui a admis qu’elle aurait tout de même préféré que le chat lui soit rendu.

Et si la jeune femme a assuré qu’elle regrettait «énormément» son geste, la gérante – elle – n’a eu qu’une seule parole. Faute avouée, à moitié pardonnée : elle n’a pas déposé plainte contre sa voleuse.

http://wamiz.com/

Des gadgets pour animaux branchés


Je peux comprendre que les gadgets technologiques peuvent intéresser les professionnels comme les vétérinaires, ceux qui étudient les animaux sauvages .., Mais pour le commun des mortels, faire de son animal branchés m’apparait exagéré et comme tout accessoires branchés, il y a des données qui se transmettent à des entreprises qui surement l’utiliseront pour leurs propres intérêts pour promouvoir des nouveaux produits bien ciblés
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Des gadgets pour animaux branchés

 

Le collier Voyce se connecte à l’ordinateur ou à l’appareil mobile du maître et transmet des statistiques sur la distance parcourue, les calories brûlées, le temps de sommeil, le rythme cardiaque et la fréquence respiratoire du chien.

PHOTO FOURNIE PAR VOYCE

SIMON LORD

Collaboration spéciale

La Presse

Les technologies portables sont en plein essor. On les retrouve à la cheville des joggeurs, au poignet des professionnels BCBG… et au collier de Rex. Les accessoires intelligents et connectés pour animaux sont à la mode et ils ont indéniablement du mordant. 

Tour d’horizon.

DE PETITS LUXES POUR LES ANIMAUX

Les accessoires intelligents destinés aux animaux de compagnie gagnent en popularité. Les experts prédisent une forte croissance de ce marché au cours des années qui viennent. Qu’est-ce qui motive les acheteurs à adopter de telles technologies ?

« Les gens font de leur compagnon un être intégré dans la famille. Ils lui achètent des produits ou services similaires à ceux qu’ils s’achèteraient et veillent davantage à leur santé », explique Rénald Sabourin, directeur général adjoint du Conseil consultatif mixte de l’industrie des animaux de compagnie (PIJAC Canada).

Les technologies portables sont donc la nouvelle addition à la liste des petits luxes pour les animaux, comme les traitements d’hydrothérapie et les spas pour chien.

Les amateurs de techno ont d’abord emboîté le pas lorsqu’un produit leur a permis de récolter de l’information à propos de leur activité physique. Le développement d’un gadget similaire pour chien était donc la suite naturelle des choses. Après Fitbit, Fitbark.

LA TECHNO DANS LES ANIMALERIES

Les animaleries, elles, suivent la tendance. La boutique d’animaux Chico, une chaîne de la grande région de Montréal, n’a pas de difficulté à écouler ses gadgets techno.

« Il y a certainement de l’intérêt pour ces produits », note Pierre Charbonneau, propriétaire de la chaîne.

Il ne s’agit toutefois pas d’une manne pour toutes les boutiques. Bien que plusieurs d’entre elles se soient lancées dans la vente de ces produits, les consommateurs ne sont pas toujours au rendez-vous.

« J’ai plusieurs Eyenimal Petcam en stock, une caméra que l’on attache au collier d’un chat. Je l’ai mise à 50 % sur mon comptoir et je ne suis pas capable de la vendre. En plus, mon distributeur m’avait fait un rabais », raconte Benoît Lussier, gérant de la boutique pour animaux Croque en Bol, sur l’avenue du Mont-Royal, à Montréal.

Dans l’ensemble, les experts prédisent que la tendance poursuivra son envol.

En 2025, la valeur du marché international de la techno pour les animaux devrait atteindre 2,6 milliards US, selon IDTechEx, une firme d’études de marché du secteur animalier. Le nombre d’entreprises fabriquant ces appareils pourrait passer de 300 à 500.

Cinq accessoires intelligents pour animaux de compagnie

Bien qu’il s’agisse d’une tendance récente, il existe déjà une large gamme de produits et accessoires intelligents destinés aux animaux. Les voici.

EYENIMAL PETCAM

Le Petcam, c’est un peu la GoPro des amoureux d’animaux. Il s’agit d’une petite caméra qui s’attache au collier de son animal et qui enregistre tout ce qu’il voit de sa perspective. Un microphone permet aussi d’enregistrer les doléances de ses voisins lorsque l’animal favori décide d’aller marquer son territoire de l’autre côté de la clôture.

La Petcam peut être commandée de partout en Amérique du Nord sur le site web dewww.pettechworld.com au prix de 81,08 $ US.

Pour une trentaine de dollars de plus, la Eyenimal Cat Videocam offre la vision de nuit et la détection de mouvement. www.eyenimal.com

 

PHOTO FOURNIE PAR FITBARK

FITBARK

FitBark est un petit appareil, de la taille d’un pouce, qui s’attache au collier de son chien. Ce petit accessoire intelligent, en forme d’os, permet de faire un suivi de l’activité physique de son animal de compagnie. Les informations récoltées par FitBark sont ensuite envoyées vers son appareil mobile par Bluetooth. L’appli génère des statistiques et permet de voir, entre autres, le nombre d’heures de jeu et de repos de son animal favori. On a donc un aperçu de sa santé et de son comportement en un coup d’oeil.

L’appli est compatible avec iOS et Android. Le FitBark peut être acheté directement sur le site de l’entreprise au coût de 99,95 $ US. L’appareil est aussi en vente chez Best Buy et Future Shop. www.fitbark.com

G-PAWS

Le G-Paws est un petit appareil, gros comme un briquet, qui s’attache au collier de sa boule de poil. Il enregistre ses déplacements et l’heure de ceux-ci grâce à un récepteur GPS. Les données peuvent ensuite être téléchargées sur un ordinateur, en branchant G-Paws avec un fil USB, puis envoyées vers le site web de l’entreprise. On peut enfin partager les aventures de son animal sur les réseaux sociaux et tracer ses déplacements sur Google Maps.

«Nous avons déjà enregistré un total de 1 million de kilomètres en déplacements d’animaux domestiques», note Dave Evans, fondateur de l’entreprise.

G-Paws est utile pour avoir une idée d’où trouver son animal en cas de fugue. L’accessoire résiste à l’eau et pèse 12 g. Le G-Paws peut être commandé sur le site web de l’entreprise pour 96,17 $. www.g-paws.com

STICKNFIND

StickNFind est une pastille autocollante de la taille d’une pièce de monnaie. Elle permet de situer l’objet sur lequel elle est collée à l’aide d’un appareil mobile muni de fonctionnalités Bluetooth. La portée du gadget est d’environ 30 m. L’appareil peut naturellement être utilisé pour retrouver ses valises et ses clefs. Mais l’appli de StickNFind offre une fonctionnalité particulière à ceux qui posent l’autocollant sur le collier de Fido. C’est la laisse virtuelle. Il s’agit d’une alarme qui est déclenchée lorsque l’animal de compagnie se déplace au-delà d’une limite de distance préétablie.

Le StickNFind peut être acheté sur le site web de l’entreprise au coût de 49,99 $ US pour deux pastilles intelligentes. Compatible avec iOS et Android. www.sticknfind.com

VOYCE

Voyce est un collier intelligent pour chien similaire à FitBark, mais en plus high-tech – et plus dispendieux. Il s’agit d’un gadget ayant pour but de suivre la santé et le bien-être de Rex. Le collier nouveau genre se connecte à l’ordinateur ou à l’appareil mobile du maître et transmet des statistiques sur la distance parcourue, les calories brûlées, le temps de sommeil, le rythme cardiaque et la fréquence respiratoire du chien. Les données sont téléchargées à l’aide du WiFi. L’appareil dispose d’une autonomie d’une semaine et résiste à l’eau ainsi qu’à la poussière.

Le collier Voyce coûte 299 $ US, plus des frais d’adhésion annuels d’une centaine de dollars. L’entreprise ne vend pour l’instant qu’aux États-Unis, à partir de son site web. www.mydogsvoyce.com

Au service de la santé, du savoir et du sport

L’intérêt pour les accessoires intelligents a explosé en 2013, révèle Google Trends. Mais les professionnels du monde animal ne sont pas impressionnés. Ils utilisent cette technologie depuis déjà des décennies. Les avancées techniques leur permettent néanmoins de faire plus avec moins et de rêver à de nouvelles fonctionnalités.

« Tous les flamants roses sont pareils. Un flamant, c’est un flamant », remarque d’emblée Patrick Paré, biologiste et directeur de la recherche et de la conservation au Zoo de Granby.

Cela complique la tâche de les identifier. Une solution est de leur mettre une bague d’identification en plastique. Une autre option, plus 2015, consiste à leur implanter une micropuce en forme de grain de riz, longue de 6 à 12 mm, sous la peau.

Celle-ci émet une radiofréquence qui permet d’identifier l’animal au moyen d’un lecteur portatif et de le relier à son dossier informatique.

« J’ai une girafe, ici, qui a 20 ans. Je peux retracer chaque année de sa vie et savoir, par exemple, s’il y a des objets qu’elle préfère ou si elle a été soignée », illustre M. Paré. Le zoo se sert de ces puces pour identifier plusieurs de ses animaux.

Cette technologie n’est toutefois pas exactement nouvelle. « Ça fait 22 ans que je suis dans le domaine des zoos. Ça existe d’aussi loin que je me souvienne », dit M. Paré.

Les percées technologiques permettent maintenant aux accessoires intelligents de transférer les données colligées par satellite ou au moyen d’une antenne portative. Plus besoin de recapturer les animaux pour lire les données.

« On utilise des colliers émetteurs pour faire de la recherche. On s’est déjà servi d’un bracelet de géolocalisation, connecté à un satellite, pour évaluer si nos éléphants faisaient suffisamment de marche au cours d’une journée », raconte M. Paré.

Des dispositifs intelligents similaires sont aussi utilisés sur des animaux sauvages pour étudier, par exemple, l’étendue territoriale habitée par des tortues menacées, le mouvement migratoire des caribous et le comportement des polatouches.

AU SERVICE DES ÉLEVEURS

Les éleveurs bovins, eux, se servent d’une technologie semblable aux micropuces du zoo pour identifier leurs animaux et, par exemple, enregistrer de l’information relative à leur production de lait.

Ils ont, dans leur arsenal techno, d’autres outils beaucoup plus puissants pour évaluer la santé et la productivité de leurs animaux. Il existe entre autres deswearables permettant de mesurer le déplacement des vaches, d’établir si elles ont brouté suffisamment, de connaître leur température et de savoir durant combien de temps elles ont été couchées.

D’autres appareils aident à déterminer si une vache est en chaleur.

« Ce n’est pas tout le monde qui a l’oeil pour ça. En plus, le producteur n’a qu’un nombre de minutes donné par jour pour observer les signes », explique Jean-Philippe Roy, professeur à la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal.

Dans la plupart des cas, les appareils envoient les données recueillies directement vers l’ordinateur de l’éleveur en passant par une antenne installée dans l’étable. Parfois, les informations sont envoyées dans le nuage et analysées par un fournisseur de service qui recommande des actions à prendre.

« Les technologies portables sont en ébullition. On les utilise de plus en plus chaque année et beaucoup de nouveaux systèmes sont développés. J’ai l’impression que ce sera la norme d’ici quelques années », prédit M. Roy.

INNOVATIONS QUÉBÉCOISES

La course aux nouveaux produits est donc lancée. Et le Québec y participe.

Maryse Tanguay est enseignante et vétérinaire au Cégep de Saint-Hyacinthe. Elle travaille aussi au Groupe CTT, un centre de transfert technologique. Son mandat : trouver des applications pour les textiles intelligents dans le domaine vétérinaire.

Les projets sur lesquels elle travaille sont, pour l’instant, top secret. Ils ne sont pas brevetés et elle veut éviter de révéler de l’information sur les produits en développement.

« Mais l’industrie est très intéressée », confie-t-elle.

L’avenir de certaines spécialités vétérinaires repose même sur les innovations dans ce domaine, selon certains experts.

« Il y a également de l’intérêt dans le domaine équin. On peut imaginer, par exemple, des vêtements intelligents qui détectent certains paramètres physiologiques des chevaux et qui aident à optimiser leur entraînement. Un peu comme les athlètes olympiques. »

http://techno.lapresse.ca/

Mort de deux frères asphyxiés par un serpent: pas d’accusations


Le gars gardait illégalement un serpent dans son appartement, et le serpent s’est enfui tuant deux jeunes enfants et pas d’accusation. Qu’est-ce que l’on doit comprendre ? Si la couronne ne poursuit pas le propriétaire de ce python ? Qu’il n’est pas responsable de l’animal qui est un prédateur dangereux pour son manque de sécurité? Leurs parents ne verront jamais leurs deux enfants qui ont été attaqués dans leur propre appartement
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Mort de deux frères asphyxiés par un serpent: pas d’accusations

 

Mort de deux frères asphyxiés par un serpent: pas d'accusations

Les enfants dormaient dans l’appartement situé au-dessus de l’animalerie Reptile Ocean lorsque le python s’est enfui. Photo archives / Agence QMI

Agence QMI

 

CAMPBELLTON, N.-B. – La GRC au Nouveau-Brunswick a terminé son enquête concernant la mort des deux jeunes frères Noah et Connor Barthe, asphyxiés par un python de Seba qui s’est échappé de sa cage, à Campbellton, l’année dernière.

Le dossier a été remis à la Couronne.

La police n’a pas recommandé le dépôt d’accusation. Le dossier n’est toutefois pas fermé.

«L’enquête n’est pas conclue parce que la Couronne pourrait demander d’autres informations à nos enquêteurs», a indiqué la constable de GRC, Jullie Rogers-Marsh.

Noah, 4 ans, et Connor, 6 ans, sont morts étouffés par le serpent, le 5 août 2013. Ils dormaient dans l’appartement situé au-dessus de l’animalerie Reptile Ocean lorsque le python s’est enfui de son enclos et a fait son chemin jusqu’aux enfants.

Le commerce et l’appartement sont la propriété de Jean-Claude Savoie, qui gardait l’animal exotique illégal dans son appartement.

Mercredi, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a annoncé la création d’un groupe de travail qui aura la responsabilité d’examiner les lois et les règlements relatifs aux animaux exotiques dans la province.

«Notre gouvernement estime important d’informer le public concernant nos efforts pour revoir nos règlements actuels, afin de les renforcer, et notre intention d’établir un groupe de travail qui permettra de s’assurer qu’une telle situation ne puisse se reproduire», a indiqué le ministre des Ressources naturelles, Paul Robichaud.

Le groupe de travail sera dirigé par le gérant du Zoo de Magnetic Hill à Moncton, Bruce Dougan. Il est aussi un ancien président des Aquariums et zoos accrédités du Canada.

http://fr.canoe.ca

147 animaux dans leur 4 et demi L’Arche de Noé de Longueuil menacé


Je peux comprendre le couple qui veut de leur appartement soit un refuge pour les animaux qui seraient probablement voués a l’euthanasie, mais avoir un tel nombre dans un appartement n’est pas vraiment ce qui est mieux et ce même si le couple s’en occupe bien. S’ils permettent a ce couple de garder autant d’animaux, d’autres voudrons faire la même chose et les animaux seraient peut-être négligés. Pour un tel refuge, la campagne serait idéal
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147 animaux dans leur 4 et demi  : L’Arche de Noé de Longueuil menacé

 

 

L'Arche de Noé de Longueuil menacé

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, ANNE-LOVELY ETIENNE
Mélanie Desfosses et Ian Paquette, le couple qui possède 147 animaux

Mélanie Desfosses et Ian Paquette, le couple qui possède 147 animaux.

Le couple de Longueuil qui accueille 147 animaux dans son 4 1/2 risque d’être obligé de se débarrasser de la majorité de ses petites bêtes. Des plaintes de citoyens auraient mené la police de la Ville de Longueuil à ouvrir une enquête.

«Quand la police est arrivée à l’animalerie pour questionner mon conjoint et moi sur nos animaux, ça a été angoissant. De plus, lorsqu’ils nous ont dit que nous devions nous défaire de nos animaux, mes jambes ont cédé. Pour moi, c’est comme enlever à une mère ses enfants», dit avec émoi Mélanie Desfosses.

Comme nous le rapportions dans le Journal, elle et son conjoint Ian Paquette ont créé un véritable refuge dans leur appartement.

M. Paquette raconte que la police de la Ville de Longueuil est arrivée à l’improviste sur leur lieu de travail. On les aurait alors informés que les gens n’ont droit qu’à deux animaux par foyer.

«Les policiers nous ont dit que les plaintes sont arrivées à la suite de la parution de l’article dans le Journal. Après la visite d’un inspecteur, on nous donnait un mois pour vider l’appartement», explique Mme Desfosses.

Le couple soutient que si le chiffre de 147 animaux paraît élevé, il comprend dans les faits une centaine de poissons.

«Dans le règlement municipal, les poissons ne sont pas pris en compte. Pour mon chien et mes trois chats, je suis en règle, car le règlement stipule le droit à deux chiens et trois chats par habitat. Pour les autres que je sauve, on pourrait avoir le bon sens de me les laisser», déplore Mme Desfosses.

Le couple confie avec tristesse qu’abandonner ses animaux équivaut à en condamner une bonne partie à l’euthanasie.

Des voisins témoignent

Pourtant, les voisins immédiats du couple ne se plaignent pas de la présence de la ménagerie.

«Je ne sens et je n’entends rien. C’est tranquille malgré la présence des animaux. Je n’ai rien à dire», confirme Caroline Desautels.

Sylvain Lefèbvre, son conjoint, trouve que rescaper les animaux est une action louable. Il lève son chapeau au couple qui consacre temps et argent à sauver des petites bêtes abandonnées.

«Je ne sais pas qui se plaint, mais ceux qui se plaignent sont des gens qui n’ont rien à faire. C’est chialer sans savoir», exprime M. Lefèbvre.

Aucune loi

Il y a un grand manque de protection pour les animaux exotiques. La loi provinciale T42 qui protège tous les animaux, exclut les animaux exotiques et leur commerce. Il y a beaucoup de lacunes pour protéger les reptiles», explique Alanna Devine, directrice de la défense des animaux à la SPCA.

Selon Mme Devine, le problème n’est pas dans la quantité d’animaux par habitat, mais plutôt la qualité des soins prodigués à ces animaux.

«La SPCA est contre le fait de limiter le nombre d’animaux sauf s’il y a nuisance, négligence ou violence faite aux animaux», conclut Mme Devine.

La police de Longueuil n’a pas répondu à nos nombreuses demandes de renseignements sur d’éventuelles poursuites dans ce dossier.


Il est obligatoire d’obtenir une licence de la Ville de Longueuil pour la garde d’un chien.

La Ville de Longueuil interdit la possession de plus de 5 animaux de compagnie dans une propriété.

La Ville de Longueuil stipule le droit à deux chiens et trois chats par habitat.

La Ville de Longueuil ne comptabilise pas les poissons.

La Ville de Longueuil interdit la possession d’un animal exotique en territoire québécois tels qu’un tigre, un léopard, un lion, une panthère ou un crocodile.

500 000 animaux sont abandonnés chaque année au Québec.

http://www.journaldemontreal.com

Laval: vol de chiens à l’animalerie Rouki Froufrou


Si vous voyez une annonce de chihuahua teacup ou de Morkie assuré vous que ce ne sont pas les chiens qui ont été volées dans une animalerie a Laval …
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Laval: vol de chiens à l’animalerie Rouki Froufrou

 

Quatre chiens, deux minuscules chihuahuas et deux «morkies»... (Photo Brandon Sun, La Presse Canadienne)

Quatre chiens, deux minuscules chihuahuas et deux «morkies» (un mélange de yorkshire terrier et de bichon maltais), d’une valeur totale de 7000$, ont été volés à l’animalerie Rouki Froufrou, à Laval.

PHOTO BRANDON SUN, LA PRESSE CANADIENNE

PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
La Presse

Quatre chiens de grande valeur ont été volés la nuit dernière à l’animalerie Rouki Froufrou, à Laval. C’était le troisième cambriolage en deux mois dans ce commerce du boulevard Le Corbusier.

La première fois, les voleurs se sont emparés de la caisse et ont vandalisé le bureau. La semaine dernière, des malfaiteur sont encore une fois pénétré dans l’animalerie en pleine nuit, mais ils se sont enfuis avant d’avoir pu s’emparer de quoi que ce soit, apeurés par l’arrivée des policiers.

Cette fois, ils ont pénétré dans la boutique Rouki Froufrou en fracassant une vitrine, puis en sautant par-dessus une grille antivol installée récemment.

Ils ont volé quatre chiens, deux minuscules chihuahuas et deux «morkies» (un mélange de yorkshire terrier et de bichon maltais), d’une valeur totale de 7000$. Le plus cher d’entre eux, un chihuahua teacup, vaut 3000$. Cette race est si frêle que les portées doivent souvent être mises bas par césarienne.

«Les voleurs n’ont fait qu’entrer et ressortir. Ils n’ont touché à rien d’autre, alors d’après moi ils venaient chercher ça», a expliqué Édith Champigny, l’une des trois soeurs à qui appartient la boutique.

Mme Champigny en veut aux autorités lavalloises. Selon elle, la police aurait mis une dizaine de minutes à intervenir, alors que son commerce se trouve en plein coeur de la ville.

La copropriétaire de Rouki Froufrou demande au public d’ouvrir l’oeil afin de retrouver les malfaiteurs, qui chercheront vraisemblablement à revendre leurs prises. Les annonces virtuelles louches devraient être signalées, a-t-elle fait valoir.

«Quand les gens disent qu’ils sont éleveurs, les clients doivent vérifier. Où sont les parents des chiots? Quelle est la lignée? Quelles garanties les éleveurs donnent-ils?», a suggéré Mme Champigny.

http://www.lapresse.ca

Incognito dans les animaleries


Un article fort intéressant sur la connaissances des animaleries sur les soins apporter aux animaux. Il semble que vendre des animaux ne donne pas nécessairement satisfaction aux questions santé de l’animal et peut parfois même donner des résultats dangereux pour la santé de l’animal si les clients appliquent certains conseils. Avec le coût des animaux, aliments, accessoires, je pense que les clients sont en droit d’avoir de meilleurs services des animaleries ..
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Incognito dans les animaleries

 

La plupart des endroits visités donnent des informations inexactes

 

Annie Ross

Journal de Montréal

Les employés d’animaleries ne sont souvent pas les meilleurs conseillers quant à la santé des animaux de compagnie, observe la vétérinaire du Journal, au terme d’une visite « incognito » dans 16 établissements de la grande région de Montréal.

Les employés rencontrés se sont montrés polis, agréables et ils ont démontré un réel intérêt à vouloir aider, mais un seul des 16 employés questionnés a eu une note parfaite. Les quinze autres ont commis différentes erreurs, certaines mineures, mais d’autres plus importantes qui auraient pu avoir des conséquences négatives sur la santé de l’animal.

Pourtant, les questions étaient simples : problèmes de puce, problèmes d’allergie, problèmes de selles molles, nourriture de base et gâteries pour lapin ou oiseaux.

À propos des puces, les employés interrogés n’ont pas semblé connaître à fond le cycle de vie de cet insecte. Différentes solutions ont été proposées et les traitements suggérés n’étaient pas assez longs pour se départir des puces dans la maison. Une employée qui voulait vendre un produit à puce à appliquer dans le cou s’est même trompée en proposant un collier anti-puces.

À propos des allergies, une employée a suggéré un chien croisé avec un caniche comme choix potentiel pour un enfant allergique aux chiens. On dit parfois que les caniches sont moins allergènes que d’autres races, mais aucun chien n’est hypo allergène à 100 % et si le caniche est croisé, il n’est plus un caniche à 100 %.

Bref, les meilleurs conseillers pour la santé des animaux de compagnie ne sont pas nécessairement dans ces endroits où l’on vend les bêtes et ce qui vient avec nourriture, vêtements, gâteries, meubles, accessoires…

Il n’y a cependant pas que du négatif ; par exemple, un endroit sur la Rive-Sud ne vendait aucun chien afin de ne pas encourager les usines à chiots.

Dans certains endroits, on engage aussi des étudiants en techniques de santé animale. Ainsi donc, on se donne tout de suite plus de chance d’obtenir des renseignements adéquats sur la santé des animaux.

Quelques-unes de mes déceptions générales :

1. Toutes les animaleries visitées vendent des oreilles de porcs séchées et fumées. Ce sont loin d’être des gâteries « santé ». Elles sont une source potentielle d’infection par les salmonelles, des bactéries pouvant causer des gastro-entérites sévères. De temps en temps, elles sont d’ailleurs le sujet d’une alerte formulée par le MAPAQ.

2. On vend du foin de luzerne et des cubes de luzerne dans des sacs ou des contenants sur lesquels on voit le dessin d’un lapin, même si on sait qu’il ne faut pas donner de luzerne trop fréquemment (voir question 2).

3. On vend de grosses gâteries pour lapin contenant du sucre, du miel, des graines et des fruits, et on peut lire sur la boîte : à distribuer librement en complément à l’alimentation principale. Le sucre peut amener un débalancement de la flore intestinale du lapin et provoquer parfois une stase intestinale, une condition médicale grave.

4. On vend encore des colliers de chien à pics en métal… Vive le bien-être animal et au diable l’époque médiévale.


Diplômée depuis 17 ans et ayant complété un internat dans les petits animaux à la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, Dre Annie Ross a pratiqué pendant plusieurs années dans un centre d’urgence ainsi que quelques cliniques de quartier avant de devenir enseignante en techniques de santé animale.

Question 1

« Je pense que mon chat est constipé. Depuis ce matin, il va souvent à la litière et force. Avez-vous quelque chose pour ça ? »

> Ce qu’il faut savoir d’abord…

Souvent, les propriétaires de chat confondent les symptômes d’un blocage urinaire avec ceux d’une constipation, car ils se ressemblent (visite de la litière à répétition, force dans la litière, démontre des signes d’inconfort, a le ventre crispé, vomit parfois…) mais le chat bloqué n’urine pas ou ne fait que du goutte à goutte.

Contrairement à la constipation, les blocages urinaires sont des urgences graves qui doivent être vues immédiatement par un vétérinaire. Les chats bloqués qui ne sont pas soignés meurent en souffrance dans les 48 heures.

> Ce qu’un professionnel devrait répondre à cette question :

Il doit d’abord demander s’il s’agit d’un chat mâle adulte. Si c’est le cas, il devrait demander si l’animal a été vu en train d’uriner. Il devrait donner des renseignements sur le fait qu’il peut s’agir d’un blocage urinaire et donc d’un cas d’urgence vétérinaire.

> Cette question a été posée à 5 endroits différents. Voici les résultats :

Dans un seul endroit, on a posé plusieurs questions pertinentes à propos du chat (sexe, âge, urine) et on a donné de bons conseils au cas où il s’agirait d’un blocage urinaire

Quatre endroits sur cinq n’ont posé aucune autre question quant à l’état du chat.

Trois endroits sur cinq ont suggéré une pâte laxative contre la constipation (ce qui n’était pas une mauvaise idée en soi), mais en quantité insuffisante pour une constipation

Un endroit n’avait rien pour la constipation, mais aurait pu aider dans le cas de diarrhée

Un endroit ne savait que suggérer, et on a plutôt conseillé de demander à un vétérinaire

Question 2

« Si j’achète un chiot ou un chaton ici, est-ce qu’il est tout vermifugé au complet ? »

> Ce qu’un professionnel devrait répondre à cette question :

Les chiots et les chatons ont effectivement reçu une dose (ou plus) d’un vermifuge général, mais cela ne veut pas dire qu’ils sont vermifugés au complet. D’abord parce qu’aucun médicament ne peut éliminer tous les types de parasites d’un seul coup. Ensuite, parce qu’il est clairement recommandé par les vétérinaires-parasitologues nord-américains de vermifuger les animaux de moins de six mois tous les mois, ainsi que de faire une analyse de selles pour s’assurer que l’on traite tous les types de parasites intestinaux que l’animal pourrait avoir. Il en va de la santé humaine, car certains parasites peuvent être transmis aux humains, surtout les enfants et les personnes âgées ou malades.

> La question a été posée dans six établissements différents et la réponse est unanime.

Tous les employés ont répondu : « Oui, nos animaux sont tous vermifugés au complet »

Mais tous les employés ont omis une information capitale : si les animaux ont été vermifugés, il faut savoir que le programme de vermifuges devra continuer une fois l’animal acheté

Question 3

« Mon chaton fait des cacas mous qui sentent vraiment mauvais. Que me recommandez-vous pour cela ? »

> Ce qu’il faut savoir :

Les causes de diarrhées et de cacas mous chez les jeunes animaux peuvent bien sûr être causées par une alimentation de mauvaise qualité, mais aussi par des conditions d’ordre vétérinaire comme des parasites, une infection ou un débalancement de la flore intestinale. Il est donc important de consulter un vétérinaire lorsque son animal fait des selles qui ne sont pas normales.

> Cette question a été posée à trois endroits différents. Voici les résultats :

Tous les employés ont proposé une nourriture de qualité pour chaton, mais aucun des trois n’a proposé une nourriture facile à digérer et conçue pour les problèmes intestinaux

À un endroit, on a posé quelques questions pertinentes à propos de l’animal, en mentionnant la possibilité de parasites intestinaux comme une cause potentielle du problème

Aucun des employés n’a vérifié si l’animal était en forme ou s’il se portait bien

Aucun des employés n’a suggéré une visite chez le vétérinaire considérant que les causes de selles molles et odorantes peuvent aussi être causées par des désordres médicaux

Question 4

« Puis-je donner du foin de luzerne ou des cubes de luzerne à mon lapin chaque jour ? »

> Ce qu’un professionnel devrait répondre :

Le foin de luzerne (alfafa) contient beaucoup de calcium et peut entraîner des problèmes urinaires importants chez le lapin (cristaux et pierres dans la vessie). Voilà pourquoi les vétérinaires et le « house rabbit society » ne recommandent pas le foin de luzerne chaque jour. On ne devrait en donner qu’à l’occasion, en très petite quantité. Il faut plutôt offrir un foin de qualité composé de plusieurs autres graminées. Pour les cubes de luzerne, on peut en offrir occasionnellement et cela ne devrait jamais remplacer le foin sec quotidien.

> Cette question a été posée à 5 endroits différents. Voici les résultats :

Dans un seul endroit, on a clairement dit de ne pas donner de luzerne au lapin, car cela pouvait provoquer des problèmes urinaires.

À trois endroits, on a indiqué qu’il était possible de donner de la luzerne chaque jour, que c’était nécessaire en bonne quantité

L’un des endroits ne vendait pas de luzerne pour les lapins et ne pouvait pas donner de renseignements à ce sujet.

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