L’anguille électrique la plus puissante du monde découverte en Amazonie


Ce n’est pas le genre d’anguille qu’on aimerait rencontrer. Elle peut décharger 860 volts qui font d’elle l’anguille électrique, la plus, électrifiant. Ces bêtes on inspirer pour créer la première batterie électrique et a aussi aider pour le traitement des maladies neurodégénératives, ect.
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L’anguille électrique la plus puissante du monde découverte en Amazonie


L'anguille électrique la plus puissante du monde découverte en Amazonie© Mark Newman

Par Chloé Gurdjian

Des scientifiques viennent de découvrir deux nouvelles espèces d’anguilles dans le bassin amazonien. Et parmi elles se trouve l’anguille la plus électrique au monde.

La nature ne cessera jamais de nous étonner. Alors que les chercheurs explorent le monde depuis des siècles, ils viennent de découvrir deux nouvelles espèces animales. Il s’agit de deux anguilles, en Amazonie. Celle nommée Electrophorus voltai est capable de délivrer une décharge de 860 volts ! Soit bien plus que le précédent record de 650 volts. Avec sa découverte, le zoologiste C. David de Santana a mis en évidence qu’il n’existe donc pas une seule espèce d’anguilles dans le bassin amazonien, mais trois. En plus de Electrophorus electricus, déjà connue, il y a donc Electrophorus voltai et Electrophorus varii.

« Malgré tous les impacts humains sur la forêt amazonienne au cours des cinquante dernières années, nous pouvons toujours découvrir des poissons géants comme les deux nouvelles espèces d’anguilles électriques, a déclaré au Guardian le zoologiste. La recherche indique qu’une quantité énorme d’espèces attendent d’être découvertes dans la forêt amazonienne, dont beaucoup peuvent héberger des remèdes contre les maladies ou inspirer des innovations technologiques. »

Dans leur milieu naturel, les anguilles utilisent les chocs électriques pour diverses raisons, notamment pour chasser, se défendre ou se déplacer. Et elles sont une source d’inspiration pour les hommes.

« La physiologie de l’anguille électrique a inspiré au physicien Alessandro Volta la conception de la première batterie électrique dans les années 1800. L’anguille a aussi fourni une base pour le traitement des maladies neurodégénératives et a récemment permis le développement de batteries à hydrogel pouvant être utilisées pour alimenter des implants médicaux », explique le scientifique.

Considérée comme le « générateur de bioélectricité le plus puissant au monde », E. voltai aurait donc beaucoup à nous apporter.

https://www.geo.fr/

Le monstre du Loch Ness: et s’il y avait anguille (géante) sous roche?


Le mystère de Nessie sera t’il un jour résolu ? Il y a encore des chercheurs qui cherchent une réponse plausible. Un scientifique à penché sur l’ADN au profond du lac. Selon lui, il serait plus juste de croire que le montre du Loch Ness serait en fait une anguille géante. Qui dit mieux ?
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Le monstre du Loch Ness: et s’il y avait anguille (géante) sous roche?



Un chercheur a réfléchi à la question en se basant sur l’ADN.


Ce n’est pas un requin, pas davantage un poisson-chat ou un esturgeon géant. Et si l’insaisissable monstre du Loch Ness était… une anguille géante? Après une longue étude, dont les résultats ont été dévoilés jeudi, un scientifique néo-zélandais vient conforter cette hypothèse.

Le généticien Neil Gemmel, de l’université d’Otago à Dunedin (Nouvelle-Zélande), a analysé et séquencé les ADN de 250 échantillons d’eau recueillis jusque dans les profondeurs du lac écossais.

Les résultats ont conduit le scientifique et son équipe à écarter l’hypothèse d’un reptile venu du fin fond du Jurassique.

Le “monstre” – affectueusement surnommé “Nessie” – dont la plus ancienne observation remonte au VIe siècle après JC, n’est pas un plésiosaure, un grand reptile aquatique. L’étude permet également d’écarter d’autres hypothèses de poissons géants ―silure, esturgeon ou même requin du Groenland.

“On retrouve une quantité significative d’ADN d’anguille”, qui foisonnent dans les eaux froides du Loch Ness, selon le Pr Gemmel.

Alors, les eaux froides du Loch Ness seraient-elles peuplées de spécimens géants ?

“Nos données ne révèlent pas leur taille mais la quantité que l’on a retrouvée fait qu’on ne peut pas écarter la possibilité qu’il y ait des anguilles géantes dans le Loch Ness”, a souligné le généticien.

“Des investigations supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ou infirmer cette théorie mais selon nos données, l’hypothèse d’une anguille géante reste plausible”, conclut le professeur Gemmel, qui note que cette piste avait déjà été évoquée en 1933.

Encore bien des théories

Les théories abondent sur la nature du monstre, allant du reptile marin préhistorique en passant par un oiseau aquatique ou… le mouvement des vagues sous l’effet du vent.

Si le mystère n’est pas encore complètement résolu, le professeur néo-zélandais se félicite d’avoir constitué une “excellente base de données” sur ce qui peut se trouver dans ce lac légendaire des Highlands, attraction touristique majeure pour l’Ecosse.

On y a prélevé de l’ADN d’humain, de chien, de mouton ou de bétail, mais aussi de la faune sauvage locale: cerfs, blaireaux, renards, campagnols ainsi que de nombreuses espèces d’oiseaux.

En 2006, après deux ans de recherches, un paléontologue écossais avait conclu que “Nessie” était en fait un éléphant d’un cirque ambulant en train de nager dans les eaux du Loch.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne


En forêt amazonienne cache toutes sortes d’animaux, certains sont très dangereux, ils peuvent être gros, mais aussi très petits. Bref, ce n’est pas des animaux qu’on aimerait se retrouver nez à nez avec eux. Cependant, il est malheureux que certaines espèces sont en voie de disparition.
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Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

 

Les animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Avec sa superficie de 2,12 millions de kilomètres carrés, la forêt amazonienne est la plus grande forêt tropicale du monde. Elle abrite une flore et une faune exceptionnelle, avec des milliers d’espèces animales différentes, sans compter les millions d’insectes. Mais parmi tous ces animaux (dont la plupart sont en voie de disparition) se trouvent des créatures pour le moins dangereuses que vous n’aimeriez certainement pas rencontrer au détour d’un chemin…

1. L’anaconda géant

Aussi appelée anaconda vert, l’anaconda géant est le plus grand serpent du monde. Et pour cause, il peut mesurer jusqu’à 9 mètres de long et peser plus de 250 kg. Il vit exclusivement en Amérique du Sud, notamment dans les marais, les ruisseaux et les rivières de la forêt amazonienne. Non venimeux, ce serpent tue sa proie par constriction (en l’étouffant) puis l’avale entièrement. Ainsi, il se nourrit principalement de cerfs, de caïmans, de tortues et même de jaguars.

serpent anaconda

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Crédits : Jeff Kubina/Flickr

2. La grenouille venimeuse

Cette grenouille aux couleurs vives est considérée comme l’un des animaux les plus dangereux au monde. La raison ? Une seule dose de son venin secrété par sa peau pourrait tuer 10 humains adultes en quelques minutes !

grenouille poison

Crédits : GrrlScientist/Flickr

3. Le caïman noir

Avec une taille qui peut aller jusqu’à 6 mètres de long, le caïman noir a de quoi impressionner. Il est même considéré comme l’un des crocodiles les plus grands du monde. Avec sa mâchoire puissante, il attrape sa proie et la noie puis l’avale en entier.

caiman noir

Crédits : Bernard DUPONT/Flickr

4. Le jaguar

Le jaguar est le félin à la morsure la plus puissante du monde. En effet, cette dernière est bien plus efficace pour tuer les proies que celle du tigre ou même du lion. Et même s’il ressemble au léopard, le jaguar est plus grand et plus lourd.

jaguar

Crédits : iStock

5. L’anguille électrique

L’anguille électrique n’est pas vraiment une anguille mais plutôt un poisson qui ressemble à une anguille. Que ce soit pour chasser ou pour se défendre, cet animal a une technique imparable : libérer de l’électricité pour paralyser sa proie. Ensuite, il ne lui suffit plus qu’à attendre qu’elle se noie pour la dévorer

anguille électrique

Crédits : Doug Letterman/Flickr

6. Le piranha

Réputé pour son agressivité, le piranha n’est en fait pas aussi dangereux qu’il n’y paraît pour l’être humain. En effet, même s’il est capable de tuer de petits animaux sans aucun problème, les humains sont des proies bien trop grosses pour lui. Cependant, il est tout de même capable de leur infliger des blessures profondes grâce à ses dents tranchantes et à sa mâchoire particulièrement puissante.

piranha

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Crédits : Lilla Frerichs/Public Domain Pictures

7. Le requin-taureau

Le requin-taureau, qui dépasse rarement les 3 mètres de long, est l’un des requins les plus agressifs qui soient. Il vit dans les eaux boueuses et peu profondes de la rivière Amazone et n’hésite pas à s’attaquer aux humains. Et chose rare : il est capable de passer de l’eau salée à l’eau douce et inversement !

requin taureau

Crédits : Jeff Kubina/Wikipédia

8. La fourmi balle de fusil

La fourmi balle de fusil fait partie des insectes à la piqûre la plus douloureuse au monde. En effet, sa piqûre serait aussi douloureuse qu’un coup de fusil. De plus, l’effet de son venin peut agir pendant plus de 24 heures. Ainsi, cette fourmi de grande taille est tout à fait capable de tuer de petits animaux, comme un écureuil par exemple.

fourmi balle

Crédits : emills1/Flickr

9. L’araignée-banane

L’araignée-banane doit son nom à son habitude de se cacher dans les régimes de bananes. Mais elle se retrouve également dans les habitations, donnant lieu à de nombreux cas de morsures chaque année. En effet, dotée d’un puissant venin, cette araignée peut provoquer une paralysie et, plus rarement, la mort

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araignée banane

Crédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

10. Le mille-pattes géant à pattes jaunes

Considéré comme la plus grande scolopendre au monde, ce mille-pattes carnivore peut mesurer jusqu’à 40 centimètres de long. Animal très agressif et venimeux, sa morsure n’est cependant pas mortelle pour l’être humain, hormis chez les petits enfants, même si elle est très douloureuse. Il se nourrit de petits animaux, notamment d’araignées, de lézards, de rongeurs, de petits serpents et même de petits oiseaux.

mille pattes

Crédits : Tod Baker/Flickr

Source

https://animalaxy.fr/

Des poissons prospèrent dans des eaux quasiment privées d’oxygène


Des poissons comme des requins et anguilles  peuvent évoluer dans un environnement ou l’oxygène est très rare. On pense que leur morphologie pourrait être une réponse de leur endurance dans ce contexte.
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Des poissons prospèrent dans des eaux quasiment privées d’oxygène

 

Les biologistes découvrent la vie de poissons d'eau profonde où il n'y a pratiquement pas d'oxygène

Anguilles, requins-sucettes et grenadiers se rassemblent sur le fond marin du golfe de Californie. Crédit: MBARI
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Des biologistes découvrent des centaines de poissons évoluant dans des zones quasiment dépourvus d’oxygène

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Une équipe de biologistes marins annonce avoir découvert des espèces de poissons vivant dans les profondeurs du golfe de Californie, où les concentrations d’oxygène sont quasi inexistantes. Les détails de l’étude sont publiés dans la revue Ecology.

Nous savons que l’oxygène est essentiel aux espèces animales. Il semblerait pourtant que certaines en soient tout aussi dépendantes, mais à des concentrations bien moins élevées. Natalya Gallo et son équipe, de la Scripps Institution of Oceanography (États-Unis), ont en effet exploré les fonds marins du golfe de Californie. Cet environnement est connu pour être très pauvre en oxygène. Équipés d’un véhicule télécommandé, les chercheurs ont effectué plusieurs plongées à plus de 1 000 mètres de profondeur. Ils expliquent alors avoir décelé la présence de bancs de poissons évoluant dans des zones où la concentration en oxygène était inférieure à 1 % des concentrations habituelles retrouvées en surface.

Environnement extrême

« J’avais du mal à en croire mes yeux, explique Natalya Gallo. Nous avons observé notamment deux espèces : Cephalurus cephalus, un requin, et Cherublemma emmelas, une anguille. Nous nous trouvions dans un habitat suboxique, qui devait normalement exclure la présence de ces poissons. J’ai immédiatement compris que c’était quelque chose de spécial qui remettait en cause notre compréhension actuelle des limites de la tolérance à l’hypoxie [à faible teneur en oxygène] », dit-elle.

requin poisson oxygène

Une petite espèce de requin, récemment découverte, prospère dans un environnement quasiment privé d’oxygène. Crédits : Crédits : Scripps Oceanography

D’autres plongées nécessaires

De nombreuses espèces de poissons sont déjà connues pour évoluer dans des environnements pauvres en oxygène, mais à ce point-là, c’est une première. Pour vous donner une idée, ces espèces semblent évoluer dans un environnement contenant jusqu’à 40 fois moins d’oxygène que les zones fréquentées par des espèces connues pour tolérer une faible teneur en oxygène. Les chercheurs ignorent toujours comment ces poissons peuvent effectivement prospérer dans de telles conditions, mais leur anatomie particulière pourrait nous donner quelques indices.

Ces deux espèces semblent en effet présenter de grandes têtes avec des branchies d’un rouge vif, qui pourraient leur permettre d’absorber le peu d’oxygène présent dans ces zones. Tous ces poissons font également moins de 30 centimètres de long, avec des corps mous et des os peu développés. Ces caractéristiques physiques pourraient leur permettre de conserver un maximum d’énergie. D’autres plongées seront néanmoins nécessaires pour tenter de répondre à ces questions.

Ces réponses pourraient également permettre d’évaluer la manière dont certaines espèces pourraient se comporter face au phénomène de dé-oxygénation de l’océan. Réchauffement climatique et activités humaines entraînent en effet une prolifération d’algues qui consomment beaucoup d’oxygène, au point de faire suffoquer de nombreuses régions côtières.

Source

https://sciencepost.fr/

Interpol identifie 1400 individus soupçonnés de braconnage


Interpol a fait de bonnes prises contre le trafic d’animaux. Des personnes ont été accusés pour avoir transporté illégalement des animaux vivants, de la viande sauvages, de l’ivoire etc . Il  en faudrait plus souvent ce genre d’arrestation
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Interpol identifie 1400 individus soupçonnés de braconnage

 

Des animaux interceptés par les autorités policières du... (Interpol via AP)

 

Des animaux interceptés par les autorités policières du Mexique.

INTERPOL VIA AP

 

Les autorités canadiennes ont intercepté un conteneur qui cachait 18 tonnes de chair d’anguille en provenance d’Asie, dans le cadre d’une opération mondiale contre le commerce illégal de la faune et du bois.

Environnement Canada précise que des agents dans plusieurs provinces ont intercepté des ailerons de requins et des serpents réglementés, de même que des produits commerciaux comme des valises et des sacs à main fabriqués avec des espèces en voie de disparition.

Ces efforts s’inscrivaient dans le cadre de l’opération Thunderstorm, une enquête d’un mois menée par l’agence de police internationale Interpol.

Le gouvernement affirme que des agents fédéraux et provinciaux ont mené des activités d’inspection de transports d’animaux vivants, de vérification de plaintes concernant la destruction de l’habitat et d’espèces sauvages, et de contrôle des chasseurs et des pêcheurs à la ligne. Ils ont aussi participé à des opérations éclair pour intercepter des passages aux frontières.

La chair d’anguille serait celle d’une espèce ayant été désignée comme une espèce en voie de disparition et dont l’exportation a été interdite par l’Union européenne en 2010.

Les crimes contre les espèces sauvages dans le monde – comme le braconnage, la contrebande et le trafic d’animaux et de plantes – atteindraient actuellement plus de 200 milliards par année, ce qui place ce type de crimes au quatrième rang des crimes les plus lucratifs du monde, selon les Nations unies et Interpol.

1400 suspects à travers le monde

En plus de la chair d’anguille interceptée au Canada, l’opération a permis la saisie de milliers d’animaux vivants et de tonnes de viande et d’ivoire, a indiqué Interpol.

Des agents de bord qui transportaient des tortues dans leurs bagages et un chasseur qui affichait ses trophées illégaux sur les médias sociaux ont notamment été arrêtés. L’enquête a identifié quelque 1400 suspects à travers le monde, a dit Interpol.

Les autorités ont notamment mis la main sur 43 tonnes de viande sauvage – ours, éléphant, crocodile, baleine et zèbre -, 1,3 tonne d’ivoire d’éléphant, 27 000 reptiles, près de 4000 oiseaux, 48 primates, 14 grands félins et les carcasses de sept ours, dont deux ours polaires.

Plusieurs tonnes de bois ont également été saisies.

« Dans le cadre de cette opération, ces pays se sont concentrés au cours du mois de mai sur toutes sortes de crimes contre les espèces sauvages, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux ou de bois, a déclaré Sheldon Jordan, le directeur de la Division de l’application de la loi sur la faune d’Environnement Canada. Les résultats ont été spectaculaires. »

Interpol a révélé que deux agents de bord arrêtés à Los Angeles avant de partir pour l’Asie avaient des tortues ponctuées dans leurs bagages. Les deux suspects ont été accusés de contrebande d’espèces protégées.

L’opération a permis de saisir huit tonnes d’écailles de pangolin à travers le monde, dont la moitié par les autorités maritimes vietnamiennes à bord d’un navire arrivant du Congo.

Le pangolin, le mammifère le plus braconné du monde, a été menacé d’extinction parce que ses écailles sont populaires en médecine traditionnelle asiatique.

Un homme arrêté en Israël attend sa déportation en Thaïlande après que sa photo de chasse diffusée sur les réseaux sociaux eut conduit à la saisie de plusieurs objets de la faune à son domicile, y compris des carcasses de renard, de chacal et de mangouste.

Le secrétaire général d’Interpol, Juergen Stock, a déclaré que l’opération illustre « comment les groupes de trafiquants d’espèces sauvages utilisent les mêmes routes que les criminels impliqués dans d’autres crimes – souvent l’évasion fiscale, la corruption, le blanchiment d’argent et les crimes violents ».

Les renseignements sur les enquêtes criminelles ont été recueillis avant l’opération et coordonnés par Interpol et l’Organisation mondiale des douanes, pour aider à cibler des points chauds spécifiques, y compris les points frontaliers terrestres et aéroportuaires et les parcs animaliers.

http://www.lapresse.ca/

Ce qui se passe quand trois tonnes d’anguilles vivantes se déversent sur une voiture


C’est vraiment un accident que les gens auraient bien pu se passer. Je n’ose même pas imaginer marcher sur cette substance visqueuse
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Ce qui se passe quand trois tonnes d’anguilles vivantes se déversent sur une voiture

 

 

Pour être très précis, ces poissons visqueux sont des myxines.

 

Ils n’ont pas pu faire autrement que partager ces images bien visqueuses sur leur compte Twitter. Les pompiers de la ville de Depoe Bay, située dans l’état américain de l’Oregon, sont intervenus sur l’autoroute pour un accident peu banal.

Le camion impliqué transportait 13 caisses remplies de 3,5 tonnes de myxines, une créature vivant dans les profondeurs océaniques, et proche de l’anguille. En freinant, le véhicule a perdu plusieurs de ces caisses, qui sont tombées sur la voiture juste derrière. La cargaison s’est alors totalement répandue sur les voitures et la chaussée, faisant quelques blessés légers.

En cas de fort stress, la myxine produit une sorte de substance blanche, semblable à du mucus, et connue par les scientifiques pour sa grande résistance. Sur l’autoroute et les voitures, c’est une toute autre histoire. Les images montrent des flaques de substance visqueuse répandue partout, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Il a fallu plusieurs heures de fermeture de la route pour que les pompiers puissent tout nettoyer. Malheureusement, les myxines, très consommées en Corée du Sud, n’ont pas survécu à l’accident.

http://www.huffingtonpost.fr

Les animaux du futur


Connaissez-vous les post-animaux ? Imaginez un chat ou un chien génétiquement modifié. Il peut être flou, aussi mini que Smartphone, un chien grand comme un zèbre et aussi musclé que tigre … Modifier un animal par accouplement est une chose, mais toucher la génétique et ajouter des gènes de méduse, d’anguille, voir même humain, c’est à mon avis grotesque. Surtout qu’il n’est pas permis de faire la même chose chez l’homme, car cela toucherais à la dignité humaine alors, les animaux n’ont pas le droit à une forme de dignité ?
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Les animaux du futur

 

 

On trouve déjà des chats et des chiens fluorescents, grâce à l’introduction dans leur ADN d’un gène de méduse.

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

On parle des chats et chiens clonés, des porcs transgéniques destinés aux greffes sur l’être humain, des souris dont le cerveau est constitué à majorité de cellules humaine.

 

Les nouvelles biotechnologies font florès. De la biologie de synthèse aux organismes génétiquement modifiés en passant par les nanotechnologies et la biomécanique, nous assistons à un processus permanent d’innovation. Cela concerne les humains, mais aussi les animaux domestiques qui les entourent.

Les animaux domestiques sont au cœur de ces évolutions technologiques. On parle ici des chats et chiens clonés, des porcs transgéniques destinés aux greffes sur l’être humain, des souris dont le cerveau est constitué à majorité de cellules humaine, etc. La liste est longue. Ces animaux existent déjà et en très grand nombre dans les laboratoires, mais bientôt aussi dans nos foyers. Nous commençons à avoir des interrogations sur le futur des animaux de compagnie. Il ne s’agit plus de penser qu’à des chats ou des chiens hypoallergènes, mais à de nouvelles races canines et félines ! Ce que nous nommons des post-animaux, en référence au post-humain.

Il s’agit de post-animaux, car ils sont clairement les produits d’une artificialisation; des technologies sont utilisées pour les améliorer. Quelles seraient les formes possibles de post-animaux ? Sur la base de ce qui existe dans les laboratoires, voici quelques pistes.

Commençons par nos compagnons préférés : le chat et le chien. Il y a, le domaine du clonage, technique qui permet, pour la modique somme de 100 000$, de dupliquer son compagnon récemment disparu. Aujourd’hui, c’est un procédé technique devenu presque banal. Certes, il suscite de temps en temps des défis éthiques et culturels. Mais il ne soulève plus la curiosité du public.

Il existe bien d’autres manipulations, faites en matière de génétique (OGM) sur les chiens et les chats, qui sont plus intéressantes que le clonage. Cependant, l’intervention sur les génomes d’animaux n’est pas nouvelle. En domestiquant les animaux, l’humain a transformé leur morphologie et leurs gènes dans le but d’obtenir des caractères choisis. Avec les OGM les chercheurs ne font qu’aller plus loin dans les changements génétiques ouverts par ce processus de sélection. Les animaux génétiquement modifiés peuvent être considérés comme fabriqués, en ce sens qu’ils font l’objet d’une réorientation, à notre profit, des processus naturels existants par l’intervention et la modification de certains gènes qui permettront de créer des génotypes sur mesure. On produit ainsi des mutants, à la constitution biologique choisie d’avance.

Dans un futur proche, nous pourrons adopter des chats fluorescents, ce qui est plutôt pratique pour ne pas marcher dessus lorsque l’on va à la toilette en pleine nuit.

C’est ainsi qu’on trouve déjà des chats et des chiens fluorescents, grâce à l’introduction dans leur ADN d’un gène de méduse. Donc, dans un futur proche, nous pourrons adopter des chats fluorescents, ce qui est plutôt pratique pour ne pas marcher dessus lorsque l’on va à la toilette en pleine nuit.

Nous pouvons nous attendre à la commercialisation de chats-volants avec l’utilisation d’ADN d’écureuil volant. Commode lorsque l’on habite au 28e étage dans une grande ville! Finies les angoisses liées aux possibilités de chute de notre compagnon ! Non seulement on diminue les risques de chutes mortels, mais on facilite aussi les déplacements des post-chats d’un bâtiment à un autre. (Par contre, il faudrait toujours les remonter !).

Pour les chiens génétiquement modifiés, une équipe de chercheurs chinois a créé des chiens avec une masse musculaire deux fois supérieure à celle de leurs congénères. Des athlètes canins bodybuildés au naturel, sans même le besoin de faire du sport pour y arriver. Maintenant, imaginez des Pitbulls avec deux fois, voir trois fois plus de masse musculaire et les usages qui seront faits de ces animaux dans des combats de chiens, ou sur les champs de bataille.

Une autre préoccupation des généticiens est la taille des bêtes. Il est possible que les post-animaux soient de très grande taille. Actuellement, les races canines les plus grandes mesurent autour de 80 cm de hauteur et pèsent entre 50 et 80 kilos. Pour la démonstration, partons de la transformation qui est celle des saumons génétiquement modifiés : doublons la taille actuelle du chien pour avoir une projection. Notre post-chien ferait alors 1 m 60 pour 140 kilos (l’équivalent d’un zèbre !). Et si on couplait génétiquement le géantisme avec l’hypermuscularité, on pourrait avoir un chien de 300 kilos (le poids d’un tigre de Sibérie !).

D’un autre côté, il y a la miniaturisation des animaux de compagnie. C’est un mouvement dans la domestication qui a pris beaucoup d’ampleur dans les milieux urbains, depuis plus de 100 ans. Il faut que les nouvelles races d’animaux de compagnie rentrent dans le sac à main. Un excellent exemple est le micro-cochon (génétiquement modifié) chinois de compagnie (1600 $). Ils sont deux fois moins grands que les autres races de cochons.

Pour le moment, la miniaturisation demeure aux alentours d’une division par deux du poids et de la taille des animaux domestiques. Faisons le même calcul pour la miniaturisation de notre félin préféré. La race de chat la plus petite est de 2 kilos pour 20cm. Même démonstration, mais vers la miniaturisation : ce qui ferait un post-chat de moins d’un kilo à l’alentour de 8-10 cm de haut (13cm l’iPhone 7). Et on pourrait le rendre fluo, voire électrique (gène anguille). Pour le faire ressembler à un célèbre Pokémon.

L’animal pourrait donc être modifié par la présence de cellules humaines. L’inverse n’est pas autorisé, car constitue « une menace à la dignité humaine. »

Et finalement, le post-chat ou le post-chien auraient du gène humain pour permettre l’identification du propriétaire plus facile. Cela se fait avec la technique du mélange des cellules embryonnaires issues d’espèces différentes, méthode utilisée couramment sur les souris. C’est ce que les chercheurs appellent « Humanisation» de l’animal. L’animal pourrait donc être modifié par la présence de cellules humaines. L’inverse n’est pas autorisé, car constitue « une menace à la dignité humaine. »

Voici donc quelques exemples de post-animaux qui seront prochainement commercialisés, non pas dans 100 ans, mais bien dans 20 ans. En réalité, les animaux que nous avons présentés ne sont que la partie émergée de l’iceberg du monde des biotechnologies, car d’autres post-chiens et post-chats vont faire bientôt leurs apparitions avec des propriétés génétiques de plus en plus incroyables. La technologie a toujours de bons et de mauvais usages, et prétendre en faire le tri est illusoire. En revanche, il n’est pas illusoire de s’interroger sur l’avenir de nos plus proches compagnons

http://quebec.huffingtonpost.ca