Les pesticides font jaunir les singes


On n’a pas fini de voir les conséquences de nos abus à vouloir contrôler la nature. Les singes-hurleurs qui adorent les feuilles de palmiers d’ananas et de bananes à Costa-Rica. Le problème, c’est que le Costa-Rica est un grand consommateur de pesticides. Les conséquences sur ces singes sont inusitées. Leurs poils deviennent jaunes et ce n’est pas une couleur la plus discrète quand on veut éviter les prédateurs.
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Les pesticides font jaunir les singes

 

Céline Deluzarche
Journaliste

En hiver, le lièvre variable et le renard des neiges changent de couleur pour s’adapter à leur environnement. Mais si les singes hurleurs à manteau, au Costa Rica, virent au jaune, c’est pour une toute autre raison.

Depuis cinq ans, les scientifiques ont commencé à remarquer des animaux avec des curieuses tâches jaunes sur le pelage, habituellement d’un noir uniforme. Au départ, il s’agissait juste d’une petite partie de la fourrure, sur le bout de la queue ou sur une main. Mais au fll du temps, ces tâches se sont étendues sur des parties de plus en plus grandes du corps, deux des singes devenant entièrement jaunes.

Le singe hurleur se nourrit de feuilles issues des plantations de bananes, ananas et palmiers à huile arrosées de pesticides. © Arturo de Frias Marques

Le singe hurleur se nourrit de feuilles issues des plantations de bananes, ananas et palmiers à huile arrosées de pesticides. © Arturo de Frias Marques

Les plantations de bananes coupables ?

Pour comprendre cette mystérieuse décoloration, les chercheurs ont prélevé des échantillons de fourrure pour des analyses. Ils ont alors découvert que les poils décolorés possèdent cette variante différente de mélanine (le pigment qui colore la peau et les cheveux), appelée phéomélanine, responsable d’une coloration de jaune à rouge, tandis que les poils noirs en contiennent une autre sorte, l’eumélanine. Mais pourquoi les singes hurleurs se mettent-ils soudainement à fabriquer plus de phéomélanine ?

De tels cas n’ayant jamais été observés ailleurs dans la nature ou en captivité, les chercheurs penchent pour le soufre utilisé dans les pesticides. En effet, les singes vivent à proximité des plantations de bananes, ananas et palmiers à huile cultivés dans la région, dont ils raffolent des feuilles. Le Costa Rica est ainsi l’un des plus gros consommateurs de pesticides dans le monde, avec 22,9 kg par hectare de terre cultivée.

Or, « l’exposition au soufre augmente la disponibilité des sulfhydryles dans les cellules, ce qui peut favoriser la synthèse de la phéomélanine dans les mélanocytes », expliquent les chercheurs.

Cette dépigmentation risque fort d’attirer de sérieux ennuis au singe hurleur à manteau : les grosses tâches jaunes le rendent plus visible dans les arbres pour ses prédateurs, comme le jaguar, l’ocelot et le puma.

https://www.futura-sciences.com/

Des robes en peau de bananes: la nouvelle idée d’une entreprise de mode pour réduire le gaspillage


Quoique les peaux de banane, feuilles d’ananas et autres matières organiques sont compostables, il est intéressant de faire des vêtements de façon plus naturels et sûrement moins pollueurs
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Des robes en peau de bananes: la nouvelle idée d’une entreprise de mode pour réduire le gaspillage

 

Une banane | Mauro Cateb via Flickr CC License by

Une banane | Mauro Cateb via Flickr CC License by

 

Repéré par Camille Jourdan

Repéré sur Fast Company

Circular Systems utilise aussi d’autres matériaux comme le chanvre ou les feuilles d’ananas.

On connaissait les baskets en plastique recyclé pour dépolluer les océans; voici maintenant les robes en peau de bananes et les T-shirts en écorce de sucre de canne. Dans un récent article, Fast Company présente Circular Systems, une entreprise de l’industrie de la mode qui recycle les déchets alimentaires pour en faire des vêtements.

À l’origine de cette initiative: Isaac Nichelson.

Dans les années 90, ce défenseur de longue date d’une «industrie de la mode durable» prend conscience de la quantité de produits chimique qui sont utilisés pour produire du tissu. Pourtant, pas plus tard que dans les années 60, «97% des fibres utilisées dans les vêtements étaient issues de produits naturels», rappelle Fast Company.

«Aujourd’hui, [l’industrie de la mode] est tellement extractive et destructrice. Et nous regardons nos ressources diminuer alors que la population augmente», s’inquiète Nichelson.

Avec l’aide d’un scientifique, Yitzac Goldstein, et d’un des artisans de la légalisation du chanvre au Canada, Geof Kime, l’industriel a donc créé Circular Systems.

270 millions de tonnes de peau et de tiges de bananes par an

Tous les trois sont partis d’un constat: des tonnes de nourriture sont gaspillés ou détruites à perte chaque année. Exemple, rapporte Fast Company: nous mangeons 100 milliards de bananes par an, ce qui crée pas moins de 270 millions de tonnes de déchets que l’on laisse pourrir ou que l’on brûle.

«Les brûler pollue l’air, et les laisser pourrir libère du méthane dans l’atmosphère, ce qui contribue au réchauffement climatique», développe le magazine.

Autre constat, souligné sur le site de Circular Systems: chaque année, 32 millions d’hectares de paille de riz sont brûlés en Inde.

L’entreprise de Nichelson a choisi de se concentrer pour le moment sur cinq matières: les peaux de bananes, les feuilles d’ananas, les fibres de lin, les écorces de sucre de canne et les tiges de chanvre. Avec ces différents matériaux, Circular Systems assure pouvoir produire 250 millions de tonnes de fibres par an, soit 2,5 fois la demande actuelle.

Alors, prêts à porter un pantalon en feuilles d’ananas ?

http://www.slate.fr/

Truc Express ► Ne regardez pas les feuilles : Il y a une autre façon de choisir le meilleur ananas


J’aime l’ananas quand il est mûr juste à point. À l’épicerie si on choisi un ananas en regardant si une feuille s’enlève facilement, on risque d’avoir des surprises. Il y a des petits trucs pour mieux choisir ce fruit.
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Ne regardez pas les feuilles : Il y a une autre façon de choisir le meilleur ananas

Que vous preniez des fruits et légumes de votre propre jardin ou au supermarché, il est normal de choisir le plus beau et le plus meilleur à mettre sur la table.

Pour les fruits, l’état de maturité se vérifie, en s’assurant qu’ils ne soient ni trop verts ni trop mûrs ; pour les légumes, la fraîcheur est prise en compte. Cependant, lorsqu’il s’agit d’ananas, c’est difficile de choisir le meilleur, à la fois parce qu’il ne s’agit pas d’un fruit que vous connaissez bien et parce que son aspect extérieur ne peut pas révéler grand chose sur sa qualité intérieure. Cependant, voici ce que vous devez regarder pour choisir celui qui est sucré et mûr au bon moment.

1. La couleur

image: Victoria Rachitzky Hoch/Flickr

Nous commençons par observer la couleur pour comprendre si un ananas vaut la peine d’être acheté. Tout d’abord, le fruit ne doit pas être complètement vert, mais doit présenter des nuances allant du jaune-orange au vert, ce qui indique un degré de maturité correct.

2. Les feuilles

image: Raphaël Labbé/Flickr

On dit que quand un ananas est mûr c’est toujours facile d’enlever quelques feuilles au centre du fruit. En fait, s’il était vraiment facile de détacher une feuille au milieu, le fruit pourrait probablement être mou à l’intérieur. Il est vrai, d’autre part, que moins l’ananas est mûr, plus les feuilles seront attachées à la base, de sorte que la vérité se trouve entre les deux.

3. La consistance

image: Scot Nelson/Flickr

Avant d’ouvrir et de manger un ananas, essayez de le serrer légèrement dans vos mains : vous devriez sentir une certaine élasticité de l’extérieur, synonyme d’un état de maturation correct. Si le fruit s’avère trop dur, vous devrez le laisser mûrir quelques jours de plus, au contraire, s’il est trop mou, il pourrait être pourri. Touchez toute la surface et assurez-vous qu’il n’y ait pas de zones plus molles que les autres, ce qui signifierait que le fruit a pris quelques coups avant d’être exposé.

4. L’odeur de la base

image: U.S. Department of Agriculture Segui/Flickr

Vous voulez savoir comment reconnaître le meilleur ananas, sans ennuyer le marchand en touchant les fruits ? Le secret est de sentir la base de l’ananas. A maturité, une très bonne odeur d’ananas frais se répand au niveau du fond. Si aucune odeur particulière ne peut être détectée, l’ananas est probablement encore trop peu mature. Au contraire, une odeur trop sucrée ou désagréable est un signe clair que le fruit a mal tourné.

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Le Saviez-vous ► Quinze allergies bizarres


On connaît à peu près tous une personne qui a une ou des allergies comme aux arachides, sésames, pollen, etc. Il y a des allergies qui ne sont pas très connues et franchement étonnantes. Comme des allergies à l’eau, vous imaginez que simplement se laver peut être ardu et douloureux, ou selon moi une des pires voir la pire, est l’allergie à tous les aliments et boissons. Comment peut-on survivre à ne boire que de l’eau ou manger des glaçons ?
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Quinze allergies bizarres

 

L’eau

La réaction typique est l’urticaire, et cette allergie touche une personne sur 230 millions. Si vous avez la malchance de tomber dans ces statistiques, prendre un bain ou se laver les mains relève du défi

Le sexe

L’allergie n’est pas à l’acte lui-même mais au sperme de l’homme. Cette condition peut affecter les hommes et les femmes et les symptômes sont de la fièvre, de la fatigue et les yeux qui brûlent. Le traitement ? Utiliser un préservatif ou, pour ceux allergiques également au latex ne plus avoir de relations sexuelles.

Le toucher

Le dermographisme est une réaction au toucher de quelqu’un d’autre. La peau peut devenir rouge, ou même gratter. Cela serait causé par la trop grande faiblesse des membranes des cellules de la peau. Heureusement, un traitement à base d’antihistaminiques suffit en général.

Les sous-vêtements

Culotte ou caleçon ? Rien, pour certains ! Certains tissus (nylon et sphandex sont montrés du doigt) ou teintures peuvent causer de érythèmes. Attention donc à bien regarder les étiquettes si vous êtes sujet à cela

Les aliments crus

Les melons, les ananas peuvent causer des irritations, voire la mort pour certaines personnes allergiques. Il s’agirait pas d’une allergie alimentaire, mais une réaction aux traces de pollen trouvé sur le fruit lui-même.

Le chocolat

C’est cruel, mais véridique. La cause : le cacao, les additifs ou même certaines parties des insectes qui se retrouvent parfois dans le chocolat. Les symptômes varient, mais se limitent généralement à de l’eczéma ou à une crise d’urticaire.

L’alcool

Hé oui, les allergie à l’alcool, ça existe. On ne parle pas de la « gueule de bois »mais d’une réaction du type congestion nasale ou peau rouge

La chaleur/ la sueur causée par l’exercice

L’urticaire est la réaction typique, elle n’est pas causée par l’exercice en soit mais la soudaine hausse de température du corps. Qui peut être aussi causée par la nourriture épicée, un plongeon dans un bain trop chaud ou une piqûre de moustique

Les déodorants

Dur, dur d’être allergique à quelque chose qui peut vous empêcher de sentir mauvais. Heureusement pour ceux à qui cela arrive, ils peuvent éviter de se gratter en utilisant en alternative du talc, comme de la poudre pour bébé

Les adhésifs

Il s’agir d’une dermatite de contact. Certains produits chimiques, comme la colle ou la résine, produisent des réactions. Ainsi certaines personnes sont allergiques aux extensions, aux chaussures …

Le soleil

Les lucite estivale, ou urticaire due à la lumière du soleil, peuvent en guetter plus d’un. C’est une allergie aux ultra-violet. La peau exposée quelques minutes au soleil, réagit en grattant et en formant de petits boutons rouges. Heureusement l’arrête de l’exposition aide au retour à la normale.

Le nickel

Une allergie connue aussi sous le nom d’allergie au iPod ou cellulaire ! Le nickel est le métal allergène responsable, Attention également à la monnaie et à certains bijoux

Les champs électromagnétiques

Ceux qui souffrent de cette allergie ne peuvent pas utiliser de micro-ondes, d’ordinateurs ou de cellulaires sous peine d’avoir de douloureux érythèmes et de gonflements de la peau

La grossesse

L’herpès gestationnel touche une grossesse sur 50 000 et peut laisser la mère avec des cloques et des marques sur le ventre. Cela arrive au cours du deuxième ou troisième trimestre, ou même pendant l’accouchement. Le traitement : des stéroïdes appliqués localement

Tout nourriture et boisson sauf de l’eau

 

Il s’agit d’une réaction allergique tellement rare qu’aucun terme médical n’a encore été trouvé. Mais elle existe bel et bien. Voyez la vidéo de ce garçon australien de 5 ans qui à le malheur d’en être atteint. (en anglais) Kaleb Bussenschutt ne manque des glaçons et ne peut avaler qu’un certain type de limonade, Tout le reste lui cause des douloureux ulcères d’estomac

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Des étudiants déposent un ananas dans un musée, le fruit est pris pour une œuvre d’art


L’art, il y en a pour tous les goûts, sauf parfois, je trouve qu’on peut mettre n’importe quoi et afficher cela de l’art. C’est une belle preuve que cet étudiant à expérimenter avec un ananas. Quoique la nature est passé maître en oeuvre d’art
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Des étudiants déposent un ananas dans un musée, le fruit est pris pour une œuvre d’art

 

Le HuffPost  |  Par Marine Chassagnon


L’art contemporain peut parfois donner lieu à des histoires insolites. C’est le cas avec l’anecdote de Ruairi Gray, étudiant de l’université Robert Gordon, à Aberdeen, dont la blague est allée un peu plus loin que prévu, comme l’a raconté le Daily Mail, le dimanche 7 mai.

Fin avril, l’Écossais de 22 ans s’est rendu à une exposition organisée par sa faculté et intitulée «Regardez les lieux et les espaces qui vous entourent d’un œil neuf». Un peu sceptiques, lui et ses amis se sont amusés à déposer un ananas, sur un présentoir, au cœur de l’exposition. Ils n’imaginaient pas que les gérants du musée le prendraient pour une œuvre d’art.

Une histoire que l’étudiant originaire d’Édimbourg a raconté sur son compte Twitter.

«La semaine dernière, nous avons posé un ananas à côté d’une œuvre d’art et lorsque nous sommes revenus aujourd’hui, la RGU l’avait déplacé et recouvert d’une structure en verre. Génial!», s’est amusé Ruairi Gray sur les réseaux sociaux.

Désormais, l’étudiant se dit prêt à vivre de son art.

«Si quelqu’un veut acheter un chef-d’œuvre, je suis ouvert aux offres», confie-t-il ironiquement au Daily Mail.

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Le cuir d’ananas, l’invention végane qui sauve la peau des animaux


Des accessoires en cuir de feuilles d’ananas est possible. Cela ressemble à s’y méprendre au cuir animal et serait moins dommageable par sa fabrication pour l’environnement et les personnes qui y travaillent
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Le cuir d’ananas, l’invention végane qui sauve la peau des animaux

 

Le cuir d'ananas est produit par l'entreprise Pinatex

Le cuir d’ananas est produit par l’entreprise Pinatex — Screenshot Youtube.com

NATURE La jeune entreprise Piñatex, aux Philippines, fabrique du cuir à partir de feuilles d’ananas pour le prêt-à-porter. Une solution salvatrice pour les bovins et l’environnement…

Une bonne nouvelle pour les végétariens… et pour les bovins. Il faut le reconnaître aux véganes, bien que leur mode de vie sans viande, lait, œufs, cuir et laine soit stricte, ils fourmillent d’idées pour remplacer ce qui aurait pu leur manquer. Ainsi, la créatrice de Piñatex Carmen Hijosa, qui a pourtant travaillé longtemps dans l’industrie du cuir animal, fabrique à présent du cuir issu des feuilles de l’ananas.​

 

Bien que l’entreprise Piñatex, qui se trouve aux Philippines, soit la première connue à ce jour pour vendre du cuir d’ananas, la technique ne date pas d’hier. Dans l’archipel océanique, on utilisait déjà la verdure de ce fuit pour fabriquer des accessoires féminins au 16e. C’est de cet artisanat que Carmen Hijosa s’est inspirée : elle extrait les fibres des feuilles d’ananas pour en faire un tissu robuste dont les nervures ressemblent à s’y méprendre à du cuir animal. 480 feuilles (soit environ 16 ananas) sont nécessaires pour fabriquer un mètre carré de textile qui pourra un jour servir à fabriquer des sacs à main, vestes et chaussures.

Fibre d'ananas issue des feuilles et qui forme le cuir

Fibre d’ananas issue des feuilles et qui forme le cuir – Screenshot Youtube.com

Bénéfique aux animaux, le cuir d’ananas est également bon pour l’environnement.

Car « les processus de tannage [des animaux] et de production ont des effets néfastes sur l’environnement, ainsi que sur le bien-être des animaux et des personnes impliquées », explique la créatrice à PlayGround Magazine.

Plus de raisons de faire la peau aux animaux.

http://www.20minutes.fr/

Une dame de Sherbrooke trouve un serpent caché dans un ananas


C’est un fait que manger des fruits et légumes de d’autres pays il y a des risques malgré tous les contrôles possibles. Un serpent est plutôt rare. Je ne sais pas comment j’aurais réagi, mais je ne crois pas que je l’aurais tué, mais plutôt pris au piège et appeler la ville pour de l’aide
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Une dame de Sherbrooke trouve un serpent caché dans un ananas

 

Monique Fortin n’est pas prête d’oublier cet ananas qu’elle a acheté au Costco de Sherbrooke le 22 juillet dernier. C’est avec stupeur qu’elle a découvert qu’il cachait… un serpent!

Un texte de Geneviève Proulx

« J’ai acheté cet ananas le vendredi soir et en arrivant, je l’ai déposé sur mon comptoir. Le lendemain, je parlais au téléphone avec ma sœur et un moment donné, j’ai entendu un drôle de bruit, mais j’ai pensé que c’était une guenille qui était tombée par terre dans ma cuisine », raconte-t-elle.

C’était finalement l’ananas qui s’était retrouvé sur le sol. Monique Fortin n’était toutefois pas au bout de ses surprises.

« J’ai vu quelque chose bouger sur mon comptoir là où il y avait mon ananas. C’est là que j’ai vu le serpent! Ça m’a tellement prise par surprise! », raconte-t-elle encore sous le choc.

La bête, qui mesurait entre 12 et 14 pouces était là sur son comptoir tout enroulé. Complètement stupéfaite devant ce serpent, Monique Fortin s’est mise à hurler.

Je pensais que je faisais une crise cardiaque. Je ne pensais pas que je pouvais crier aussi fort!
Monique Fortin

Persuadée qu’il ne s’agissait pas d’une couleuvre, la résidente de Sherbrooke ne voulait pas quitter le serpent des yeux de peur qu’il ne s’enfuie.

« Je sais que ce n’était pas une couleuvre de jardin. J’ai grandi en campagne. Je connais ça. Ça m’a tellement pris par surprise. J’ai capoté et je me demandais quoi faire, qui appeler. Je me suis dit que je ne pouvais pas appeler la police pour ça », dit-elle.

Selon Mme Fortin, le serpent était bleu et vert, il avait une tête plate et il sortait la langue, comme s’il voulait attaquer.

Je crois qu’il avait aussi peur que moi. C’est un bel animal. Si je l’avais vu au zoo, je l’aurais trouvé beau, mais pas sur mon comptoir.
Monique Fortin

serpent ananas
Malgré sa frayeur, Monique Fortin a tout de même réussi à prendre une photo du serpent avec son téléphone cellulaire. « La photo est vraiment floue. Je tremblais tellement! »

Plusieurs scénarios pour capturer l’animal ont alors défilé dans sa tête.

Mais ce n’est pas comme une araignée que tu écrases. Tuer un animal, ç’a l’air de rien, mais c’est une créature. Ça m’a brisé le cœur.
Monique Fortin

Finalement, elle a saisi un plat de plastique vide et l’a mis par-dessus pour l’emprisonner.

« Le plat bougeait alors j’ai mis une conserve sur le dessus. J’ai ensuite glissé le plat dans un gros sac à poubelle dans lequel j’avais mis de l’eau de Javel. J’ai fait un gros nœud et j’ai attendu qu’il ne bouge plus. »

Le sac a, par la suite, pris le chemin de la poubelle extérieur.

Une première au MAPAQ

C’est à ce moment qu’elle a contacté la Société protectrice des animaux de l’Estrie (SPA).

« Quelqu’un devait passer, mais je n’en ai pas eu connaissance », dit-elle.

Selon la porte-parole de la SPA de l’Estrie, comme il ne s’agit pas d’un animal domestique, l’organisme n’est pas tenu de se déplacer.

« On peut aller aider pour capturer la bête, mais habituellement, il faut appeler le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) », soutient Geneviève Cloutier.

Du côté du MAPAQ, on n’a pas souvenir qu’une telle situation soit déjà arrivée. Toutefois, le porte-parole, Yohan Dallaire-Boily, n’était pas surpris.

« On ne sait jamais ce qu’il peut sortir des fruits importés. Le plus souvent, ce sont des araignées. »

Même son de cloche à l’Agence canadienne d’inspection des aliments. Jamais une telle découverte ne leur a été rapportée. Toutefois, une telle mésaventure est arrivée à une famille de la Colombie-Britannique en 2013.

Que faire si on trouve un indésirable dans nos fruits et légumes?

Il faut toujours rincer ses fruits et ses légumes en arrivant à la maison. Si on trouve une bête, il faut garder la preuve au congélateur par exemple. Ça nous permet au MAPAQ de faire enquête. On peut aussi garder les fruits en question, car ils ont des traces des bêtes. Source : MAPAQ

Pour la Sherbrookoise, la théorie la plus plausible serait que l’animal se soit logé dans les feuilles de l’ananas.

« Ça m’étonne parce que j’ai tiré sur une des feuilles de l’ananas au magasin pour m’assurer qu’il était bien mûr. Je ne l’ai pas vu du tout », s’étonne-t-elle encore.

Chanceuse dans sa malchance

Malgré tout, la dame s’estime chanceuse d’avoir été là quand le serpent est tombé sur le comptoir.

« Ça aurait pu arriver dans mon auto et j’aurais pu avoir un accident. Ça aurait pu être une famille avec des enfants. On ne sait pas s’il était venimeux. »

serpent

Radio-Canada Estrie a questionné un spécialiste du Zoo de Granby afin de tenter d’identifier le serpent en question. Quelques espèces du Costa Rica, l’endroit d’où provient l’ananas, ont été suggérées comme un serpent de vigne, un colubridé ou un serpent ratier vert. Mais étant donné la piètre qualité de la photo, il est difficile d’identifier le reptile en toute certitude.

Costco réagit

Monique Fortin a aussi téléphoné à l’entrepôt Costco de Sherbrooke pour leur faire part de sa mésaventure.

« La seule chose que le commis a trouvé à me dire, c’est que j’avais été chanceuse que ce ne soit pas une tarentule. »

Chez Costco, on a eu vent de la plainte que mardi. Le porte-parole de l’entreprise, Ron Damiani, soutient que la plainte est prise très au sérieux.

« On va faire une investigation complète puis nous partagerons notre information avec notre service d’achat. On veut savoir si c’est un incident isolé ou si c’est un problème local. »

M. Damiani soutient que c’est la première fois qu’une telle situation se produit chez Costco au Canada.

« Reste que ce sont des fruits qui proviennent de pays tropicaux. Il y a des risques de retrouver des insectes. »

Ce dernier rappelle que c’est quand même étonnant que ce serpent soit resté si longtemps sur l’ananas sans que personne ne s’en aperçoive.

« Il y a beaucoup de manipulations entre la récolte de l’ananas, son transport vers le centre de distribution, son transport vers ici et les différents contrôles de la qualité. Personne ne l’a jamais, jamais vu! »

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Le cuir d’ananas pourrait changer le monde de la mode


Voilà un usage bien particulier des feuilles de l’ananas qui en plus d’être naturelle permet de remplacer le cuir animal
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Le cuir d’ananas pourrait changer le monde de la mode

 

Par Monika Markovinovic

Du cuir fait d’ananas? Il faut le voir pour le croire!

Lancé par la compagnie de textile Ananas Anam, le cuir d’ananas (ou Piñatex) est un textile « innovant, naturel et durable » dérivé des feuilles d’ananas.

Le cuir vient des fibres de la plante perdue et est à la fois biodégradable et durable, en faisant une belle alternative au cuir animal.

Il a été découvert par la designer espagnole et fondatrice d’Ananas Anam, Carmen Hijosa pendant un voyage d’affaires aux Philippines. Elle a là-bas été introduite au barong talong, un chandail philippin traditionnel tissé avec des fibres de feuilles d’ananas. Après cinq ans de recherche, le Piñatex était né.

En plus d’être socialement responsable, Piñatex est peu cher, revenant à environ « 23 euros par mètre carré, versus 25-38 euros pour le cuir ». Des compagnies comme Puma et Camper sont déjà en train de regarder les possibilités d’utiliser ce cuir d’ananas.

Non seulement l’arrivée du Piñatex permet plus d’opportunités pour les communautés agricoles, mais c’est aussi un grand pas vers la disparition des textiles animaliers dans la mode.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Comment choisir les fruits exotiques?


Pour varier de nos fruits d’hiver, pourquoi ne pas opter pour des gorgées de soleil avec des fruits exotiques disponibles en cette saison. Cependant, mieux savoir choisir pour en profiter au maximum
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Comment choisir les fruits exotiques?

 

hands protect lychee fruits grow on tree

Photo Fotolia

Le litchi.

Litchi, mangue, ananas… Les fruits exotiques sont au top de leur saison cet hiver. Débarqués de lointains horizons, ils sont de plus en plus plébiscités pour leurs vitamines. Mais, contrairement aux fruits plus traditionnels, nous sommes encore peu nombreux à connaître ces petites astuces pour les choisir.

Le point.

Le litchi

Il est au top de sa saison entre novembre et fin janvier. Et les magasins asiatiques ne sont plus les seuls à les commercialiser. La «cerise de Chine» ravie les pâtissiers amateurs qui se régalent de son arôme de rose. Sachez que plus l’écorce est foncée, plus le fruit est mûr. En termes de texture, il vaut mieux choisir des litchis dont l’écorce est dure, surtout pas molle. Celle-ci ne doit pas être craquelée. A noter que les litchis se conservent plus longtemps dans le bac du réfrigérateur, environ deux semaines.

La mangue

Vous en trouvez toute l’année sur les étals bien sûr, grâce aux diverses provenances du fruit (Brésil, Pérou, Côte d’Ivoire). Malgré tout, la mangue connaît sa pleine saison de décembre à février. Une chose importante à retenir: ne jamais la conserver au réfrigérateur. Par ailleurs, quand le fruit est encore bien vert, il a encore besoin de maturité. Il faut surtout se fier au toucher pour faire le bon choix. La peau doit être souple et le fruit doit dégager un parfum agréable. Surtout, il faut éviter les fruits qui ont des tâches noires ou ont la peau fripée.

La papaye

Ce fruit, qui pousse dans les zones tropicales, se déguste essentiellement au mois de janvier. Il faut toujours éplucher la papaye avant de la manger. Par ailleurs, la maturité du fruit est optimale quand la peau est jaune. Il vaut donc mieux choisir une papaye aux trois quarts jaune pour jouir à la maison d’une maturité parfaite. Si le fruit est mûr, vous pouvez le conserver dans le bac du réfrigérateur. Sinon, il peut tout à fait attendre sagement à température ambiante.

Le fruit de la passion

En panna cotta, en cappuccino, en cheesecake ou dans son plus simple appareil, c’est-à-dire à la petite cuillère, le fruit de la passion est une promesse de soleil pour les gourmands. Il existe de nombreuses variétés de ce fruit de la grenadille, une plante qui pousse en Amérique du Sud. Mais, nous en consommons essentiellement deux. Le fruit de la passion doit être lourd tandis que sa peau doit être plissée, signe de sa maturité. Si celle-ci est trop plissée, le fruit est déjà au top de sa maturité. À l’inverse, si la peau est parfaitement lisse, le fruit de la passion doit encore attendre pour être dégusté. Vous pouvez le laisser mûrir à température ambiante. Il se conserve ensuite au réfrigérateur pendant une semaine.

L’ananas

Disponible toute l’année, l’ananas est particulièrement savoureux durant la période hivernale et au début du printemps. En plus de contenir diverses vitamines, le fruit exotique est constitué de fibres, élément crucial pour ceux et celles adeptes de la détox après les fêtes de fin d’année. Quand il faut choisir un ananas, ne tombez pas dans le piège de la couleur de l’écorce. Une couleur verte ne signifie pas que le fruit n’est pas mûr. Fiez-vous plutôt à la lourdeur de l’ananas. Aussi, tirez légèrement sur les feuilles, qui doivent être bien vertes. Celles-ci ne doivent pas trop résister, signe de maturité. Les primeurs conseillent de conserver l’ananas au réfrigérateur jusqu’à 4 à 5 jours.

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Brûleurs de graisses, ne tombez pas dans le panneau!


Les recettes miracles peuvent marcher mais a très court terme et trop souvent elles peuvent entrainer des problèmes beaucoup plus grave et ce n’est certes pas le but fixé. Il n’y a rien dans ces régimes qu’on essaie de nous vendre a coups de grandes publicités qui remplacera l’activité physique avec une alimentation équilibrée. Tant qu’on a pas compris que l’un ne va pas sans l’autre, on ne peut pas espérer perdre le surplus de poids
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Brûleurs de graisses, ne tombez pas dans le panneau!

Brûleurs de graisses, ne tombez pas dans le panneau!

Après les semaines plus ou moins pantagruéliques de la fin de l’année dernière, grande est la tentation d’éliminer très vite les kilos engrangés. Et de céder à la tentation des propositions de produits et d’aliments dits « brûle-graisse ». Certains sont dangereux, d’autres non. Tous relèvent de l’illusion.

Comment brûle-t-on ses graisses?

Ce gras, souvent maudit quand il est mal placé et en trop, est composé de lipides gentiment et bien logés dans des cellules appelées adipocytes.

Les lipides fournissent parfois de l’énergie en se transformant en glucose qui est quasiment le seul carburant de toutes nos cellules.

Pour que cette transformation se fasse, il faut qu’il n’y ait plus de glucose de réserve. Or, on en a entre 300 et 500 g, sous forme de glycogène stocké dans le foie et les muscles. Ce qui fait entre 1.200 et 2.000 calories (1 g de glucose = 4 calories). De quoi tenir un bon moment, presque une journée entière, avant que les lipides ne se mettent en branle pour fournir de l’énergie.

Sauf si vous dépensez plus de calories. Et le seul moyen pour cela, c’est d’avoir une activité physique qui vous en fait évacuer plus que vous n’en absorbez. Autrement dit, en vous bougeant et en faisant du sport.

C’est la seule et unique façon de brûler vos graisses. Aucun produit, aucun aliment ne peut se substituer à l’activité physique.

Les pilules « brûle-graisse »

Toutes promettent de vous faire fondre miraculeusement de plusieurs kilos en une ou deux semaines. En prenant soin néanmoins, par mesure de précaution, de recommander en même temps une alimentation équilibrée.

Elles contiennent différents ingrédients, genre caféine, guarana, spiruline, chrome, L-carnitine, censés activer le métabolisme et ainsi à éliminer plus vite vos graisses. Il y a aussi des fibres, comme le chitosan extrait de la carapace des crustacés, qui capteraient les graisses dans le tube digestif.

Il y a également des baies exotiques, donc miraculeuses, du style açai (de l’Amazonie). Certes, elles sont riches en antioxydants mais on voit mal le rapport avec le gras!

Dans ces produits « brûle-graisse », celui qui semble faire fureur actuellement est à base de phentéphine qui combine méthylhexanéamine, caféine, DHEA et carnitine-L. Or, la méthylhexanéamine est classée dans les substances dopantes car proche de l’éphédrine et des amphétamines qui sont catastrophiques pour le cœur et le système nerveux. Tout comme la caféine à des doses élevées (500 mg environ) qui est également présente dans nombre de ces pilules « brûle-graisse ».

Consommez-les si vous voulez mettre votre santé en danger!

Caféine et thé vert

La caféine, stimulant du système nerveux, active aussi, mais très légèrement, votre thermogenèse, c’est-à-dire votre production de chaleur. Cette thermogenèse est un des axes de recherche dans le domaine de l’obésité. Mais, pour le moment, rien de probant n’a été découvert.

Ce qui n’empêche pas que la caféine fait partie des substances censées faire fondre la graisse comme une glace au soleil. Alors que 200 mg (1 à 2 tasses de café) mobilisent environ une vingtaine de calories….

Le thé, vert ou non, contient de la théine (20 à 45 mg pour 250 ml) qui n’est rien d’autre que de la caféine. Il est aussi riche en toutes sortes d’antioxydants, ce qui lui a donné une aura de produit miracle à tout faire.

Il y a aussi beaucoup de caféine dans les boissons énergisantes (70 à 200 mg pour 25 cl) et dans celles à base de cola (35 à 45 mg par canette).

Si l’on songe aux milliards de litres de café, de thé et de toutes ces boissons absorbés et à l’augmentation de l’obésité, le bon sens semble démontrer que la caféine ne fait pas maigrir spontanément. Mais elle stimule la diurèse: malheureusement, quand on fait pipi, on élimine de l’eau, pas de la graisse.

On sait qu’au-delà de 500 mg par jour, la caféine a des effets nocifs sur les systèmes nerveux et cardiovasculaires.

Inutile, donc de vous gaver de café, de thé ou de gélules contenant de la caféine, vous ne maigrirez pas mais vous dormirez mal.

Ananas et citron

Le mythe de l’ananas qui s’attaque aux graisses avec son arme fatale, l’enzyme broméline tient toujours la route. Mais comme cet enzyme se trouve maintenant dans la tige, qu’il est quand même difficile d’avaler, le voilà dans des gélules de poudre de tige d’ananas à 12 /15 € les 120 dont il faut consommer 4 à 6 par jour. Ca n’est pas vraiment dangereux, c’est stupide.

Mangez de l’ananas en dessert, les recettes pour l’accommoder ne manquent pas.

C’est un excellent fruit, riche en fibres, bienvenu en hiver.

Quant au citron, il est lui aussi censé vous faire maigrir, vous détoxifier et, après cette période festive, voilà le régime citron qui revient en piste.

Utilisez le citron largement pour assaisonner vos légumes, vos salades, vos poissons et même vos viandes. Il est riche en vitamine C.

Ces deux fruits vous feront le plus grand bien mais ne comptez pas sur eux pour maigrir. Ils n’en ont pas le pouvoir comme d’ailleurs tous les autres aliments.

Poivron et piment

Lorsqu’on consomme du poivron ou du piment, ça chauffe et ça pique. C’est l’effet de la capsaïcine. Selon certaines études, cette molécule aurait le pouvoir d’augmenter (un peu) le métabolisme de base, donc la dépense calorique. Elle aurait aussi un effet sur la satiété qu’elle augmenterait également et ainsi on mangerait moins, donc on maigrirait.

Les fabricants de gélules se sont engouffrés dans ce créneau et ont mis sur le marché des produits contenant non seulement cette capsaïcine mais aussi de la caféine et d’autres molécules plus ou moins recommandables. Et ils vous promettent de brûler chaque jour 278 calories en plus. On appréciera la précision fantaisiste du chiffre!

Si vous l’aimez, mettez du piment dans votre alimentation, vous ne risquez rien mais n’espérez pas pour autant fondre dans les jours qui suivent.

Quant au poivron, ça n’est pas la saison. Vous aurez tout loisir d’en mariner et de les consommer en entrée l’été prochain. Il est riche en fibres, en antioxydants et en vitamine C.

Alors, on fait quoi?

On mange de la soupe tous les soirs, ce qui est la meilleure façon de consommer beaucoup de légumes sans gras. Et les légumes, ça apporte peu de calories, mais beaucoup de fibres, de vitamines et de sels minéraux.

La soupe de légumes, bien épaisse et mixée, ne fait pas maigrir mais elle y contribue en rassasiant, en déclenchant le processus de la satiété, donc on mange moins ensuite. Différentes études l’ont montré.

Alors, qu’est-ce qui vous empêcherait d’en prendre aussi au déjeuner ? Avec une tranche de viande froide, un yaourt et un fruit, une bonne soupe peut s’emporter facilement et remplacer le repas trop gras de la cantine et/ou le McDo ou le sandwich.

Avec des légumes nature surgelés, un autocuiseur et un mixeur plongeant, une soupe se cuisine en 15 minutes. De plus, c’est vraiment un mets de saison.

Et on se bouge! Cela demande bien sûr plus d’efforts, mais c’est indispensable.

Article publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 06/01/2012 – 14:18

Sources : eufic.org/article/fr/nutrition/aliments-fonctionnels/artid/Cafeine-sante/;
nature.com/ijo/journal/v29/n9/abs/0802999a.html;
Doucet E, Tremblay A. Eur J Clin Nutr 1997 December;51(12):846-55;
Lejeune MP, Kovacs EM, Westerterp-Plantenga MS. Br J Nutr 2003 September;90(3):651-9;
Westerterp-Plantenga MS, Int J Obes (Lond) 2005 June;29(6):682;
Yoshioka M, St-Pierre S, et al. Br J Nutr 1999 August;82(2):115-23;
Rolls BJ., Bell EA., Thowart ML., AM J Clin Nutr. 1999 Oct ; 70(4) : 448-55;
Flood JE., Rolls BJ. Appetite. 2007 Apr 14;
Mattes R. Physiol Behav. 2005 Jan 17 ; 83(5) : 739-47. Epub 2004 Nov 11.

http://www.e-sante.be/