À Amsterdam, les touristes partent à la pêche au plastique


C’est une bonne idée. S’offrir une balade en bateau sur les canaux d’Amsterdam tout en pêchant le plastique pendant la croisière. C’est une activité qui fait prendre conscience de la pollution des eaux qui est dommageable pour la flore et faune marine.
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À Amsterdam, les touristes partent à la pêche au plastique

 

Une idée qui permet d’allier tourisme et conscience écologique.

Plutôt que d’offrir une simple balade en bâteau sur les canaux d’Amsterdam, l’entreprise maritime Plastic Whale propose aux touristes d’en profiter pour ramasser les déchets qui flottent à la surface de l’eau. Munis d’une épuisette, les passagers sont invités à pécher les déchets en plastique qu’ils croisent sur leur route.

Lancée il y a maintenant sept ans, l’initiative a permis de sortir plus de 146.000 bouteilles en plastique des canaux de la ville. En mai dernier, l’entreprise s’est même servie du contenu de 2.194 sacs de déchets en tout genre pour construire de nouveaux bâteaux destinés à augmenter sa flotte.

Plastic Whale possède désormais dix navires et ne compte pas s’arrêter là. Au plus les touriste pêcheront du plastique, au plus l’entreprise pourra se développer et continuer à nettoyer les eaux d’Amsterdam.

« Environ 80% des déchets qui flottent dans la mer proviennent des villes aux quatre coins de la planète », avait expliqué Marius Smit, le fondateur de Plastic Whale au Guardian. « Je suis convaincu qu’il y a des millions de personnes qui, comme moi, voulait contribuer à régler ce problème ». 

Pour une expédition de 2 heures, les touristes paient un peu plus de 25 euros – un prix tout à fait correct comparé aux autres croisières proposées sur les canaux d’Amsterdam. Du thé, de l’eau, du chocolat, des couvertures, des filets de pêche et des gants sont fournis à chaque passager. Et un prix spécial est même offert à celui qui pêchera l’objet le plus insolite.

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Ces sneakers sont faites en chewing-gum recyclé


Qui aurait eu l’idée de recycler la gomme à mâcher ? Pourtant, au Pays-Bas, ils le font. Avec des gommes ramassées sur les trottoirs d’Amsterdam, ils ont fait des semelles d’espadrilles. Il parait même qu’ils en font des porte-clés, des poubelles, et même des bottes.
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Ces sneakers sont faites en chewing-gum recyclé

 

Crédits : Gumshoe

par  Nicolas Prouillac

Les dessous de tables de classe et les trottoirs des villes sont les cimetières des chewing-gums, c’est bien connu et cela coûte des millions d’euros aux mairies des grandes villes à nettoyer. Que voulez-vous, on adore ça. La fin de vie de la pâte à mâcher est pourtant souvent dégoûtante, irrespectueuse des autres et surtout de l’environnement.

Mais comment recycler ces délicieuses boules gluantes ? La réponse est venue d’une collaboration entre l’organisation néerlandaise Iamsterdam, le designer Explicit Wear et l’entreprise Gumdrop : ils en font des sneakers. Présentée par The Verge ce 24 avril, la semelle de la Gumshoe est intégralement faite en chewing-gum recyclé – et recyclable. Sans coller.

Crédits : Gumshoe

Gumdrop n’en est pas à son premier coup d’essai en matière de recyclage de chewing-gum, c’est même le leitmotiv de la compagnie. Ils ont inventé une technologie baptisée Gum-Tec qui permet de déconstruire les éléments de la pâte à mâcher pour les recomposer en un matériau durable, dont ils ont fait jusqu’ici des bottes, des poubelles ou des porte-clés d’un rose bubble gum du meilleur effet.

« Nous avons découvert que le chewing-gum est constitué de caoutchouc synthétique. En exploitant ses propriétés, nous avons réussi à créer un nouveau type de caoutchouc », explique la designeuse Anna Bullus, directrice de Gumdrop.

Le chewing-gum recyclé qui compose la semelle de la Gumshoe vient directement des trottoirs d’Amsterdam. Les lignes tracées sur le plat de la semelle ? C’est un plan schématique de la ville. Jonathan Van Loon, un membre de l’équipe, a confié à The Verge que tout est parti d’une volonté d’attirer le regard des habitants de Dam sur le problème. 

« C’est comme ça que nous avons eu l’idée de créer un objet auxquels ils tiennent », dit-il.

Quoi de plus populaire auprès des jeunes urbains que des sneakers ?

L’équipe de Gumdrop assure que la semelle de la Gumshoe est intégralement faite en chewing-gum recyclé – le reste étant du cuir. Il paraîtrait même qu’elle en aurait l’odeur, sans la viscosité. Elles seront mises en vente en juin prochain pour 190 € la paire, en rose, noir ou rouge.

Source : The Verge

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Les journées clémentes seront plus rares dans le monde, selon une étude


Le réchauffement climatique va changer nos journées agréables qui sont ni trop chaudes, ni trop froides, ni trop humides, ni trop pluvieuses. Certains y perdront de ces journées, alors que d’autres vont y gagner …Mais à long terme …
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Les journées clémentes seront plus rares dans le monde, selon une étude

 

L'Europe du Nord, le Canada et la Russie connaîtront des hivers plus doux d'ici... (Photo archives Reuters)

PHOTO ARCHIVES REUTERS

Agence France-Presse
Paris

L’Europe du Nord, le Canada et la Russie connaîtront des hivers plus doux d’ici à la fin du siècle, mais, d’une façon générale, les journées clémentes se feront plus rares dans le monde, selon une étude publiée mercredi.

En utilisant des modèles basés sur des projections du réchauffement planétaire, des chercheurs américains ont calculé qu’il y aurait, en moyenne, quatre jours doux en moins par an à l’échelle mondiale d’ici 2035, 10 d’ici 2100.

Mais il y aura de grandes différences régionales, selon les chercheurs de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) et de l’Université de Princeton.

«Les plus fortes baisses concernent les régions tropicales et subtropicales alors que les latitudes moyennes devraient voir une légère augmentation», ont-ils écrit dans le journal Climatic Change.

Aujourd’hui, le monde jouit, en moyenne, de 74 jours de temps doux par an. Ces jours que les chercheurs définissent comme «agréables», ni trop chauds, ni trop froids, ni trop humides ou trop pluvieux.

Selon l’étude, les grands gagnants du réchauffement climatique seront le Canada, une grande partie des États-Unis, du nord de l’Europe, de certaines régions de la Chine et de la Russie. Mais aussi la région sud-américaine de la Patagonie, la Tasmanie et la Nouvelle-Zélande.

«Dans certaines de ces régions, les jours doux seront plus rares pendant les étés chauds et humides, mais ils seront plus nombreux à l’automne, en hiver et au printemps», selon un communiqué.

L’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine seront privées de la plupart de ces jours «parfaits», certaines régions perdant de 15 à 50 jours par an.

«La perte de jours aux températures douces, en particulier pendant l’été quand ils peuvent servir à briser des vagues de chaleur prolongées, pourrait affecter la santé publique de manière significative», souligne le communiqué.

Parmi les 40 villes représentatives sélectionnées par les chercheurs, la grande perdante est de loin Lima qui sera dépouillée de 114 jours doux par an, passant de 326 à 210. Dakar perdra 57 de ses 171 jours.

Du côté des gagnants, Londres est en tête et avec 24 jours qui s’ajouteront à ses 69 actuels, suivie par Amsterdam, Puerto Montt au Chili et Melbourne qui récoltent 19 chacun. Paris en gagnerait 12.

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Pays-Bas Le hibou qui avait terrorisé une ville est condamné à la captivité à vie


Je peux comprendre que des gens soient terrorisés par un grand-duc qui attaquant peut blesser gravement. Cependant, je ne comprends pas pourquoi qu’’ils le mettent en cage alors qu’il aurait pu le relocaliser  dans un endroit mieux adapté comme en pleine forêt
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Pays-Bas

Le hibou qui avait terrorisé une ville est condamné à la captivité à vie

 

Le hibou qui avait terrorisé une ville est condamné à la captivité à vie

Crédit photo : Archives Agence France-Presse

Le hibou qui avait traumatisé Purmerend, une ville située au nord d’Amsterdam aux Pays-Bas, à l’hiver dernier ne retournera pas à l’état sauvage. L’oiseau a été condamné à la captivité à vie, rapporte le 20minutes.fr.

Le volatile avait à son actif une cinquantaine d’attaques, parfois brutales.

Un centre d’athlétisme avait même annulé les entrainements parce qu’un des membres avait eu besoin de points de suture pour des blessures à la tête causées par le hibou.

«Pendant la journée, il n’y a pas de problème, mais la nuit, nous ne nous aventurons dehors qu’armés de parapluies, casques et chapeaux», avait à l’époque expliqué la porte-parole de l’établissement à l’AFP.

La ville de Purmerend avait finalement recommandé aux citoyens de s’armer d’un parapluie.

Le hibou grand-duc est une des plus grandes espèces de hiboux avec une envergure pouvant aller jusqu’à 1,80 mètre et un poids jusqu’à trois kilos.

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