À Las Vegas, les amendes se paient en… fournitures scolaires


Je trouve que c’est une bonne idée. Les fournitures d’école finie par coûter cher aux parents que cette aide sera sûrement le bienvenu pour plusieurs d’entre eux.
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À Las Vegas, les amendes se paient en… fournitures scolaires


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Depuis le 19 juin, les automobilistes de Las Vegas ont la possibilité de payer leurs amendes de stationnement en fournitures scolaires. 

Le conseil municipal de Las Vegas expérimente une nouvelle réglementation pendant un mois sur le territoire de la célèbre cité du jeu. Désormais, au lieu de payer une amende de stationnement en dollars, les contrevenants pourront, dans les trente jours, acheter des fournitures scolaires, relatent CNN et BFMTV. 

Règles, crayons, cahiers… 

Les autorités ont dressé une liste complète des fournitures acceptées: des règles, des crayons, des cahiers, etc. Les fournitures seront remises à une oeuvre caritative fondée par des enseignants et le service municipal concerné organisera la collecte.

Depuis 2016, les automobilistes locaux ou de passage dans la ville avaient déjà la possibilité de verser le montant de leurs amendes à des oeuvres caritatives. 

https://www.7sur7.

Une lourde amende pour avoir «surfé» sur une tortue


Une erreur stupide qui lui vaut bien des maux de tête. Il prétend que la tortue était morte, reste que sur une photo, ce n’est pas évident de faire la différence. Au pire, espérons que les auteurs de cette photo ont appris leur leçon.
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Une lourde amende pour avoir «surfé» sur une tortue

 

Une lourde amende pour avoir «surfé» sur une tortue

Ils se sont photographiés debout sur le dos d’une tortue.Capture d’écran Gentside Découverte

Le Queensland est l’une des régions les plus biologiquement riches d’Australie. Elle abrite 70% des mammifères, 80% des oiseaux natifs et plus de 50% des reptiles, grenouilles et végétaux du pays. Une biodiversité que les spécialistes vantent régulièrement afin d’appeler à la préserver et la sauvegarder. Mais visiblement, le message n’est pas arrivé à tout le monde…

Depuis une semaine, deux jeunes Australiens, Ricky Rogers et un ami, ont déclenché un véritable tollé sur les réseaux sociaux. En cause: la photo qu’ils ont postée sur Instagram. Celle-ci les montre sur une plage de l’île Fraser dans le Queensland, debout sur le sable en train de «surfer» sur la carapace d’une tortue.

MORTE OU NON?

À peine publié, le cliché a été partagé et commenté massivement afin d’attirer l’attention. Des internautes ont même repris la photo pour la diffuser sur Facebook et alerter les autorités. Mission accomplie puisqu’une enquête a été ouverte par le Queensland Parks and Wildlife Service (QPWS).

«Le QPWS prend le sujet très au sérieux et a lancé une enquête», a confirmé un porte-parole à un journal local.

Après avoir reçu de nombreuses critiques, le jeune homme a retiré la photo et mis ses pages Facebook et Instagram en privé. Néanmoins, une seconde photo a également été diffusée. Elle montre la tortue gisant sur la plage avec le message «RIP» (en français «Repose en paix») inscrit dans le sable.

Les autorités veulent ainsi savoir si la tortue était déjà décédée avant que Rogers et son ami ne lui montent dessus. Vivement critiqués et attaqués sur les réseaux sociaux, les ennuis sont donc loin d’être terminés pour les deux «idiots complets», comme les a qualifiés Michael Beatty, porte-parole de la RSCPA, Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals du Queensland. 

UNE AMENDE DE 20 000 DOLLARS

Selon le porte-parole du QPWS, ils risquent une amende maximale de 20 000 dollars.

«Morte ou non, c’est toujours mal et inhumain», a commenté un internaute sur Facebook. «Est-ce acceptable de se tenir sur le dos d’un humain mort? Non, donc ça ne l’est pas de se tenir sur le dos d’un animal mort».

Contacté par le Fraser Coast Chronicle, Ricky Rogers, 26 ans, a affirmé qu’ils avaient voulu venir en aide à la tortue qu’ils pensaient coincée avant de découvrir qu’elle était morte et de prendre une photo.

C’était juste «une petite erreur stupide», a-t-il clamé. «Évidemment que je le regrette. Je n’aurais jamais pensé que ça deviendrait aussi important».

Dénonçant les travers des réseaux sociaux, il a assuré qu’il était un amoureux des animaux.

«Je ne laisse même pas les gens tuer les araignées. Tout ceux qui me connaissent savent à quel point j’aime les animaux et que je ne leur ferais jamais du mal», s’est-il défendu.

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Un chat affectueux interrompt un agent de police occupé à mettre une amende.


Mon chat Virgule était un chat comme ça. Quand il voulait des câlins que l’on soit debout ou assis, rien ne pouvait l’en dissuader.
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Un chat affectueux interrompt un agent de police occupé à mettre une amende.

 

 

L’officier de police Keith Urban venait d’arrêter une voiture pour un contrôle de routine lorsqu’un chat amical s’est approché pour le surprendre !

Cette vidéo, filmée par la caméra du tableau de bord de la voiture de police, montre comment ce chat hilarant a attiré son attention !

Urban s’est montré très patient avec le félin affectueux, comme il l’a expliqué au Taylor Daily Press :

“Je crois que le conducteur du véhicule était en train de rire… et il m’a même proposé de sortir de sa voiture pour m’aider à retirer le chat.”

Heureusement, le chat n’a pas utilisé ses griffes au moment de dire “bonjour”, mais Urban a tout de même eu des remords de le chasser ainsi. Néanmoins, ses actions n’ont visiblement pas réussi à dissuader le chat de revenir pour plus de caresses !

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STM | CONTRAVENTION « Énorme manque de jugement »


Il y a des jours qu’on se demande ou est la civilité dans ce monde. Comment peut-on laisser une femme avec un jeune enfant au bord de la rue tard le soir, alors qu’elle avait payé en trop son billet pour l’autobus de ville. Les agents ont vraiment manqué de tact et ont été d’une impolitesse vraiment ignoble C’est sûr qu’il y a des règlements mais il faut aussi faire preuve de jugement ..
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STM | CONTRAVENTION « Énorme manque de jugement »

Pauline Tantost a reçu une amende de 219 $ parce qu’elle n’avait pas la monnaie exacte pour payer son trajet dans un autobus de la STM. Elle déplore que les autobus de la STM n’acceptent pas les paiments en monnaie papier.

 

 

MARIE-PIER GAGNÉ

JOURNAL DE MONTRÉAL,

Politiciens et citoyens s’entendent pour dire que les employés de la STM ont mal réagi

Pauline Tantost, cette femme qui a été expulsée d’un autobus de la STM en pleine nuit avec son bébé parce qu’elle n’avait pas la monnaie exacte, a reçu de très nombreux appuis hier.

Depuis que le Journal a publié son histoire, hier, Mme Tantost a reçu des offres de simples inconnus qui sont prêts à payer sa contravention de 219 $ en entier. Des politiciens ont aussi accusé la STM «d’un manque de jugement», tandis qu’un expert en contestation de contraventions a offert de la défendre gratuitement.

«Ça fait du bien de savoir que les gens sont derrière moi et que je ne suis pas la seule à trouver qu’il y a eu de l’abus», a réagi la jeune femme.

L’histoire de cette jeune mère de 24 ans remonte à vendredi dernier vers 22 heures. Après avoir passé cinq heures avec son fils de deux ans à l’urgence de l’Hôpital Montréal pour enfants, Mme Tantost ne souhaite qu’une chose: rentrer chez elle.

Elle monte dans l’autobus 108 en direction de Verdun. Comme elle n’a pas l’habitude d’utiliser les services de la STM, elle ignore les tarifs et s’en informe auprès du chauffeur. Celui-ci lui répond qu’elle doit payer 3 $ et que c’est gratuit pour l’enfant.

Comme elle n’a qu’un billet de 5 $, elle le tend au chauffeur qui lui aurait répondu sèchement qu’il n’accepte pas les billets, seulement la monnaie exacte. La jeune mère de 24 ans tente alors d’expliquer sa situation.

«Je lui ai dit que je n’avais pas de change et que je ne voulais pas qu’il me rende ma monnaie. J’ai mon bébé dans les bras, je lui dis que j’ai passé cinq heures à l’hôpital, qu’il est tard…Rien à faire, il ne bronche pas», raconte-t-elle.

Vérification faite auprès de la STM, les boîtes de perception acceptent seulement la monnaie.

Prévenue par le chauffeur

Comme le véhicule roulait déjà et ne sachant trop quoi faire, Pauline Tantost décide de s’installer derrière le chauffeur pour lui montrer qu’elle n’avait pas l’intention de ne pas payer son passage. Le chauffeur lui précise alors que s’il y a une inspection, elle risque une contravention.

«Comme de fait, une voiture patrouille de la STM se présente au feu rouge. Deux inspecteurs entrent dans le bus et nous demandent de sortir nos billets. Je me sentais mal, je sors de l’autobus. Je pleure, je suis fatiguée», confie la jeune femme qui tente à nouveau de s’expliquer auprès des agents.

«Je veux juste rentrer chez moi», les a-t-elle implorés.

Les inspecteurs lui ont plutôt remis une contravention de 219 $ en précisant à la passagère qu’elle n’avait qu’à la contester. L’un d’eux lui aurait même déclaré:

«Si vous appelez, un des agents va venir et ça lui fera quatre heures d’overtime. Les deux agents se sont alors mis à rire», rapporte-t-elle.

Seule au coin d’une rue

Les agents de surveillance de la STM ont pris congé vers 22 heures 25, laissant la jeune mère au coin d’une rue, son bébé dans les bras.

«Je leur ai demandé: je fais comment pour rentrer? Ils m’ont dit d’attendre le prochain bus et de montrer ma contravention comme preuve de paiement.»

Pauline Tantost a choisi de marcher jusqu’à chez elle, son enfant dans les bras. Elle a porté plainte auprès de la société de transport.

Réactions politiques

La situation de Pauline Tanstot a fait réagir les candidats à la mairie.

«Cette dame n’aurait jamais dû avoir d’amende, c’est ridicule, exprime le responsable des dossiers de transport de l’équipe Coderre, Philippe Schnobb. Elle avait l’argent pour payer son entrée, ce n’était quand même pas un vol. Elle voulait même faire un don en ne demandant pas sa monnaie.»

Le candidat Marcel Côté a lui aussi invoqué un «manque de jugement» de la part de la société de transport.

Frais d’avocats payés

Découragé, le président de SOS Ticket, Alfredo Munoz, a de son côté offert à Pauline Tantost de payer de sa poche les frais d’avocat pour contester l’amende.

«On a affaire ici à un très grand manque de jugement, affirme-t-il. Je veux aider cette dame. Je suis prêt à tout payer, elle ne déboursera rien. Je vais me battre avec elle, on va aller en Cour. Il faut absolument qu’elle se défende.»

Mme Tantost s’est dite touchée par le geste.

«Ça m’enlève un très grand poids, assure-t-elle. Je n’avais pas le temps ni les moyens de contester la contravention.»

Ancien policier, M. Munoz mentionne avoir été souvent confronté à des situations semblables.

«Parfois, on n’a pas le choix de donner des amendes, explique-t-il. Par contre, il faut user du gros bon sens. Je n’ai jamais laissé une femme au bord de la route à cette heure-là. Je la ramenais toujours chez elle, avec l’autopatrouille. C’est la moindre des choses.»

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Défense d’importuner les hiboux


Je trouve que c’est une très belle initiative que d’imposer une interdiction et ce en pleine ville pour protéger des hiboux qui viennent une certaines période de l’année Espérons que cela soit un exemple a suivre pour d’autres animaux ..c’est un partage de territoire
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Défense d’importuner les hiboux

 

À Kikinda, dans le nord-est de la Serbie, il est désormais interdit sous peine... (Photo: AFP)

PHOTO: AFP

Agence France-Presse
Belgrade, Serbie

À Kikinda, dans le nord-est de la Serbie, il est désormais interdit sous peine d’une sévère amende, d’importuner de quelque manière que ce soit les centaines de hiboux moyen-duc qui s’abritent chaque hiver dans les arbres du centre-ville.

La municipalité a indiqué à l’AFP vendredi avoir adopté un arrêté aux termes duquel, il est interdit d’organiser des manifestations publiques, de mettre en place des enseignes lumineuses à proximité des arbres où nichent ces rapaces, ou de les déranger par des cris voire tout autre moyen.

Les contrevenants risquent des peines d’amende pouvant aller jusqu’à 10 000 euros (13 200 $).

La municipalité a affiché le texte de l’arrêté sur des panneaux dans le centre de cette petite ville d’environ 40 000 habitants.

«Les hiboux moyen-duc sont une espèce protégée ce qui justifie l’adoption de cet arrêté afin de préserver ce phénomène insolite, emblème de notre ville», a déclaré à l’AFP Marijana Ilicin, directrice du bureau touristique local, à l’origine de cette initiative.

Les autorités locales ont évalué à quelque 700 le nombre de hiboux moyen-duc s’emparant du centre-ville de Kikinda de novembre à mai.

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Amendes salées pour nourrir les ratons laveurs


Que ce soit a Montréal ou ailleurs … Les ratons laveurs et autres animaux sauvages qui rodent autour des habitations, dans les parcs ne devraient jamais être nourris par l’homme car ils deviennent dépendant d,une nourriture qui n’est pas nécessairement adapté pour eux ..
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Amendes salées pour nourrir les ratons laveurs

 

Amendes salées pour nourrir les ratons laveurs

Photo: Fotolia

Par Laurent Dionne

Après avoir tenté sans succès de sensibiliser les Montréalais aux dangers de nourrir les ratons laveurs du mont Royal, les policiers passent aux choses sérieuses et remettront désormais des constats d’infractions aux gens pris en flagrant délit.

 

L’amende émise variera de 100 à 300 $ pour une première infraction et pourrait atteindre jusqu’à 1000 $ en cas de récidive.

Il existe déjà un règlement municipal interdisant de nourrir les animaux sauvages dans tous les parcs, mais depuis 2010, les autorités ont toujours favorisé la sensibilisation à la punition. Une stratégie qui semble ne pas avoir porté fruit.

«On fait un suivi constant et nous sommes constamment en discussion avec notre partenaire Les amis de la montagne. Ce qu’ils nous disent, c’est que plusieurs ne sont même pas au courant que les ratons peuvent être porteurs de maladie. Certains reviennent même soir après soir pour les nourrir», a indiqué Valérie De Gagné, porte-parole à la Ville de Montréal.

C’est par souci de sécurité que la Ville a pris cette décision, puisque même si les autorités vaccinent les ratons du mont Royal, «nous ne sommes jamais à l’abri d’un cas de rage», a ajouté Mme De Gagné.

Des ratons plus agressifs

Cette pratique répandue de donner à manger aux ratons laveurs, notamment sur le belvédère Camilien-Houde, commence à avoir des conséquences sur le comportement des animaux.

Ces derniers, habitués à être nourris par les passants, s’approchent davantage des humains, deviennent de plus en plus gros et peuvent être agressifs lorsqu’ils manquent de nourriture.

La Ville de Montréal avait déjà commencé à prendre des moyens pour enrayer le problème. L’an dernier, elle a notamment installé sur le belvédère Camilien-Houde des poubelles munies de couvercles impossibles à ouvrir par des ratons laveurs.

On estime à plus de 100 par km2 la population de ratons laveurs dans le parc du Mont-Royal.

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La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique


Un supposé  policier, un numéro de téléphone plausible donne une arnaque par téléphone pour soutirer de l’argent via internet. Une belle confusion pour permettre a des gens a se faire avoir .. Mais pourtant ce n’est pas la façon de faire des policiers
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La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique

 

La police d’Ottawa est la recherche de malfaiteurs à l’origine d’une nouvelle arnaque téléphonique. Les fraudeurs disent être des policiers et exigent que les résidents paient une amende par transfert électronique.

En cas de refus, ils menacent d’envoyer des policiers au domicile des personnes afin de prélever l’argent. Les fraudeurs utilisent un numéro de téléphone qui commence par 1-911 pour rendre l’appel plausible.

La police d’Ottawa informe la population qu’il s’agit d’un faux numéro vraisemblablement créé via Internet.

Elle ajoute qu’il s’agit d’une escroquerie et que les résidents ne doivent en aucun cas envoyer de l’argent.

La police recommande aux résidents de raccrocher et d’appeler le Centre antifraude du Canada.

 

Centre antifraude du Canada
1-888-495-8501

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Éleveurs de chiens au Québec: la loi de la jungle


Un projet de loi est mit sur table, mais beaucoup doute sur son efficacité a être plus sévère envers les usine a chiens qui se font passé pour des chenils. Il existe au Québec d’excellent chenils qui ont le soucis de vous montré les installations et leur chiens en bonne santé, malheureusement les usines a chien et il semble que même ayant eu des amendes, plaintes, ils continuent leur commerces sous des lamentables conditions
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Éleveurs de chiens au Québec: la loi de la jungle

 

Stéphanie Vallet et Hugo Meunier
La Presse

La Presse a visité clandestinement plusieurs chenils sanctionnés par des inspecteurs mandatés par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) au cours des dernières années.

Toujours ouverts, ces établissements aménagés dans des cabanons, granges ou sous-sols, où les chiots sont vendus quelques centaines de dollars, sont le reflet d’une législation qui manque de mordant. Ces chenils improvisés pullulent dans la province. Selon certains organismes, il y en aurait près de 2000. Une industrie lucrative, où de nombreux chiots endurent un véritable enfer en attendant de devenir le meilleur ami de l’homme. Une lueur d’espoir cependant se laisse entrevoir avec la tenue aujourd’hui et demain d’une consultation à l’Assemblée nationale concernant le projet de loi P-51 qui pourrait remplacer la Loi sur la protection sanitaire des animaux actuellement en vigueur.

ÉLEVAGE DANS UN SOUS-SOL

Aucune pancarte ni indice n’annoncent un chenil. Une femme grille une cigarette dans le stationnement de l’entrée de cette résidence en peu délabrée de Wotton, dans les Cantons-de-l’Est. Nous prétendons être à la recherche d’un chiot. Elle nous invite à entrer et saisit le téléphone pour prévenir sa mère de notre présence. Des aboiements résonnent au sous-sol. La mère en émerge, trois yorkshires adultes dans ses bras.

Cette femme, la propriétaire, raconte qu’une portée est prévue dans une semaine. Le prix de ses chiots: de 500 à 800$. Elle refuse de nous montrer la mère, au sous-sol. «Elle serait trop nerveuse», explique-t-elle.

La propriétaire a été reconnue coupable en 2009 de n’avoir pas su garder propre et sûr l’élevage en question, qui comptait 117 chiens, au passage des inspecteurs d’ANIMA-Québec. Elle avait alors dû acquitter une amende de 1040$.

Elle dit maintenant préférer un endroit plus modeste et de plus petites races. Difficile toutefois de saisir l’ampleur de son élevage puisqu’elle nous en refuse l’accès. Seuls les aboiements nous rappellent la présence animale. La propriétaire ne nous a pas rappelés.

CHENIL EN BOIS POUR 75 CHIENS

On y débouche en roulant un bon moment sur une route cahoteuse à Saint-Nicéphore, près de Drummondville. «Élevage Gigi», dit la pancarte installée au bord du chemin. Des enclos en bois de toutes tailles, rafistolés tant bien que mal, sont éparpillés sur le terrain. La propriétaire, Ginette, nous accueille sous les hurlements de quelques dizaines de chiens, 75 selon elle.

L’éleveuse a reçu une amende en 2006 pour avoir laissé son chenil en mauvaise condition.

La propriétaire nous entraîne dans son petit bureau. «Maternité, entrée interdite», peut-on lire au-dessus d’une porte battante. Elle y entre et ressort rapidement avec deux caniches d’à peine 10 jours, puis deux shih tzu de 7 semaines. Par l’entrebâillement de la porte, on remarque dans une pièce sombre un mur de cages où se trouvent des chiens, des sacs de nourriture empilés. On demande à voir la mère, mais la propriétaire refuse sous prétexte qu’elle serait trop énervée. Peu importe la race, le prix des chiots va de 350 à 375$.

À l’extérieur, les chiens s’agglutinent contre les grilles à notre passage. La propriétaire précise qu’exploiter ce chenil constitue une tâche colossale et nécessite trois employés.

Jointe après notre visite, elle assure s’être occupée de ses chiens.

«Ça fait 38 ans que je fais ça. C’est ma vie, les chiens, et ici, ce n’est pas une usine à chiots. Les inspecteurs me reprochent toujours d’avoir des installations en bois. Et je conteste toujours parce que c’est des niaiseries. Mes chiens sont super bien, ne manquent de rien et ne tombent jamais malades», précise Ginette, qui ajoute détenir un permis de la municipalité pour élever ses chiens.

UNE NICHE SOUS LE TRAMPOLINE

Notre prochaine escale se fait dans la municipalité de Sainte-Sabine. D’un côté de la route, un grand enclos où une dizaine de chiens de diverses races ont le museau collé au grillage. Marielle, la propriétaire, nous amène voir une portée de chiots dans une boîte de carton, dans un abri Tempo sans bâche, puis sous un trampoline, où une autre portée vit dans une caisse en bois.

Nous nous dirigeons ensuite vers le bâtiment principal, où se trouvent plusieurs enclos. L’un d’eux renferme une portée de lévriers de 3 jours avec leur mère. L’endroit, qui se résume à une litière de paille sur des planches, est réchauffé par une lampe suspendue.

Un couple de lévriers sur le point de se reproduire partage un enclos. La femelle, handicapée, se tient péniblement sur trois pattes. Quatre bouviers adultes s’entassent dans le suivant et deux chiots de quelques semaines gigotent dans un autre près de la porte. La propriétaire dit faire de l’élevage depuis 16 ans. Elle a reçu une amende en 2010 pour ne pas avoir maintenu propre le lieu où elle garde ses 75 chiens.

«J’avais un plancher en bois parce qu’avant j’avais des chevaux, et j’ai eu une amende parce qu’il fallait que ça soit peint ou recouvert d’un plastique. Ce n’était pas de la mauvaise volonté, mais plus un état d’esprit: c’est un animal et c’est correct comme ça. J’ai été élevée sur une ferme et c’est notre manière de faire», explique Marielle.

AIDANTE NATURELLE ET ÉLEVEUSE

Le lac Aylmer s’étend presque au pied de l’élevage Jacqueline, que signale un écriteau au bord de la route. L’éleveuse nous accueille au pas de sa porte, suivie de son mari en fauteuil roulant. L’homme a fait un AVC l’an dernier, ce qui force sa femme à s’occuper de lui à temps plein. Elle gère un élevage de plusieurs dizaines de chiens, aménagé dans une annexe en bois. De sa maison, on entend les bêtes aboyer.

«Je n’ai que 12 chiens», s’empresse-t-elle de dire.

Le bruit aigu augmente et irrite carrément le tympan dès qu’on pousse la porte de l’élevage, spécialisé dans les caniches et les shih-poo (croisement de caniche et de shih tzu). On entre d’abord dans une salle où sont entreposées une dizaine de cages vides. La propriétaire s’engouffre dans le chenil par une porte battante sur laquelle il est inscrit «privé», qui donne sur une grande pièce où sont éparpillés des enclos et des cages en bois. Elle nous propose de chiens d’âge et de pelage variés dont le prix, très bas par rapport au marché, va de 150$ (pour un chien de 6 mois) à 350$. Elle propose également une formule clé en main: carnet de santé (avec deux vaccins), couverture, nourriture (1,5 kg) et un guide du nouveau propriétaire.

Elle avoue que sa passion, qu’elle pratique depuis 18 ans, est plus difficile à concilier avec le handicap de son mari. Jointe par téléphone par la suite, Jacqueline déplore que ses clients puissent encore voir sur les moteurs de recherche qu’elle a été condamnée à une amende de 1060$ par ANIMA-Québec, le 18 janvier 2008 pour n’avoir pas maintenu ses 70 chiens dans un habitat salubre.

UN CHIOT INERTE AU MILIEU DES ABOIEMENTS

«Chiots à vendre», peut-on lire en grosses lettres peintes sur une façade de grange visible de l’autoroute 20, à la hauteur de Saint-Cyrille-de-Wendover. Le Chenil des Voltigeurs est un endroit bien connu, mais pas pour les bonnes raisons.

Sur un terrain qui ressemble à une décharge à ciel ouvert, la maison du propriétaire voisine le chenil.

À notre arrivée, Naji, le propriétaire, nous interpelle. Il nous fait monter sans hésitation à l’étage de la vieille grange.

Son chenil a été piégé en 2008 par une équipe de l’émission Enquête de Radio-Canada, en plus de recevoir la visite des inspecteurs d’ANIMA-Québec l’année précédente. Ces derniers l’avaient condamné à une forte amende pour l’insalubrité des lieux, le manque d’eau, les risques pour la sécurité et la santé des animaux et la présence de chiens malades. L’endroit abritait alors 200 chiens.

La situation ne semble guère plus reluisante aujourd’hui. Outre l’insupportable vacarme, l’odeur vous prend au nez, même si le nombre de chiens semble à première vue moindre.

Les lieux ne semblent pas insalubres, mais les conditions d’élevage laissent songeur: des enclos grillagés dans lesquels sont entassés jusqu’à sept chiens.

Le propriétaire entre dans une cage pour en ressortir avec un caniche blanc au pelage jauni et qui se détache par croûtes. Il est le seul à ne pas aboyer ni même à bouger…

Il explique en faire cadeau à 250$, avec deux vaccins en prime, et précise que tous les papiers sont en règle.

Avant de partir, on fait le tour de la pièce et de l’autre côté, où s’entassent des chiens plus âgés et deux teckel gestantes. L’une est à moitié aveugle et a des bosses sur le corps; l’autre, apeurée, se tient debout sur deux pattes devant un nouveau-né roulé en boule, qui semble sans vie. Joint au téléphone, le propriétaire du chenil a simplement dit qu’il avait fait plusieurs changements depuis le passage des inspecteurs mais a coupé court à la conversation.

***

DÉBUSQUER UN ÉLEVAGE SUSPECT

Le verdict est unanime. Pour Yves Gosselin et Sébastien Kfoury, docteurs en médecine vétérinaire à l’Hôpital Rive-Sud, les conditions dans lesquelles sont gardés les chiens dans les élevages que nous avons visités sont inacceptables.

«C’est absolument inadéquat. Ce n’est pas pire que ce qu’on fait vivre à des poulets, mais c’est parce qu’on voit le chien comme n’étant pas un poulet, et avec raison», lance le Dr Kfoury après avoir visionné à peine quelques secondes les images captées à l’aide d’une caméra cachée.

«Tout bon éleveur va vous permettre de voir la pouponnière, l’endroit où les chiots sont gardés. Il n’y a rien de mieux pour un chiot que de voir des humains et de socialiser», précise-t-il.

Éleveur de labradors pure race, Alain Jetté a même mis au point un protocole de stimulation des chiots qui sont amenés à socialiser dès leurs premiers jours.

Il porte également une attention toute particulière à la génétique de ses animaux, contrairement aux usines à chiots dans lesquelles la reproduction est axée sur le volume.

 «Je fais passer toute une batterie de tests à mes chiens: les hanches, les coudes, les yeux, pour ne citer que ceux-ci, sont examinés pour garantir la pureté de la race. On ne fait pas ça pour l’argent, mais pour la passion», dit l’éleveur, qui a un emploi à plein temps et investit d’importantes sommes dans son élevage, où les chiots coûtent de 900 à 2000$.

Autres indicateurs qui devraient mettre la puce à l’oreille à tout acheteur responsable pour débusquer un élevage suspect: l’odeur, le bruit et la quantité de chiens gardés dans des installations en bois (et non en acier inoxydable).

«Le signal d’alarme est clair: quand on trouve plus de deux races dans un élevage et que les installations semblent improvisées, il vaut mieux rebrousser chemin», conclut le Dr Sébastien Kfoury.

 

 

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Gatineau : Une amende de 2378 $ pour avoir texté au volant


On ne le dira jamais assez le cellulaire a l’oreille, le texto est interdit quand on conduit et quelqu’un qui a moindrement un peu de jugeote qu’il ne faut qu’une fraction de seconde pour provoquer un accident qui pourrait être meurtrier. Par contre, cette amende est pour une fois exemplaire autant pour le montant a payer que pour la perte de points d’inaptitude
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Gatineau : Une amende de 2378 $ pour avoir texté au volant

Une amende de 2378 $ pour avoir texté au volant

Crédit photo : archives, Winnipeg Sun

Par Danielle Bell | Agence QMI

Un homme de 24 ans, de Gatineau, devra payer une facture salée de plus de 2300 $ parce qu’il envoyait des messages textes tout en conduisant.

La police a intercepté l’automobiliste sur la route 307 peu avant 23 h en Outaouais, vendredi, en train de dépasser dangereusement les autres véhicules.

Dans leurs manœuvres, les policiers ont dû s’accoler à la voiture et se mettre au niveau de sa portière pour signaler au conducteur qu’il devait se ranger sur le côté.

Ils se sont alors rendu compte que le chauffeur envoyait des messages textes avec son téléphone en roulant à plus de 90 km/h.

Le jeune homme a écopé de huit infractions, une amende de 2378 $ et de 13 points d’inaptitude.

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Ottawa : Quatre propriétaires de chiens condamnés


On commence a voir des actions concrètes contre les personnes qui négligent leur animaux … Espérons que cela servira de jurisprudence partout au Canada dont au Québec … et que des peines de plus en plus lourdes soient appliquées
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Ottawa : Quatre propriétaires de chiens condamnés

Ottawa - Ottawa : Quatre propriétaires de chiens condamnés

Pour la première fois en Ontario, quatre propriétaires de chiens ont été condamnés pour avoir laissé leur animal dans l’auto en pleine chaleur.

Les événements sont survenus à Ottawa en juillet et août derniers à Ottawa.

Les chiens avaient été abandonnés dans une voiture, pendant une période allant de 30 minutes à deux heures et demie, alors que le mercure indiquait jusqu’à 44 degrés dans l’habitacle.

La Société de protection des animaux d’Ottawa et les policiers ont été appelés sur les lieux pour secourir les bêtes.

Les propriétaires ont écopé d’une période de probation d’un an et d’une amende de 200 dollars chacun.

Quatre autres cas doivent être entendus en cour. Chacun s’expose à une amende pouvant atteindre 60 000 $ et à une peine d’emprisonnement de deux ans maximum.

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