Les feuilles de cet arbre d’Ama­zo­nie sont plus grandes qu’un être humain


Une feuille d’un arbre plus grand que la majorité du gens, c’est immense.C’est un arbre découvert en Amazonie, il y a quelques années, mais n’avait ni fleur, ni fruit. Ils ont quand même trouver des graines qu’ils ont fait pousser, suite à cela, ils ont pu décrire cette nouvelle plante

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Les feuilles de cet arbre d’Ama­zo­nie sont plus grandes qu’un être humain

Crédits : Rogé­rio Gribel

par  Malaurie Chokoualé Datou

Une espèce d’arbres qui pousse dans l’Ama­zo­nie vient tout juste d’être offi­ciel­le­ment bapti­sée. Au début du mois de novembre, une étude a été publiée dans la revue Acta Amazo­nica par des cher­cheurs·euses de l’Ins­ti­tut natio­nal de recherche amazo­nien (INPA) de Manaus, au Brésil.

 Après des années de patience, iels ont enfin pu réper­to­rier cette espèce parti­cu­lière, appe­lée Cocco­loba gigan­ti­fo­lia, dont les feuilles sont plus grandes qu’une personne adulte, rappor­tait EcoWatch le 28 novembre.

Cet arbre a pour­tant été aperçu pour la première fois en 1982. Les cher­cheurs·euses savaient qu’il s’agis­sait d’une espèce de Cocco­loba, mais iels ne parve­naient pas à l’iden­ti­fier plus préci­sé­ment. En effet, les spéci­mens qu’iels obser­vaient n’avaient ni fleur ni fruit, des éléments capi­taux pour décrire une nouvelle espèce végé­tale.

Crédits : Rogé­rio Gribel

En 2005, les scien­ti­fiques ont fina­le­ment réussi à recueillir des graines d’un arbre. Iels les ont planté sur le campus de l’INPA, et iels ont attendu. Leur patience a été récom­pen­sée en 2018, quand l’un des arbres plan­tés a fleuri et produit des fruits, leur four­nis­sant enfin le maté­riel bota­nique néces­saire pour décrire cette nouvelle espèce.

Endé­mique de l’Ama­zo­nie brési­lienne, plus préci­sé­ment dans le bassin de la rivière Madeira, Cocco­loba gigan­ti­fo­lia est un arbre de 10 à 15 m de haut. Ce sont surtout ses feuilles qui inter­pellent les cher­cheur·euses, car elles peuvent mesu­rer jusqu’à 2,50 m de long. Vu sa rareté et sa présence dans un paysage en perpé­tuelle muta­tion, les auteur·e·s ont recom­mandé de l’ins­crire sur la liste rouge de l’Union inter­na­tio­nale pour la conser­va­tion de la nature (UICN).


Source : EcoWatch

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L’hu­ma­nité n’a jamais mangé autant de viande


Quand j’étais petite, le repas se composait d’une soupe, viande et légumes, aujourd’hui, la viande prend beaucoup de place dans l’alimentation. Cela a des effets directs sur l’environnement. Baisser notre consommation de viande pourrait aider à diminuer le gaz à effet de serre ainsi que la déforestation.
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L’hu­ma­nité n’a jamais mangé autant de viande

Crédits : Markus Spiske


par  Malaurie Chokoualé Datou

De plus en plus de citoyen·­ne·s se tournent vers un régime à base de plante, spor­tif­s·ves de haut niveau compris. Et pour­tant, la viande est toujours indé­trô­nable sur bien des tables.

Entre 1961 et 2018, la produc­tion de viande est passée de 70 millions de tonnes par an dans le monde à 330 millions, rappelle Le Monde en ce 15 novembre.

Depuis plusieurs années, des expert·e·s attirent l’at­ten­tion sur le rôle notable tenu par l’éle­vage indus­triel dans la crise clima­tique actuelle. Le 5 mars 2018, Green­peace poin­tait dans un rapport que « l’éle­vage est respon­sable de 14 % des émis­sions mondiales de gaz à effet de serre » et que la produc­tion de produits laitiers et de viande entraî­ne­rait pas moins de 80 % de la défo­res­ta­tion en Amazo­nie.

Pour Suzanne Dalle, char­gée de l’agri­cul­ture chez Green­peace France, il faudrait réduire notre consom­ma­tion à 16 kg de viande par an et par personne (pour 43 actuel­le­ment) de manière à « enrayer les chan­ge­ments clima­tiques, redon­ner du souffle à l’éle­vage écolo­gique et éviter une catas­trophe sani­taire ».

En dépit de l’ur­gence, l’hu­ma­nité n’a jamais mangé autant de viande qu’ac­tuel­le­ment et la tendance ne semble pas vouloir s’in­ver­ser. Sauf chan­ge­ment collec­tif et durable, l’Or­ga­ni­sa­tion des Nations unies pour l’ali­men­ta­tion et l’agri­cul­ture (FAO) prévoit qu’on attein­dra les 524 millions de tonnes de viande produite par an en 2080.

Sources : Green­peace/Le Monde

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Une plante miracle peut freiner la déforestation de l’Amazonie


En Amazonie, il y a les incendies de forêt et la déforestation. L’un peut être la cause de l’autre. Cependant, il existe une plante, qui pourrait remettre la forêt amazonienne en bon état. Elle a l’avantage de grandir vite et de fertiliser le sol pour que d’autres plantes puissent pousser à leur tour. Cependant, si la déforestation continue de plus belle, même cette plante ne pourra pas stopper la disparition de la forêt.
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Une plante miracle peut freiner la déforestation de l’Amazonie

Plus de 90.000 incendies ont été recensés en Amazonie depuis janvier 2019. | Carl de Souza / AFP

Plus de 90.000 incendies ont été recensés en Amazonie depuis janvier 2019. | Carl de Souza / AFP

Repéré par Robin Tutenges

Repéré sur The Independent

L’arbre inga permet de rétablir la biodiversité en recolonisant les zones détruites par les incendies.

Depuis le début de l’année 2019, l’Amazonie est en proie à de violents incendies qui ont déjà dévasté plus de 7.853 kilomètres carrés de forêt. Au milieu de cette triste scène apocalyptique, une plante toute particulière apparaît comme une lueur d’espoir: l’arbre inga. Il peut à la fois pousser rapidement sur les terrains ravagés par les flammes et favoriser la fertilité de ces sols, accélérant ainsi la renaissance de la flore.

Cette plante, qui compte environ 300 espèces, libère une grande quantité d’azote, un nutriment essentiel pour les autres plantes, dans ces sols pauvres laissés en friche après le passage d’un des 90.000 incendies recensés dans la région cette année. Grâce à ce travail de fond, les terrains deviennent suffisamment fertiles pour que d’autres espèces s’y enracinent à nouveau. Une solution salutaire bienvenue dans un contexte morose.

Selon la Fondation Inga, la plantation de cet arbre pouvant atteindre une taille maximale de 20 mètres de hauteur permettrait aussi de «protéger les sols, supprimer les mauvaises herbes et fournir de la nourriture».

Sa gousse de 30 à 40 centimètres de long contient en effet jusqu’à trente graines aplaties, dont la membrane fine est comestible. Cette source de nourriture aide les populations locales à s’alimenter ainsi qu’à nourrir le bétail.

Corridor pour la faune sauvage

Vue du ciel, une partie de la plus grande forêt du monde est défigurée, fractionnée en différentes zones éloignées parfois de plusieurs kilomètres. Cultiver l’inga pourrait conserver des corridors vitaux pour la faune sauvage dans ces espaces désertiques. C’est notamment l’objectif de l’institut Ouro Verde, qui s’est lancé dans un vaste projet visant à soutenir et encourager les agriculteurs souhaitant planter ces arbres.

Mais pour ne pas être vaines, ces tentatives de reverdir les zones dévastées de l’Amazonie doivent avoir lieu en même temps que l’arrêt de la destruction de la forêt tropicale. Pour l’instant, les choses n’ont pas l’air d’évoluer dans le bon sens. Les incendies frappant cette région du monde se multiplient et 2019 restera dans les mémoires comme une année noire, avec une hausse de 93% de la déforestation par rapport à la période de janvier à septembre de l’année précédente, selon l’Institut national de recherche spatiale (INPE).

Le professeur Thomas Lovejoy de l’Université George-Mason a déclaré en août à The Independent que la déforestation pourrait atteindre prochainement un «point de basculement» irréversible si le problème n’était pas pris en charge à sa juste mesure.

Si ce scénario venait à se confirmer, cet enseignant qui étudie l’Amazonie depuis 1965 pourrait ainsi assister, comme le reste du monde, à la mort progressive du poumon vert de notre planète.

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L’anguille électrique la plus puissante du monde découverte en Amazonie


Ce n’est pas le genre d’anguille qu’on aimerait rencontrer. Elle peut décharger 860 volts qui font d’elle l’anguille électrique, la plus, électrifiant. Ces bêtes on inspirer pour créer la première batterie électrique et a aussi aider pour le traitement des maladies neurodégénératives, ect.
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L’anguille électrique la plus puissante du monde découverte en Amazonie


L'anguille électrique la plus puissante du monde découverte en Amazonie© Mark Newman

Par Chloé Gurdjian

Des scientifiques viennent de découvrir deux nouvelles espèces d’anguilles dans le bassin amazonien. Et parmi elles se trouve l’anguille la plus électrique au monde.

La nature ne cessera jamais de nous étonner. Alors que les chercheurs explorent le monde depuis des siècles, ils viennent de découvrir deux nouvelles espèces animales. Il s’agit de deux anguilles, en Amazonie. Celle nommée Electrophorus voltai est capable de délivrer une décharge de 860 volts ! Soit bien plus que le précédent record de 650 volts. Avec sa découverte, le zoologiste C. David de Santana a mis en évidence qu’il n’existe donc pas une seule espèce d’anguilles dans le bassin amazonien, mais trois. En plus de Electrophorus electricus, déjà connue, il y a donc Electrophorus voltai et Electrophorus varii.

« Malgré tous les impacts humains sur la forêt amazonienne au cours des cinquante dernières années, nous pouvons toujours découvrir des poissons géants comme les deux nouvelles espèces d’anguilles électriques, a déclaré au Guardian le zoologiste. La recherche indique qu’une quantité énorme d’espèces attendent d’être découvertes dans la forêt amazonienne, dont beaucoup peuvent héberger des remèdes contre les maladies ou inspirer des innovations technologiques. »

Dans leur milieu naturel, les anguilles utilisent les chocs électriques pour diverses raisons, notamment pour chasser, se défendre ou se déplacer. Et elles sont une source d’inspiration pour les hommes.

« La physiologie de l’anguille électrique a inspiré au physicien Alessandro Volta la conception de la première batterie électrique dans les années 1800. L’anguille a aussi fourni une base pour le traitement des maladies neurodégénératives et a récemment permis le développement de batteries à hydrogel pouvant être utilisées pour alimenter des implants médicaux », explique le scientifique.

Considérée comme le « générateur de bioélectricité le plus puissant au monde », E. voltai aurait donc beaucoup à nous apporter.

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Plus de 500 tribus sont mena­cées par les incen­dies en Amazo­nie


La déforestation de la forêt Amazonienne serait un facteur important des feux de forêt qui sévit au Brésil. La tribu Mura a toujours voulu garder leur territoire intact, ils luttent contre la disparition de leur habitat. Ils ne sont pas les seuls, car la forêt la plus grande au monde, abrite environ 500 tribu, sans compter de 3 millions d’espèces animales et végétales. Oui, c’est un crime, un crime contre la planète et l’humanité.
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Plus de 500 tribus sont mena­cées par les incen­dies en Amazo­nie


par  Mathilda Caron


Plus d’un million de personnes, appar­te­nant à quelque 500 tribus de la forêt amazo­nienne, sont mena­cées par les incen­dies dévas­ta­teurs qui touchent la région depuis plusieurs semaines, rappor­tait News.com.au le 22 août.

Face aux flammes, les habi­tants de la zone se mobi­lisent. La semaine dernière, les membres de la tribu Mura ont peint leurs corps en orange et ont saisi des arcs et des massues pour s’en­fon­cer dans la forêt. Leur objec­tif était de lutter contre la défo­res­ta­tion qui entraîne la dispa­ri­tion de leur habi­tat, d’après l’agence Reuters.

Selon l’ONG Insti­tuto Socioam­bien­tal, plus de 18 000 membres de la tribu Mura sont mena­cés. Ils vivent dans l’État d’Ama­zo­nas, le plus vaste et le mieux préservé de la forêt amazo­nienne du Brésil, et sont témoins de la destruc­tion constante des forêts.

Et le 24 août, une autre tribu de l’État du Mato Grosso, au sud de l’Ama­zo­nie, a montré sa déter­mi­na­tion :

« Nous allons nous battre pour défendre la forêt, pour préser­ver notre mode de vie, pour produire sans détruire », expliquent ses membres.

Au total, la plus grande forêt du monde abrite envi­ron 500 tribus, quelque trois millions d’es­pèces animales et végé­tales, et produit envi­ron 20 % de l’oxy­gène dans le monde.

Ces incen­dies sont « une tragé­die, un crime contre la planète et l’hu­ma­nité », a confié l’éco­lo­giste Adriane Muel­bert au maga­zine Natio­nal Geogra­phic.


Sources : News.com.au / Reuters / Natio­nal Geogra­phic

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Amazonie: la déforestation serait la cause principale des incendies


Ce qui protège la forêt amazonienne des incendies est sa densité et son humidité. Hélas, la déforestation vient mettre une ombre sur cette nature unique. En ajoutant les changements climatiques et El Niño, l’Amazonie n’a vraiment pas besoin d’ajouter la déforestation au risque d’incendie.
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Amazonie: la déforestation serait la cause principale des incendies


Amazonie: la déforestation serait la cause principale des incendiesPhoto: Mario Tama/Getty ImagesDéforestation en Amazonie brésilienne

La hausse dramatique du nombre d’incendies en Amazonie brésilienne est avant tout causée par la progression de la déforestation, explique à l’AFP Paulo Moutinho, chercheur à l’Institut de recherche environnementale sur l’Amazonie (IPAM).

Le chercheur remet en cause l’argument du gouvernement du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, qui soutient que cette augmentation du nombre d’incendies est due à la sécheresse, habituelle en cette période de l’année.

Le ministre brésilien de l’Environnement, Ricardo Salles, a affirmé que la hausse du nombre d’incendies en Amazonie était due au «temps sec, au vent et à la chaleur». Qu’en est-il?

La déforestation explique la majorité des incendies. Historiquement, ils sont liés à l’avancée de la déforestation, conjuguée à des périodes de saison sèche intense. Mais en 2019 nous n’avons pas une sécheresse aussi sévère que lors des années précédentes, or il y une hausse substantielle des incendies. Tout indique donc que la saison sèche n’est pas du tout le facteur prédominant. S’il y avait eu plus de sécheresse, cela aurait été bien pire.

Qu’est-ce qui provoque ces incendies?

Les incendies ont toujours eu une origine humaine, le feu est utilisé pour nettoyer des zones déjà déforestées, pour ouvrir des pistes ou pour préparer des terres à la culture. Le manque de prévention fait que ces incendies se propagent à des zones plus sèches qui n’étaient pas destinées à être brûlées. Très souvent, la pluie les éteint ou ils finissent pas rencontrer des barrières de végétation plus denses et plus humides et s’éteignent d’eux-mêmes.

Combien de temps faut-il pour récupérer ces zones?

En Amazonie, les flammes agissent au niveau du sol, mais cela suffit pour provoquer la mort d’arbres très grands, jusqu’à deux ans après l’incendie. Les arbres morts perdent leurs feuilles, cela entraîne une pénétration plus grande du soleil dans la forêt, la végétation devient alors plus inflammable. S’il n’y a pas de nouveaux incendies, plusieurs décennies seront nécessaires pour retrouver la même densité (de végétation). Dans certaines régions, les zones dévastées sont envahies par d’autres espèces typiques de zones plus sèches, comme celles du Cerrado (la savane brésilienne).

Quelles sont les conséquences de ces incendies?

Il y a d’abord une perte de la biodiversité et de la fonction de la forêt, celle de fournir des nuages à l’atmosphère pour produire la pluie. En outre, les fumées au-dessus des villes amazoniennes ont de graves conséquences sur la santé, provoque de sérieux problèmes respiratoires. Et cela se traduit en dommages économiques.

La politique du président Jair Bolsonaro encourage-t-elle les incendies?

Je n’ai pas de données pour répondre à cela (…) Je peux dire que le problème est très sérieux et que le gouvernement devrait lancer immédiatement une campagne de contrôle et de prévention de la déforestation. Cette progression doit cesser. L’occupation illégale de terres publiques signifie un vol pour tous les Brésiliens. Dans la majorité des cas, la déforestation permet de spéculer en revendant les terres plus tard.

À combien est estimée la déforestation de l’Amazonie aujourd’hui?

La zone du bassin amazonien (au Brésil et dans d’autres pays) qui a été déforestée est équivalente à la surface du territoire français. Cela représente environ 20%. Il en reste encore 80%. Nous avons encore le temps d’éviter un effondrement fonctionnel de la forêt, mais la solution doit être rapide. Il faut prendre en compte également le fait que la dégradation de la forêt ne vient pas seulement de la déforestation. Il y aussi les effets du changement climatique, des phénomènes toujours plus fréquents tels que El Niño, qui apportent beaucoup de sécheresse en Amazonie.

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des serpents les plus dangereux de la planète


Beaucoup de personnes ont peur des serpents même s’ils en ont jamais vu. C’est inné ! Quoi que ce n’est pas tout les serpents qui sont dangereux. Par contre d’autres, il faut se méfier de certains qui sont très dangereux et donc à éviter.
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Top 10 des serpents les plus dangereux de la planète

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Il existe plus de 600 espèces de serpents venimeux dans le monde. Mais seules 200 d’entre elles peuvent être dangereuses pour l’Homme.

Petit tour d’horizon des serpents les plus meurtriers !

1. Le mamba noir

Considéré comme le serpent le plus rapide du monde, le mamba noir (Dendroaspis polylepis) peut se déplacer jusqu’à 23 km/h. Il peut mesurer jusqu’à 4 mètres de long et tire son nom de la coloration noire de l’intérieur de sa bouche.

Il s’agit d’un reptile très dangereux. Et pour cause, sa morsure peut tuer un être humain en moins de 2 heures… Heureusement, il ne se rencontre que dans certaines parties de l’Afrique.

mamba noir

Crédits : iStock

2. Le Taïpan du désert

Le venin du Taïpan du désert (Oxyuranus microlepidotus) est 25 fois plus toxique que celui du cobra. Une seule morsure pourrait ainsi tuer pas moins de 100 personnes.

En effet, son venin a pour effet de paralyser les muscles, ralentir la respiration et provoquer des hémorragies dans les vaisseaux sanguins. Cette espèce n’est toutefois visible à l’état sauvage qu’en Australie.

taïpan du désertCrédits : XLerate/Wikimedia Commons

3. La vipère heurtante

Avec ses 2 mètres de long, la vipère heurtante n’est pas le plus grand serpent qui soit. Mais il a une autre particularité : c’est le serpent à l’attaque la plus rapide au monde. Toutefois, il prend toujours la peine de prévenir de son attaque en émettant des sifflements bien reconnaissables.

Toujours est-il que sa morsure peut occasionner des hémorragies internes ainsi que des nécroses. Mais si vous ne vivez pas en Afrique ou en Arabie, vous n’avez aucune chance de le rencontrer.

vipère heurtanteCrédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

4. Le Fer de lance commun

Le Fer de lance commun (Bothrops atrox) vit dans les forêts tropicales d’Amérique du Sud, et notamment en Guyane. Mesurant environ 2 mètres, il est aussi à l’aise dans les arbres que sur terre ou même dans l’eau.

Ce qui rend ce serpent dangereux, c’est sa morsure extrêmement venimeuse mais également sa capacité à se camoufler, notamment dans les plantations de café et de banane

fer de lanceCrédits : Bernard DUPONT/Flickr

5. Le cobra indien

Aussi appelé serpent à lunettes, le cobra indien (Naja naja) se rencontre principalement en Asie du Sud, et notamment en Inde.

Mesurant environ 2 mètres, il possède l’un des venins les plus puissants au monde pour la simple et bonne raison qu’il peut en injecter beaucoup en une seule morsure. L’effet paralysant est alors immédiat, entraînant la mort par arrêt cardiaque ou par arrêt respiratoire.

cobra indienCrédits : Gopal Venkatesan/Wikimedia Commons

6. L’anaconda géant

L’anaconda géant n’est pas venimeux. En revanche, il a pour caractéristique d’être constricteur, c’est-à-dire qu’il s’enroule autour de ses proies pour les étouffer.

Avec ses 5 à 9 mètres de long et ses 130 kilos, l’anaconda peut faire peur. Mais en réalité, ses attaques sur l’être humain sont rares. D’autant plus qu’il vit la plupart du temps dans l’eau, plus particulièrement dans le bassin amazonien.

serpent anacondaCrédits : Jeff Kubina/Flickr

7. L’Échide carénée

L’Échide carénée (Echis carinatus) est un tout petit serpent vivant en Asie. Difficilement détectable de par sa petite taille, il a la réputation d’être très rapide. Et sa morsure est particulièrement venimeuse, son taux de mortalité pouvant atteindre les 90%.

Lors d’une morsure, la personne atteinte a tendance à saigner des oreilles, du nez ou encore des yeux et à déclencher des complications rénales. Sympathique, non ?

serpent echis carinatusCrédits : Dr. Raju Kasambe/Wikimedia Commons

8. Le Bongare indien

Le Bongare indien (Bungarus caeruleus) est considéré comme le serpent le plus dangereux d’Inde. Et pour cause, son puissant venin paralysant a tendance à attaque le système nerveux. Et le problème, c’est que les anti venins sont inefficaces…

Heureusement, sa morsure est indolore. C’est déjà ça !

bongare indienCrédits : Jayendra Chiplunkar/Wikimedia Commons

9. La vipère de Russel

La vipère de Russell (Daboia russelii) se rencontre en Asie du Sud et est réputée pour son tempérament quelque peu agressif. En effet, ce serpent d’environ 1,20 mètre a tendance à mordre tout ce qui passe. Or, sa morsure est particulièrement dangereuse et très douloureuse.

Ce serpent tuerait pas moins de 25 000 personnes par an. Autant dire qu’il vaut mieux s’en méfier…

vipère de russellCrédits : AChawla/Wikimedia Commons

10. Le cobra royal

Le cobra royal (Ophiophagus hannah) est considéré comme le plus long serpent venimeux du monde. En effet, il peut mesurer jusqu’à 5,5 mètres de long, pour un poids d’environ 10 kilos.

Présent en Asie du Sud, ce serpent est capable d’injecter une quantité impressionnante de venin à chaque morsure, ce qui le rend particulièrement dangereux. La mort intervient rapidement, le plus souvent par asphyxie.

cobra royalCrédits : antriksh/Pixabay

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Le cocon de ce papillon tropi­cal ressemble à un bijou en or


Le Mechanitis polymnia est un beau papillon, mais son cocon est extraordinaire. Longtemps, des gens ont cru que la chrysalide contenait des particules d’or, jusqu’à les savants puissent expliquer ce phénomène qui sert d’une très bonne protection contre les prédateurs.
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Le cocon de ce papillon tropi­cal ressemble à un bijou en or

Crédits : Biolo­gia Vida/DR

par  Suzanne Jovet

Mecha­ni­tis polym­nia est un papillon d’Amé­rique latine, parti­cu­liè­re­ment présent du Mexique aux forêts tropi­cales amazo­niennes. Mais ce papillon d’as­pect ordi­naire fascine les scien­ti­fiques pour sa chry­sa­lide dorée. Long­temps soupçonné de conte­nir de véri­tables parti­cules d’or, les cher­cheurs ont réta­bli la vérité. L’as­pect doré du cocon consti­tue en réalité une arme de défense essen­tielle à sa survie.

L’as­pect métal­lique du cocon de Mecha­ni­tis polym­nia provient de la chitine, une molé­cule égale­ment présente dans les écailles de pois­sons ou les cara­paces de certains insectes. C’est un méca­nisme de défense natu­rel très effi­cace, car les chry­sa­lides de papillons consti­tuent un repas facile riche en protéines. Mais dans la forêt tropi­cale, les préda­teurs confondent ainsi la chry­sa­lide métal­li­sée avec une goutte d’eau.

 « Ils sont en réalité très diffi­ciles à voir dans la nature », explique le Dr Keith Will­mott, expert en papillons tropi­caux.

De plus, les oiseaux, reptiles et arai­gnées géantes ont tendance à fuir lorsqu’ils détectent le reflet de leur propre mouve­ment sur la chry­sa­lide ultra-brillante, le prenant pour une menace immi­nente. C’est bien la preuve qu’ils sont flip­pants.

Source : Biolo­gia Vida

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne


En forêt amazonienne cache toutes sortes d’animaux, certains sont très dangereux, ils peuvent être gros, mais aussi très petits. Bref, ce n’est pas des animaux qu’on aimerait se retrouver nez à nez avec eux. Cependant, il est malheureux que certaines espèces sont en voie de disparition.
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Top 10 des animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

 

Les animaux les plus dangereux de la forêt amazonienne

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Avec sa superficie de 2,12 millions de kilomètres carrés, la forêt amazonienne est la plus grande forêt tropicale du monde. Elle abrite une flore et une faune exceptionnelle, avec des milliers d’espèces animales différentes, sans compter les millions d’insectes. Mais parmi tous ces animaux (dont la plupart sont en voie de disparition) se trouvent des créatures pour le moins dangereuses que vous n’aimeriez certainement pas rencontrer au détour d’un chemin…

1. L’anaconda géant

Aussi appelée anaconda vert, l’anaconda géant est le plus grand serpent du monde. Et pour cause, il peut mesurer jusqu’à 9 mètres de long et peser plus de 250 kg. Il vit exclusivement en Amérique du Sud, notamment dans les marais, les ruisseaux et les rivières de la forêt amazonienne. Non venimeux, ce serpent tue sa proie par constriction (en l’étouffant) puis l’avale entièrement. Ainsi, il se nourrit principalement de cerfs, de caïmans, de tortues et même de jaguars.

serpent anaconda

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Crédits : Jeff Kubina/Flickr

2. La grenouille venimeuse

Cette grenouille aux couleurs vives est considérée comme l’un des animaux les plus dangereux au monde. La raison ? Une seule dose de son venin secrété par sa peau pourrait tuer 10 humains adultes en quelques minutes !

grenouille poison

Crédits : GrrlScientist/Flickr

3. Le caïman noir

Avec une taille qui peut aller jusqu’à 6 mètres de long, le caïman noir a de quoi impressionner. Il est même considéré comme l’un des crocodiles les plus grands du monde. Avec sa mâchoire puissante, il attrape sa proie et la noie puis l’avale en entier.

caiman noir

Crédits : Bernard DUPONT/Flickr

4. Le jaguar

Le jaguar est le félin à la morsure la plus puissante du monde. En effet, cette dernière est bien plus efficace pour tuer les proies que celle du tigre ou même du lion. Et même s’il ressemble au léopard, le jaguar est plus grand et plus lourd.

jaguar

Crédits : iStock

5. L’anguille électrique

L’anguille électrique n’est pas vraiment une anguille mais plutôt un poisson qui ressemble à une anguille. Que ce soit pour chasser ou pour se défendre, cet animal a une technique imparable : libérer de l’électricité pour paralyser sa proie. Ensuite, il ne lui suffit plus qu’à attendre qu’elle se noie pour la dévorer

anguille électrique

Crédits : Doug Letterman/Flickr

6. Le piranha

Réputé pour son agressivité, le piranha n’est en fait pas aussi dangereux qu’il n’y paraît pour l’être humain. En effet, même s’il est capable de tuer de petits animaux sans aucun problème, les humains sont des proies bien trop grosses pour lui. Cependant, il est tout de même capable de leur infliger des blessures profondes grâce à ses dents tranchantes et à sa mâchoire particulièrement puissante.

piranha

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Crédits : Lilla Frerichs/Public Domain Pictures

7. Le requin-taureau

Le requin-taureau, qui dépasse rarement les 3 mètres de long, est l’un des requins les plus agressifs qui soient. Il vit dans les eaux boueuses et peu profondes de la rivière Amazone et n’hésite pas à s’attaquer aux humains. Et chose rare : il est capable de passer de l’eau salée à l’eau douce et inversement !

requin taureau

Crédits : Jeff Kubina/Wikipédia

8. La fourmi balle de fusil

La fourmi balle de fusil fait partie des insectes à la piqûre la plus douloureuse au monde. En effet, sa piqûre serait aussi douloureuse qu’un coup de fusil. De plus, l’effet de son venin peut agir pendant plus de 24 heures. Ainsi, cette fourmi de grande taille est tout à fait capable de tuer de petits animaux, comme un écureuil par exemple.

fourmi balle

Crédits : emills1/Flickr

9. L’araignée-banane

L’araignée-banane doit son nom à son habitude de se cacher dans les régimes de bananes. Mais elle se retrouve également dans les habitations, donnant lieu à de nombreux cas de morsures chaque année. En effet, dotée d’un puissant venin, cette araignée peut provoquer une paralysie et, plus rarement, la mort

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araignée banane

Crédits : Bernard DUPONT/Wikimedia Commons

10. Le mille-pattes géant à pattes jaunes

Considéré comme la plus grande scolopendre au monde, ce mille-pattes carnivore peut mesurer jusqu’à 40 centimètres de long. Animal très agressif et venimeux, sa morsure n’est cependant pas mortelle pour l’être humain, hormis chez les petits enfants, même si elle est très douloureuse. Il se nourrit de petits animaux, notamment d’araignées, de lézards, de rongeurs, de petits serpents et même de petits oiseaux.

mille pattes

Crédits : Tod Baker/Flickr

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Ces scien­ti­fiques ont vu une taren­tule géante traî­ner le corps d’un opos­sum pour le dévo­rer


Une tarentule grande comme une assiette dans la forêt amazonienne s’alimente d’insectes, de lézards et de grenouilles. Jamais, les biologistes n’avaient vu une tarentule attaquer un jeune opossum dans le but de le manger
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Ces scien­ti­fiques ont vu une taren­tule géante traî­ner le corps d’un opos­sum pour le dévo­rer

 

Crédits : Univer­sity of Michi­gan/YouTube

par  Laura Boudoux

 

Au beau milieu de la forêt amazo­nienne, une équipe de biolo­gistes s’est inté­res­sée au régime alimen­taire des taren­tules et en ont surpris une dévo­rer un opos­sum entier.

Alors qu’elles se nour­rissent habi­tuel­le­ment d’in­sectes, ou encore de lézards et autres grenouilles, celle qu’ont observé les cher­cheurs de l’uni­ver­sité du Michi­gan a tué un jeune mammi­fère, plus gros qu’elle, avant de traî­ner son cadavre jusqu’à sa tanière pour pouvoir le dévo­rer en paix. Ils précisent qu’elle mesure à peu près la taille d’une « grande assiette », pattes comprises.

Le 28 février 2019, Daniel Robosky a fait part de ses décou­vertes à grand renfort de photos, et même d’une vidéo mettant en scène la terrible taren­tule en train de festoyer.

« Voilà une cause de morta­lité sous-esti­mée chez les verté­brés », assure le cher­cheur en évoquant la préda­trice, assu­rant qu’un « nombre surpre­nant de petits verté­brés d’Ama­zo­nie sont proba­ble­ment morts à cause des arthro­podes tels que les grandes arai­gnées et les mille-pattes ».

Il recon­naît que la scène de l’opos­sum l’a laissé sans voix, lui qui était plutôt habi­tué à obser­ver les taren­tules se nour­rir d’am­phi­biens.

« Nous avons examiné la vidéo, et nous avons vu une grande taren­tule, au-dessus d’un opos­sum, qui se débat­tait encore faible­ment. Après envi­ron 30 secondes, il a cessé de donner des coups de patte », raconte le biolo­giste Michael Grund­ler.

« Nous étions mi-exta­tiques mi-choqués, on n’ar­ri­vait pas à croire ce que nous voyions », se souvient-il. « Nous savions que nous assis­tions à quelque chose de spécial, mais nous ne savions pas que c’était la première obser­va­tion du genre jamais réali­sée », affirme-t-il.

Source : Michi­gan News (Univer­sité du Michi­gan)

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