Une ado a vécu une «expérience incroyable» après avoir tué une fillette


Combien d’entre nous ont eu une enfance difficile et n’ont été jusqu’au meurtre pour savoir ce que l’on pouvait ressentir !!! Il est clair que cette adolescente avait un gros problème. Comment peut-on aller jusqu’a tuer de façon gratuite ? Même si elle avait 15 ans a l’époque elle savait faire la différence entre le bien et le mal vue qu’elle avait tenter de cacher ses notes dans son journal
Nuage

 

Une ado a vécu une «expérience incroyable» après avoir tué une fillette

Une ado a vécu une «expérience incroyable» après avoir tué une fillette

Alyssa Bustamante en cour en décembre 2009, alors qu’elle avait 15 ans.

Photo: AP

David Lieb
Associated Press
Jefferson City

Une adolescente américaine qui a admis avoir poignardé, étranglé et tranché la gorge d’une jeune voisine a écrit dans son journal personnel, le soir du meurtre, que l’expérience avait été «incroyable» et «plutôt plaisante» – avant de se diriger vers une église en riant.

Les mots qu’a écrits Alyssa Bustamante ont été lus en salle de cour lundi, dans le cadre d’une audience de détermination de la peine qui vise à décider si la jeune femme devrait être condamnée à la prison à perpétuité ou à une peine inférieure pour le meurtre d’Elizabeth Olten, une fillette de 9 ans, survenu au Missouri en octobre 2009.

Bustamante, maintenant âgée de 18 ans, est demeurée silencieuse pendant que des agents de la paix, des avocats et des experts en médecine légale ont lu à voix haute les pensées qui lui ont traversé l’esprit alors qu’elle était âgée de 15 ans.

Un graphoanalyste a décrit comment il est parvenu à lire à travers l’encre bleue que Bustamante a utilisée pour tenter de masquer le texte original inscrit dans son journal personnel le soir du meurtre de la jeune Elizabeth.

Le texte annonçait que Bustamante venait tout juste de tuer quelqu’un, qu’elle avait étranglé sa victime, tranché sa gorge et qu’elle l’avait poignardée. L’adolescente précise qu’elle ne savait trop ce qu’elle ressentait à ce moment particulier, mais ajoute que l’expérience fut «incroyable» et qu’une fois le sentiment de regret passé, ce fut «plutôt plaisant». Si disant nerveuse et tremblante, elle note qu’elle doit maintenant se rendre à l’église, tout en ajoutant les lettres «LOL» qui signifient, en anglais, rire tout haut (laugh out loud).

Ces passages du journal personnel de l’accusée ont été présentés peu de temps après que la mère d’Elizabeth, et d’autres parents de la victime, eurent demandé au juge du comté de Cole d’imposer la peine maximale prévue à la loi. Bustamante a plaidé coupable à une accusation de meurtre au second degré et d’acte criminel armé, le mois dernier, et fait face, au pire, à la prison à vie. La peine la moins longue qu’elle pourrait se voir infliger est de dix ans.

Patty Preiss, la mère de la victime, a raconté qu’Elizabeth était une «heureuse petite fille» lorsqu’elle a quitté la résidence familiale après avoir supplié d’aller jouer dehors avec la soeur cadette de Bustamante.

«Nous avons tant perdu aux mains de ce monstre diabolique», a laissé tomber Mme Preiss, en larmes.

Des agents du FBI avaient découvert le journal dans la chambre de Bustamante lors de recherches menées à l’intérieur de la demeure familiale, un jour après que la disparition d’Elizabeth eut été rapportée et pendant que des centaines de bénévoles fouillaient la région rurale.

Le corps d’Elizabeth a été découvert sous des feuilles dans un tombeau, dans un secteur boisé situé derrière la maison des Bustamante.

Lors d’un interrogatoire mené en 2009, un policier de l’État du Missouri a confié que l’adolescente lui avait dit qu’elle «voulait savoir ce que ça faisait» de tuer quelqu’un.

Lundi, les avocats de la défense ont souligné l’enfance difficile de Bustamante et fait référence à de nombreux exemple, dans son journal personnel, où elle décrit ses pensées suicidaires et ses désirs de se blesser et de blesser les autres.

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Violence chez les sans-abri Les préjugés encore présents


Des coups de feux ont été tiré dans le métro contre un itinérant ayant des problèmes psychiatrique alors qu’il avait un exacto .. Pourquoi que la police n’a pas pris un taser ? Les itinérants vivent dans des conditions difficiles et parmi eux comme dans toutes couches sociales il y a aussi des personnes qui ont des problèmes de comportement. Malheureusement quand tu a un problème mentale et qu’en plus tu es un sans-abri,  il risque d’avoir des altercations avec la police et cela ne fini pas toujours bien.
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Violence chez les sans-abri

Les préjugés encore présents

Les préjugés encore présents

Crédit photo : Archives Agence QMI

Par Emmanuel Delacour | Agence QMI

C’est avec un lot de préjugés et d’incompréhension que les itinérants de Montréal doivent vivre au quotidien, sans compter des relations difficiles avec les agents de police.

Le décès d’un sans-abri dans le métro de Montréal vendredi à la suite d’une altercation avec deux agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a rouvert le débat sur les méthodes d’intervention des policiers auprès des itinérants.

Selon plusieurs itinérants, les actes d’agression entre les sans-abris et les agents de la paix sont des événements isolés.

«Personnellement, je n’ai jamais été victime de violence physique de la part d’un policier et je ne connais personne dans la rue qui a déjà attaqué un policier», a affirmé Jean-Pierre, un homme dans la quarantaine qui a vécu dans les rues de Montréal il y a six ans.

Celui-ci est de retour à l’Accueil Bonneau pour en aider d’autres qui, aujourd’hui, vivent la même réalité. Parmi eux, Pierre, qui ne tient pas de rancune aux agents du SPVM, malgré quelques entretiens musclés avec ceux-ci.

«Parfois les policiers font preuve d’un peu de rudesse, surtout les jeunes qui manquent d’expérience, a-t-il expliqué. Les policiers sont soumis à un protocole, ils sont des pions dans l’histoire.»

La mort d’un sans-abri tué par des policiers vendredi passé suscite la même réaction chez tous les itinérants interrogés : ils y voient un cas hors du commun, qui entache la réputation des sans-abris.

«Des malades il y en a partout, ce ne sont pas seulement les itinérants qui sont dangereux, a expliqué Pierre. Les policiers doivent intervenir auprès de personnes avec des maladies mentales et des fois ça tourne mal, mais il ne faut pas croire qu’ils nous tirent dessus à tout bout de champ.»

«Itinérant ou pas, si tu attaques un policier avec un couteau, tu as certainement des problèmes dans la tête et tu mets ta vie en danger», a dit Michel, un autre sans-abri.

Celui-ci aimerait bien toutefois que les agents du SPVM soient un peu plus tolérants auprès des itinérants lorsqu’ils s’abritent dans le métro durant l’hiver et qu’ils ne les expulsent pas systématiquement.

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