Inde: une adolescente violée et brûlée vive, 14 arrestations


100 pompes et une amende de 50 000 roupies qui équivaut à 750 $,  c’est la valeur du crime horrible d’une adolescente de 16 ans de la part du conseil des anciens. En plus les accusés choqués par cette sentence, ils ont battu les parents et brûlé vif la jeune fille. Et on ose d’appeler cela comme un incident horrible !!! Non, c’est un crime odieux.
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Inde: une adolescente violée et brûlée vive, 14 arrestations

 

Le drame intervient à la suite de toute... (Photo Abhishek N. Chinnappa, archives Reuters)

Le drame intervient à la suite de toute une série d’affaires de violences sexuelles en Inde, en dépit du renforcement des dispositions légales.

PHOTO ABHISHEK N. CHINNAPPA, ARCHIVES REUTERS

 

Agence France-Presse
New Delhi

Quatorze personnes ont été arrêtées après le viol dans l’est de l’Inde d’une adolescente qui a ensuite été brûlée vive, a-t-on annoncé samedi de source policière, dernière affaire en date dans une série d’agressions sexuelles contre les femmes dans le pays.

La jeune fille, âgée de 16 ans, a été enlevée de chez elle jeudi alors que sa famille assistait à un mariage et violée dans une forêt de l’État de Jharkhand, a précisé la police locale.

La famille s’est alors plainte auprès du conseil des anciens du village qui a ordonné vendredi à deux accusés d’effectuer… 100 pompes et de verser une amende de 50 000 roupies (750 $).

Furieux devant cette sentence, les accusés ont roué de coups les parents de la jeune fille.

«Ils se sont précipités vers la demeure [de la victime] et l’ont brûlée vive avec l’aide de complices», a expliqué à l’AFP un responsable de la police locale, Ashok Ram.

Les conseils d’anciens règlent souvent des différends, contournant le système judiciaire en Inde, long et coûteux. Même si leurs décisions n’ont pas de force juridique, leur influence sur les communautés rurales est considérable.

Ashok Ram a précisé que 14 personnes avaient été arrêtées dans cette affaire, mais que le principal suspect était toujours en fuite.

Le responsable du gouvernement de l’État du Jharkhand, Raghubar Das, a exprimé son émotion devant cet «incident horrible» et a réclamé des mesures les plus strictes contre les coupables.

Ce drame intervient à la suite de toute une série d’affaires de violences sexuelles en Inde, en dépit du renforcement des dispositions légales.

Selon l’agence Press Trust of India, un homme de 55 ans s’est suicidé vendredi. Il était accusé d’avoir violé une enfant de neuf ans dans l’État d’Andhra Pradesh, dans le sud du pays.

Le viol collectif et le meurtre d’une enfant de huit ans le mois dernier dans l’État du Jammu et Cachemire ont suscité de nombreuses manifestations de protestations.

Quelque 40 000 viols ont été signalés en Inde en 2016, mais leur nombre serait bien plus élevé en raison du silence entourant ces crimes dans un pays qui reste très patriarcal.

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Comment des chercheurs ont reconstitué le visage d’une adolescente grecque morte il y a 9 000 ans


La technologie est de plus en plus précise pour la reconstitution de visage. Avgi est une femme qui a existé il y a plus de 9 milles ans en Grèce. Avec une panoplie de spécialistes en divers domaines et plus l’imprimante 3 D, on voit les traits de cette femme plus masculine qu’aujourd’hui, et une autre reconstituions de 430 avant Jésus-Christ, aussi de Grèce, on voit que les traits d’une jeune fille se sont adoucis
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Comment des chercheurs ont reconstitué le visage d’une adolescente grecque morte il y a 9 000 ans

 

Avgi. Oscar Nilsson.

Avgi. Oscar Nilsson.

Repéré par Fabien Jannic-Cherbonnel

Repéré sur National Geographic

Son visage était plus dur et masculin que ceux de l’humanité moderne.

 

Elle s’appelle Avgi et la dernière fois que sa tête a été aperçue, elle vivait en Grèce il y a près de 9 000 ans. Et sans les technologies modernes n’ont n’aurions probablement jamais été capables de savoir à quoi ressemblait cette adolescente du Mésolithique.

Le visage reconstitué de cette jeune femme a été dévoilé cette semaine par des chercheurs de l’Université d’Athènes au Musée de l’Acropole. Celle-ci était en vie aux environs de 7 000 avant Jésus-Christ, alors que la région passait d’une société de chasseurs et à une société de cultivateurs. C’est d’ailleurs de là que vient son prénom, explique

National Geographic : Avgi signifie aube en français, un nom choisi pour symboliser la naissance de la civilisation moderne.

La reconstruction du visage d’Avgi a été un processus long et complexe, mené par une équipe comportant un endocrinologue, un orthopédiste, un neurologue, un pathologiste, un radiologiste ainsi qu’un archéologiste suédois. L’équipe s’est servi du crâne de la jeune fille, retrouvé en 1993, pour ensuite en imprimer une copie parfaite grâce à une imprimante 3D. Vient ensuite la reconstruction des muscles, un à un. La couleur de la peau et des cheveux, impossible à deviner, provient des traits communs connus de la population de l’époque.

Le résultat final est impressionnant et Oscar Nilsson, un archéologue suédois qui a participé à la reconstruction, explique que la tête d’Avgi est intéressante à bien des égards :

«Elle possède un crâne et des caractéristiques uniques, pas spécialement féminines. J’ai participé à de nombreuses reconstructions de visages datant de l’âge de pierre et je pense que certaines caractéristiques physiques ont disparu avec le temps. En général, aujourd’hui, les hommes comme les femmes sont moins masculines.»

Ce n’est pas la première fois que l’équipe de Manolis Papagrigorakis recrée le visage d’une personne disparue il y a des millénaires. En 2010, les chercheurs présentaient le visage de Myrtis, une fillette athénienne de 11 ans qui vivait aux alentours de 430 avant Jésus-Christ. En regardant les images, force est de constater que les traits se sont considérablement adoucis comparés à Avgi.

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L’avancée des techniques de reconstruction permet de se faire une idée plus précise de l’apparence des humains qui peuplaient la Terre il y a des millénaires. En décembre dernier, une équipe de chercheurs présentait notamment le visage d’une ancienne reine péruvienne.

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L’histoire macabre d’un meurtre "exigé" par une créature virtuelle


Il y a des gens qui ne devraient jamais toucher à internet surtout s’ils ne font pas la différence entre le réel et la fiction.
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L’histoire macabre d’un meurtre « exigé » par une créature virtuelle

 

Anissa Weier © ap.

Le procès d’une des deux adolescentes américaines accusées d’avoir poignardé une camarade en 2014 pour satisfaire une créature maléfique née sur internet, s’est ouvert lundi devant un tribunal de Waukesha (Wisconsin), dans le nord-est des Etats-Unis.

Anissa Weier et Morgan Geyser, âgées de 12 ans à l’époque, avaient poignardé à 19 reprises Payton Leutner dans un bois de la ville de Waukesha, située à environ 40 km de Milwaukee. La victime, également âgée de 12 ans, avait été laissée pour morte avant d’être découverte par un cycliste qui avait appelé les secours.

Satisfaire le « Slenderman »

Les deux pré-adolescentes fréquentaient le site internet Creepypasta qui recense des histoires d’épouvante. Selon l’accusation, elles avaient voulu tuer pour satisfaire un personnage virtuel appelé « Slenderman », kidnappeur d’enfants selon sa légende, craignant qu’il s’en prenne à leurs familles si elles ne passaient pas à l’acte.

Aliénation mentale?

Les accusées se sont renvoyées la responsabilité de l’agression et ont plaidé l’aliénation mentale. Anissa Weier est accusée de tentative d’homicide volontaire et encourt 10 ans de réclusion. Son procès, qui doit durer jusqu’au 21 septembre, doit déterminer si elle était responsable de ses actes et si elle doit purger sa peine dans un hôpital ou dans une prison. Des experts-psychiatres ont estimé qu’Anissa Weier souffrait de dépression et de trouble délirant qui l’empêchaient de différencier la réalité de la fiction, selon les médias.

Autre inculpée

Morgan Geyser, qui souffre de schizophrénie, doit être jugée séparément avant la fin de l’année. Le fait-divers avait inspiré un documentaire, « Attention au Slenderman »,

diffusé en 2016 sur la chaîne HBO.

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Certains YouTubeurs abusent de leurs fans, mais ils sont très rarement inquiétés


Des vedettes de You Tube profitent des adolescentes en les manipulant. C’est quand même terrible ce qu’une fan peut faire pour satisfaire son idole
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Certains YouTubeurs abusent de leurs fans, mais ils sont très rarement inquiétés

 

Capture écran d'une vidéo d'Austin Jones, via YouTube

Capture écran d’une vidéo d’Austin Jones, via YouTube

Repéré par Vincent Manilève

Repéré sur Newstatesman, Buzzfeed

Face à leur vidéaste préféré, certaines jeunes fans ont parfois du mal à refuser d’envoyer des vidéos ou des images d’elles nues.

Fin juin, le chanteur et YouTubeur Austin Jones, 24 ans, qui comptait 500.000 abonnés environ, était arrêté par la police pour avoir demandé des images et vidéos pornographiques à plusieurs fans adolescentes.

Par exemple, notait à l’époque Buzzfeed, «Jones a dit à une fille qu’elle était “chanceuse” de lui parler et qu’elle devrait lui envoyer des images d’elle nue pour lui “prouver” qu’elle est sa plus grande fan.»

Il attend désormais son procès.

Le site Newstatesman raconte aujourd’hui qu’Austin Jones n’est malheureusement pas un cas isolé, loin de là. Il y a deux ans, une internaute a accusé le YouTubeur Tom Milsom de l’avoir forcé à avoir des relations sexuelles avec lui. Elle avait 15 ans et lui 21. Tom Milsom n’a jamais répondu à ces accusations. Un autre vidéaste du nom de Durte Dom a récemment été accusé d’avoir filmé durant une soirée une jeune fille de 15 ans de dos en train de danser, sans son accord. Sur Twitter, il s’est défendu en répondu simplement:

«La soirée était faite pour les gens de plus de 18 ans, la fille s’est incrustée. Ne faites pas l’erreur.»

Il a également promis de faire signer un accord aux personnes qu’il souhaite filmer.

La journaliste Amelia Tait rappelle que les YouTubeurs entretiennent grâce à internet une vraie proximité avec leurs fans, encore plus que les stars du rock ou du cinéma, et dévoilent souvent une part de leur intimité. Ces derniers se sentent facilement proches de leur idole, avec parfois une certaines naïveté due à leur âge.

«Je pense que je l’ai mis sur un piédestal, explique Neesy, jeune abonnée de Jones qui affirme avoir subi des abus émotionnels, ce qui le met dans une position favorable pour me manipuler et obtenir ce qu’il veut. J’étais juste si excitée de pouvoir parler à quelqu’un que je suis depuis longtemps.»

Lorsqu’elle refusait de se filmer pour lui, Jones devenait froid, entrant ainsi dans un jeu sournois de manipulation perverse.

Réduites au silence

La liste de ce type d’affaire est très longue, et dans l’immense majorité des cas, les vidéastes n’ont pas été inquiétés par la justice. Mike Lombardo est le seul à avoir été condamné –il a écopé de cinq ans de prison pour avoir demandé des images explicites à des fans mineures.

«Il y a une multitude de raisons à cela, écrit Amelia Tait. Certaines victimes ont trop peur de porter plainte, craignent des représailles de la part des fans du YouTubeur. De nombreuses victimes ne voient pas la gravité des faits avant un certain âge. D’autres sont manipulées pour être réduites au silence. Les parents ne comprennent pas le milieu des fans sur YouTube, ni ce qui se passe dans la vie de leurs enfants. Certaines victimes ne savent simplement pas vers quelle autorité se tourner.»

D’ailleurs, la plupart des victimes se tournent d’abord vers les réseaux sociaux plutôt que la police, s’exposant ainsi à la vindicte des fans les plus indéfectibles.

Et si certains YouTubeurs américains comme Hank Green ou Jack and Dean ont fait des vidéos pour expliquer le consentement et faire de la pédagogie à propos de ce type de situation, beaucoup de médias ont encore du mal à prendre le sujet au sérieux. Quand le Mail Online a parlé de l’arrestation de Lombardo, il l’a décrit comme une «star»…. avec des guillemets.

L’article de Newstatesman est à retrouver dans son intégralité ici.

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Maman à 15 ans, un phénomène qui inquiète en Roumanie


Comment demander aux parents de faire plus attention à leurs filles quand la pauvreté sévit ? Il existe des moyens de contraception dans ces pays, mais l’éducation sexuelle est tout aussi importante à mon avis.
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Maman à 15 ans, un phénomène qui inquiète en Roumanie

 

Lorena, 15 ans, tient dans ses bras sa... (PHOTO AFP)

Lorena, 15 ans, tient dans ses bras sa petite fille. L’adolescente vit dans un immeuble abandonné, avec son conjoint et sept autres familles dans un village près de Botosani, dans le nord-est de la Roumanie.

PHOTO AFP

MIHAELA RODINA
Agence France-Presse
Botosani

«Dieu m’a donné une fillette merveilleuse», se réjouit Lorena, 15 ans. «Mais la vie est difficile, car je suis moi-même une enfant».

La Roumanie compte le plus grand nombre de mamans âgées de 12 à 15 ans en Europe.

«Je n’ai pas souhaité (cette grossesse), j’aurais voulu que cela arrive plus tard», confie la jeune fille rencontrée à Botosani, en berçant son bébé.

Elle vit avec son petit ami et sept autres familles dans un bâtiment désaffecté.

À quelques kilomètres de là, Diana, 15 ans également, raconte avoir pleuré quand elle a appris qu’elle était enceinte.

«Ma vie a énormément changé», dit l’adolescente aux longs cheveux noirs, qui regrette de «ne plus pouvoir jouer avec les filles» comme avant.

Abandonnée par le père de son enfant, elle vit avec sa mère et ses six frères et soeurs dans une maison de deux pièces.

La Roumanie et la Bulgarie, les deux pays les plus pauvres de l’Union européenne, sont aussi ceux qui comptent la plus forte proportion de premiers enfants nés de mères adolescentes, soit 15,6% des premiers-nés en Roumanie et 14,7% en Bulgarie, selon les derniers chiffres d’Eurostat, qui concernent l’année 2013.

Environ 18 600 adolescentes roumaines ont accouché en 2014 – un chiffre en légère baisse par rapport à 2013 -, selon l’Institut roumain des statistiques, dont 2 212 étaient âgées de 12 à 15 ans. Plus des deux tiers du total vivaient dans le milieu rural.

Même s’il n’existe pas de chiffres officiels, les ONG estiment que la minorité rom du pays, forte d’environ deux millions de personnes et au sein de laquelle les mariages précoces restent très fréquents, est très concernée par cette question.

Situation «critique»

«Il s’agit d’un phénomène complexe provoqué par la pauvreté, par l’émigration – qui fait que de nombreux enfants sont laissés à la charge des grands-parents – et surtout par l’absence d’éducation en matière de santé de la reproduction», indique la présidente de la branche roumaine de l’association Sauvez les Enfants, Gabriela Alexandrescu.

«Dans les villages où nous sommes allés, la plupart des jeunes n’avaient suivi aucun cours sur ce thème», souligne-t-elle.

Or une grossesse à l’adolescence pose de sérieux problèmes médicaux et sociaux. De nombreuses jeunes mamans sont contraintes d’abandonner l’école ou souffrent de dépressions sévères, et leurs bébés sont souvent prématurés.

Fin 2015, évoquant une situation «critique», une soixantaine d’ONG ont appelé le ministère de l’Éducation à introduire des cours d’éducation sexuelle dans les écoles. Les signataires estiment que cela permettrait de limiter le nombre de grossesses non souhaitées, mais aussi de protéger les jeunes contre les maladies sexuellement transmissibles.

«Le ministère de la Santé soutient l’introduction de cours d’éducation sanitaire, qui incluent des notions d’hygiène, des informations sur les maladies transmissibles et sur la reproduction», a indiqué à l’AFP sa porte-parole Oana Grigore, précisant que plusieurs réunions de travail avec des experts du ministère de l’Éducation ont déjà eu lieu.

Se déclarant «préoccupé par le nombre considérable de grossesses précoces non désirées», le Comité des Nations Unies pour les droits économiques, sociaux et culturels a pour sa part exhorté la Roumanie à adopter une stratégie nationale relative à la santé sexuelle et génésique.

Ne pas «brûler les étapes»

Mais une vingtaine d’associations, dont certaines sont liées aux Églises orthodoxe et catholique, ont fustigé un tel projet dans une lettre ouverte, assurant que «rien ne prouve l’utilité de ces cours» pour faire baisser le taux de natalité chez les adolescentes.

«Il me semble que nous sommes en train de brûler les étapes. Si cette situation nous inquiète, il faut commencer par parler aux parents, leur demander de faire plus attention à leurs enfants», a déclaré à l’AFP Cristina Benga, vice-présidente de l’Association des parents pour des cours de religion (APOR).

Mme Alexandrescu souligne, elle, que les mamans mineures sont souvent «issues de familles marginalisées, vulnérables», et plaide pour un rôle accru des services sociaux et de santé. 

«Malheureusement, ces filles ne consultent que très rarement un médecin avant l’accouchement» et encore moins pour se renseigner sur les moyens contraceptifs, dit-elle.

À Botosani, Diana assure savoir qu’il existe des moyens pour se prémunir contre de nouvelles grossesses. Mais sa décision est prise, explique-t-elle: 

«Je ne me marierai jamais, pour ne plus avoir de bébés».

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À 12 ans, apte mentalement à subir un procès?


 

Un crime grave, genre une tentative de meurtre (poignardée 19 fois)  commis par des adolescentes peut-il être jugé dans un tribunal pour adulte ? Il sembles que le crime ai été prémédité est-ce de la folie ?  Il me semble qu’elles étaient conscientes des gestes qu’elles posaient et des conséquences encourues. Mais la sentence serait-elle trop longue pour ces jeunes ? Seront-elles dans une prison pour adulte ? Pourraient-elles avoir des traitements pour devenir des personnes ayant un meilleur sens moral ?
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À 12 ans, apte mentalement à subir un procès?

Daniel Girard

Wisconsin:1 médecin dit qu’une fille de 12 ans accusée de tentative de meurtre est apte mentalement à subir un procès

En vertu d’une loi du Wisconsin, tout suspect de 10 ans ou plus doit être accusé en tant qu’adulte s’il a commis un crime grave.

Le samedi 31 mai, à Waukesha, en banlieue de Milwaukee, deux pré-adolescentes de douze ans auraient poignardé à 19 reprises une autre fille du même âge.

Nul doute, donc, qu’il s’agit d’un crime grave.

J’ai été poignardée, aidez-moi

Malgré ses blessures, la victime a réussi à ramper jusqu’à une route, où elle a vu un homme qui roulait à bicyclette.

J’ai été poignardée, aidez-moi, lui a-t-elle dit.

L’un des 19 coups de couteaux est passé à un millimètre d’une artère vitale.

C’était bien près d’un meurtre.

Les deux pré-adolescentes sont accusées de tentative de meurtre avec préméditation.

Aptes à subir leur procès?

Mais sont-elles aptes mentalement à subir un procès pour adulte?

Là est la question.

Elle donne lieu à des débats entre la poursuite et la défense. Une première pré-adolescente a été déclarée apte à subir son procès.

Le cas de la deuxième est plus délicat. Elle a été jugée inapte à subir son procès en août. Un psychiatre avait conclu qu’elle souffrait d’hallucinations.

Elle entendait les voix du personnage fictif Slender Man et de certains personnages d’Harry Potter.

Slender Man est un personnage populaire du web.

Il est très grand, n’a pas de visage, possède de longues tentacules et kidnappe les enfants.

Les deux pré-adolescentes avaient invoqué leur désir de plaire à Slenderman pour justifier leur crime.

Inapte en août mais apte en novembre

Après avoir entendu ce diagnostic, le tribunal a ordonné que la deuxième adolescente suive des traitements psychiatriques. Le 11 novembre, un médecin mandaté par le tribunal, a conclu que les traitements avaient fait effet. Que la deuxième pré-adolescente était apte à subir son procès comme adulte.

Le juge Michael Bohren devra statuer sur la question.

Les perspectives sont mauvaises pour la défense.

Limiter les effusions de sang

Les avocats de la poursuite estiment que les deux pré-adolescentes étaient, en tout temps, en pleine possession de leurs moyens.

Elles ont planifié leur attaque contre l’autre jeune fille pendant des mois, précisent-ils.

Les deux accusées ont convaincu leur victime de venir passer la nuit avec elles le 30 mai (pyjama).

Le lendemain, elles sont allées dans un parc boisé.

Elles voulaient poignarder leur victime dans la toilette du parc, pour limiter les effusions de sang. Mais les accusées en ont été incapables. Elles sont finalement passées à l’action, plus tard, à l’extérieur des toilettes. Pendant qu’une accusé était assise sur la victime, l’autre la poignardait.

Folie à deux

La psychiatre Laura Davies constate, chez les jeunes filles, la création de liens émotifs si forts qu’elles se bâtissent leur propre univers.

Si l’une d’elles perd contact avec la réalité, elle réussit à entraîner sa copine dans son monde. Si elles subissent leur procès comme adultes, les deux filles pourraient écoper de 65 ans de prison.

Un prix très élevé pour cette folie à deux.

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Une mère d’adolescente désespérée À 13 ans, elle est en amour avec un homme de 23 ans


Il y a des bizarreries des fois !!! Comment il se fait que selon le code de la loi sur le consentement sexuel est quand même assez clair quoique trop permissive pour l’âge, cette jeune fille ne remplit pas du tout les conditions juridiques et que la mère n’a pas eu le support pour protéger sa fille d’un adulte qui a profité de sa naïveté ? Ce gars si ce n’est pas un pédophile alors c’est quoi ?
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Une mère d’adolescente désespérée

À 13 ans, elle est en amour avec un homme de 23 ans

 

À 13 ans, elle est en amour avec un homme de 23 ans

Crédit photo : TVA Nouvelles

Par Claudie Côté | TVA Nouvelles

Que feriez-vous si vous appreniez que votre fille de 13 ans est en couple avec un homme de dix ans son aîné? C’est la situation à laquelle est confrontée Nancy, une mère de famille de Montréalqui lance, dans un reportage diffusé à J.E. ce soir, un appel à l’aide. Sa fille Julie entretient une relation amoureuse et sexuelle avec Xavier, qui a 23 ans.

«J’aimerais que ça se règle au plus vite, que ma fille ne soit plus en danger. Qu’elle recommence sa vie d’adolescente, parce que ce gars-là l’a fait vieillir de 15 ans dans sa tête», lance Nancy à sa sortie du poste de police.

La mère de famille n’en est pas à sa première rencontre avec les policiers. Elle cherche désespérément à mettre fin à la relation entre Julie et Xavier.

Une histoire d’amour peu banale

L’adolescente a rencontré son copain à la station de métro Frontenac. Dès le départ, ce fut l’amour fou. Ils avaient des points en commun et partageaient la même passion pour la bande dessinée.

«Elle m’a dit qu’il avait 17 ans. Je me suis dit: « Ça se peut ». Mais plus je le regardais, plus je me disais que c’était impossible», raconte Nancy.

Le début de relation a été chaotique. Nancy désapprouvait l’union et a informé Xavier que sa fille était mineure. Malgré tout, Julie a toujours trouvé le moyen de revoir Xavier.

«Il allait la chercher à l’école. Elle manquait les cours. Ça a commencé comme ça… et ça s’est mis à aller très mal. C’est une enfant. Il a 23 ans. Je ne comprends pas.»

Pour sa part, Julie est souvent triste et revient à la maison avec des ecchymoses. Elle avoue que Xavier est contrôlant, jaloux et qu’il voit même d’autres filles. Dans de grands moments de détresse, l’adolescente s’automutile.

«J’ai dit : « Ça suffit, il n’est plus question que tu vois ce gars-là ». Elle a fugué. Je l’ai retrouvée. Je voulais porter plainte, mais les policiers m’ont dit qu’il n’y avait rien à faire. Le lendemain, elle a pris un paquet de pilules pour se suicider», soupire la mère.

Sa mère est finalement arrivée juste à temps. À bout de nerfs, elle a de nouveau interpellé la police.

«Ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas rien faire. Parce que Julie ne veut pas porter plainte. Et que c’est la loi. Voyons, elle est en amour avec. C’est une enfant. Je suis dépourvue, je ne sais plus quoi faire!»

Consentement sexuel

Au Canada, l’âge de consentement sexuel est fixé à 16 ans. Il est donc criminel pour un adulte de faire des attouchements, ou directement ou indirectement, à une personne de moins de 16 ans à des fins sexuelles. Même chose pour l’incitation à des activités sexuelles.

«Le législateur a statué qu’en bas de 16 ans, le jeune n’a pas la maturité pour donner un consentement valable et éclairé», explique le criminaliste Me Robert La Haye.

Il y a toutefois quelques nuances. Pour les adolescents de 14 et 15 ans, la loi stipule qu’ils peuvent consentir à des activités sexuelles, mais la différence d’âge entre les partenaires ne doit pas excéder cinq ans.

«Les délinquants s’exposent à des peines allant de 45 jours à dix ans de prison», ajoute Me La Haye, affirmant qu’il n’y a que les policiers qui peuvent intervenir dans ce genre de situation. «Il faut aller porter plainte. Il faut aller voir la police. Ce sont eux qui sont mandatés pour faire régner la paix».

Nancy a bien essayé de porter plainte. Lors de la fugue, d’abord, puis lors de la tentative de suicide de sa fille. Pour des raisons qui lui échappent, les policiers auraient refusé d’aller de l’avant.

«Vous faites le 911, pis ils peuvent rien faire. On a l’air ridicule. Je l’aime beaucoup ma fille. Je vais tout faire pour la protéger. C’est comme ça. C’est une mère qui parle.»

C’est finalement lors d’une troisième tentative que la police a accepté d’enregistrer la plainte de Nancy, mais la mère est loin d’être rassurée.

«J’attends toujours des nouvelles des enquêteurs. Ça prend du temps. Ma fille va à l’école. J’ai peur qu’il aille la rejoindre. Elle est fragile.»

Au moment d’écrire ces lignes, Nancy n’avait toujours pas eu de nouvelles des enquêteurs.

Le Service de police de la Ville de Montréal n’a pas voulu accorder d’entrevue à J.E. par rapport à cette histoire.

http://tvanouvelles.ca/

Invention Imaginez recharger votre téléphone en 20 secondes!


Je suis épatée que des jeunes utilisent leur talent pour améliorer les objets que nous utilisons. Quand ce supercondensateur sera au point, les cellulaires, portables, tablettes n’auront pu être contraint d’attendre des heures pour être rechargé
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Invention

Imaginez recharger votre téléphone en 20 secondes!

 

Invention - Imaginez recharger votre téléphone en 20 secondes!

La gagnante du prix «Jeune scientifique», Eesha Khare. 

Photo Intel

Agence QMI
Aude Boivin Filion

Une adolescente californienne, Eesha Khare, s’est mérité la semaine dernière le prix «Jeune scientifique» de la Fondation Intel pour une invention révolutionnaire: un supercondensateur qui pourrait permettre aux appareils d’être rechargés en seulement 20 à 30 secondes.

Bien que le branchement de notre téléphone pour le recharger soit devenu une habitude bien ancrée dans le quotidien, le temps que prennent certains appareils pour ce faire peut être très contraignant. Aussi, une batterie a tendance à conserver l’énergie de moins en moins longtemps au fil du temps et de l’usure.

Les supercondensateurs sont des appareils servant à emmagasiner de l’énergie et qui sont dotés d’un long cycle de vie. Même s’ils ont le potentiel de stocker beaucoup d’énergie par unité de volume, ils sont actuellement moins performants que des batteries. Khare vient de changer la donne grâce à son invention.

Ceci explique bien l’aspect révolutionnaire de l’invention de l’adolescente de 18 ans, qui dit avoir été inspirée par «son téléphone dont la batterie était toujours morte». Le supercondensateur imaginé par Eesha Khare est en mesure de garder une importante quantité d’énergie dans un espace restreint et sur une longue période.

«Le supercondensateur que j’ai développé utilise une nanostructure spéciale, qui lui permet de stocker une importante quantité d’énergie dans un petit espace», précise-t-elle lors d’une entrevue dans le cadre de l’Intel International Science and Engineering Fair.

Selon l’étudiante, son appareil a une durée de vie de près de 10 000 cycles de recharges, alors que les batteries rechargeables n’offrent qu’un maigre 1000 cycles.

Pour l’instant, l’invention n’a été testée que sur les ampoules DEL, mais les 50 000$ accompagnant le prix «Jeune scientifique» d’Intel lui permettront de développer son supercondensateur et de l’adapter aux appareils mobiles, par exemple.

Le superconducteur est suffisamment petit pour être inséré dans une batterie de téléphone, mais il pourrait aussi être intégré aux portables, aux tablettes, à des gadgets médicaux, des voitures électriques, etc.

L’Intel International Science and Engineering Fair, qui a eu lieu à Phoenix (Arizona) est la plus importante foire scientifique du monde, rassemblant 1600 étudiants du secondaire de partout dans le monde.

http://fr.canoe.ca

Nigeria: la police libère 17 adolescentes d’une «usine à bébés»


Est-ce la pauvreté qui pousse certains hommes a profiter des femmes dans le but de les rendre enceintes et de vendre les bébés ? Comment une être humain peut se permettre de vendre des bébés dans le seul but de s’enrichir et de s’amuser avec des adolescentes ?
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Nigeria: la police libère 17 adolescentes d’une «usine à bébés»

 

Dans un rapport sur le trafic d'êtres humains... (Photo AFP)

 

Dans un rapport sur le trafic d’êtres humains publié le mois dernier, l’UE a classé le Nigeria comme le pays où ce fléau est le plus répandu. (Sur la photo: des femmes dans les rues d’un village du Nigeria).

PHOTO AFP

Agence France-Presse
Lagos

Dix-sept adolescentes, retenues prisonnières dans une même maison, enceintes du même homme et dont les bébés étaient destinés à être vendus, ont été libérées par la police au Nigeria, a-t-on appris vendredi de source officielle.

Onze enfants en bas âge ont également été retrouvés dans cette «usine à bébés» que les voisins prenaient pour un orphelinat ou un refuge pour femmes enceintes et appelaient «Maison Ahamefula de bébés sans mères».

Une femme soupçonnée d’avoir organisé ce trafic est toujours recherchée, a déclaré Joy Elomoko, porte-parole de la police de l’État d’Imo, dans le sud-est du Nigeria.

On ne sait pas si les jeunes filles avaient été amenées dans la maison de force.

Elles ont raconté à la police qu’elles avaient toutes été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison ainsi que le garde qui surveillait la maison.

«Agissant d’après des informations, une unité spéciale de la police de l’État d’Imo a fait une descente dans la maison illégale à Umuaka mercredi et porté secours à 17 jeunes filles, âgées de 14 à 17 ans, à différents stades de leur grossesse», a indiqué Mme Elomoko à l’AFP.

«Les jeunes filles ont affirmé qu’elles n’étaient nourries qu’une seule fois par jour et n’étaient pas autorisées à quitter la maison», a-t-elle ajouté.

Elles ont indiqué à la police que leurs enfants devaient être vendus à des personnes «désireuses de les acheter», a encore indiqué la porte-parole.

«La propriétaire de cette maison est en fuite, mais nous sommes à sa poursuite», a affirmé Mme Elomoko.

Dans un rapport sur le trafic d’êtres humains publié le mois dernier, l’UE a classé le Nigeria comme le pays où ce fléau est le plus répandu.

Ce rapport indique que la vente d’enfants y est courante et que la police a déjà découvert ce qu’on peut appeler des «usines à bébés».

En mai 2011, dans l’État d’Abia (sud-est), la police a libéré 32 jeunes filles enceintes qui ont indiqué qu’on leur avait offert entre 25 000 et 30 000 naira (191 dollars) selon le sexe de leur bébé.

Un autre groupe de 17 jeunes filles a été découvert en octobre 2011 dans l’État d’Anambra (sud) dans des circonstances semblables.

L’Unesco a classé le trafic d’êtres humains en troisième place des crimes commis au Nigeria, après la corruption et le trafic de drogue.

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