Antibiotiques, additifs alimentaires et pesticides retrouvés en mer


On sait qu’il y a dans les cours d’eau depuis quelques années, des antibiotiques, additifs alimentaires, hydrocarbure, édulcorant, pesticide et herbicides. Maintenant, des scientifiques en ont trouver dans la mer du Nord et la mer de Norvège. Je ne serais pas surprise que des résultats similaires dans le coin de l’Amérique du Nord.
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Antibiotiques, additifs alimentaires et pesticides retrouvés en mer

Antibiotiques, additifs alimentaires et pesticides retrouvés en merUn ferry de la Brittany Ferries au large du Conquet dans le Finistère le 4 décembre 2017© AFP/Archives/FRED TANNEAU

Par AFP

Certains antibiotiques, additifs alimentaires ou pesticides ont été détectés pour la première fois en mer, après avoir été transportés parfois sur de longues distances, selon les travaux de chercheurs réunis autour du programme européen Jerico-Next, coordonné par l’Ifremer.

« C’est la première fois qu’on montre que l’activité humaine se retrouve dans les eaux côtières, mais aussi plus au large », a déclaré à l’AFP Laurent Delauney, l’un des coordinateurs du programme, au terme de la réunion finale du projet vendredi à Brest.

Certains antibiotiques, herbicides, hydrocarbures ou additifs alimentaires, comme de l’édulcorant, provenant de boissons allégées en sucre notamment, ont été retrouvés en mer Baltique et mer de Norvège, mais aussi en Mer du Nord, selon une étude menée dans le cadre du projet Jerico-Next par l’Institut norvégien pour la recherche sur l’eau (Niva).

« On peut trouver ce type de produits dans des estuaires, des embouchures de fleuves ou des rivières, mais aussi loin des côtes c’est assez nouveau », a expliqué Ingrid Puillat, coordinatrice scientifique du projet, soulignant en outre l’intérêt de disposer désormais d’une cartographie à l’échelle européenne de la présence en mer de ces produits.

Cette découverte a été rendue possible par la mise en place d’outils de mesure beaucoup plus précis que ceux existants jusqu’à présent pour surveiller les eaux côtières, objet même au départ du programme Jerico-Next.

« A la base, il s’agissait de développer un système d’observation des eaux côtières harmonisé et performant, mais pour le mettre en application des cas scientifiques ont été étudiés », a expliqué M. Delauney, ingénieur à l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer).

Ainsi, de nouveaux capteurs ont été développés puis placés sur des bouées d’observation ou des navires et notamment des ferries, ce qui a permis d’avoir des mesures sur un même trajet, plusieurs fois par semaine ou même par jour.

Les navires de la compagnie Brittany ferries ont notamment été équipés de ces capteurs, de la taille d’une armoire électrique. Installés à l’intérieur du navire, ils ont permis de collecter de l’eau de mer, analysée ensuite selon différentes méthodes.

Débuté en 2011 et réunissant une trentaine de partenaires issus de 15 pays européens, la série de programmes Jerico s’est également penchée sur le cycle du carbone dans les eaux côtières ou la prolifération des microalgues ou du phytoplancton.

Le programme devrait se poursuivre par un troisième volet afin notamment de développer un portail internet unique à l’échelle européenne, où seraient mises à disposition les données côtières produites par l’ensemble des partenaires du réseau d’observation.

https://www.geo.fr/

L’additif E171 occasionnerait bien un déséquilibre de la flore intestinale


Les additifs alimentaires ne sont pas tous sans conséquences. L’additif E171 qui se retrouve dans les pâtisseries, confiseries, médicaments, et même le dentifrice, modifie la flore intestinale dont plusieurs symptômes d’inflammation du côlon.
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L’additif E171 occasionnerait bien un déséquilibre de la flore intestinale


par Yohan Demeure, rédacteur scientifique

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Des chercheurs australiens se sont intéressés à la consommation de l’additif alimentaire E171. Selon eux, il existe de forts risques de déséquilibre de la flore intestinale, ce qui pourrait favoriser

Le déséquilibre de la flore intestinale

Selon l’Inserm, la flore intestinale (ou microbiote) représente l’ensemble des micro-organismes principalement localisés dans l’intestin grêle et le côlon. Cette quantité astronomique (1012 à 1014) de bactéries, virus, parasites, et champignons non pathogènes représente un poids total d’environ 2 kg, soit 2 à 10 fois plus que le nombre de cellules qui constituent notre organisme.

Connue pour jouer un rôle dans les fonctions digestive, métabolique, immunitaire et neurologique, la flore intestinale peut faire l’objet d’un déséquilibre. Or, ce dernier peut être causé par la manière de s’alimenter ainsi que les produits consommés. Cette situation peut alors favoriser l’apparition de maladies intestinales chroniques inflammatoires (MICI) telles que la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique.

Une des bactéries présentes dans notre microbiote : Escherichia coli
Crédits : Flickr/NIAID

Qu’est-ce que l’additif E171 ?

L’additif alimentaire connu sous le nom de E171 n’est autre que le dioxyde de titane, dont la formule est formule TiO2. Servant d’agent blanchissant, cet additif est présent sous forme de nanoparticules dans de nombreux produits alimentaires (pâtisseries, confiseries) mais également cosmétiques (médicaments, dentifrices).

Des chercheurs de l’Université de Sydney (Australie) s’y sont intéressés dans une étude parue dans la revue Frontiers in Nutrition le 14 mai 2019. La question suivante a été posée : peut-il modifier notre flore intestinale ? Ils ont ajouté du dioxyde de titane dans l’eau servant à abreuver des souris. Ainsi, des effets ont été observés sur leur microbiote intestinal. Si la composition de la flore n’a pas été impactée, ce n’est pas le cas de l’activité des bactéries !

Des risques pour la santé

Les scientifiques ont noté l’apparition d’une activité modifiée des bactéries in vivo,synonyme de changements au niveau de certaines de leurs fonctions. Ainsi, cela représente donc la preuve d’une interaction entre le dioxyde de titane et les bactéries intestinales. Il faut également savoir qu’in vitro, ces mêmes bactéries généraiente des biofilms indésirables dont la présence a été prouvée dans des cas de cancer colorectal.

L’additif E171 modifie l’équilibre de l’environnement intestinal. En effet, les chercheurs ont observé une réduction de l’expression du gène jouant un rôle dans la fabrication de mucine. Il s’agit d’une molécule indispensable au mucus intestinal. L’étude a donc permis de faire le lien entre l’additif en question et de nombreux symptômes d’inflammation du côlon. Rappelons qu’il y a quelques semaines, le dioxyde de titane a fait l’objet d’une interdiction en France, qui prendra effet dès 2020.

Sources : Science DailyMedical News Today

https://sciencepost.fr/

Cet additif alimentaire affaiblirait nos défenses contre la grippe


Les chercheurs croient, mais des études plus poussés devront être faites que le BHQT, (code E319) que l’on retrouve dans les aliments ultra-transformés, serait responsable de l’affaiblissement du système immunitaire pour combattre la grippe et diminuerais aussi l’efficacité des vaccins anti-grippaux. Quoi qu’il en soit, les additifs alimentaires n’aident sûrement pas au corps pour rester en santé.
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Cet additif alimentaire affaiblirait nos défenses contre la grippe

Nathalie Mayer

Journaliste

On le trouve dans les aliments dits ultra-transformés. Car dans les huiles de cuisson, il sert à stabiliser les gras. Selon des chercheurs, le butylhydroquinone tertiaire (BHQT), ou E319, aurait pourtant pour effet d’affaiblir notre système immunitaire notamment lorsqu’il s’agit de lutter contre la grippe.

Entre 290.000 et 650.000. C’est le nombre de personnes qui mourraient chaque année de complications respiratoires liées à la grippe. Et la découverte faite par des chercheurs de l’université d’État du Michigan (États-Unis) pourrait apporter une explication. Des travaux menés sur des souris suggèrent en effet que le butylhydroquinone tertiaire (BHQT) affaiblit notre réponse immunitaire au virus de la grippe !

Mais le BHQT, c’est quoi ? Un additif alimentaire. Nom de code E319. Un additif plutôt courant que l’on trouve par exemple dans les chewing-gums, dans les céréales de petit déjeuner, dans les préparations pour gâteaux, dans les soupes ou encore dans les viandes surgelées.

« Nous avons observé qu’un régime alimentaire riche en BHQT supprime la fonction des cellules T auxiliaires et des cellules T tueuses », explique Robert Freeborn.

De quoi aggraver les symptômes des souris atteintes de la grippe.

Les chercheurs de l’université d’État du Michigan (États-Unis) comptent désormais étudier les effets d’un régime riche en butylhydroquinone tertiaire (BHQT) sur des échantillons de sang humain. © Bokskapet, Pixabay License

Les chercheurs de l’université d’État du Michigan (États-Unis) comptent désormais étudier les effets d’un régime riche en butylhydroquinone tertiaire (BHQT) sur des échantillons de sang humain. © Bokskapet, Pixabay License

BHQT diminuerait aussi l’efficacité du vaccin

Les chercheurs soupçonnent le BHQT de réguler à la hausse la production de certaines protéines – à savoir CTLA-4 et IL-10 – connues pour affaiblir le système immunitaire. Mais des travaux plus poussés seront nécessaires pour confirmer cette hypothèse.

Un régime riche en BHQT semble par ailleurs également affecter la mémoire du système immunitaire. Car lors d’une nouvelle infection par une souche apparentée, les souris soumises à ce régime ont subi une grippe plus longue que les autres. Une observation qui inquiète les chercheurs. Elle pourrait en effet avoir des conséquences sur l’efficacité des vaccins antigrippaux qui repose justement sur le principe de mémoire du système immunitaire.

https://www.futura-sciences.com

Un additif courant déclencherait des allergies à divers aliments


L’industrie alimentaire met des additifs pour la conversation des aliments, il semblerait qu’un de ces additifs coïnciderait avec l’augmentation des allergies alimentaires et il pourrait en avoir d’autres en cause
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Un additif courant déclencherait des allergies à divers aliments

 

Un additif alimentaire courant pourrait contribuer à l’augmentation des allergies alimentaires, selon une étude de l’Université d’État du Michigan

Cheryl Rockwell étudie le lien entre l’additif alimentaire synthétique tert-butylhydroquinone (tBHQ) depuis 9 ans ans. Elle vient de recevoir un prix des National Institute of Environmental Health Sciences américains pour poursuivre son travail. LeOutstanding New Environmental Scientist (ONES) est accompagné d’une subvention de 1,5 million $ pour soutenir sa recherche.

Approuvé par la FDA en 1972, le tBHQ est un agent de conservation utilisé dans de nombreux aliments, comme huile de cuisson, les noix, les craquelins, les gaufres et le pain. Souvent le tBHQ ne figure pas sur l’étiquette, souligne la chercheuse.

Ses recherches ont montré que le tBHQ provoque la libération, par les lymphocytes T du système immunitaire, de protéines qui peuvent déclencher des allergies à des aliments tels que les noix, le lait, les œufs, le blé et les fruits de mer.

Normalement, les cellules T libèrent des protéines, appelées cytokines, qui aident à combattre les envahisseurs, explique-t-elle, mais quand le tBHQ est introduit dans des modèles de laboratoire, les cellules T libèrent un ensemble différent de cytokines qui sont connues pour déclencher des allergies à certains aliments.

L’utilisation accrue de tBHQ, dit-elle, est survenue en même temps qu’une augmentation des allergies alimentaires et une augmentation de la gravité de certaines réactions allergiques.

Dans ses travaux futurs, la chercheuse vise notamment à identifier d’autres substances chimiques déclenchant la voie de signalisation immunitaire découverte.

« Nous pensons qu’il pourrait y en avoir un certain nombre », dit-elle, dont le plomb et le cadmium.

Psychomédia avec source : Michigan State University.

http://www.psychomedia.qc.ca/

Le Saviez-Vous ► Les copeaux de bois pour le goût fraise… ou vanille


Vive le naturel en alimentation, mais qu’est-ce qu’on entends par naturel. Il y a tellement d’additifs qui sont cachés que cela pourraient entrainer quelques problèmes pour ceux qui ont de certaines allergies
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Les copeaux de bois pour le goût fraise… ou vanille

 

Le recours aux arômes chimiques est maintenant quasi-systématique dans les denrées alimentaires vendues couramment.

Pourquoi ? Parce que la nature fournit des « produits » trop aléatoires… L’industrie alimentaire a donc choisi de pallier artificiellement à ses « déficiences » tout en dissimulant habilement ses manipulations.

 Ainsi, lorsque sur un yaourt à la fraise on peut lire « arôme naturel », il ne faut pas comprendre que les arômes sont extraits de la fraise. Ils sont en fait extraits d’une pâte obtenue après le mélange de copeaux d’un bois australien, d’eau, d’alcool et de quelques ingrédients secrets.

Avec une recette légèrement modifiée de cette pâte, il est possible d’obtenir de l’arôme de framboise, de cacao, de chocolat ou de vanille.

L’origine naturelle est incontestable, puisqu’il s’agit de bois… Quant aux morceaux de fruits, ils peuvent être remplacés par de la gélatine imitant leur consistance ou bien être intervertis et l’on se retrouve ainsi à manger de la pêche alors que l’étiquette indique de l’abricot.

Cette falsification du goût des aliments n’est pas sans conséquence pour notre santé. Car, même si les industriels garantissent l’innocuité des additifs qu’ils emploient, ils ne disposent généralement d’aucune base scientifique pour le faire (tester 20 000 additifs coûterait trop cher et prendrait trop de temps). Quant aux interactions entre ces différents produits chimiques, elles ne sont jamais étudiées.

Un casse-tête pour les allergologues

Pour les allergologues, comme pour leurs patients, l’inflation permanente du nombre d’additifs alimentaires devient un véritable casse-tête car les additifs sont partout et peuvent être cachés là où on les attend le moins.

Ainsi, il est possible de retrouver des traces de protéines de lait dans de la liqueur à la noix de coco, des peptides de gluten dans les caramels, les corn-flakes ou les bonbons, des traces de noisettes dans un gâteau au citron.

Comment deviner que si une barre chocolatée provoque une réaction brutale chez une personne allergique au poisson, c’est parce que les œufs qui ont servi à sa fabrication proviennent de poules nourries avec des farines de poissons ?

Plus grave encore, sous couvert de protection des secrets de fabrication, on dissimule systématiquement aux médecins et allergologues la composition exacte des aliments et on ne répond pas à leurs demandes de renseignements.

Ce méli-mélo de saveurs, savamment occulté sur les étiquettes, représente désormais un grave danger pour la santé humaine en général et pour les personnes allergiques en particulier. Il est temps d’y mettre fin.

http://www.principes-de-sante.com

Est-ce que le sucre rend hyperactif?


Nous sommes tous ou presque a accusé le sucre d’être responsable de l’agitation des enfants … A-t’on raison ? Alors qu’en fait, ce serait plutôt le contexte entourant le sucre. En tout cas, cela vaudrait la peine de tenir un petit journal
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Est-ce que le sucre rend hyperactif?

 

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Nathalie Vallerand, Coup de pouce, juin

 

« Il a mangé trop de sucre, » dit-on parfois quand notre enfant est turbulent. Pourtant, le sucre n’aurait pas d’effet sur l’agitation des petits. On décortique un mythe tenace.

Le sucre est parfois accusé de causer ou d’exacerber le trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H). Jusqu’à maintenant toutefois, les études réalisées sur la question n’ont prouvé aucun lien entre les deux, rapportent la nutritionniste Renée Cyr et la pédiatre Hélène Langis dans L’Alimentation des enfants (Éditions du CHU Sainte-Justine, 2010, 72 p., 9,95$).

D’accord, mais le sucre rend bel et bien les enfants plus excités, non? Eh bien non!

«On confond l’effet du sucre et celui du contexte auquel il est associé, écrivent les auteures. Ainsi, l’agitation résulte souvent plus de la fête que du nombre de sucreries offertes aux enfants. Même chose pour les vacances ou les sorties de groupe.»

Ce n’est donc pas tant le sucre qui rendrait nos mousses turbulents que l’effervescence qui entoure ces activités.

Renée Cyr et Hélène Langis conseillent cependant la prudence en ce qui concerne les colorants et les additifs alimentaires. Certains enfants seraient plus distraits ou plus agités lorsqu’ils ingèrent ces substances.

«Ces produits aux couleurs voyantes et aux saveurs fabriquées en usine ont peu de valeur nutritive et il n’y a aucun inconvénient à les retirer de l’alimentation des enfants. Au contraire, c’est meilleur pour leur santé», concluent-elles.

http://www.coupdepouce.com

Le Saviez-vous ► POURQUOI L’EAU FAIT-ELLE ENGRAISSER


Le titre de ce billet laisse perplexe, mais c’est la suite qui est intéressante et c’est une des raisons (quoique je ne savais pas pour l’eau) que je ne mange quasi plus d’aliments transformés. Mieux vaut sortir les ustensiles et le plus possible faire tout nous-même
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POURQUOI L’EAU FAIT-ELLE ENGRAISSER

 

par Perri O. Blumberg

(Crédit photo: Digital Vision/Thinkstock)

Vous n’aurez probablement aucune surprise à constater que l’eau trône au sommet de la liste des ingrédients dans une recette de soupe. Après tout, il faut beaucoup d’eau pour faire une soupe.

Il est encore plus surprenant de constater l’importance de l’eau dans les aliments manufacturés comme les sauces, les condiments, les plats congelés et autres. Et lorsque l’eau apparaît en tête de liste des ingrédients, cela signifie que cette liste contient de nombreux éléments qui ont pour but d’ajouter à l’eau de la saveur et de la texture.

Plusieurs vinaigrettes par exemple contiennent plus d’eau que tout le reste des ingrédients et comme l’eau et l’huile ne se mélangent pas, la texture est principalement le fait d’additifs que vous voulez d’ailleurs éviter de consommer.

« Très souvent, lorsque l’eau est le premier ingrédient d’un condiment, c’est l’indice qu’il n’est peut-être pas sain et peut contenir beaucoup d’additifs comme le glutamate de sodium, le polysorbate et de la couleur artificielle », expliquent deux diététistes agréées, Tammy Lakatos Shames et Lyssie Lakatos de Nutritions Twins et auteures de The Secret to Skinny.

« De plus, il contient peu de nutriments et dans ce cas, il vaudrait mieux choisir un autre produit ou utiliser vos propres recettes. »

Et les jumelles poursuivent en disant que « la gélatine, les boissons gazeuses, les jus, la vinaigrettes et la mayonnaise ont tous l’eau comme premier ingrédient. On peut également y retrouver des produits chimiques nocifs comme le benzoate de sodium et le benzoate de potassium. Lorsque ces préservatifs sont combinés à la vitamine C ou acide ascorbique, ils produisent un carcinogène connu appelé benzène.

Quelles substances inqualifiables peuvent aussi être présentes lorsque l’eau est le principal ingrédient?

« Des colorants artificiels comme le rouge 40, le jaune 5 et le jaune 6 qui contiennent du benzidène, un agent carcinogène connu, ajoutent les auteures. »

Et rappelez-vous que ces types d’aliments contiennent habituellement beaucoup de sucre ajouté et de gras qui peuvent nuire à vos facultés gustatives et à votre tour de taille.

 

http://selection.readersdigest.ca

Pourquoi Starbucks a-t-il renoncé à son colorant à base d’insectes?


Bon que Starbucks prenne un colorant a base végétale au lieu d’un insecte, cela me va. Ce qui compte par contre c’est qu’on diminue l’impact chimique dans les aliments …
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Pourquoi Starbucks a-t-il renoncé à son colorant à base d’insectes?

 

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Depuis le début juin, aux États-Unis, les boissons rosées de Starbucks comme les Frappuccinos à la framboise, ne sont plus colorées avec un additif alimentaire à base d’insectes!

Pourtant, on retrouve de l’acide carminique de cochenille (qu’on appelle E 120) dans plusieurs aliments comme les chorizos, les saucisses de Francfort, certains yogourts et sodas… Le colorant n’est d’ailleurs pas dangereux pour la santé et ne met pas en péril la sécurité alimentaire. Alors, pourquoi Starbucks l’a supprimé de ses recettes?

Le coléoptère, originaire de l’Amérique du Sud et du Mexique, libère une substance de teinte cramoisie lorsqu’on l’écrase et il est utilisé depuis le XVe siècle. Starbucks avait opté pour ce colorant naturel dans le but de remplacer un colorant chimique. Les consommateurs, de plus en plus soucieux de leur santé et de leur bien-être, ne cherchent pas seulement à savoir ce qui se trouve dans leurs produits alimentaires, mais aussi à comprendre ce qu’ils mangent réellement. Les compagnies n’ont donc plus le choix de les écouter! Ce changement devait donc répondre aux nouveaux besoins de ses clients.

Le problème? La compagnie n’a pas pensé aux consommateurs végétaliens. Des associations végétaliennes et végétariennes se sont mobilisées et ont réussi à amasser environ 7000 signatures demandant à Starbucks de renoncer à ce produit. Du coup, l’extrait de cochenille est remplacé par du lycopène, un colorant à base de tomate…

http://lafouinecuisine.ca