Le Saviez-Vous ► L’assassinat de Lincoln, et ses liens avec le Québec


Cela fait 150 ans qu’Abraham Lincoln a été assassiné dans un théâtre à Washington. Ce épisode de l’histoire, nous la connaissons tous en Amérique, enfin, je crois. Ce qui est moins connu par contre, c’est ou le plan de cet assassinat aurait été probablement conçu et qu’un soldat d’origine québécoise avait pour mission de faire prisonnier vivant l’assassin
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L’assassinat de Lincoln, et ses liens avec le Québec

 

Une lithographie de l'assassinat imprimée par Gibson &... (Archives Reuters)

Une lithographie de l’assassinat imprimée par Gibson & Co. en 1870.

ARCHIVES REUTERS

MICHELLE MCQUIGGE
La Presse Canadienne

Certains historiens se plaisent à rappeler cette semaine les liens qui peuvent être établis entre le Québec et l’assassinat du président américain Abraham Lincoln, il y a eu 150 ans mercredi.

Six mois avant l’assassinat du président anti-esclavagiste, son meurtrier, John Wilkes Booth, fomentait déjà ses sombres desseins lorsqu’il séjournait à l’hôtel St.Lawrence Hall, rue St.James – aujourd’hui rue Saint-Jacques, dans le Vieux-Montréal.

L’historien canadien John Boyko soutient que Wilkes Booth et d’autres sympathisants sudistes avaient choisi Montréal pour se réunir parce que la métropole du Canada-Uni était alors reconnue pour être un repaire de confédérés américains.

Et quelques mois plus tard, lorsque le président Lincoln a été assassiné au théâtre Ford, à Washington, le 15 avril 1865, c’est à un soldat d’origine québécoise que les autorités ont confié le mandat de retrouver l’assassin, rappelle M. Boyko.

Edward P. Doherty, qui faisait partie de l’armée de l’Union même s’il était né au Québec – il avait émigré à New York -, était en charge de la mission visant à capturer vivant John Wilkes Booth, indique l’historien.

Dix jours après l’assassinat du président, un des soldats du commando spécial a cependant dérogé aux ordres et a abattu mortellement Booth, qui se cachait dans une grange de Virginie

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Le Saviez-Vous ► L’assassinat d’Abraham Lincoln élaboré à Montréal?


Est-ce que Montréal a été témoin d’un complot du président des États-Unis Abraham Lincoln en avril 1865 ? Que des suppositions, cependant, il semble quand même que cela soit possible, étant donner que John Wilkes Booth aurait été entendu dans un lieu public avec des propos plutôt menaçant devant sa future victime. Bien sûr d’autres indices sont présents, mais cela n’aurait pas été assez pour établir hors de tout doute ce lien avec Montréal
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L’assassinat d’Abraham Lincoln élaboré à Montréal?

 

Abraham Lincoln... (PHOTOTÈQUE LA PRESSE)

Abraham Lincoln

PHOTOTÈQUE LA PRESSE

Andy Blatchford
La Presse Canadienne
MONTRÉAL

L’anniversaire d’un lien peu connu entre le Canada et l’assassin du président américain Abraham Lincoln sera souligné sans cérémonie cette semaine: il y a 150 ans, John Wilkes Booth rencontrait des leaders confédérés à Montréal. Six mois après sa visite dans la métropole, Booth ouvrait le feu sur le président Lincoln, l’atteignant à la nuque.

 

John Wilkes Booth a assassiné le président américain Abraham Lincoln en avril 1865.

PHOTO AP/PC

Certains indices laissent croire que le mystérieux voyage de Booth à Montréal, en octobre 1864, a été l’élément précurseur de l’assassinat de Lincoln dans un théâtre de Washington, en avril 1865. À l’époque, la cause des Confédérés bénéficiait d’une sympathie considérable à Montréal, une ville considérée comme un lieu de prédilection pour les agents des États confédérés d’Amérique.

Mais les autorités n’ont jamais trouvé de preuves permettant d’établir un lien avéré entre l’assassinat du président et le séjour de Booth à Montréal.

«Il est clair que Booth est venu Montréal, et il pourrait bien avoir discuté de son plan, mais nous n’avons jamais été en mesure de le déterminer», explique Adam Mayers, auteur de Dixie & The Dominion: Canada, the Confederacy and the War for the Union.

«Ce qui fait toujours l’objet d’un débat, c’est de savoir si ses sympathisants au Canada ont été impliqués de façon concrète dans le complot pour assassiner Lincoln, et bien entendu, cela n’a jamais été prouvé.»

Même sans lien canadien confirmé, des preuves laissent penser que le séjour de Booth à Montréal, six mois avant l’assassinat, pourrait avoir établi les bases du complot.

Les livres d’histoire montrent que le célèbre acteur de théâtre s’est enregistré le 18 octobre 1864 au prestigieux St-Lawrence Hall, un hôtel du Vieux-Montréal réputé être le quartier général des Confédérés au Canada.

Des témoins auraient vu Booth discuter avec des responsables des États confédérés et l’auraient entendu exprimer ouvertement son mépris envers Lincoln.

Les remarques faites par Booth lors d’une partie de billard dans le salon de l’hôtel ont pris tout leur sens six mois plus tard, a écrit Clayton Gray dans son livre Conspiracy in Canada, publié en 1950.

«De face ou de dos, cela ne fait pas de différence», aurait dit un Booth éméché à son interlocuteur, avec qui il parlait de la prochaine élection présidentielle américaine, en novembre 1864.

«Le contrat d’Abe est presque terminé, et qu’il soit réélu ou non, il sera fini…»

«J’aime votre style canadien. Je devrais afficher un air canadien, parce que certains d’entre nous […] pourraient devoir s’installer ici bientôt.»

John Wilkes Booth a aussi laissé derrière lui de l’argent canadien entouré de son propre mystère.

Quand les autorités ont coincé puis tué Booth en Virginie quelques semaines après l’assassinat de Lincoln, il avait sur lui une lettre de change de l’Ontario Bank à Montréal, datée du 27 octobre 1864.

Un livret bancaire de la même institution, estampillé de la même date, a aussi été découvert dans ses effets personnels.

«Il a encaissé toutes sortes de monnaies et il avait une traite bancaire quand ils l’ont capturé, rappelle M. Mayers. Il l’avait dans sa poche, et c’est pour cela que tout le monde dit qu’il y a un «lien canadien» avec l’assassinat.»

À travers son compte bancaire, le lien entre Booth et Montréal s’est poursuivi après sa mort.

Son compte à l’Ontario Bank, une institution acquise par la Banque de Montréal en 1906, est resté ouvert avec un solde de 455 $ pendant une période indéterminée après sa mort.

«La famille a refusé [l’argent] ou ne voulait rien savoir de ce compte», a indiqué une porte-parole de la Banque de Montréal, Jessica Leroux, dans un courriel, en attribuant l’information à un livre écrit en 1967 par l’historien de l’institution, Merrill Denison.

Selon Mme Leroux, les avoirs bancaires de Booth ont été décrits au fil des ans comme de «l’argent taché de sang».

Le chef des services secrets confédérés au Canada, Jacob Thompson, avait lui aussi un compte à l’Ontario Bank. Lors du procès des conspirateurs ayant participé à l’assassinat de Lincoln, des témoins ont déclaré que Thompson avait été vu avec Booth au St-Lawrence Hall.

«Les espions et les badauds pouvaient difficilement ignorer le fait que John Wilkes Booth, une célébrité bien connue, parlait à de hauts responsables des États confédérés», a écrit l’auteur Michael W. Kauffman dans son livre, American Brutus: John Wilkes Booth and the Lincoln Conspiracies.

«Ce qu’il a fait [à Montréal] fait toujours l’objet d’un débat. Des témoins ont déclaré en 1865 avoir vu Booth avec différents responsables, parlant ouvertement de leur complot contre Lincoln. Mais la valeur de ce témoignage n’a pas été comprise de tous; après tout, il décrivait un niveau d’imprudence qui défiait le bon sens.»

Durant la guerre de Sécession, les Confédérés ont utilisé Montréal comme base, en grande partie pour sa sophistication et le bon réseau de communications dont bénéficiait la ville, affirme M. Mayers.

Il ajoute que plusieurs d’entre eux, pour échapper aux grandes chaleurs de l’été dans le sud des États-Unis, allaient passer leurs vacances dans les Cantons-de-l’Est.

Au Canada, les sudistes bénéficiaient de la sympathie des habitants.

«Ils détestaient les Yankees», rappelle M. Mayers au sujet des Canadiens de l’époque, qui considéraient les gens de la Nouvelle-Angleterre comme des expansionnistes agressifs.

Dans son livre, M. Mayers rappelle à quel point John Wilkes Booth était populaire à Montréal et comment il avait «électrisé» le public en octobre 1864 avec ses représentations du Marchand de Venise de William Shakespeare et de The Charge of the Light Brigade d’Alfred Tennyson.

Mais malgré tout le soutien dont bénéficiaient les sudistes à Montréal, la ville et le Canada ont été la source d’une immense vague de compassion après l’assassinat du président Lincoln.

Certains vestiges liés à Abraham Lincoln sont encore présents dans la métropole, près de 150 ans après sa mort.

L’Université McGill abrite la plus importante collection d’objets liés à Lincoln hors des États-Unis. On y trouve notamment des images, des prospectus et des sculptures. Parmi les objets exposés figure aussi un bout de tissu que le médecin a enroulé autour de la tête de Lincoln après que celui-ci a été atteint par le tir de Booth. Il est encore taché du sang du président.

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L’esclavage


Et l’esclavage existe toujours mais sous d’autres forme, que ce soit par le jeu, le sexe, l’argent, la société de consommation …
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L’esclavage

 

« Lorsque l’homme s’habitue à voir les autres porter les chaînes de l’esclavage, c’est qu’il accepte lui-même un jour de les porter. »

Abraham Lincoln

Mensonge


Tout mensonge fini par éclater en plein jour, on ne peut cacher indéfiniment quelque chose
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Mensonge

 

Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps ; vous pouvez même tromper quelques personnes tout le temps ; mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.

Abraham Lincoln

Abraham Lincoln, un battant


Il y a des gens qui abandonnent après un ou deux échecs, alors que d’autres se relèvent et réessaient encore et encore. Un des plus beaux exemples est Abraham Lincoln. Il aurait eu toutes les raisons du monde a ne pas avoir été plus loin, mais il crut en lui et a ses capacités. Alors quand nous, on se dit qu’on n’a pas de chance, c’est probablement que nous n’avons pas continué a affronté les obstacles
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Abraham Lincoln, un battant

 

Abraham Lincoln est probablement l’un des meilleurs exemples de persévérance que l’on puisse trouver. Si vous désirez connaître quelqu’un qui ne lâchait pas, ne cherchez pas plus loin.
 
Né dans la pauvreté, Lincoln a dû supporter la défaite toute sa vie.
Il a perdu huit fois les élections, a fait deux faillites d’affaires et a souffert d’une dépression nerveuse.
 
Il aurait pu abandonner plusieurs fois, il aurait pu se trouver suffisamment de raisons pour justifier un abandon ou maudire le sort ou Dieu, mais il ne l’a pas fait. Et parce qu’il n’a jamais abandonné, il est devenu l’un des plus grands présidents des Etats-Unis.
 
Lincoln avait une attitude de champion et il l’est, à force, devenu. Un champion n’abandonne jamais. Voici un aperçu du chemin parcouru par Lincoln avant d’arriver à la Maison Blanche :
 
1816 Les Lincoln sont chassés de leur maison. Abraham doit travailler pour subvenir aux besoins de la famille.
 
1818 Mort de sa mère
 
1831 Première faillite
 
1832 Se présente aux élections législatives ; est battu
 
1832 Perd aussi son emploi ; veut faire son droit mais est refusé au concours d’admission
 
1833 Emprunte de l’argent à un ami pour lancer une affaire et fait faillite avant la fin de l’année. Il passera 17 ans de sa vie à rembourser cette dette.
 
1834 Se présente à nouveau aux élections législatives ; est élu
 
1835 Projet de mariage ; mort de sa fiancée
 
1836 Grave dépression nerveuse ; reste six mois au lit
 
1838 Se porte candidat à la Présidence de la Chambre des Représentants de l’Illinois ; est battu
 
1846 Se présente encore au Congrès ; est élu ; se rend à Washington où il fait du bon travail
 
1848
Sollicite un deuxième mandat au Congrès ; n’est pas réélu
 
1849 Postule l’emploi d’agent des terres de son Etat natal ; ne l’obtient pas
 
1854 Se présente au Sénat des Etats-Unis ; est battu
 
1856 Pose sa candidature pour la vice présidence lors de la convention nationale du parti ; obtient moins de cent votes
 
1858 Se présente encore au Sénat ; est encore battu
 
1860
Est élu Président des Etats-Unis
 
La piste était glissante et la course éreintante. En cours de route mon pied à glissé et j’ai perdu l’équilibre, mais je me suis redressé et je me suis dit : « c’est un faux pas et non une chute ».
 
Peut-être que cette histoire peut vous aider à réaliser que nous pouvons tous être maîtres de notre destin. Il existe beaucoup d' »Abraham Lincoln » parmi nous, peut-être l’êtes-vous sans le savoir…

 
 
Michel Poulaert
sourcedoptimisme.com

Le Mississippi abolit enfin l’esclavage grâce au film Lincoln


Il est rare qu’un film puisse changer quelque chose a l’histoire et c’est ce qui a été fait pour ce qui est de l’esclavage au Mississippi, qui pourtant avait déjà accepté l’abolition de l’esclavage … mais ne l’avait jamais ratifier
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Le Mississippi abolit enfin l’esclavage grâce au film Lincoln

 

Daniel Day-Lewis est l'Abraham Lincoln de Steven Spielberg.... (PHOTO DAVID JAMES, ARCHIVES DREAMWORKS/AP)

Daniel Day-Lewis est l’Abraham Lincoln de Steven Spielberg.

PHOTO DAVID JAMES, ARCHIVES DREAMWORKS/AP

Le dernier Steven Spielberg, Lincoln, qui retrace la bataille du 16eprésident américain pour l’adoption du 13e amendement abolissant l’esclavage aux Etats-Unis a permis sa ratification tardive et officielle dans l’Etat du Mississippi… 148 ans après, commente le Clarion Ledger.

C’est un professeur d’université, Ranjan Batra qui, après avoir vu le film et fait une rapide recherche sur Internet pour connaître les Etats ratificateurs, s’est rendu compte que le Mississippi n’avait toujours pas ratifié l’amendement.

Historiquement, après le vote de l’amendement par le Congrès en janvier 1865, ce dernier avait été proposé aux Etats fédérés pour ratification. Le 6 décembre 1865, il avait reçu les deux tiers des votes nécessaires grâce à la ratification de la Géorgie. Le Delaware, le Kentucky, le New Jersey et le Mississippi avaient clairement rejeté la mesure.

Dans les années suivantes, ces Etats ont ratifié le 13e amendement, à l’exception du Mississippi, qui a attendu 1995 pour faire cette démarche.

Cependant, comme le note le site U.S. Constitution, «comme l’Etat ne l’a jamais notifié à l’Archiviste des Etats-Unis, la ratification n’est pas officielle».

L’envoi de la copie de la ratification au Bureau du registre fédéral des archives nationales est en effet nécessaire pour sa prise en compte officielle. Mais cela n’a pas été le cas pour le Mississippi en 1995, pour des raisons qui restent toujours inconnues.

Un collègue de Batra, Ken Sullivan, contacta alors le bureau du secrétaire d’Etat Delbert Hosemann, qui accepta de faire les démarches nécessaires. Le 30 janvier dernier, la copie de la résolution de 1995 adoptée par le Parlement du Mississippi a ainsi été enfin envoyée. L’accusé de réception du Registre fédéral, reçu le 7 février a alors officiellement entériné la ratification du 13e amendement de la Constitution.

Lincoln, nommé dans douze catégories aux prochains Oscars, a en revanche eu un impact négatif pour un autre Etat, le Connecticut.

Après avoir vu dans le film deux membres du Congrès du Connecticut voter contre l’abolition de l’esclavage, Joe Courtney, aussi représentant du Connecticut au Congrès, a tenu à vérifier les faits. Et il découvrit que Spielberg s’était bien trompé sur ce point, tous les représentants du Connecticut ayant voté en faveur du 13eamendement à la Chambre des Représentants.

Dans une lettre envoyée au réalisateur et à Dreamworks, l’élu a alors demandé que la modification soit apportée, afin que son Etat ne soit pas mis injustement du mauvais côté de l’histoire, surtout pour un thème aussi sensible que l’esclavage.

http://www.slate.fr

Le sauvetage d’un chaton, coincé depuis des jours… dans une statue !


Comment ce petit chaton s’est rendu dans la statue d’Abraham Lincoln ? Se peut-il qu’une personne ai eu l’idiotie de le faire glisser dans ce monument .. ? Il a été chanceux malgré tout d’être secouru et adopté
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Le sauvetage d’un chaton, coincé depuis des jours… dans une statue !

 

 

Ce petit chaton est un miraculé ! Si sa vie a plutôt mal commencé, l’animal âgé de seulement 3 semaines se révèle être finalement un grand chanceux…

C’est en Floride, aux Etats-Unis, que le petit chat est né, et qu’il a été sauvé. Son histoire est incroyable !Pendant plusieurs jours, il est resté coincé dans une statue de l’ancien président américain Abraham Lincoln. Comment ? Cela reste un mystère.

La statue miaulait…

Mais le plus important est sans doute qu’il ait pu être secouru, grâce aux habitants de la ville de Clermont. Ceux-ci ont en effet entendu des miaulements pendant 3 jours, et ont mis du temps avant de découvrir leur provenance.

Les cris venaient d’une statue d’Abraham Lincoln du musée Presidents Hall of Fame, qui renferme de nombreux souvenirs des présidents américains, et des répliques de nombreuses pièces de la Maison Blanche.

Alerté, le personnel du musée a appelé les pompiers, et contacté l’association de protection animale Humane Society.

Daniel Davis, un membre de l’association, s’est joint aux secouristes pour les aider à libérer le chat de son piège. Pour s’assurer que l’animal était réellement emprisonné dans la statue, il l’a appelé en imitant des miaulements. Il a alors obtenu une réponse, et sans plus attendre, les pompiers se sont mis au travail.

Pour secourir le chat, ils ont du découper une ouverture dans le dos de la statue. Un homme a alors pu se glisser à l’intérieur.

un chaton coincé dans une statue sauvé
C’est dans cette statue que le petit chat était emprisonné

Le chaton miraculé baptisé… Abe !

Après plusieurs minutes d’attente et de tension, le pompier est ressorti avec un tout petit chaton entre les mains.

L’animal et son héros ont été accueillis sous les acclamations des nombreuses personnes venues assister àce drôle de sauvetage, qui a été filmé par une chaîne de télévision. Une serviette chaude et de la nourriture attendaient le chaton, qui est en ce moment soigné pour une déshydratation.

Et sans aucune hésitation, spectateurs et secouristes ont décidé de le baptiser Abe, le surnom qui était donné à  Abraham Lincoln.

Quel autre nom aurait bien pu porter ce chat ?

un chaton coincé dans une statue sauvé
Le chaton souffrait de déshydratation

Tandis que les pompiers continuent aujourd’hui de s’interroger sur la façon dont Abe a bien pu entrer dans la statue – il y a bien un trou dans le monument, mais trop haut pour le chat ait pu y sauter -l’animal a déjà trouvé un foyer.

Le conservateur du musée a en effet décidé de l’adopter.

http://wamiz.com

Tromper les gens


Si on pense qu’on peut mentir a tous le monde tout le temps, c’est qu’on est vraiment naif … Un moment donné tout fini par se savoir, la vérité ne demande qu’on pointé son nez …
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Tromper les gens

 

« Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps. Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps. Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.  »

Abraham Lincoln

Les chaines


C’est comme dans toutes choses quand on voit des injustices et qu’on se tait .. c’est qu’on devient indifférent a la misère des autres .. et de notre propre misère
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Les chaines

 

« Lorsque l’homme s’habitue à voir les autres porter les chaînes de l’esclavage, c’est qu’il accepte lui-même un jour de les porter.  »

Abraham Lincoln

L’avenir du sou noir est aussi incertain aux É.-U.


Les États-Unis vont-il emboîter le pas d’éliminer la cenne noire, il semblerait que pour une fois des américains trouvent que le gouvernements canadiens a eu une bonne idée .. ( Budget fédéral ►Finis les sous noirs)  alors que d’autres qui ont toutes les misères a acceptez le  un dollars en pièces de monnaie, croyez-le ou non y voient un complot communisme .. Mais qu’en fait c’est que des personnes y voient une grosse pertes d’argent dans la vente de leur métaux pour fabriquer les pièces de monnaie
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L’avenir du sou noir est aussi incertain aux É.-U.

 

WASHINGTON – La décision du gouvernement canadien de faire disparaître progressivement la «cenne noire» a relancé aux États-Unis le débat sur la pertinence de la vénérable pièce de monnaie.

La décision canadienne a été encensée, vendredi, notamment sur la page Facebook du groupe Citizens for Retiring the Penny, dont le slogan est «N’est-il pas agaçant?».

«Si le Canada peut le faire, pourquoi pas nous?», demande Aaron R. Piven.

«Bravo!, ajoute un internaute. Le Canada a pris la bonne décision! Espérons que les États-Unis fassent bientôt de même.»

L’idée d’éliminer la pièce d’un cent, qui porte l’effigie de l’ancien président Abraham Lincoln, est discutée depuis des années aux États-Unis, où la production d’un sou coûte… 2,4 cents US.

Le journaliste David Owen — qui s’est déjà prononcé en faveur de l’abolition du cent et a jadis louangé la décision du Canada d’aussi retirer les billets de 1 $ et 2 $ — a de nouveau félicité le Canada pour sa position innovatrice.

«Le Canada est et a été un pionnier, et ce à plusieurs chapitres, y compris en éliminant le billet de 1 $, en utilisant des métaux différents et moins dispendieux — des choses que les Américains hésitent à faire, a-t-il dit lors d’une entrevue accordée vendredi. Je ne sais pas si les Américains se feront jamais à l’idée. Il y a un lien sentimental envers le sou (…) Nous en voudrons probablement tant que nous continuerons à utiliser du liquide, tant que les gens ne paieront pas avec leur téléphone cellulaire.»

Le lobby américain du zinc compte parmi les principaux opposants à la disparition du sou noir, tout comme les lobbyistes du nickel s’opposent à l’abolition de la pièce de cinq cents. Un autre groupe, Americans for Common Cents, affirme que la disparition du sou nuirait aux consommateurs, en incitant les détaillants à arrondir leurs prix vers le haut — une hypothèse ridiculisée par M. Owen.

«L’idée que vous allez être exploités par les marchands, qu’ils factureront quelques cents de plus sans le sou — ce n’est pas le cas. La plupart des marchands sont heureux d’arrondir leurs prix en votre faveur. Ils ne veulent simplement plus avoir à gérer le sou», a-t-il dit.

M. Owen reconnaît que les Américains semblent allergiques au changement, citant en exemple la piètre réception accordée à la pièce de 1 $.

«Un des problèmes — en plus du fait que certains Américains pensent que c’est un complot communiste —, c’est que le dollar ressemble de près à la pièce de 25 cents. Il ne circule donc pas librement et quand les gens en obtiennent un, ils le gardent comme si c’était un objet rare, a-t-il expliqué. Contrairement à ce qu’on voit ailleurs, il ne semble pas y avoir ici de réaction rationnelle aux changements liés à la monnaie.»

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