La viande américaine a un petit goût de doigt de travailleur


Le titre porte un peu à confusion, enfin espérons-le !!! Travailler dans une usine de viande est à ses risques et périls, car la vitesse des lignes est souvent trop rapide et s’en suit des accidents tel que des amputations, brûlures, troubles musculosquelettiques, le syndrome du canal carpien … Alors que bien, des maux pourraient être évités simplement en diminuant la vitesse des lignes.
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La viande américaine a un petit goût de doigt de travailleur

 

Travail à la chaine dans les usines de transformation  | Capture d'écran via Youtube CC License by

Travail à la chaine dans les usines de transformation | Capture d’écran via Youtube CC License by

Repéré par Nina Pareja

Repéré sur The Guardian

Amputations en série, doigts cassés, brûlures au second degré et trauma crânien… Ce sont les blessures les plus courantes dont souffrent les travailleurs et travailleuses des usines de transformation de viande aux États-Unis, selon les révélations d’une enquête conjointe entre le Guardian et l’agence d’investigation du journalisme américain.

Les travailleurs et travailleuses américaines de l’industrie de la viande ont trois fois plus de risques de souffrir de sévères blessures que la norme, mais ceux et celles qui travaillent à l’abattage des porcs et bœuf ont sept fois plus de risques de souffrir de troubles musculosquelettiques. Leurs syndicats représentatifs sont inquiets car le gouvernement est actuellement en train de débattre de la fin des limites de vitesses des lignes d’acheminement des viandes dans les usines.

Risque au travail

L’administration américaine de sûreté et de santé (OSHA) affirme qu’on recense au moins dix-sept blessures graves par mois dans les usines de traitements de la viande –classifiées comme impliquant «hospitalisations, amputations où perte d’un œil».

Il y aurait au moins deux amputations par semaine et ce sont très souvent des doigts ou des morceaux de doigts, même s’il arrive parfois que cela concerne un pied, un bras ou des orteils. En trente mois, entre 2015 et 2017, 550 blessures graves ont été enregistrées sur vingt-deux États pour estimer les chiffres réels.

Le Guardian fait état de certaines histoires: un employé s’est penché et sa veste s’est coincée dans un rouleau, ce qui lui a broyé le bras et la main. Un autre séparait les côtes de la colonne vertébrale d’un boeuf et s’est retrouvé avec deux doigts en moins à cause d’une scie verticale.

Ce sont aussi les infections chroniques qui posent problème, car elles laissent les employées et employés handicapés à vie. Les syndromes du canal carpien (mains et poignets) dans l’industrie en général seraient responsables de deux milliards de dollars de traitements par an (1,7 milliard d’euros) aux États-Unis.

Augmentation de la vitesse: deux camps

L’un des travailleurs a témoigné auprès du département américain de l’agriculture (USDA):

«Toutes les personnes avec qui je travaille se sont blessées à un moment, avant d’ajouter, je peux témoigner que la vitesse des lignes est déjà trop rapide pour garder le rythme. S’il vous plait, je vous demande de ne pas l’augmenter».

Un autre a confié au Guardian que les patrons de son usine demandent aux salariés de mettre de la glace sur leurs mains pendant les pauses quand certains se plaignent de douleur.

«Quand je rentre chez moi, je dois étirer mes mains, mais je ressens un pincement, ça fait mal… On ne s’habitue jamais. Je le fais pour ma famille, je n’ai pas d’éducation», témoigne l’homme de 50 ans.

Si la vitesse des lignes des usines qui acheminent la viande à découper est accélérée, en plus des risques de blessures, les travailleurs et travailleuses seront encore plus exposées aux maladies liées à la répétition des mouvements.

Depuis vingt-cinq ans, des efforts ont été fournis après l’établissement d’un guide par l’OSHA. Selon l’agence américaine de statistiques au travail, cette année 5,3% des travailleurs et travailleuses à plein temps ont subi des blessures.

En enlevant certains bouchons qui bloquent la vitesse des lignes d’acheminement, les postes liés à l’inspection du respect des consignes pourraient être diminués ou redirigés. C’est ce qui intéresse le département de l’agriculture des États-Unis: la réduction des coûts. Il se justifie en expliquant que la fin de cette limitation ne signifiera pas automatiquement l’accélération des lignes, au contraire, chaque usine pourra choisir son rythme, assure-t-elle.

http://www.slate.fr/

La Norvège autorise l’abattage de «70 %» de ses loups


Je peux comprendre que les paysans ne veulent pas perdre leur brebis à cause des loups, mais c’est dans leur nature d’être des prédateurs. Ils attaquent pour survivre ! Et tuer des loups à cause de la perte de leurs bêtes est contre nature.
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La Norvège autorise l’abattage de «70 %» de ses loups

 

Entre 65 et 68 loups ont été recensés... (photo Gerry Broome, archives AP)

Entre 65 et 68 loups ont été recensés l’hiver dernier en Norvège, selon l’organisme spécialisé Rovdata.

PHOTO GERRY BROOME, ARCHIVES AP

La Norvège a autorisé vendredi l’abattage de 47 loups, une espèce pourtant menacée d’extinction dans le pays, provoquant un tollé chez les défenseurs de ces animaux.

« On n’a rien vu de tel depuis près de 100 ans, quand la politique d’alors était d’exterminer tous les grands carnivores », s’est emportée Nina Jensen, secrétaire générale du Fonds mondial pour la nature (WWF) en Norvège, en dénonçant un « abattage massif ».

« Abattre 70 % de la population de loups n’est pas digne d’une nation verte », a-t-elle ajouté dans un communiqué.

Entre 65 et 68 loups ont été recensés l’hiver dernier en Norvège, selon l’organisme spécialisé Rovdata, et au moins 25 autres dans les régions frontalières avec la Suède voisine. S’y ajoute aussi un nombre indéterminé de louveteaux nés en avril-mai, la période normale de mise à bas.

Les éleveurs se plaignent régulièrement des ravages que le prédateur provoque dans leurs troupeaux de brebis.

« Nous trouvons la raison (de l’abattage) justifiée et intelligente, notamment le potentiel de nuisance que ces meutes de loups représentent pour l’élevage », a estimé Erling Aas-Eng, responsable régional d’une organisation paysanne, à la radio NRK.

Sans fournir un nombre exact d’individus souhaité, le Parlement norvégien a convenu début juin de limiter à entre quatre et six le nombre de portées annuelles, dont au moins trois pour la seule population nationale, le reste bénéficiant aux meutes transfrontalières.

Comptant sept meutes comprenant un couple reproducteur, « la population norvégienne est donc supérieure à la population cible décidée nationalement », a indiqué la direction norvégienne de l’environnement.

En incluant les individus ayant quitté l’aire géographique où ils sont tolérés et où leur prélèvement est donc généralement décrété, les autorités régionales de gestion de la faune ont donc chiffré à 47 le nombre de loups à abattre durant l’automne et l’hiver à venir.

Le loup est classé comme espèce « en danger critique d’extinction » sur la liste norvégienne des animaux en danger.

http://www.lapresse.ca/

Brésil: la disparition du jaguar met en péril la forêt atlantique


Je peux comprendre la rogne des agricultures qui peine à protéger leurs animaux, mais exterminer l’animal qui est au-dessus de la chaine alimentaire, cela va avoir de graves conséquences. De plus, pourquoi qu’un animal est chassé alors qu’il n’y a même pas assez de territoire pour qu’il puisse vivre sans embêter les être humain
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Brésil: la disparition du jaguar met en péril la forêt atlantique

 

Parmi les causes principales de cette réduction spectaculaire... (PHOTO AGENCE FRANCE PRESSE)

Parmi les causes principales de cette réduction spectaculaire du nombre de jaguars, figurent la chasse et l’abattage. Les agriculteurs n’hésitent pas à tuer un jaguar qui leur a mangé une vache, selon le biologiste Pedro Galetti à Folha.

PHOTO AGENCE FRANCE PRESSE

Agence France-Presse
RIO DE JANEIRO

Le jaguar est en voie de disparition dans la forêt tropicale atlantique, ce qui met en danger cette forêt primitive brésilienne dont il ne reste plus que 7 % le long de la côte sud-est, avertissent les scientifiques.

Une étude menée par le Centre brésilien de recherche et conservation des mammifères carnivores (CENAP) et diffusée lundi montre qu’aujourd’hui il ne doit rester que 250 jaguars adultes dans la forêt atlantique, soit «une chute de 80 % au cours des quinze dernières années».

Le plus inquiétant est qu’à peine 20 % des jaguars restants, soit une cinquantaine, sont en âge de maturité sexuelle, selon l’étude.

Comme le jaguar (Panthera onca) est au sommet de la chaîne alimentaire, c’est tout ce corridor de biodiversité de 7,4 millions d’hectares sur la côte Atlantique qui est menacé, souligne Ronaldo Morato, le chef du Cenap cité par le quotidien Folha de Sao Paulo.

Il explique que le félin est prédateur d’herbivores comme le cerf ou le cabiai (ou capybara) et que sa raréfaction pourrait entraîner un grand déséquilibre environnemental et «la fin prochaine de la forêt atlantique».

Parmi les causes principales de cette réduction spectaculaire du nombre de jaguars, figurent la chasse et l’abattage. Les agriculteurs n’hésitent pas à tuer un jaguar qui leur a mangé une vache, selon le biologiste Pedro Galetti à Folha.

Le Cenap entamera la semaine prochaine de nouvelles recherches pour recueillir des informations sur les mammifères restants. Il utilisera des images satellites pour identifier quelles zones de la «Mata Atlantica» sont effectivement fréquentées par les jaguars afin de mieux protéger leur habitat.

La forêt atlantique est l’écosystème le plus dévasté du Brésil. Elle recouvrait jadis 15 % de tout le territoire brésilien et aujourd’hui elle a déjà disparu à près de 93 %. Il n’en reste que 28 600 km2, la majeure partie dans des réserves forestières, selon la Fondation SOS Mata Atlantica.

Cet écosystème a été déclaré patrimoine naturel par l’UNESCO en 1999.

http://www.lapresse.ca/

Autorisation d’abattage de 3000 blaireaux


Je peux comprendre que les fermiers ne veulent pas avoir des vaches malades du a la transmissions de la tuberculose du aux blaireaux. Mais est-ce que c’est vraiment une solution d’extermination d’une espèces animales, c’est un massacre, un génocide comme seul l’humain sait faire
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Autorisation d’abattage de 3000 blaireaux

 

Autorisation d'abattage de 3000 blaireaux

Photo: Fotolia

Les défenseurs des animaux se sont indignés mardi de la décision des autorités britanniques qui ont autorisé l’élimination dans près de 300 fermes du Gloucestershire (sud-ouest) de 3000 blaireaux, une espèce protégée, afin d’éviter la transmission de la tuberculose aux bovins.

L’agence gouvernementale britannique Natural England a pris cette décision à la suite du feu vert de la Haute Cour de Londres en juillet dernier à l’élimination de milliers de ces animaux.

La juridiction avait été dans le sens de l’argumentation du gouvernement britannique qui faisait valoir que la tuberculose bovine s’était étendue à de grandes zones de l’ouest et du sud-ouest de l’Angleterre, ainsi qu’au Pays de Galles, et que la vaccination des blaireaux n’était «pas une réponse suffisante au problème».

Le «Badger Trust», l’association de protection des blaireaux, avait dénoncé une position ouvrant la voie au massacre «absurde» de 40 000 d’entre eux ces quatre prochaines années.

Mardi, l’une des principales organisations de protection des animaux (RSPCA) s’est dite «dévastée» par la décision de Natural England et a appelé à élargir le programme de vaccination.

«Soignons au lieu de tuer», a appelé de ses voeux la RSPCA.

Les blaireaux sont de grands vecteurs de la tuberculose bovine et sont capables de retransmettre la maladie au bétail.

En 2010/2011, la maladie a entraîné l’abattage de plus de 26 000 bovins en Angleterre, une perte estimée à 91 millions de livres.

http://fr.canoe.ca

«De la pâture à l’assiette» Chevaux torturés en Outaouais


Je n’ai pas été capable de voir toute la vidéo et pourtant j’ai quand même le coeur solide,  mais c’est vraiment c’est cruel. J’ai honte de ma région pour ce qui attrait de l’abattage de chevaux et je jamais au grand jamais je ne mangerais du cheval ..
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«De la pâture à l’assiette»

Chevaux torturés en Outaouais

Chevaux torturés en Outaouais

Crédit photo : YouTube

Agence QMI

Un groupe de défense des animaux a mis en ligne une vidéo à faire lever le cœur, montrant un horrible abattage de chevaux à l’aide d’un pistolet d’étourdissement, ou pistolet d’abattage.

Les images choquantes, mises en ligne lundi, auraient été filmées à l’abattoir Les Viandes de la Petite-Nation, à Saint-André-Avellin dans l’Outaouais. On y voit des chevaux partiellement inconscients, totalement effrayés, perdant l’équilibre, certains hennissants, en train de recevoir de nombreux coups de pistolet paralysant avant de succomber.

La Coalition pour la défense du cheval canadien a montré la vidéo, qui a été obtenue d’une source anonyme, au Dr Nicholas Dodman de l’école de médecine vétérinaire à l’Université Tufts, au Maryland.

Attention: cette vidéo présente des images choquantes

Ma conclusion, après examen de l’abattage […], est que le processus est terrifiant pour la plupart des chevaux et dans de nombreux cas, horriblement inhumain», a-t-il déclaré lundi dans un communiqué.

Le groupe de défense affirme que plus de 40% des chevaux n’étaient pas rendus inconscients du premier coup, comme l’exigent les règlements sur l’abattage sans cruauté des animaux.

C’est le quatrième abattoir au cours des dernières années qui est pris en défaut parce qu’il viole la réglementation de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, a indiqué le groupe de défense des animaux.

Sur son site web, la compagnie se dit pourtant «très fière de son système de manutention des animaux», imaginé par le célèbre expert Temple Grandin de l’Université de Colorado State.

«Respect, bien-être et attention sont portés aux animaux afin de diminuer le stress et rehausser la qualité de la viande», peut-on lire sur le site web de l’entreprise.

Rejointe lundi soir par TVA Nouvelles, l’entreprise a refusé de commenter la nouvelle.

http://tvanouvelles.ca