Bonne pensées
Il est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu’elles sont gravées dans la mémoire vous donnent de bonnes pensées.
Winston Churchill
Bonne pensées
Il est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu’elles sont gravées dans la mémoire vous donnent de bonnes pensées.
Winston Churchill
Un genre de discours que nous ne sommes pas habituées d’entendre surtout avec les hostilités entre les États-Unis et l’Iran. Pourtant, un général de l’armée idéologique de la République islamique a avoué que ce fut une erreur de jugement d’un des opérateurs. Cela n’excuse pas tous ces morts … mais l’homme était ce qu’il ai doit absolument éviter des victimes innocentes peu importe le pays qu’il protège ou qu’il attaque. La guerre, les conflits, c’est nul !
Nuage
PHOTO EBRAHIM NOROOZI, ASSOCIATED PRESS
L’Iran a reconnu vendredi avoir abattu accidentellement l’appareil d’Ukraine International Airlines ayant décollé mercredi avant l’aube de l’aéroport international Imam Khomeiny de Téhéran.
(Téhéran) L’opérateur de missile qui a abattu le Boeing ukrainien mercredi à Téhéran a fait feu sans pouvoir obtenir la confirmation d’un ordre de tir à cause d’un « brouillage » des télécommunications, a affirmé samedi un général iranien.
AGENCE FRANCE-PRESSE
Le soldat a pris l’avion pour un « missile de croisière » et il a eu « 10 secondes pour décider », a déclaré le général de brigade Amirali Hajizadeh, commandant de la branche aérospatiale des Gardiens de la Révolution iraniens, l’armée idéologique de la République islamique.
« Il pouvait décider de tirer ou de ne pas tirer [mais] il a pris la mauvaise décision », a ajouté l’officier.
« C’était un missile de courte portée qui a explosé près de l’avion. C’est ce qui explique que l’avion a pu » continuer de voler, a encore déclaré le général dans une déclaration retransmise par la télévision d’État.
« J’endosse la responsabilité totale [de cette catastrophe] et je me plierai à toute décision qui sera prise », a encore dit le général, ajoutant : « J’aurais préféré mourir plutôt que d’assister à un tel accident. »
Cent soixante-seize personnes, majoritairement des Iraniens et des Canadiens, mais aussi des Ukrainiens, des Suédois, des Britanniques et des Afghans, étaient à bord du vol PS572 d’Ukraine International Airlines ayant décollé mercredi avant l’aube de l’aéroport international Imam Khomeiny de Téhéran.
Toutes ont péri dans le drame, survenu quelques minutes après l’envol.
« Erreur impardonnable »
« L’enquête interne des forces armées a conclu que de manière regrettable des missiles lancés par erreur ont provoqué l’écrasement de l’avion ukrainien », a affirmé le président iranien Hassan Rohani, parlant d’une « grande tragédie » et d’une « erreur impardonnable ».
Le guide suprême d’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, a exhorté à faire le nécessaire « pour éviter la répétition de pareil accident ».
Plus tôt, le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif avait déjà exprimé des « excuses », tout en déplorant une « erreur humaine en des temps de crise causée par l’aventurisme américain [qui] a mené au désastre ».
« Placées au plus haut niveau d’alerte pour répondre [à d’] éventuelles menaces » américaines, les forces armées ont expliqué dans un communiqué de leur état-major que l’appareil avait été pris pour une « cible hostile ».
L’avion semblait en effet s’approcher d’un « centre militaire sensible » des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique, selon eux.
Vous savez au Québec a comparer au reste du Canada, la monarchie n’a pas d’importance, la majorité en fait, croit que la Reine ne devrait plus avoir un regard sur le Canada et encore moins au Québec. C’est désuet et c’est de l’argent à mon avis gaspillé. Bien que le couple Meghan et Harry veulent se départir de leurs rôles, et parlent de venir rester quelques mois en Amérique du Nord, la question est qui va payer ? Ce n’est plus un séjour, mais des mois qui risquent de coûter des millions. Par exemple, s’ils viennent au Canada et gardent leur titre, c’est la GRC qui doit assurer leur protection, si par contre, ils perdent leurs titres alors c’est eux qui devront faire les frais, ce qui, je crois serait plus juste.
Nuage
PHOTO DANIEL LEAL-OLIVAS, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE
Le prince Harry et sa femme, Meghan, ont passé six semaines de vacances au Canada, notamment durant les Fêtes.
La décision du prince Harry et de sa femme, Meghan, de prendre leurs distances de leurs rôles « séniors » dans la famille royale a causé bien des remous. Au Canada, une question demeure : les contribuables paieront-ils le prix de la décision du couple, qui pourrait s’installer une partie de l’année au pays ?
JANIE GOSSELIN
LA PRESSE
« Les coûts pour assurer la protection des membres de la famille royale pendant une visite au Canada sont prévus dans l’actuel budget de fonctionnement [de la Gendarmerie royale du Canada], a indiqué dans un courriel Catherine Fortin, des services nationaux de communication de la GRC. Pour des raisons de sécurité et étant donné que l’élaboration des plans de sécurité n’est pas encore terminée, nous ne pouvons pas divulguer les coûts. »
Or, on ne sait pas quel statut auront le duc et la duchesse de Sussex dans un proche avenir. Si Harry et Meghan ont annoncé vouloir renoncer à leur allocation royale et obtenir leur indépendance financière, ils ont aussi indiqué vouloir conserver leurs titres, l’usage d’une résidence sur les terres du château de Windsor et une protection policière.
Altesses royales, ils jouissent en ce moment de la protection internationale accordée aux personnalités officielles étrangères.
Il reste à voir s’ils seront ici en tant que membres civils ou représentants de la reine. Vali Majd, directeur des services de protection de la firme de sécurité JTFSecurity Group
D’autres membres de la famille royale ont déjà perdu leur protection officielle en la quittant, comme la mère de Harry, la princesse Diana. Elle avait alors dû se tourner vers des gardes du corps privés pour sa protection quotidienne.
Une partie de l’année en Amérique du Nord
Le couple a annoncé son intention de passer une partie de l’année en Amérique du Nord, sans préciser dans quel pays. Bien que Meghan soit d’origine américaine, elle a travaillé à Toronto et le couple vient de passer ses vacances en Colombie-Britannique.
M. Majd doute que Harry et Meghan puissent refuser toute protection pour vivre comme de simples citoyens.
« C’est très peu probable », estime-t-il, les jugeant trop populaires pour renoncer à une garde rapprochée, même privée.
Le couple a passé six semaines de vacances au Canada, notamment durant les Fêtes. La GRC a confirmé à La Presse avoir été appelée à assurer sa sécurité durant cette période, refusant d’en dire plus sur le coût et le nombre d’agents mobilisés.
Harry et Meghan ont annoncé mercredi qu’ils renonçaient à leur rôle de premier plan au sein de la famille royale britannique.
Une porte-parole du couple a confirmé à l’Agence France-Presse le retour de Meghan au Canada, malgré les nombreuses critiques déclenchées par l’annonce. Le fils du couple, Archie, âgé de 8 mois, était resté en Colombie-Britannique.
Un spécialiste new-yorkais de la sécurité, Mike Zimet, a déclaré à Reuters que les frais de protection du couple pourraient s’élever à « des millions de dollars ».
Tempête médiatique
On ne sait pas pour l’instant comment le duc et la duchesse atteindront leur indépendance financière. L’allocation royale à laquelle ils ont renoncé ne représente que 5 % de leurs revenus.
Harry et Meghan ont fait déposer la marque « Sussex Royal », selon un avis publié en décembre par l’organisme britannique chargé de la propriété intellectuelle. Elle couvre des domaines très divers, des calendriers et cartes postales aux vêtements, en passant par les services de consultation ou les campagnes caritatives.
En ce moment, Harry et Meghan sont au cœur d’une tempête médiatique. Selon la presse britannique, la reine Élisabeth II n’a pas été consultée par son petit-fils et sa femme avant l’annonce de leur décision. Elle aurait exhorté des membres de la famille à trouver une solution.
— Avec Louise Leduc, La Presse, l’Agence France-Presse et Reuters
En 300 ans, notre température corporelle a baissé. Ce n’est donc plus 37 C, mais environ 36,6 C. La cause n’est pas encore vérifiée, peut-être ayant de meilleur soin de santé notre corps n’a plus à maintenir une température plus haute.
Nuage
La température corporelle a baissé de 0,03°C par décennie depuis le milieu du XIXe siècle. | Oleg Ivanov via Unsplash
Repéré par Robin Tutenges
Repéré sur New Scientist
Nos organismes se sont refroidis avec le temps.
Tout le monde le sait, la température corporelle normale est de 37° Celsius. Ce que l’on ne sait pas, c’est que tout le monde se trompe! Il semblerait que cette mesure, déterminée en 1851, date un peu. Une révision s’imposait, et c’est l’École de médecine de l’université américaine de Stanford qui s’en est occupée.
L’équipe scientifique chargée de l’étude a combiné trois ensembles de données de température corporelle étalées sur les trois derniers siècles, afin de mesurer si oui ou non, notre corps a changé de température.
Les premières données n’ont pas été les plus faciles à trouver. Les scientifiques ont réussi à mettre la main sur les températures corporelles de 23.710 vétérans de l’armée de l’Union de la guerre de Sécession, relevées entre 1860 et 1940. Les autres données récoltées s’étalaient de 1971 à 1975 et de 2007 à 2017. Au total, l’équipe a analysé 677.423 mesures de température.
Disparités entre femmes et hommes
Selon l’étude, qui a donc été réalisée sur des Américain·es, la température normale d’un corps sain est plus basse qu’on ne l’imaginait. Les scientifiques de l’université Stanford établissent la température corporelle moyenne en 2020 à environ 36,6°C.
En moyenne, la température corporelle a baissé de 0,03°C par décennie, mais il existe des disparités entre les hommes et les femmes. Les hommes nés au début du XIXe siècle avaient des températures corporelles 0,59°C plus élevées que ceux d’aujourd’hui. Chez les femmes, la température corporelle a baissé de 0,32°C depuis les années 1890.
Julie Parsonnet, membre de l’équipe de recherche, précise que les thermomètres utilisés à l’époque étaient tout à fait fiables. Pour preuve, la même tendance au refroidissement est repérée sur les données récentes:
«Le déclin que nous avons observé entre les années 1860 et 1960 est également visible des années 1960 à aujourd’hui», indique-t-elle.
Système immunitaire moins actif
Comment expliquer ce phénomène? Bien qu’aucune étude n’ait encore apporté de réponse, Julie Parsonnet estime que cette différence s’explique au niveau microbiologique.
De nos jours, nous développons moins d’infections que nos aïeux, notamment grâce aux vaccins et aux antibiotiques. Notre système immunitaire serait donc moins actif et nos tissus corporels moins inflammés.
Si l’on se prête à un rapide calcul en suivant cette logique, dans 12.200 ans, notre température corporelle sera de… 0°C. Pas de panique, rassure Julie Parsonnet:
«Il va y avoir une limite, nous n’allons pas descendre à zéro. Mais on ne sait pas encore quelle sera cette limite.»
J’imagine l’étonnement des habitants au Nord du Niger qui n’ont jamais vu de la neige de leur vie, voit cette poudre blanche s’étaler sur le sol. Il ne devait pas faire très chaud non plus pour eux.
Nuage
par Adrien Gingold
Le climat change et les records tombent. Après les records de chaleur dramatiques enregistrés fin décembre en Australie, il a neigé pour la toute première fois sur le nord du Niger, comme nous l’apprenait le site Africaxo vendredi 4 janvier.
C’est la première fois qu’il neige au Niger depuis des décennies, et la toute première fois dans le nord du pays. En ce début janvier 2020, les habitants de la zone septentrionale de ce pays d’Afrique de l’Ouest et plus précisément de la localité d’Iguiza, située à 255 km d’Agadez, chef-lieu de la région, ont vu de la glace tomber du ciel.
Selon le site et certains observateurs, cette rareté pourrait également constituer une aubaine touristique pour cette partie du pays.
Source : Africaxo