Le Saviez-Vous ► Le plus petit chat sauvage au monde


Quand on parle de chat sauvage, on pense à un gros chat comme un lion, guépard, tigre et autres, mais il existe un mignon petit chat sauvage qui vit au Sri-Lanka. Il vit la nuit et il est un chasseur comme tous les autres chats.
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Le  plus petit chat sauvage au monde

Une vraie merveille de la nature. 

La nature est pleine de trésors et de surprises. Par exemple, connaissiez-vous le chat rubigineux ? Il s’agit du plus petit chat sauvage au monde, et il est absolument adorable !

Un matou de poche

Vivant dans les forêts du Sri Lanka, mais aussi en Inde et au Népal, le chat rubigineux mesure entre 35 cm et 48 cm. Il est donc vraiment tout petit. Créatures nocturnes, ces chats se cachent la majeure partie de la journée dans des grottes ou dans les arbres afin d’éviter les prédateurs. Leur activité principale se déroule donc la nuit. 

Ainsi, lorsque la nuit tombe, le petit félin part à la chasse pour se nourrir. S’il consomme principalement des rongeurs et des oiseaux, le chat rubigineux ne dit pas non aux grenouilles et autres lézards !

Comme le bison d’Amérique, le capucin noir, le lémurien à front roux et plusieurs autres animaux sauvages, le chat rubigineux figure également sur la liste des espèces menacées. Principalement parce que son habitat naturel, les forêts de feuillus, est en déclin.

https://wamiz.com/

L’État de New York va poursuivre les gynécologues pratiquant les «tests de virginité»


Il y a quelques années, un ami qui était sur le point de se marier, me disait qu’il avait refusé que sa fiancée passe un test de virginité même si c’était la coutume dans son pays. Il disait peu importe, cela ne le regardait pas. Alors lire qu’il y a des gynécologues qui font le test de virginité en Amérique est stupéfiant, et même offusquant surtout que l’hymen peut être brisé en l’absence de relation sexuelle. De plus, c’est des hommes qui demandent ce genre de test de virginité. Et les hommes eux ? Sont-ils vierge ? Doit-on les croire sur parole ?
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L’État de New York va poursuivre les gynécologues pratiquant les «tests de virginité»

Empty gang chairs | Francisco Jacquier via Unsplash

Empty gang chairs | Francisco Jacquier via Unsplash

Repéré par Thomas Messias

Repéré sur The Independent

Parce qu’ils sont oppressifs, violents, et parce qu’ils ne riment à rien.


Invité du podcast Ladies like us le mardi 5 novembre, le rappeur T.I affirmait aux deux animatrices médusées qu’il emmenait chaque année sa fille de 18 ans dans un cabinet de gynécologie afin de faire «vérifier son hymen et s’assurer qu’il soit toujours intact»

 Une déclaration qui avait fait grand bruit, puisqu’il avait à la fois fallu rappeler qu’aucun père n’est censé exercer de contrôle sur la sexualité de sa fille, mais également que les prétendus «tests de virginité» n’ont absolument aucun sens.

Si le «test de virginité» n’en est pas un, c’est notamment parce que la notion même de virginité peut-être remise en question, puisqu’elle fait notamment la confusion entre rapport sexuel et acte de pénétration vaginale. C’est également parce que l’hymen peut être rompu sans même qu’il y ait eu la moindre pénétration ni le moindre acte sexuel.

Pour cet ensemble de raisons, l’État de New York vient d’affirmer sa volonté de sanctionner les gynécologues qui continueraient à pratiquer ce genre d’examen destiné à dire aux parents si l’hymen de leur enfant est toujours en place, et donc à leur permettre d’exercer un contrôle intolérable (et absolument pas fiable) d’une sexualité qui ne les regarde pas.

La justice à la rescousse

Un texte de loi est en passe d’être voté: il prévoit de lourdes amendes pour les gynécologues coupables, qui s’exposent également à des poursuites judiciaires. The Independent s’est procuré un extrait de la note qui l’accompagne:

«Ces examens constituent une violation des droits des femmes et des filles. Dans les cas de viol, ils peuvent également causer des douleurs supplémentaires et reproduire les violences sexuelles qui ont eu lieu, ce qui amène la patiente à revivre les événements, à subir un nouveau traumatisme et à être de nouveau victime».

Cette note précise également que la virginité n’est pas un terme médical, mais une «construction sociale, culturelle et religieuse, représentative de la discrimination que subissent les femmes et les filles».

Espérons pour T.I, et surtout pour sa fille, qu’il puisse en prendre conscience aussi rapidement que possible.

http://www.slate.fr/

Crise climatique: l’Humanité doit arrêter de faire la «guerre» à la planète


Encore des réunions pour convaincre les gouvernements à agir contre les changements climatiques. Car bien que nous avons en temps qu’individu une responsabilité envers l’environnement, il est clair que le gouvernement ne devrait pas plier devant les compagnies, industries qui s’entêtent a ne pas baisser leur impact écologique. Malheureusement, l’avenir est basé sur l’argent et non sur l’environnement
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Crise climatique: l’Humanité doit arrêter de faire la «guerre» à la planète

Crise climatique: l’Humanité doit arrêter de faire la «guerre» à la planètePhoto: Sean Gallup/Getty ImagesLe secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres lors de la COP25

Catastrophes climatiques meurtrières, sécurité alimentaire précaire, hausse du niveau de la mer: «Nous devons mettre fin à notre guerre» contre la planète qui «rend coup pour coup», a plaidé dimanche Antonio Guterres, à la veille de l’ouverture de la COP25 à Madrid, dénonçant des engagements «totalement insuffisants» contre la crise climatique.

Combatif, le secrétaire général des Nations unies a dressé un tableau bien sombre de l’avenir de l’Humanité, confrontée à une «crise climatique».

«Le point de non-retour n’est plus loin à l’horizon, il est en vue et se rapproche de nous à toute vitesse», a-t-il déclaré.

Et les hommes en sont responsables, en particulier en raison de l’exploitation des énergies fossiles, à l’origine de la plus grande part des émissions de gaz à effet de serre.

«Nous devons tout simplement arrêter de creuser et de forer», a insisté M. Guterres. «Depuis des décennies, l’espèce humaine est en guerre contre la planète et la planète rend coup pour coup. Nous devons mettre fin à notre guerre contre la nature».

Malgré ce constat qui relaie l’alerte rouge lancée à plusieurs reprises ces derniers mois par les scientifiques, le secrétaire général de l’ONU a assuré ne pas perdre «espoir» de respecter les objectifs de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à +2°C, voire +1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle.

Mais l’espoir diminue, comme l’a souligné cette semaine le Programme de l’ONU pour l’environnement Selon son rapport annuel, pour rester sous +1,5°C, il faudrait réduire les émissions de CO2 de 7,6% par an, chaque année dès l’an prochain et jusqu’à 2030. Alors qu’il n’y a aucun signe qu’elles commencent à baisser.

Malgré la mobilisation des citoyens, des villes, des entreprises, «ce qui manque toujours, c’est la volonté politique», a dénoncé M. Guterres, insistant sur la nécessité d’arrêter les subventions aux énergies fossiles et les constructions de centrales à charbon.

Dans son viseur principalement, les pays les plus émetteurs de CO2, «qui ne font pas leur part»: «sans eux, notre objectif n’est pas atteignable».

L’UE attendue

Ainsi, seuls 68 pays se sont engagés à revoir à la hausse leurs engagements de réduction d’émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2020. Mais ils ne représentent que 8% des émissions mondiales, selon les experts, qui doutent que de grandes économies comme la Chine fassent des annonces lors la COP.

Sans parler des États-Unis qui viennent de confirmer leur retrait de l’accord de Paris l’an prochain. Alors que presque tous les pays seront représentés à Madrid au moins par un ministre, voire un chef d’Etat ou de gouvernement, une simple diplomate sera à la tête de la délégation américaine.

L’influente présidente de la Chambre des représentants, la Démocrate Nancy Pelosi, a décidé de faire le déplacement pour «réaffirmer l’engagement du peuple américain à combattre la crise climatique».

Dans un contexte diplomatique peu propice, la position de l’UE, qui sera représentée par son nouvel exécutif et une quinzaine de chefs d’État et de gouvernement, est très attendue.

«Si nous faisons bien notre travail, l’Europe de 2050 sera le premier continent du monde neutre en carbone», a déclaré il y a quelques jours la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

Les Européens, qui ne sont pas encore tous d’accord, doivent examiner cet objectif lors d’un sommet les 12 et 13 décembre.

Si l’Europe parvient à s’entendre sur l’objectif de neutralité carbone pour tous ses États membres, cela lui «donnera une autorité morale très importante pour permettre que la négociation mondiale puisse être un succès», a commenté dimanche Antonio Guterres.

Avant la publication cette semaine d’un rapport de l’Organisation météorologique mondiale, le secrétaire général de l’ONU a confirmé que 2019 allait rejoindre les quatre années précédentes dans le top 5 des plus chaudes jamais enregistrées.

Il a, d’autre part, annoncé qu’à partir de janvier l’actuel gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, allait remplacer Michael Bloomberg en tant qu’envoyé spécial de l’ONU pour le climat.

https://journalmetro.com

Les autres espèces humaines ont-elles été victimes d’Homo sapiens ?


Nous sommes la seule espèce humaine sur terre, cela n’a pas toujours été le cas. Pourtant, il y a 300 000, il y avait environ 9 espèces humaines et leur disparition aurait été causée pour l’homme moderne en prenant les armes, usant de stratégie pour s’emparer des ressources convoitée. Malgré les millénaires, cela n’a pas changé, même si parfois, nous ne prenons pas conscience de l’impact que nous avons sur les autres espèces ethniques,  animales et végétales .
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Les autres espèces humaines ont-elles été victimes d’Homo sapiens ?


Julie Kern
Rédactrice scientifique

Il fut un temps où l’Homme moderne partageait la Terre avec d’autres espèces humaines. Mais notre soif de conquête et notre intelligence les ont fait progressivement disparaître. Ils seraient les premières victimes de la sixième extinction de masse, initiée à la préhistoire et qui ravage encore le monde actuellement.

Actuellement, il n’y a qu’une seule espèce d’Homme sur Terre mais ça n’a pas toujours été le cas. Il y a 300.000 ans, elles étaient au moins neuf à parcourir le monde, comme l’Homo neanderthalensis en Europe ou l’Homo rhodesiensis en Afrique pour ne citer que les plus célèbres. Et puis, jusqu’à il y a 10.000 ans, huit d’entre elles ont disparu sans qu’on ait des preuves d’un quelconque cataclysme écologique. Pour Tim Longrich, paléontologue et spécialiste de l’évolution à l’université de Bath, le coupable serait une rencontre malheureuse avec Homo sapiens.

Homo sapiens est une espèce à la dangerosité sans pareille ! Nos ancêtres sont parvenus à exterminer des espèces comme les mammouths.

Et « nous étions une menace pour les autres populations humaines car nous convoitions les mêmes ressources et les mêmes terres » explique Nick Longrich dans son article publié par The Conversation.

Les études historiques et archéologiques suggèrent que les premières guerres entre humains primitifs étaient généralisées mais aussi sanglantes. Les armes du Néolithique comme les lances, les haches ou les arcs, bien que rudimentaires étaient redoutables. En combinant cela à des stratégies d’attaque comme l’embuscade, l’Homo sapiens était un guerrier accompli. Ses traces de violences sont toujours visibles sur les squelettes qui nous parviennent. Par exemple, celui de l’Homme de Kennewick a été retrouvé avec une pointe de flèche plantée dans le pelvis et ceux d’Homo neanderthalensis présentent des traumatismes crâniens.

 Un crâne de Néandertal présentant des traumas crâniens. © Smithsonian National Museum of Natural History

Un crâne de Néandertal présentant des traumas crâniens. © Smithsonian National Museum of Natural History

L’arme fatale

Malheureusement pour les autres, Homo sapiens possédait sans doute des armes plus sophistiquées qui lui donnaient un avantage certain dans les conflits et dans la quête de nourriture. Et en plus, il était plus malin.

« Au-delà des outils, les peintures rupestres, les sculptures et les instruments de musiques, révèlent une arme bien plus redoutable : une capacité accrue à comprendre des concepts abstraits et à communiquer. La stratégie, la coordination et la coopération ont été nos armes les plus fatales » explique Nick Longrich.

En Europe, les néandertaliens semblent avoir disparu quelques milliers d’années après l’arrivée de Homo sapiens. Auparavant, il a probablement donné du fil à retordre aux Homo sapiens ce qui suppose que lui aussi était capable d’élaborer des stratégies guerrières. Ces anciennes espèces existent encore dans nos gènes. Des restes d’ADN de Néandertal ont persisté chez certains Eurasiens. Ailleurs, les Australiens gardent une petite part de l’Homme de Denisova dans leur génome.

Des pointes de lance vieilles de 13.000 ans retrouvées au Colorado. © Chip Clark, Smithsonian Institution

Des pointes de lance vieilles de 13.000 ans retrouvées au Colorado. © Chip Clark, Smithsonian Institution

Tuer ou être tué

On peut se demander quel était l’intérêt pour nos ancêtres d’éradiquer ainsi leurs rivaux, au point de causer un génocide de masse.

« La réponse est sûrement l’augmentation des populations. Comme toutes les espèces, les humains se reproduisent de façon exponentielle. Sans contrôle, nous doublons notre population tous les 25 ans. Et depuis que l’Homme est devenu un chasseur organisé, nous n’avons plus de prédateurs » précise le paléontologue.

Sans prédation, les petits clans deviennent rapidement des grandes communautés qui s’affrontent pour les ressources disponibles. Homo sapiens n’a probablement pas planifié l’extermination de ses semblables, c’est plutôt la loi du plus fort et du plus intelligent qui aurait eu raison des espèces humaines primitives. 

« Dans la science-fiction, on imagine à quoi pourrait ressembler une rencontre avec une autre espèce intelligente comme nous mais différente. C’est très triste de penser qu’un jour nous l’avons fait et qu’à cause de cette rencontre, ils ont disparu » conclut Nick Longrich.

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Ce béton se nettoie tout seul


Un plancher en béton hydrophobe serait idéal pour n’importe quelle cuisine, dans les hôpitaux et bien d’autres endroits.
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Ce béton se nettoie tout seul


Julie Kern
Rédactrice scientifique

Des scientifiques chinois ont développé un béton hydrophobe grâce à un mélange d’huile et d’un polymère de silicone. Des propriétés autonettoyantes qui pourront intéresser autant les hôpitaux que les allergiques au ménage.

La feuille de lotus est célèbre pour ses propriétés hydrophobes : l’eau forme des gouttelettes qui glissent rapidement de la feuille si elle est penchée. Une propriété qui intéresse depuis longtemps les chercheurs en matériaux. Des scientifiques de l’University of Science and Technology of China sont parvenus à rendre le béton, pourtant particulièrement poreux, superhydrophobe comme une feuille de lotus.

Les propriétés autonettoyantes du béton développé par les scientifiques de l’University of Science and Technology of China. © American Chemical Society

Un cocktail superhydrophobe

Ce nouveau matériau est un mélange de béton classique avec un cocktail d’huile, d’émulsifiant et de polymère de silicone appelé polydimethylsiloxane (PDMS). Grâce à l’émulsifiant, l’huile forme des milliers de gouttelettes renfermant ce PDMS. Lors d’une étape de séchage et de chauffage, l’huile s’évapore du béton, laissant chacun de ses pores, d’environ 15 µm de diamètre, remplis de PDMS qui lui confère ses propriétés autonettoyantes. Il repousse les particules de poussières mais aussi les liquides, du lait en passant par la sauce soja.

Mais ce n’est pas tout, le béton ainsi traité est également est bon isolant thermique et phonique. Les propriétés autonettoyantes résistent à la chaleur et aux traitements chimiques. Selon ses créateurs, ce béton hydrophobe pourrait faire gagner du temps au personnel d’entretien dans les bureaux, mais aussi améliorer les conditions d’hygiènes dans les hôpitaux.

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