Le Saviez-Vous ► Pourquoi les oeufs des oiseaux ont-ils des couleurs différentes en fonction des espèces ?


La couleur des oeufs des oiseaux ne dépend pas comme les scientifiques l’ont longtemps cru, de l’espèce, mais bien du milieu d’où ils évoluent.
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Pourquoi les oeufs des oiseaux ont-ils des couleurs différentes en fonction des espèces ?

Pourquoi les oeufs des oiseaux ont-ils des couleurs différentes en fonction des espèces ?© Pixabay

Par Esther Buitekant

Des chercheurs américains ont enfin percé le mystère. On sait désormais pourquoi les oeufs des oiseaux ont des couleurs différentes en fonction des espèces. Une question d’exposition au soleil et de milieu.

Tout le monde s’est un jour posé la question. Pourquoi les oeufs des volatiles n’ont-ils pas tous la même couleur ? Contre toute attente, ce n’est pas une question d’espèce mais bien de milieu. Dans une étude publiée le 28 octobre 2019 dans la revue américaine Nature Ecology & Evolution, les chercheurs ont analysé la couleur des oeufs de 634 espèces d’oiseaux à travers le monde entier. Ils ont déterminé que ces variations de couleurs étaient la conséquence de l’exposition au soleil et à la température de leur milieu. Dans les régions froides, les oeufs sont le plus souvent d’une teinte brun foncé alors que les oeufs des régions chaudes sont plus claires, bruns et même bleus ! On sait que d’autres facteurs peuvent influer sur la couleur de l’oeuf, notamment lorsque les oiseaux doivent les dissimuler des prédateurs ou en raison de propriétés antimicrobiennes, mais cette étude montre pour la première fois le rôle des conditions météorologiques.

En milieu froid, la survie des embryons en dépend

Concrètement, cela signifie que lorsque l’intensité solaire est faible, les oeufs seront plus foncés afin de recevoir plus efficacement la chaleur et donc de permettre à l’oisillon d’être mieux protégé et de se développer.

“Les couleurs foncées jouent un rôle crucial dans la thermorégulation, absorbant plus de radiations solaires. Ces questions sont particulièrement bien adaptées aux œufs d’oiseaux car la survie de l’embryon dépend d’une plage thermique étroite” expliquent les chercheurs de l’étude.

Pour confirmer leur théorie, ces derniers se sont également livrés à une expérience en exposant au soleil plusieurs oeufs de canards, de poules et de cailles. Ils ont alors constaté que les oeufs les plus foncés étaient plus aptes que les autres à maintenir leur température d’incubation.

La crainte des effets du réchauffement climatique

Au même titre que la coquille, c’est donc bien la couleur de cette coquille qui va jouer un rôle primordial dans la protection de l’embryon. Cette révélation pose évidemment la question cruciale des effets du réchauffement climatique sur les oiseaux. Le Dr Daniel Hanley, coauteur de l’étude et professeur à l’université de Long Island s’est justement inquiété de savoir l’effet à long terme que pourrait avoir l’augmentation des températures mondiales sur des organismes tels que les oiseaux. Des animaux possédants des caractéristiques adaptées à des climats bien particulier.

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Trump: «sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes»


Mieux vaut en rire qu’en pleurer avec de tels propos ! Voir si Donald Trump a autant d’influence en Chine. Je doute que la Chine prenne ses décisions pour faire plaisir au président américain et pour sauver un accord commercial qui est difficile à conclure. La Chine semble plutôt tenir tête à Donald Trump. C’est la deuxième fois qu’il pense qu’il est le sauveur de la situation en octobre dernier (Syrie).
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Trump: «sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes»


Trump: «sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes»Photo: Mark Wilson/Getty ImagesDonald Trump

Donald Trump a assuré vendredi que l’armée chinoise n’était pas intervenue pour réprimer les manifestations pro-démocratie dans le territoire semi-autonome de Hong Kong uniquement parce qu’il l’avait demandé à son homologue chinois.

«Sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes. Il (Xi Jinping) a un million de soldats en position à l’extérieur de Hong Kong, ils n’y vont pas uniquement parce que je le lui ai demandé», a déclaré le président américain sur la chaîne Fox News.

Le locataire de la Maison Blanche a assuré avoir mis dans la balance l’accord entre Pékin et Washington, toujours en négociation pour mettre fin à la guerre commerciale enclenchée par M. Trump.

«Vous feriez une grave erreur. Cela aura un effet terriblement négatif sur l’accord commercial», a poursuivi le dirigeant républicain, citant une conversation qu’il dit avoir eue avec le président chinois.

Trump soutient «aussi le président Xi»

Hong Kong, ex-colonie britannique rétrocédée à la Chine en 1997, est une région semi-autonome dirigée sous le principe «Un pays, deux systèmes», et jouit à ce titre de libertés inconnues dans le reste de la Chine, et ce jusqu’en 2047.

Le territoire connaît depuis le mois de juin le plus long mouvement de protestation depuis sa rétrocession. Les manifestations y sont quasi quotidiennes pour dénoncer l’emprise de plus en plus pesante de Pékin sur les affaires de Hong Kong.

Ces déclarations du président américain interviennent au surlendemain de l’adoption par le Congrès américain d’une résolution soutenant les «droits humains et la démocratie» à Hong Kong face à Pékin et menaçant de suspendre le statut économique spécial accordé par Washington à l’ancienne colonie britannique.

Cette résolution, qui a suscité l’ire de Pékin, doit encore être signée par Donald Trump pour être promulguée.

Le président Trump va-t-il mettre son veto à ce texte soutenant les manifestants de Hong Kong?

«Nous devons soutenir Hong Kong mais je soutiens aussi le président Xi», a répondu Donald Trump au journaliste de Fox News, résumant la complexité de l’équation dans laquelle il se trouve.

«Nous sommes en train d’essayer de trouver le plus grand accord commercial de l’histoire. Si nous pouvions le faire, ce serait formidable. La Chine le souhaite»,  a-t-il assuré.

https://journalmetro.com/

Une découverte alarmante dans le sang d’un astronaute


Le corps humain n’est pas fait pour vivre à l’extérieur de la Terre. Un séjour prolongé dans l’espace occasionne certains changements indésirables. Dernièrement, ils étaient loin de se douter que des caillots de sang pussent se former chez les astronautes qui font de longs séjours. Si des anticoagulants ne suffisent pas, il faut espérer d’arriver à temps pour des soins, ou espérer qu’il y a un médecin à bord, ce qui ne sera pas évident pour des voyages  vers Mars
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Une découverte alarmante dans le sang d’un astronaute

Cette découverte prouve l’importance de mener des recherches plus approfondies sur les risques encourus par les astronautes dans l’espace. | Niketh Vellanki via Unsplash

Cette découverte prouve l’importance de mener des recherches plus approfondies sur les risques encourus par les astronautes dans l’espace. | Niketh Vellanki via Unsplash

Repéré par Odile Romelot

Repéré sur The Atlantic

Les astronautes de la station spatiale internationale ont découvert un risque supplémentaire aux séjours passés dans l’espace.

Les astronautes ne sont pas que des personnes qui ont la chance de vérifier visuellement que la Terre est ronde. Ce sont aussi des sujets d’étude primordiaux lorsque l’on cherche à savoir quels effets l’espace produit sur le corps humain.

Sur Terre, les astronautes sont régulièrement soumis à des batteries de tests pour mesurer leurs signes vitaux et leur état physique. Dans l’espace, les cosmonautes s’occupent eux-mêmes de réaliser ces tests. Lors d’une échographie, l’un d’eux s’est rendu compte qu’un caillot de sang s’était formé dans l’une de ses veines, à la surprise du spécialiste qui l’assistait en temps réel depuis la Terre.

«Nous ne nous y attendions pas», confirme Karina Marshall-Goebel, scientifique principale à la NASA et autrice de d’une étude consacrée à ce sujet. «Cela n’a jamais été rapporté auparavant.»

D’autres médecins de la NASA sont intervenus pour soigner l’astronaute à distance, à l’aide d’anticoagulants.

Ce n’est pas la première fois que l’on remarque des effets secondaires importants chez les personnes qui passent du temps en orbite: des nerfs optiques gonflés, des yeux un peu aplatis et une vision détériorée en raison de l’augmentation de la pression intracrânienne.

De la nécessité de mener des études sur les astronautes

Pour comprendre comment ce caillot de sang avait réussi à se former, les scientifiques ont étudié la veine jugulaire de onze astronautes, neuf hommes et deux femmes qui effectuaient une mission à bord de l’ISS, la station spatiale internationale. Leur débit sanguin a été mesuré, en position assise, couchée et inclinée. Puis il a été demandé aux participant·es de refaire les mêmes tests dans l’espace.

Les scientifiques ont constaté que le flux sanguin s’était arrêté chez cinq des onze astronautes. Pourtant, il n’est pas courant que le sang stagne dans ce genre de veines. Habituellement, cela se passe plutôt dans les jambes, lorsqu’on reste trop longtemps assis sans bouger.

Parfois, le caillot de sang se dissout tout seul ou à l’aide d’anticoagulants. Mais d’autres fois, il peut causer d’importants blocages. Dans le cas de deux astronautes, les chercheurs se sont rendus compte que leur sang avait commencé à faire demi-tour dans la veine jugulaire, probablement parce qu’il était bloqué en aval.

Karina Marshall-Goebel émet l’hypothèse que les organes soient remontés à l’intérieur de leurs corps, provoquant des dysfonctionnements de leur circulation sanguine. Une fois revenu·es sur terre, les astronautes n’ont plus eu de caillots de sang problématiques et leur santé est revenue à la normale.

Cette découverte a toutefois montré l’importance de mener des recherches plus approfondies sur les risques encourus par les astronautes dans l’espace. Car s’il ne faut que quelques heures pour revenir sur Terre en partant de l’ISS, il faudrait des mois pour rentrer de Mars par exemple. Sans compter que les astronautes maintiennent une excellente forme physique, ce qui n’est pas nécessairement le cas de toutes les personnes prêtes à payer pour participer au projet SpaceX.

http://www.slate.fr/

Voici pourquoi Narval le chien-licorne a une deuxième queue sur la tête !


Vous vous souvenez de Narval, ce chiot sauvé du froid a une queue sur le front ? C’est un phénomène que connais pour avoir vu cela dans certains documentaires, mais je n’ai pas pensé du tout que des jumeaux parasites pouvait exister aussi chez les animaux comme Narval

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Voici pourquoi Narval le chien-licorne a une deuxième queue sur la tête !


Si vous suivez l’actualité des chiens et chats, vous n’avez pas pu rater le surprenant petit chien-licorne surnommé Narval, qui a conquis les cœurs des internautes la semaine dernière. Ce petit toutou a une deuxième queue entre les deux yeux, ce qui donne tout l’air d’une licorne ! Pour ceux qui ont espéré que les licornes existaient vraiment, c’est un rêve devenu réalité.

Quelques jours après l’heure de gloire de Narval, on en sait un peu plus sur la cause de son adorable corne sur la tête.

C’est Margret Casal, une professeure de l’Ecole de médecine vétérinaire de l’Université de Pennsylvanie, qui a donné des explications au New York Times. Et il faut avouer que la raison derrière cette surprenante corne de licorne est moins mignonne que ce qu’on espérait : il est probable que la deuxième queue de Narval soit en réalité… son jumeau parasite !

Dans de rares cas, il arrive que lors de la fécondation d’un ovule, l’embryon se sépare en deux de manière asymétrique. Ainsi, au lieu de former deux individus, un seul être survit, et l’autre devient tout simplement une partie du corps supplémentaire.

Les « vrais » jumeaux sont très rares chez les chiens, et ce cas de figure particulier est rarissime. Toutefois, ça arrive, et Narval en est la preuve vivante ! Il est également possible que la même chose soit arrivée au petit chaton à deux visages né il y a quelques mois.

Quoi qu’il en soit, on trouve toujours que le petit Narval est à croquer avec sa corne entre les yeux !

https://wamiz.com

Une publicité Nike créée par une intelligence artificielle


Ce n’est pas une publicité officielle, mais une création sans que Nike en fasse la demande. Un Français a réuni plusieurs publicités de Nike et l’IA en a fait une nouvelle publicité. Pour ma part, je suis un peu déçue, sauf peut-être (et encore) si elle jouer a la radio par exemple, car en vidéo, il n’a rien d’accrochant.
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Une publicité Nike créée par une intelligence artificielle


Fabrice Auclert
Journaliste

Après avoir investi la peinture, la musique et bien sûr le jeu vidéo et la santé, l’intelligence artificielle va-t-elle créer des campagnes de publicité ? Un créatif français a nourri un réseau neuronal de publicités Nike très connues, et voici le résultat…

Ce spot a été produit à titre expérimental et il n’est donc pas officiel mais c’est la première publicité créée par une intelligence artificielle. C’est le concepteur-rédacteur Jean-Baptiste Le Divelec qui en est à l’origine car il a toujours été « fasciné par les réseaux neuronaux et le deep learning ». Avec des amis, il explique qu’il a alimenté un réseau neuronal avec plus d’une « dizaine d’années de publicités Nike » pour voir si l’intelligence artificielle était capable de créer une publicité originale.

Il précise bien que Nike n’est pas à l’initiative du projet, mais il s’est appuyé sur des publicités populaires et connues de tous. Il avait besoin de s’appuyer sur une marque emblématique, mondiale, et dont le corpus de publicités était facilement accessible. On en dénombre 20, et l’intelligence artificielle a fonctionné comme un générateur de textes automatiques. Notamment GPT-2, mis au point par Open-IA, et dont l’utilisation reste universitaire, tant la création de faux textes pourrait poser de problèmes à l’ère du « deep fake » et des « fake news ».

On n’est pas loin de l’écriture automatique lorsque l’IA conçoit une publicité. © Jean-Baptiste Le Divelec

Le prochain slogan va-t-il naître d’une IA ?

Là, il s’agit simplement d’une expérience de création. Jean-Baptiste Le Divelec explique à The Next Web qu’il avait été marqué par les performances de l’IA en musique ou en peinture, persuadé donc que « la machine » pouvait aussi être créatrice. À l’arrivée, le spot de 50 secondes a tout d’une publicité Nike, avec la musique, les codes couleurs, le rythme et l’importance de la sémantique.

Le publicitaire l’a appelé « AI et Kennedy » et même s’il reconnaît qu’on est « à la limite de l’inintelligible » et de « l’absurde », il y observe « une touche de génie ». Pour lui, le prochain slogan fort d’une marque ou le prochain spot de publicité, comme « Just Do It » pourrait donc naître du cerveau d’une intelligence artificielle. Il y a un siècle, on appelait ça le surréalisme, et c’est peut-être l’avenir de la publicité.

https://www.futura-sciences.com/

Le cas d’un vapoteur canadien expose un nouveau type de lésions pulmonaires


Un jeune homme de 17 ans après 5 mois de vapotage s’est retrouver sous un respirateur artificiel et a faillit recevoir une double greffe du poumon. Heureusement, il a passé au travers, mais restera avec des séquelles. Les cigarettes électroniques avec des liquides aromatiques contiennent des produits chimiques et un en particulier le diacétyle est déjà connu pour des infections pulmonaires, mais le fumer serait pire. Cette infection serait différente des autres qui ont été déclarés au Canada et aux États-Unis.
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Le cas d’un vapoteur canadien expose un nouveau type de lésions pulmonaires

Un adolescent expire une épaisse fumée provenant d'une cigarette électronique qu'il vient de respirer.

L’adolescent, qui fumait depuis à peine cinq mois, s’est retrouvé aux soins intensifs, sous respirateur artificiel.

PHOTO : RADIO-CANADA

Radio-Canada

Un adolescent ontarien qui s’est retrouvé aux soins intensifs après avoir vapoté intensément pendant cinq mois souffrait d’une inflammation grave des voies respiratoires différente des cas rapportés jusqu’ici au Canada et aux États-Unis.

Cette conclusion a amené le Canadian Medical Association Journal à publier jeudi un article sur ce cas unique. L’éditeur adjoint du journal estime qu’il était important d’alerter le public à ce sujet. C’est le canari dans la mine, explique-t-on.

C’est un nouveau type de maladie pulmonaire que nous nous attendions à voir apparaître, explique le Dr Matthew Stanbrook, qui est aussi pneumologue à l’Hôpital Toronto Western.

Plus de 2000 cas de problèmes pulmonaires graves liés à la cigarette électronique, qui ont tué 42 personnes, ont été recensés aux États-Unis. Le Canada compte pour sa part sept cas confirmés ou probables. Mais ce cas serait différent.

Le garçon de 17 ans, qui est tombé gravement malade en Ontario, fumait de la marijuana et des cigarettes électroniques aromatisées.

Les liquides aux différents parfums qui sont vendus pour les vapoteuses contiennent souvent du diacétyle. Ce produit chimique entre aussi dans la composition du maïs soufflé à chauffer au micro-ondes.

Dans le passé, des travailleurs d’usine qui fabriquaient du maïs soufflé pour le micro-ondes ont été atteints de bronchiolite, une inflammation aiguë des petites ramifications des bronches.

Nous savions que cette substance chimique pouvait causer cette maladie, nous savions qu’elle se retrouvait dans les liquides pour les vapoteuses, raconte le Dr Stanbrook. Nous nous attendions à la diagnostiquer chez un patient tôt ou tard, et maintenant, ça semble bien être le cas.

À sa connaissance, il s’agirait du premier cas au monde.

Une main qui pointe une image des poumons sur un écran d'ordinateur.

Les analyses démontraient que l’adolescent souffrait d’un problème différent de celui que les médecins avaient observé jusqu’ici.

PHOTO : CBC

Le jeune patient fumait des cigarettes électroniques depuis cinq mois. La pneumologue Tereza Martinu, qui est un des médecins qui ont traité l’adolescent, raconte qu’il était auparavant en santé et n’avait jamais souffert de problèmes respiratoires.

Il s’est retrouvé sous respirateur artificiel et les médecins ont cru, à un moment, qu’il aurait besoin d’une double greffe de poumons.

La durée de vie moyenne après une double greffe est de six ans, c’est terrible si vous avez 17 ans, commente la Dre Martinu.

Le pire a finalement pu être évité. L’adolescent poursuit sa convalescence, mais il conservera vraisemblablement des séquelles permanentes de la maladie.

Contrairement aux cigarettes, qui peuvent entraîner des problèmes généralement à long terme, les produits de vapotage peuvent causer très rapidement des problèmes extrêmement graves, constate la Dre Martinu. Ce garçon s’est retrouvé avec une maladie qui a failli lui coûter la vie après seulement cinq mois.

Tereza Martinu estime qu’il faut absolument qu’une réglementation plus stricte soit adoptée et que la liste des ingrédients sur les emballages soit exhaustive.

Le Canadian Medical Association Journal continue de réclamer une interdiction des cigarettes électroniques aromatisées, l’imposition de normes et de contrôle de la qualité et l’interdiction de la publicité, comme c’est le cas pour la cigarette.

Si j’avais un message pour le public et pour les parents qui sont inquiets, conclut le Dr Matthew Stanbrook, ce serait qu’aucune cigarette électronique, aucune utilisation ne devrait être considérée comme sécuritaire. Nous devons commencer à considérer ces produits comme potentiellement nocifs, comme nous le faisons pour les produits du tabac.

Dans un courriel, Santé Canada dit qu’il étudiera attentivement les conclusions de l’association médicale et continue de surveiller les maladies liées au vapotage, aux États-Unis et au Canada.

Santé Canada a par ailleurs tenu une série de consultations sur le vapotage plus tôt cette année et envisage maintenant un certain nombre de modifications visant à limiter cette pratique chez les jeunes.

https://ici.radio-canada.ca/