Je me suis trouvé
« Je me suis cherché longtemps et finalement, je me suis trouvé. J’étais caché à l’intérieur. »
Inconnu
Je me suis trouvé
« Je me suis cherché longtemps et finalement, je me suis trouvé. J’étais caché à l’intérieur. »
Inconnu
La grande pyramide a déjà été d’une grande blancheur. Les pierres étaient faites de calcaires de mauvaise qualité pour la structure, mais elle fut recouverte d’un calcaire venant d’ailleurs et qui était de meilleur qualité pour revêtir la pyramide.
Nuage
Par Abzu
La Grande Pyramide de Gizeh (connue aussi sous le nom de Pyramide de Khéops) est l’une des sept merveilles de l’Ancien Monde et la seule qui reste aujourd’hui. La Grande Pyramide est la plus ancienne et la plus grande des trois pyramides de Gizeh, les deux autres appartenant aux pharaons Khéphren et Mykérinos.
Bien que la Grande Pyramide ait survécu jusqu’à ce jour, elle n’a pas échappé aux intempéries et a un aspect radicalement différent de ce qu’elle était quand elle a été récemment achevée.
Construction de la pyramide
On estime la pyramide à 2,4 millions de blocs de pierre, dont chacun a dû être taillé avant de pouvoir être utilisé pour la construction de la pyramide. Le noyau de la Grande Pyramide se compose principalement de blocs bruts de calcaire qui ont été extraits sur le plateau de Gizeh.
Ce calcaire, cependant, est de faible qualité et a une couleur jaune brunâtre. Dans la Grande Pyramide se trouve la chambre centrale, qui contenait le sarcophage du pharaon. Pour la construction de la chambre, du granit rose-rougeâtre a été utilisé, car il pouvait supporter le poids des blocs de pierre au-dessus de lui.
A l’origine, la Grande Pyramide était couverte de blocs de calcaire provenant de Tura, à environ 129 km (80 miles) de là, de l’autre côté du Nil. Ces pierres de revêtement* ( cuvelage* ) servaient à recouvrir le calcaire jaune brunâtre qui servait à la construction de la pyramide. De plus, le calcaire de Tura a rendu la Grande Pyramide d’un blanc éclatant, ce qui l’aurait rendue très visible, même de loin.
L’une des pierres de revêtement la Grande Pyramide (vers 2570 ans avant JC), dont la plupart ont été enlevés au cours du Moyen-Âge. Ce bloc a été trouvé dans les décombres entourant la pyramide.
La fin du mythe : Plus de blanc éblouissant
Aujourd’hui, cependant, la Grande Pyramide n’est plus d’un blanc éclatant, car les blocs de calcaire de Tura ont été enlevés au Moyen Âge. Au cours du 14ème siècle, un tremblement de terre massif a détaché de nombreuses pierres de l’enveloppe extérieure. Les pierres délogées ont été prises par le sultan bahreïni An-Nasir Nasir-ad-Din al-Hasan en 1356 pour construire des mosquées et des forteresses au Caire voisin.
Les pierres de revêtement qui restaient sur la Grande Pyramide ont continué à s’effondrer au cours des siècles suivants, laissant des tas de gravats à la base du monument. Celles-ci ont été enlevées lors de l’excavation du site. Néanmoins, de nombreuses pierres de revêtement recouvrant la base de la pyramide ont été laissées sur place et peuvent encore être vues aujourd’hui.
Des pierres de cuvelage blanches sont encore visibles près du sommet de la pyramide de Khéphren.
Je ne comprends pas que des superstitions du passé, des préjugés face aux chiens et aux chats noirs persistent à notre époque. En France, une association Seconde Chance a eu la bonne idée de profiter du Black Friday, : le vendredi noir pour faire valoir les chats et les chiens a robe noire dans le but de leur donner une seconde chance pour être adoptés.
Nuage
Quand certains font des bonnes affaires pour le Black Friday mais tournent le dos aux animaux de couleur noire…
Le saviez-vous ? Les chiens et les chats noirs attendent en moyenne deux fois plus longtemps que les autres avant de trouver leur famille d’adoption.
Alors pourquoi un tel délaissement ? La raison est assez triste à constater : longtemps victimes de superstition car associés à la couleur du diable, de la mort ou de la sorcellerie, les animaux noirs sont encore aujourd’hui les grands perdants des adoptions.
Aider à sortir de l’ombre les animaux oubliés
Chaque année, l’association responsable Seconde Chance organise l’opération « Rencontrez une Perle Noire » sur son site internet. L’opération a lieu du 1er au 30 novembre 2019 à travers 1500 associations dans toute la France et ce pour la 11ème année consécutive.
Cette année, 1600 animaux noirs seront mis en avant auprès du public. L’objectif de l’association Seconde Chance est de mobiliser les amoureux des animaux via leurs réseaux sociaux pour qu’ils partagent les fiches des animaux noirs en attente d’être adoptés.
Mobiliser ainsi les internautes permettrait à l’association de doubler les visites habituelles sur son site pour atteindre 1,4 million de visites en novembre 2019. Deux fois plus de visibilité pour les animaux en attente d’adoption, en somme !
Vaincre les préjugés sur les animaux noirs
L’opération « Rencontrez une Perle Noire » de l’association Seconde Chance permet d’éveiller les consciences et d’abolir les superstitions selon lesquelles le chien noir serait plus dangereux et violent ou moins joyeux et heureux que les autres.
Pour mettre fin au « Black Dog Syndrome », il faut faire prendre conscience que les animaux noirs présentent de réels avantages ! Par exemple, un animal noir se salira moins visiblement qu’un animal tout blanc, ses poils ne se verront pas sur vos vêtements noir et dernière bonne raison pour adopter un chat noir ou un chien noir : ce sont eux les moins susceptibles d’être adoptés !
100 millions de dollars pour des publicités anti-Trump, si seulement cela pourrait assurer la défaite de Donald Trump aux prochaines élections … Dommage qu’il faut autant d’argent qui pourrait servir à des choses beaucoup plus utiles pour les Américains …
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PHOTO REUTERS
Michael Bloomberg
(New York) L’ex-maire de New York Michael Bloomberg n’a pas encore décidé s’il serait candidat à la présidentielle, mais il a lancé une campagne de publicité en ligne anti-Trump, moyennant 100 millions de dollars.
AGENCE FRANCE-PRESSE
Le milliardaire, dont la fortune atteint 53 milliards de dollars selon Forbes, a confirmé dans un tweet vendredi le lancement de cette campagne, annoncée au New York Times par son conseiller Howard Wolfson.
«C’est un de ces moments où il faut tout le monde sur le pont. Nous allons lutter contre Trump directement», écrit-il.
Ces publicités en ligne, qui ne présentent pas Michael Bloomberg mais se concentrent sur la critique de Donald Trump, ciblent les États de l’Arizona, du Michigan, de Pennsylvanie et du Wisconsin – quatre États-clés – qui pourraient voter aussi bien démocrate que républicain en 2020, et donc indispensables pour remporter la présidentielle.
Sur l’une de ces publicités, on voit une image du compte Twitter du président américain barré du message «Un tweet ne devrait pas menacer la sécurité du pays».
L’ex-maire de 77 ans a fait plusieurs pas ces derniers jours vers une candidature à l’investiture démocrate, en s’enregistrant notamment comme candidat à la présidentielle dans les États de l’Alabama et de l’Arkansas.
Il a assuré mardi être «proche» de prendre une décision définitive. Ses conseillers ont indiqué qu’en cas de candidature, il ne ferait probablement pas campagne dans les quatre États à voter pour les primaires dès février, mais commencerait vraiment avec les 15 États-dont la Californie et le Texas, les plus peuplés-qui voteront le 3 mars pour le Super Tuesday.
Celui qui fut maire de New York de 2002 à 2013, fort d’une fortune personnelle évaluée à plus de 50 milliards de dollars, avait déjà dépensé 100 millions pour soutenir des candidats démocrates aux élections américaines de mi-mandat de novembre 2018.
Sa possible candidature, qui viendrait bousculer la course pour l’investiture démocrate qui compte déjà 18 candidats, a suscité des réactions très contrastées.
Certains estiment que sa fortune, ses qualités d’homme d’affaires «self-made man» et de porte-drapeau de la lutte contre le réchauffement climatique en font le meilleur challenger de Donald Trump. Et le seul capable de rivaliser avec les quelque 156 millions de dollars engrangés à fin septembre par la campagne du président sortant.
Mais d’autres, surtout du côté des démocrates les plus à gauche comme Elizabeth Warren ou Bernie Sanders, le voient comme un milliardaire cherchant à protéger les intérêts des plus riches, qu’ils veulent taxer lourdement pour réduire les inégalités.
Un sondage Ipsos pour l’agence Reuters publié vendredi, incluant pour la première fois M. Bloomberg parmi les candidats, le créditait de 3% des intentions de vote, loin derrière l’ex-vice président Joe Biden et Bernie Sanders (19% chacun), Elizabeth Warren (13%) et le jeune maire de l’Indiana Pete Buttigieg (6%).
Les Îles Marshall ont été un lieu pour des essais nucléaires américains. Quand ils ont eu fini, ils ont enterré les déchets nucléaires pour ensuite mettre un dôme pour enfermer ces déchets jusqu’à l’infini. Sauf que l’infini pour les changements climatiques, ça n’existe pas. Quand ils ont eu fini, ils ont enterré les déchets nucléaires pour ensuite mettre un dôme pour enfermer ces déchets jusqu’à l’infini. Les États-Unis, vont-ils prendre leur responsabilité avec un climatoseptique qui gouverne le pays ? Où bien, il va simplement faire la sourde oreille.
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Crédits : US Department of Energy
par Malaurie Chokoualé Datou
Construit par les États-Unis dans les années 1940, ce lieu de désolation a été surnommé « La Tombe » par les résidents des îles Marshall. Pendant des années, des fissures sur le couvercle en béton de ce lieu de stockage radioactif américain et les infiltrations maritimes régulières ont inquiété les autorités des Îles Marshall. Le Los Angeles Times a confirmé le 11 novembre une fuite de plutonium à cause du réchauffement climatique.
Avec aujourd’hui plus de 50 000 habitants, les Îles Marshall sont un ensemble de 29 atolls, constitués de 1 156 îles. De 1946 à 1958, elles ont été utilisées comme terrain de jeu pour des essais nucléaires américains. Juste sur Bikini, 25 de ces essais nucléaires ont représenté en énergie l’équivalent de plus de 5 000 bombes comme celle qui a dévasté Hiroshima.
Les déchets radioactifs ont ensuite été enfouis dans un cratère créé par une explosion, sur l’île de Runit dans l’atoll d’Enewetak. Cet enfouissement de déchets nucléaires ne devait être que temporaire, mais en 1979, ces déchets ont été surmontés d’un dôme de béton sphérique de 8 m de haut et de 45 cm d’épaisseur pour les enterrer à jamais. Cette situation est non seulement devenue permanente, mais le réchauffement climatique est aujourd’hui en train de briser le dôme.
À cause de l’élévation des températures et du niveau de la mer, la surface du sarcophage se fissure et menace de déverser ses tonnes de déchets hautement radioactifs dans l’océan Pacifique. Pendant ce temps, les autorités des îles appellent les États-Unis à prendre leurs responsabilités.
« Comment pourrait-il être le nôtre ? » a déclaré à propos du dôme Hilda Heine, présidente de la République des Îles Marshall. « Nous n’en voulons pas. Nous ne l’avons pas construit. Les déchets à l’intérieur ne sont pas les nôtres. Ils leur appartiennent. »
Et bientôt, il sera trop tard.
Source : The Los Angeles Times
Oh la la la ! Pas de cafards (coquerelle) dans l’oreille ! Le médecin croit que la cause est que le patient laissait trainer de la nourriture sur sa table de chevet ! J’espère qu’il va faire traiter aussi sa maison, ca s’il en avait dans son oreille, il en a sûrement ailleurs.
Nuage
par Adrien Gingold
En Chine, un jeune homme de 24 ans s’est rendu en octobre dernier à l’hôpital Sanhe à cause d’une « douleur aiguë à l’oreille ». Les médecins ont rapidement trouvé une famille de cafards qui avaient éclos près de son tympan et qui vivaient à l’intérieur, écrivait le New York Post le 6 novembre dernier.
Lorsque M. Lv est arrivé à l’hôpital, il s’est immédiatement plaint de « quelque chose qui grimpe ou qui rampe à l’intérieur ». Et il ne se trompait pas :
« J’ai découvert plus de 10 bébés cafards à l’intérieur », a déclaré un des médecins qui ont pu extraire les petits et leur maman à l’aide d’une pince à épiler.
La cause ? Selon le Dr Jiang Tengxiang, directeur adjoint de l’hôpital Sanhe, M. Lv avait l’habitude de laisser de la nourriture sur sa table de chevet pendant son sommeil, ce qui a probablement incité les intrus à utiliser son oreille comme chambre improvisée. Depuis ce mois d’octobre, M. Lv suit un traitement à base d’antibiotiques et ne laisse plus rien traîner près de l’oreiller.
Source : The New York Post
C’est une idée comme une autre, quoique l’idée de la tombe doit quand même aider a orienter sa méditation sur le sens de la vie. Cette tombe qui est la depuis quelques années dans une université au Pays-Bas, ce sont les étudiants qui ont demander qu’elle soit accessible. Et la liste est longue pour avec un temps pour s’étendre sur la tombe entourée 4 murs en terre. Personnellement, je ne trouve pas cela si glauque tant que ce n’est pas dans la tombe, je trouve cela même que c’est une bonne idée.
Nuage
par Adrien Gingold
Pour aider ses étudiants à mieux appréhender les partiels, le Mirror du 9 novembre nous apprend qu’une université des Pays-Bas a mis en place un dispositif insolite et morbide : des tombes.
La période des partiels approche, et son lot d’étudiants stressés avec. Alors pour les aider à se détendre et à gérer leur anxiété, l’université de Radbound à Nijmegen, aux Pays-Bas, a mis en place des « tombes de purification » dans lesquelles les étudiants peuvent s’allonger afin de méditer sur le sens de la vie et prendre du recul.
Initialement creusée en 2009 pour un projet achevé en 2011, la tombe a été remise « en service » à la demande des étudiants, qui peuvent s’y allonger, à condition de s’être préalablement inscrits et d’y aller sans téléphone ni livre, afin de méditer sur le sens de la vie.
Et la demande ne faiblit pas, comme le confirme l’étudiant Sean McLaughlin :
« Mon coloc et moi devions y aller la semaine dernière mais nous avons vu la liste d’attente et nous n’avons pas pu aller nous allonger dans la tombe. Mais j’envisage vraiment d’y retourner dès que je pourrai. »
Pour John Hacking, instigateur du projet et responsable de la chapelle de l’université, il s’agit avant tout d’une expérience de vie :
« La fin de la vie, la mort, tout cela est tabou et difficile à comprendre pour nos étudiants. »
Source : The Mirror