Sois une bonne personne
Sois une bonne personne, mais ne perds pas ton temps à le prouver.
Inconnu
Sois une bonne personne
Sois une bonne personne, mais ne perds pas ton temps à le prouver.
Inconnu
La statue de la liberté est probablement aussi connue que la tour Eiffel, le Taj Mahal, les pyramides d’Égypte. Un symbole de liberté universelle qui a été offert par la France aux États-Unis en guise d’amitié. Je me demande si aujourd’hui, représente toujours cette liberté et d’amitié que cette statue voulait inspirer
Nuage
La statue de la Liberté est un monument bien connu ; c’est l’une des icônes les plus célèbres et les plus aimées au monde. Mais la connaissez-vous vraiment ? Les gens parcourent des kilomètres pour voir cette dame qui possède sa propre île. Si ses dimensions sont impressionnantes, les anecdotes à son sujet la rendent autrement plus intéressante. Voici 10 faits amusants que vous ne connaissez peut-être pas à propos de la Dame du Port.
1 Sa couronne à piques est symbolique.
Oui, les sept piques de la couronne représentent les sept océans et les sept continents du monde. Ils symbolisent le concept universel de liberté. Ce n’est pas que pour le style !
2 Elle est française.
Sa tête a même passé quelque temps à l’Exposition universelle de Paris avant que celle-ci ne soit offerte en cadeau pour célébrer le centenaire de la révolution américaine et l’amitié entre les deux pays. C’est adorable, non ?
3 La statue a fait office de phare.
Si vous pensez qu’elle ne sert à rien et qu’elle n’est qu’un gros tas de métal, détrompez-vous ; elle a fait office de phare, guidant les navires et les marins qui rentraient chez eux après un long voyage sur l’océan.
4 Sa tête n’est pas pas bien installée !
En 1982, il a été découvert que la tête était excentrée de 61 centimètres. Oups !
5 Personne ne peut approcher de la torche.
En 1916, la statue a subi des dommages mineurs de la part des Allemands et personne n’a été autorisé à approcher de la torche depuis. C’est loin derrière nous tout ça maintenant !
6 La foudre ne frappe pas deux fois au même endroit, n’est-ce pas ?
On pense que la statue a été frappée 600 fois par la foudre… rien d’étonnant pour un immense monument en métal !
7 Elle s’est libérée de ses chaînes.
Bien que vous ne puissiez pas bien voir ses pieds, la statue se tient debout parmi des chaînes cassées, se libérant de l’oppression et de l’esclavage. Elle avance également son pied droit vers une nouvelle ère libre.
8 Pourquoi est-elle verte ?
La statue est verte à cause de l’oxydation du cuivre. Ce n’est pas de la peinture ! Le métal est légèrement endommagé et corrodé.
9 Dimensions
Elle n’est pas très mince. C’est un grand gabarit qui a un tour de taille de 10 mètres et qui chausse du 914,5. Il faut assumer ses formes !
10 C’est également une star d’Hollywood.
Ou plutôt des films catastrophe. La statue est détruite dans le film Independence Day (1996) et apparaît dans de nombreux autres films.
Un animal qu’on croyait disparus depuis 30 ans est réapparu au Viêtnam. C’est une bonne chose ces caméras que l’on cache pour étudier les animaux dans une zone.
Nuage
Par Léia Santacroce
Dans un article paru le 11 novembre dans la revue Nature ecology & evolution, des chercheurs assurent avoir vu ressurgir au Vietnam une espèce de petit ruminant qu’ils pensaient disparue : le chevrotain à dos d’argent. Direction la province de Gia Lai.
Considéré comme éteint pendant près de trente ans, le chevrotain à dos d’argent – Tragulus versicolor, endémique au Vietnam – a été aperçu à de multiples reprises en 2018 près de Nha Trang, viennent d’annoncer des scientifiques dans la revue Nature ecology & evolution.
« Chevrotain, nom masculin : mammifère ruminant des forêts équatoriales, très primitif », dixit le Larousse.
Gros comme un lapin, on l’appelle aussi « cerf-souris » bien qu’il n’ait ni cornes ni sabots. Victime de la chasse au collet (comme de nombreux animaux dans la région), le dernier chevrotain à dos argenté avait été repéré en 1990 au Vietnam. Grâce à des camera traps (pièges photographiques) posés par l’organisation Global Wildlife Conservation, il est désormais établi que la petite bête est toujours de ce monde.
Une seconde chance pour le chevrotain à dos d’argent ?
« A l’ère des extinctions massives, la confirmation de la survie d’espèces que l’on pensait disparues offre une précieuse seconde chance pour la sauvegarde de la biodiversité, écrivent les chercheurs dans leur article. Ici, nous apportons la preuve que le chevrotain à dos d’argent existe toujours à l’état sauvage, photos à l’appui, et préconisons des mesures de conservation immédiates. »
Reste à savoir si cette nouvelle étude permettra au menu mammifère de sortir de la catégorie « données insuffisantes » de la liste rouge de l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature).
« Nous exhortons les professionnels de la conservation à agir vite, plaident les auteurs. Sans quoi, il y a un risque que Tragulus versicolor soit à nouveau perdu. »
Si je comprends bien ce n’est pas de couper les cornes du rhinocéros, mais introduire des fausses cornes dans le marché noir dans le but de faire baisser les prix. Je ne suis quand même pas certaines que cela pourrait diminuer le braconnage. Une baisse de prix pourrait aussi donner un résultat contraire.
Nuage
Par Chloé Gurdjian –
Des scientifiques ont mis en oeuvre ce stratagème afin de fausser le marché noir. La corne de rhinocéros s’y vend à prix d’or.
Sur le marché noir, les cornes de rhinocéros rapportent très gros. En 2017, on estimait qu’elles se vendaient entre 50 000 et 70 000 euros le kilo, soit entre 25 000 et 200 000 euros la corne. Des prix plus élevés que pour l’or et la cocaïne, par exemple. Ces appendices sont très recherchés en Asie, notamment en Chine et au Vietnam. Les habitants les utilisent en poudre dans la médecine traditionnelle et comme aphrodisiaque. Face à de telles sommes d’argent, les rhinocéros sont donc régulièrement victimes de braconniers, mettant l’espèce en danger.
Afin de lutter contre ces pratiques, des scientifiques anglais et chinois ont uni leurs efforts afin de créer une fausse corne de rhinocéros suffisamment réaliste. La corne de rhinocéros est formée de touffes de poils serrés qui sont collées par les sécrétions de l’animal. Les experts ont réussi à reproduire une corne similaire, à base de crinière de cheval. Même coupée, la corne à base de crin de cheval serait très crédible. Le but est d’inonder et de fausser le marché noir avec des faux afin de faire baisser les prix. Tuer les rhinocéros serait alors moins attractif pour les braconniers.
Mais tout le monde n’est pas convaincu par cette méthode de conservation.
Selon John Taylor, directeur adjoint de l’association Save The Rhino International, inonder le marché noir avec de fausses cornes pourrait au contraire « développer le marché et créer une demande encore plus importante. Ce qui entrainerait encore plus de braconnage pour de la vraie corne de rhinocéros ».
Autre question posée par John Taylor, comment ces fausses cornes pourraient être introduites dans ce marché illégal. Il n’est pas certain qu’elles puissent réellement convaincre.
Cité par la BBC, il affirme que « rien ne peut remplacer les mesures anti-braconnage d’un côté et réduire la demande de l’autre ».
Depuis des années, on pense que les plantes d’intérieur sont un excellent moyen pour purifier l’air. Sauf que les études avaient été faites par la NASA dans un espace clos, qui n’est pas du tout l’environnement auquel nous vivons. Ouvrir les fenêtres est encore beaucoup plus efficaces que les plantes, à moins d’avoir une jungle à la maison
Nuage
Elles ont beau constituer un élément décoratif certain, les plantes d’intérieur n’ont peu ou pas de valeur réelle en tant que purificateurs d’air, estiment des chercheurs américains.
PHOTO : ISTOCK
Radio-Canada
Il faudrait entre 100 et 1000 plantes par mètre carré de surface au sol pour rivaliser avec la capacité de purification d’un système de traitement de l’air d’un édifice ou même de quelques fenêtres ouvertes dans une maison, affirment des scientifiques américains.
Le Dr Michael Waring et ses collègues de l’Université Drexel ont analysé les résultats d’une douzaine d’études menées depuis 30 ans sur la qualité de l’air intérieur, et leur constat est clair. Elles ont beau constituer un élément décoratif certain, les plantes d’intérieur ont peu ou pas de valeur réelle en tant que purificateurs d’air.
Selon eux, la ventilation naturelle dépasse de loin les plantes lorsqu’il s’agit de purifier votre intérieur.
C’est une idée fausse qui circule depuis quelques années. Les plantes sont formidables, mais elles ne purifient pas l’air intérieur assez rapidement pour avoir un effet sur sa qualité dans votre maison ou votre bureau. Michael Waring
L’ensemble des études menées à ce jour montrent ainsi que les taux de renouvellement d’air naturel ou de ventilation dans les maisons et les bureaux diluent les concentrations de composés organiques volatils beaucoup plus rapidement que les plantes ne peuvent les extraire de l’air.
Naissance d’une fausse idée
En 1989, la NASA avait procédé à une expérience avec des plantes pour tenter de trouver un moyen de purifier l’air dans ses orbiteurs et dans les stations spatiales.
Le problème de cette expérience et d’autres semblables est qu’elles ont été réalisées dans un environnement clos lors d’expériences en laboratoire qui n’ont pas grand-chose à voir avec une maison ou un bureau, des environnements intérieurs où il existe un échange naturel d’air ou une ventilation.
Plusieurs de ces études ont quand même montré une réduction de la concentration de composés organiques volatils au fil du temps, ce qui explique probablement pourquoi certaines personnes s’en sont emparées pour vanter les vertus purificatrices des plantes.
Or, selon les calculs des chercheurs, il faudrait une véritable jungle intérieure pour arriver à purifier l’air, avec entre 100 et 1000 plantes par mètre carré de surface au sol pour rivaliser avec l’échange d’air naturel ou mécanique.
C’est certainement un exemple de la façon dont des résultats scientifiques peuvent être trompeurs ou mal interprétés. Michael Waring
Mais c’est aussi un excellent exemple de la façon dont la recherche scientifique devrait continuellement réexaminer et remettre en question les résultats pour mieux comprendre ce qui se passe réellement autour de nous, conclut le chercheur, dont les travaux sont publiés dans le Journal of Exposure Science and Environmental Epidemiology( Nouvelle fenêtre) (en anglais).
Cette année, il y a eu plus de personnes infectées par la maladie de Lyme que l’an dernier, mais moins qu’en 2017. C’est l’Estrie qui a été le plus affecté. Si cela peut nous encourager, plus il y a de neige et de froid, plus nous avons la paix avec les tiques … Mais je n’aime pas l’hiver
Nuage
PHOTO ARCHIVES LA VOIX DE L’EST
Le bilan du nombre de cas relevés du 1er janvier au 5 novembre derniers fait état de 371 cas déclarés, considérés confirmés ou probables, comparativement à 304 pour l’ensemble de l’année 2018.
(Montréal) Le nombre de cas déclarés de la maladie de Lyme a poursuivi sa progression au Québec cette année pour atteindre un sommet annuel jusqu’ici selon de récentes données du ministère de la Santé et des Services sociaux.
LA PRESSE CANADIENNE
Le bilan du nombre de cas relevés du 1er janvier au 5 novembre derniers fait état de 371 cas déclarés, considérés confirmés ou probables, comparativement à 304 pour l’ensemble de l’année 2018. La pire année jusqu’à l’année en cours avait été 2017, avec 329 cas déclarés.
Encore cette année, l’Estrie a été la région sociosanitaire du Québec la plus touchée avec 139 cas jusqu’ici, ce qui représente plus du tiers du total québécois. Les autres ont été, dans l’ordre, la Montérégie (92), Montréal (62) et l’Outaouais (19).
Depuis 2014, l’Estrie a d’ailleurs été la région du Québec la plus affectée à chaque année, à l’exception de l’an dernier.
En date du 5 novembre dernier, aucun cas de la maladie de Lyme n’avait encore été déclaré pour l’année en cours au Saguenay/Lac-Saint-Jean, sur la Côte-Nord, de même que dans les régions du Nord-du-Québec, du Nunavik et de la Baie James.
La maladie de Lyme est infectieuse et peut entraîner des manifestations cutanées, neurologiques, articulaires, cardiaques et oculaires. La bactérie se transmet à l’être humain par la piqûre d’une tique infectée.
Les autorités signalent que les cas de maladie de Lyme sont généralement acquis lors d’une piqûre d’une tique au stade de nymphe qui sont plus actives pendant les mois du printemps et de l’été. Toutefois, les tiques au stade adulte, qui sont de la taille d’une graine de sésame, sont plus actives à l’automne. Elles peuvent également être actives l’hiver par temps doux et lorsqu’il n’y a pas beaucoup de neige.